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Modèle de société romaine 3 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-11-2011 17:07

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur

 
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Modèle de société romaine 3

Le monde du FRIC et du BUSINESS, suite.
La montée en puissance des parvenus romains.
Le Meilleur des mondes (à l’envers).
 
 
 
Les philosophistes du siècle des loupiotes ont tout copié sur les Jongleurs (1).
Une société de riches fourmis impérialistes réglée comme du papier à musique ou selon la géométrie euclidienne, ou de la ligne droite, ou façon crucifix modèle un pieux.



Modèle de société romaine 1

Modèle de société romaine 2
 
 
 
Rappel à propos de notre monde moderne. Il est vrai que les guerres et les désordres de tous ordres non seulement excitent tous pouvoirs mais surtout procurent plein de FRIC à l’autre pouvoir qui tient les cordons de la Bourse, et comme l’indique le nom « bourse », il s’agit bien des Couilles en Or... Aujourd’hui comme au temps des Romains il s’agit de se fabriquer un ennemis et tous les prétextes peuvent être bons, à commencer par la couleur de la peau de l’être humain, ou même un animal que ne « plaira pas aux Dieux » ! L’ennemi de tous bords « excite » le pouvoir car c’est le plus facile et ça vise naturellement en dessous de la ceinture : prendre le peuple par les couilles, par les sentiments les plus bas, les plus grossiers, afin de « souder la nation ». C’est ce qu’il se produit lorsque il n’y a plus de roi et sa symbolique qui puisse souder, entraîner un peuple. Voilà tout simplement la cause de la fabrication d’un bouc-émissaire. Le roi qui est en correspondance avec la forme de spirale que l’on retrouve partout dans l’univers et donc dans la vie.
 
 
Les philosophistes ont tout copié car les institutions et le droit des Occidentaux est emprunte plein de termes aux Romains.
Exemple :
Le mot MAGISTRAT, du latin magistratus, dont de nos jours on fait un JUGE. Mais à Rome un magistrat était à la fois juge et détenait d’autres pouvoirs, qui sont distingués aujourd’hui, et depuis Montesquieu, rangés les uns dans la catégorie de l’exécutif, et les autres dans celle du législatif. Pareil, la notion de « loi » du temps de Rome n’avait rien à voir avec ce qu’on entend de nos jours par « loi ». À Rome une loi est une volonté du peuple, selon le sens du mot démocratie, et exprimée selon certaines formes, et pouvant s’appliquer à des objets très divers, comme une déclaration de guerre, l’investiture d’un magistrat, la distribution de terres, l’adoption par un simple particulier d’un enfant appartenant à une autre famille.
Par contre pour les choses importantes comme le fric, pas de budget soumis chaque année au peuple, c’est le Sénat qui s’occupe de tout cela.

Chose intéressante, la constitution romaine n’a jamais été pensée par un homme ou un groupe ; elle s’est formée à la manière d’un être vivant qui s’adapte progressivement aux conditions changeantes qui fait son milieu. Et en ce temps on ne divisait par comme maintenant, droit judiciaire et droit constitutionnel n’étaient pas séparés. Roi et plus tard consul étaient dépositaire d’un ensemble de règles destinées à harmoniser les habitants de la cité entre eux, c’était un minimum ! Donc on faisait au jour le jour.
Quiconque détient un pouvoir accomplira se mission de « maintient de l’ordre », et c’est cela qui hélas hantait l’esprit du Romain ! Et nous avons copié sur ce modèle ! Modèle qui est toujours celui de l’ÉTATISME ET DE SA DICTATURE.
Mais pire, le droit à Rome se base sur la MORALE. Un comble quand on voit se qu’il se passait à cette époque. Et qu’est-ce qu’entendaient par « morale » les Romains de ce temps ? Il semble que ça se résumait, comme d’ailleurs maintenant par STABILITÉ, soit comme de nos jours : la SÉCURITÉ, le CONFORT. Autrefois, comme maintenant, on s’adapte en fonction des faits divers et circonstance : on saupoudre de règles et de lois à n’en plus finir. À Rome comme sous la religion de la laïcité, on s’attache aux droits de la personne et à la légalité stricte façon géométrie euclidienne de la ligne droite pour dériver vers la fameuse égalité façon communiste. C’est de là que découle la fameuse loi des « Douze Tables » (vers le 5è siècle avant notre ère) qui servira pour établir toutes les lois futures. Dans  ces Tables figure des lois d’origine religieuse. Ainsi il n’était pas bon du tout de se faire frapper par la foudre et de se retrouver dans un Paradis quelconque : on n’avait pas droit à des funérailles régulières !
De même que la peine de mort, qui évidemment était prononcée très fréquemment, était conçue comme une consécration aux dieux : sacer esto. Des sadiques ces Romains, puisque le « coupable » n’appartenait ainsi plus à la communauté des humains (déjà un brin de communisme). Là encore c’est de la solution du CONFORT, et surtout de la tragique OPINION ! Et surtout il n’y a absolument pas de morale là-dedans !!! Le châtiment n’est qu’une opinion religieuse. Ainsi on trouve une loi du genre :
- Quiconque aura déterré une borne sera consacré aux dieux, lui et ses bœufs.
Il ne faisait pas bon de toucher au matériel de l’État ; imaginer ce qu’il se passerait de nos jours avec la destruction d’un radar au bord d’une route nationale... Le « délinquant » serait mis à mort. Donc pour les Romains la mort du délinquant, et donc d’une façon la souillure de la destruction du radar, pardon, de la borne, est une mesure de sauvegarde, non une punition morale : on préserve donc le côté sacré des dieux à la façon d’un ensemble, à la façon du pouvoir spirituel. Cela se résume toujours à l'OPINION.

En résumé : Rome subissait beaucoup l’influence de l’organisation des cités grecs. On évite aussi d’avoir recours à la loi du talion ; pour l’éviter, la loi donne des chiffres en « dommages et intérêts » : 300 sesterces à l’encontre de quiconque brisera un os sur une personne de condition libre, et 150 sesterces si la victime est un esclave ! Il ne faut pas gâcher ni abimer la marchandise !!!
Si un voleur vole des récoltes la nuit, il est consacré à Cérès : lié à un poteau et fouetté jusqu’à ce que mort s’en suive !

QUI DIT CITÉ DIT POUVOIR, et CORRUPTION et TRAFIC, le pouvoir de la plèbe (Populus Romanus), qui en s’enrichissant vint s’installer en ville et demanda la rédaction de lois (afin d’asservir leurs petits copains restés à la campagne). À la ville, il est facile entre sénateurs et capitalistes ou marchands de s’organiser pour piller l’État monté en pouvoir absolu.

Ainsi les Douze Tables sont-elles conçues dans la cité, mais comme la société romaine est axée sur l’agriculture, les lois concernent principalement cette activité.
A cette époque du 5è siècle avant notre ère, la femme n’avait aucun droit juridique, elle comptait comme n’importe poterie de la demeure !
De plus dès ce temps là, on se trouve confronté au terrible problème « d’une justice qui se voudrait universelle », ce qu’avaient bien compris les gens du Moyen-Âge. Or seul ce qui est de l’Esprit peut être dit universel.

UNIVERSEL = LIBERTÉ et SPIRITUEL et SAGESSE
 ; à cela il faut ajouter ceux qui ont dit que la « religion était l’opium du peuple », soit une accoutumance, soit une PRISON. Il y a là un sérieux problème !!! Ou comme l’écrivait Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux : les communistes font tout à l’envers, comme d’ailleurs les satanistes. Les communistes prennent le masque de l’universel et renversent les rôles : ce sont les accidents qui engendrent les essences.
 
 

ESCLAVAGE ANCIEN ET MODERNE.

De nos jours comme dans l’antiquité ESCLAVES = ÉCONOMIE. Donc la main-d’œuvre servile autrefois ou il existait peu  de machines et de technologie ou maintenant chez nous c’est le contraire, l’esclavage est la base de l’économie et des institutions. Sans esclaves modernes ou antiques : pas de cités ou communautés possibles. Donc notre fameuse Gauche et Droite peut se comparer, toute proportion gardée évidemment, à d’un côté de population les esclaves, et de l’autre les gens libres. À Rome on est esclave de père en fils ou filles ! On peut se retrouver esclave à cause de la guerre (prisonnier), soit par achat en un pays lointain et vendu à un Romain, soit par suite d’un acte juridique (condamnation, vente volontaire, vente pour dettes, vente du fils par son père), soit enfin par exposition : l’enfant exposé appartient à celui qui le ramasse.
Les esclaves appartiennent soit à la collectivité (servi publici) et exercent des fonctions diverse dans la cité, pour le compte du service public ou du collège auquel ils sont affectés, soit à des particuliers qui les emploient tantôt comme domestiques, tantôt pour l’exploitation de terres.
L’esclave n’a en principe aucun droit, aucune personnalité juridique, il est une potiche, un outil possédé par un maître. Tout de même bizarre pour une « république »...

Avec le temps ! l’esclave arrive tout de même à se faire un peu reconnaître par la loi, par exemple il peut remplacer son maître en fonction de certaines capacité et circonstances. Tout de même il faut bien la faire fonctionner cette république, ainsi à la fin, on se préoccupe de soustraire l’esclave à l’arbitraire du maître, de défendre l’esclave vieux et malade, de le défendre contre les bêtes, etc. Jusqu’à la période républicaine où l’esclave peut obtenir son affranchissement.
Mais tout de même : l’esclave travaillait entravé le jour et enchaîné la nuit, pour éviter qu’il se fasse la belle... Bien-sûr ce terrible supplice était soi-disant réservé aux « esclaves vicieux ». Reste à savoir ce qu’on entendait par vicieux en ce temps là, car c’était plutôt les esclaves qui ne voulait pas le devenir qu’on devait étiqueté comme « vicieux », soient les fortes têtes.
Comme déjà expliqué dans la page 2 consacré à Rome, absolument tout en ce temps là se résume déjà au FRIC, donc le maître se voyant contraint d’enchainer nuit et jours ses outils et n’en obtenait que de « mauvais rendements » !

L’esclave étant un outil au même titre qu’une pelle ou un marteau, ça se vole. Donc si un maître vient se plaindre qu’on lui a volé son esclave ou que celui-ci s’est fait la belle, il devra aller trouver le magistrat : le consul d’abord, puis le préteur après la création de la préture judiciaire, et lui dire : « J’affirme que cet homme est mien en vertu du droit des Quirites ». Ce sont les paroles sacramentelles qu’il faut prononcer, à l’exclusion de tout autre énoncé. Si c’est OK pour le magistrat selon ce rituel, il déclare l’action ouverte...
Le droit à Rome était ritualiste, mais cependant moins que la religion, et de nos jours voyez les perruques ou les accoutrements des juges dans certains pays et la pompe qui les accompagne.

IMPORTANT : le droit de propriété n’était reconnu qu’aux citoyens, les habitants des cités : la propriété quiritaire. Les gens des campagnes étaient donc considérés comme des moins que rien puisqu’ils se trouvaient en principe dans l’impossibilité de posséder un bien. Pour remédier à ces fautes, les préteurs élaborèrent une théorie de la propriété de fait : la possessio, qu’ils garantissent en vertue de leur imperium. Donc ça empire au niveau des règles et des lois à n’en plus finir.
Tout commence à s’embrouiller et a se compliquer grâce aux désormais fameux PHILOSOPHES. Ce sont les dogmes des ergoteurs grecs qui apportent leurs opinions et soi-disant solutions aux problèmes posés par le matérialisme !!! Le « droit divin » ne suffit plus, on passe à celui de la « raison » style siècle des loupiotes.
On a alors le commencement du désastre : la raison résonnante comme une boîte de conserve vide se prend pour l’universel, et le droit qui émane de ce mental mécaniste et sous la tyrannie de la linéarité et logique des philosophistes grecs commence à vouloir s’imposer partout : ainsi nait une DICTATURE sous packaging République, puis inévitablement communiste, sous packaging « Mondialisme », mot qui d’ailleurs selon le dictionnaire Le Robert date de 1949. Tient donc !
Les Romains s’inspirèrent du « stoïcisme » (encore un isme et une prison dogmatique) des philosophistes grecs : le syndrome d’égalité ou même soupe pour tous.


À la raison résonnante s’ajoute la CUPIDITÉ :
« Dans toute l’Italie les petites propriétés se fondaient en de vastes possessions terriennes entre les mains d’acquéreurs cupides qui y substituaient les esclaves aux travailleurs libres, devenus paresseux, ambitieux et querelleurs ; et la population libre des campagnes émigrait pour aller chercher fortune dans les villes d’Italie ou dans les provinces et aussi pour aller chercher la puissance à Rome, où jusque-là un petit nombre de privilégiés étaient préteurs, consuls, sénateurs de père en fils », écrit G. Ferrero dans : Grandeur et décadence de Rome.
Ne pas oublier que la langue latine s’est répandue à cause du commerce ! comme de nos jours l’anglais est la langue du business. Ensuite comme aujourd’hui s’installe la pensée unique : on s’adonne aux mêmes vices ; on étudie les mêmes philosophistes grecs ; la même rhétorique et la même éloquence latine.

Ainsi à Rome avec leur dogme sous label des philosophistes grecs commença à vouloir dominer le monde. On voit la même chose se réaliser avec le packaging « Démocratie ». Que je te le fourre dans la gueule à coups de bombes, puisque en vertu de la tyrannie de l’opinion, depuis nos Romains et depuis 1789 et son dogme des droits de l’homme et sa religion de la laïcité, tous les humains ont des exigences semblables : la même soupe pour tous.
Donc déjà du temps de Rome le mondialisme faisait rage : multiculturalisme sous bannière du DORG (Demain On Rase Gratis). Déjà du temps de Rome se jouait le dramatique dilemme individu-collectif, et nation-monde.
« Le droit civile doit donc prétendre à réaliser l’équité à l’intérieur d’une cité déterminée ; le jeu des lois doit viser, d’autre part, à maintenir l’existence de cette même cité. Mais au-dessus de Rome, à côté d’elle, il y aura tous les autres groupes humains, également légitimes, également respectables - en pratique tous les États, toutes les cités que la conquête a intégrés dans l’empire », écrit Pierre Grimal dans : La civilisation romaine.

Tout de même, les philosophistes ne sont pas des Dieux, on ne les a pas attendus ni les Romains pour prendre conscience non seulement d’une certaine dose de morale, mais aussi que les Romains pouvaient se rendre compte de la notion de « gens » ou d’individualité. Cependant c’est timide timide ! N’importe quel citoyen n’a pas le droit de tuer une personne ou un groupe de personnes qu’il considère comme « ennemis » : il doit avoir été régulièrement enrôlé sous les ordres d’un imperator et se trouver « en activité de service. Sans quoi les Dieux sont offensés et la cause de Rome, cessant d’être conforme au droit, devient par là même injuste », écrit Pierre Grimal. On voit tout de suite la terrible prison dans laquelle s’était enfermée la civilisation romaine : un véritable maillage empêchant la lumière de pénétrer. Cela finira par faire s’écrouler cette civilisation sous contrôle d’État ; et c’est ce qui attend la notre tôt ou tard, tellement nous sommes en corrélation de seulement quelques 2000 ans avant...

De nos jours il existe la même idée toute faite concernant le règlement d’une communauté : le préjugé universel et si tenace qu’on ne peut guérir tous les maux d’une époque qu’à coups de diarrhée législative.
La Rome et l’Italie des environs de l’an 100 avant notre ère est tout à tour en décomposition et en recomposition : c’est le chaos. La noblesse tombe et c’est la monté en puissance de la bourgeoisie accélérant la ruine de l’ancienne société. Dans ce chaos italien, tous les coups les plus terribles sont permis : égoïsme dans les familles, dans les classes et la politique ; ensuite on manquait de soldats et d’argent, le recrutement devenait difficile et les finances de l’État furent mis à mal par l’approvisionnement en blé et l’habillement des militaires. Toujours dans cette période de chaos le semblant de communisme agraire disparu pour laisser place au libéralisme capitaliste des petits et grands propriétaires terriens, presque tout le sol italien devint propriété privée à la suite d’une révolution économique. Si l’aristocratie continuait à piller avec l’aide de la bourgeoisie montante, l’aristocratie dilapidait aussi en dehors de l’Italie. il n’y a pas pire qu’une aristocratie endettée, besogneuse, envieuse et anxieuse de conserver le premier rang, le luxe, la facilité ou confort des jouissances qui disparaissent avec la pauvreté. Rome avait bien vu des scandales dans son aristocratie : des juges qui s’étaient vendus, des gouverneurs et des sénateurs qui avaient commis des trafiques.



C’est le Dieu Jupiter qui est le garant de la fondation de Rome, lequel symbolise évidemment l’ordre de la ligne droite, et donc : « marcher droit », soit tout dans l’autorité et le sécuritaire avant celui de notre époque.

JUPITER = POUVOIR = TONNERRE ET FOUDRE ! HIÉRARCHIE.

Premier dieu électrique et premier brevet sur l’électromagnétisme avant Nikola Tesla, le vampire des bobines. Chez les Celtes c’est la même chose, le tonnerre, mais sous le nom de Tarania (le tonnant), sous forme de roue cosmique que l’on retrouve chez les Druides. De là naîtra le mythe du Graal, qui a un rapport ou une variation plus ou moins lointaine avec l’Alchimie !

Jupiter c’est le maillet frappeur comme celui des juges de notre époque. C’est un combattant ! Un dieu-druide par excellence. Et il est parfaitement que Jupiter colle avec la civilisation romaine déjà si matérialiste : acquisitions, avantages ou DORG, profits, bénéfices et bienfaits divers destinés à satisfaire les appétits de consommation des Romains, instinct égoïste de propriétaire, développement de l’ego (être « quelqu’un », ou déjà le côté bling-bling).
Jupiter c’est LE CONFORT, donc LE SÉCURITAIRE, LA GOURMANDISE, LE PÈRE LA-MORALE, LE PÈRE CHACUN-POUR-SOI, et donc le LIBÉRALISME ou LA PUISSANCE ou PÉTER PLUS HAUT QUE SON CUL.


[Références à Pierre Grimal : La civilisation romaine ; et Grandeur et décadence de Rome, de G. Ferrero]


Note.
1. Le terme « Jongleur » est donné aux Romains par un chroniqueur Chinois de la cour des Han. Cela dépeint parfaitement la civilisation romaine championne de Grand Administrateur satanique bourré de FRIC. Cette civilisation romaine bouffeuse et chieuse de lois, comme la notre.




Les Romains et leur empire s’infiltrent jusqu’en Chine à la cour des Han (plein pot dans le Taoïsme) en passant par l’Inde.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 13-11-2011 17:48

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