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Les Pléiades, la Merkavah et Ézéchiel Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 10-12-2011 01:55

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Tags Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
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Les Pléiades, la Merkavah et Ézéchiel

Merkavah = Vase ou Vaisseau ou Tore du Corps spirituel
 
 
« Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle qu’elle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance ». (Jiddu Krishnamurti)
 
 
 
La Merkavah est évidemment en rapport avec l’Instant, le Soi, l’Unité, le Centrum Centri et l’Arbre de Vie, et aussi avec le Trou noir ou Singularité et les Pléiades. C’est plutôt un CONTENANT comme un Vase, un Tore, un Chariot ou un Trône, un « Corps de gloire ».
 
VASE : Dans la Kabbale il possède le sens de Trésor, et les dix Points de l’Arbre de Vie sont les dix Vases. C’est bien dans le Vase que l’on fait des expériences et que s’opère les Transformations ; c’est aussi l’utérus dans lequel une nouvelle naissance se forme.

VASE = MÉTAMORPHOSE - VIE

MAIS ATTENTION ! Avec notre société qui récupère tout et fausse tout depuis longtemps, il faut être très vigilant sur le niveau de ce qu’on entend pas Soi et par « Réalisation du Soi ».

La Réalisation du Soi c’est être et rien d’autre que être : Je suis CE JE SUIS ; ce qui correspond à être presque dans l’Instant. Car plus on s’approche de l’Origine et plus cela devient délicat et complexe.

Le problème fondamental est que presque personne ne sait ce qu’est la « Réalité », et quelques personnes de par le monde le savent peut-être chaque siècle seulement. Certains disent que la Réalité c’est :
- Réalité du quotidien : Je vois cette chaise, alors elle est réelle.
- Réalité quotidienne niée : elle est une projection du mental, et donc une illusion.
- Réalité illusoire : illusion d’un serpent dans une corde enroulée. L’apparence est réelle pour celui qui y croit. Mais c’est un phénomène limité dans le temps et lié à quelques circonstances.
- Réalité absolue : ce qui reste immuablement toujours le même.

En fait tout cela est valable, car il s’agit de points de vue différents, et de stades de développement différents. Mais le problème général est que nous vivons dans un monde de CONVENTIONS ! Et nous n’avons que cinq pauvres sens qui en plus nous abusent ! Les physiciens divisent une énergie par une vitesse pour lui donner un « sens physique » ! Puisque tout est CONVENTIONS ET SYMBOLES, la manipulation de l’IMAGE (Imam, signal, logo) s’en donne à cœur joie depuis des millénaires !

Il semble qu’il y ait une différence entre « Réalisation du Soi » et Merkavah ou Vase (que j’appelle Vase-arc-en-Ciel en référence à l’Instant et aux sept couleurs). La Réalisation du Soi ne serait pas permanente, les obstacles sont :
1 - L’ignorance qui est oublie de son Être pur.
2 - Le doute qui consiste à se demander si l’expérience fut celle de la Réalité ou celle de l’illusion.
3 - L’erreur qui consiste à penser « Je suis le corps » et à croire que le monde est réel.
« On surmonte ces obstacles en écoutant la Vérité [l’Instant], en y réfléchissant et en se concentrant sur elle », explique Ramana Maharshi dans l’entretient 95 du 13 novembre 1935.

De même que les trois erreurs énoncées ci-dessus, la plus grosse erreur est celle de croire qu’il y a un but : genre élévation ou ascension. Atteindre un but veut dire non permanence puis il doit déjà être présent. « Nous cherchons à atteindre le but avec l’ego, mais le but existe avant l’ego. Ce qui est dans le but est antérieur même à notre naissance, c’est-à-dire à la naissance de l’ego. C’est parce que nous existons que l’ego semble exister aussi.
Si nous considérons le Soi comme étant l’ego, nous devenons l’ego ; si nous le considérons comme étant mental, nous devenons le mental et si nous le considérons comme étant le corps, nous devenons le corps. C’est la pensée qui construit des enveloppes de tant de façons différentes ».
Et Ramana Maharshi résume parfaitement la Réalisation du Soi en comparaison de ce que pourrait être la Merkavah : « L’ego est la pensée ‘je’. Le vrai ‘Je’ est le Soi », ou encore : « Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part. Quand on demeure dans le Soi, on a plus besoin de s’inquiéter du mental ». (Extraits de l’entretien 146, du 26 janvier 1936).

Donc la Merkavah est bien une FIXATION du Soi, mais ATTENTION : UNE FIXATION CAVALANTE, car toute fixation est mortelle, la Vie est mouvement. La Merkavah, comme le Soi, qui est naturellement présent quoi que l’on fasse, n’a donc pas besoin d’être « développé ».

Dans le même thème de l’Instant se trouve les NDE/EMI (Expériences de Mort Imminente) avec le Tunnel de lumière ou « trou de ver » ou Vortex : liaison dans le Point Focal entre les deux convexités « de la lentille ». Ce Vortex est situé DANS le TORE, comme un « Ciel intérieur » : la LIPIKA.
LIPIKAS (sanscrit) : les archivistes célestes : les « Scribes », ceux qui enregistrent chaque mot prononcé et chaque action accomplie par l’être humain au cours de son séjour sur la terre. Ainsi que l’occultisme l’enseigne, ils sont les agents du Karma – la loi qui récompense et qui punit. (D’après le Glossaire théosophique, de H.P. Blavatsky) Ainsi Lipika est en rapport avec le KARMA, comme une sorte de « disque dur » ou Ciel intérieur enregistrant toutes les actions et pensées du vivant.
Alors le Vase-Arc-en-Ciel ou Merkavah vogue sur cette mère céleste intérieur en forme de TORE. Chaque Point Focal lumineux ou Instant, ou Soi, et donc BLANC, émet une source énergétique. Et ce Point Focal communique avec d’autres Univers que le « Contenant du Vase » est libre d’explorer. Dans ce Vase la liberté spirituelle est donc absolu.

Il y a bien une « technologie électromagnétique » dans le Tore Vase-Arc-en-Ciel, mais incompréhensible avec le cerveau actuel, tout au plus il faudrait être apte de disposer d’une clairvoyance exceptionnelle.

Maintenant on peut aussi faire entrer en ligne de compte le paradoxe EPR : deux actions sont liées quelque soit la distance qui peut se situer à des millions d’années lumière, donc celle-ci peut « être dépassée »... De toutes façons TOUT EST LIÉ.

Il est facile d’entrevoir que la source énergétique du Vase-Arc-en-Ciel ou Merkavah est situé dans les PLÉIADES.

PLÉIADES signifie Paix, donc peut-être le lieu des « bons Atlantes ». Les Babyloniens appelaient cette constellation : la Pierre Fondamentale, les Hindous la Mère ; c’est peut-être parce que les Atlantes étaient les premiers utilisateurs de l’ALCHIMIE. Les Pléiades sont en tous cas UN CENTRE, donc une probable Stargate ou même plusieurs. Mais comme les Anunnaki qui venaient des Pléiades étaient en guerre, cette constellation est identique au dieu de la guerre MARS, donc le FAIRE-FER. Et les Astrologues attribuent la nature martienne à cette constellation. Pour les Lapons les Pléiades sont un groupe de vierges ; pour les Indiens de l’Amérique du Nord ce sont des danseuses sacrées. L’apparition de cette constellation dans le ciel marquait à une époque lointaine l’apparition du printemps. Dans la Grèce antique les Pléiades sont patrons de l’agriculture !
Chez les Incas les Pléiades sont un thème central cosmogonico-religieux. Divinisées pour leur lien avec le cycle agraire, elles étaient honorées en juin, et cela marquait l’année nouvelle avec l’aide de sacrifices humains, où des victimes volontaires se jetaient dans un précipice.
Pour les peuples turcs d’Asie Centrale, l’apparition des Pléiades marque l’hiver. Pour les Yakoutes et de nombreux peuples altaïques, au milieu de la constellation se trouve UN TROU, et c’est par ce trou que vient le froid !

Dans la mythologie grecque les Pléiades sont appelées les Sept Sœurs. Par comparaison avec l’Égypte ancienne : la déesse Séchat : déesse et Neter (principe) de l’écriture et de tout ce qui se « signe » dans la Nature. L’étoile à 7 branches qui est au-dessus de sa tête, exprime 7 sceaux ou 7 puissances ou projection dans le monde physique.

MISE EN GARDE

Désacraliser c’est vulgariser le sacré, ce qui est un non-sens et surtout une profonde décadence.

La Merkavah qu’on peut entrevoir ici et là sur le web où à travers des courants du New Age est chose amoindri voir dangereuse.
Cette mise en garde correspond avec : l’humanisme, les imitations mystiques ou l’amour forcé style « amour du monde » modèle étouffe-chrétiens : invité avant son heure ! La charité ou amour véritable ne consiste pas à éponger ou prendre sur Soi toute la misère du monde, ça c’est marcher sur la tête comme le fait notre civilisation ; non, c’est donner toute possibilité pour que naisse cet Amour absolu. « Le Royaume de Dieu est en chacun de nous » disait aussi Ramana Maharshi, c’est cela le vrai Amour.
Aussi le mot Merkavah n’est pas synonyme New Age « d’ascension », ni de « pouvoir du Mage », ni de « voyages dans l’astral », ni de yoga et autres techniques de respiration !! Car si tel était le cas, notre civilisation ne serait pas dans la merde actuelle.
« Le Royaume de Dieu ou Soi est en vous », aussi il ne faut pas attendre la venue d’un quelconque messie dans le style du DORG (Demain On Rase Gratis) ou Meilleur des Mondes. Une pompe à piston : il faut l’amorcer ; et ce n’est pas le messie qui va le faire ! Nous amorçons nous même notre libération.                                         

La plupart des gens veulent franchir la Grande Porte : elle mène à la perdition, selon Saint Matthieu, l’un des 12 Apôtres. (Bible : les deux voies VII – 13 – 14)

Cela veut dire que de nos jours la plupart des gens veulent tout gratuit, à toute vitesse et sans effort, ce qui se résume par : CONFORT. Par contre quand on demande un service on se voit demander : « Combien tu me donnes ? », et là la gratuité s’envole !!!
On veut tout tout de suite, sans effort, alors que par exemple le travail de l’Alchimiste est énorme, périlleux, fatiguant, et peut être pour très peu de résultat ; ce qui correspond à l’autre porte : la Porte dérobée aux yeux. On la découvre par « Hasard » ; ou autrement. Voir l’extraordinaire récit écrit par Herbert George Wells : la Porte dans le mur, nouvelle incluse dans le recueil « Le pays des aveugles ».
En Égypte, Porte est synonyme d’enseigner, apprendre, avec la serrure de la connaissance !
Ce qui renvoie à un autre groupe de mots : capable, intelligent, ouvrir, initier, contrat, sceller (sel), fermer, magasin, fort.

La mise en garde se rencontre dans le terme « cristalliser », qui veut dire : fixer, concrétiser, donc empêcher une FLUIDITÉ. Le chercheur Corentin Louis Kervran met en garde contre le dangers d’une cristallisation, bien qu’il parle aussi des dangers de a liquéfaction, dans son livre : Preuves en Géologie et Physique.


Notre société actuelle en est réduite à ce que décrit Louis Kervran à propos de COAGULATION : une fixité mortelle :

« Il me semblait même préférable d’éviter une fusion avec recristallisation (environ 1200°) : je craignais certaines réactions chimiques nuisibles, car à cette température, soutenue, Fe0 (Oxyde de Fer) achève sa réduction et il était à craindre des changements trop profonds, faisant quitter le grenat pour donner du pyroxène, probablement et du quartz séparé ? Les nombreux travaux que j’ai cités montraient que des métamorphismes étaient observés en phase solide : tout au plus peut-on aller jusqu’au ramollissement mais pas à la liquéfaction qui risque parfois de donner un verre, un genre de scorie vitreuse (la prison), où nageraient des micro-cristaux et même parfois les cristaux ne se forment qu’à la suite d’un recuit. Il ne m’apparaissait donc nullement évident que la réaction cherchée puisse se faire à la fusion ; elle me paraissait même à éviter puisque, dans la Nature le métamorphisme semblait bien se produire en phase solide ».
Puis plus loin : « Nous avons vu dans les études conduites depuis le début du 19è siècle que certaines transformations de minéraux n’ont pu se produire qu’en phase solide : la cristallisation d’origine est maintenue, avec les fissures et les clivages. On en déduit qu’il n’y a pas eu transformation sur le plan cristallographique, tout au moins au niveau du « système » de cristallisation ».


Ézéchiel et le Vase-Arc-en-Ciel


Vision du Char de Yavhé

« Je regardai : c’était un vent de tempête soufflant soufflant du nord, un gros nuage, un feu jaillissant, avec une lueur autour, et au centre comme l’éclat du vermeil au milieu du feu. Au centre, je discernai quelque chose qui ressemblait à quatre animaux dont voici l’aspect : ils avaient une forme humaine. Ils avaient chacun quatre faces et chacun quatre ailes. Leurs jambes étaient droites et leurs sabots étaient comme des sabots de bœuf, étincelants comme l’éclat de l’airain poli; Sous leurs ailes, il y avait des mains humaines tournées vers les quatre directions, de même que leurs faces et leurs ailes étaient jointes l’une à l’autre ; ils ne se tournaient pas en marchant : ils allaient chacun devant soi. Quant à la forme de leurs faces, ils avaient une face d’homme, et tous les quatre avaient une face de lion à droite, et tous les quatre avaient une face de taureau à gauche, et tous les quatre avaient une face d’aigle. Leurs ailes étaient déployées vers le haut ; chacun avait deux ailes se joignant et deux ailes lui couvrant le corps ; et ils allaient chacun devant soi ; ils allaient là où l’esprit les poussait, ils ne se tournaient pas en marchant.
Au milieu des animaux, il y avait quelques chose comme des charbons ardents ayant l’aspect de torches, allant et venant entre les animaux ; le feu jetait une lueur, et du feu sortaient des éclairs. Les animaux allaient et venaient, semblable à l’éclair.
Je regardai les animaux ; et voici qu’il y avait une roue à terre, à côté des animaux au quatre faces. L’aspect de ces roues (et leur structure) avait l’éclat de la chrysolithe. Toutes les quatre avaient la même forme ; quant à leur aspect et leur structure : c’était comme si une roue se trouvait au milieu de l’autre. Elles avançaient dans les quatre directions et ne se tournaient pas en marchant.

Leur circonférence était de grande taille et effrayante, et leur circonférence, à toutes les quatre, était pleine de reflets autour. Lorsque les animaux avançaient, les roues avançaient à côté d’eux, et lorsque les animaux s’élevaient de terre, les roues s’élevaient. Là où l’esprit les poussait, les roues allaient, et elles s’élevaient également, car l’esprit de l’animal était dans les roues.
Quand ils avançaient, elles avançaient, quand ils s’arrêtaient, elles s’arrêtaient, et quand ils s’élevaient de terre, les roues s’élevaient également, car l’esprit de l’animal était dans les roues. Il y avait sur les têtes de l’animal quelque chose qui ressemblait à une voûte, éclatante comme le cristal, tendue sur leurs têtes, au-dessus, et sous la voûte, leurs ailes étaient dressées l’une vers l’autre ; chacun en avait deux lui couvrant le corps.
Et j’entendis le bruit de leurs ailes, comme un bruit d’eaux abondantes, comme la voix de Shaddaï ; lorsqu’ils marchaient, c’était un bruit de tempête, comme un bruit de camp ; lorsqu’ils s’arrêtaient, ils repliaient leurs ailes. Et il se produisit un bruit.
Au-dessus de la voûte qui était sur leurs têtes, il y avait quelque chose qui avait l’aspect d’une pierre de saphir en forme de trône, et sur cette forme de trône, dessus, tout en haut, un être ayant apparence humaine.
Et je vis comme l’éclat du vermeil, quelque chose comme du feu près de lui, tout autour, depuis ce qui paraissait être ses reins et au-dessous; je vis quelque chose comme du feu et une lueur tout autour ; l’aspect de cette lueur, tout autour, était comme l’aspect de l’arc qui apparaît dans les nuages, les jours de pluie. C’était quelque chose qui ressemblait à la gloire de Yavhé. Je regardai, et je tombai face contre terre ; et j’entendis la voix de quelqu’un qui me parlait ».

Ensuite, Yavhé parle comme au dedans d’Ézéchiel. Bref, on a à faire un semblant de Stargate ! un Vortex ou une sorte de Vase-Arc-en-Ciel et sa référence au Temps qui est bien l’Arc-en-Ciel !
La vision parfaite que rend Ramana Maharsi du Soi, de l’Instant, est bien la bonne direction avec le Vase Merkavah, car seul celui qui goutte à la Source ne peut que rayonner l’Amour véritable ou libération. Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux, écrit la même chose et il ne devait pas connaître Ramana Maharshi.
 
 

Dernière mise à jour : 10-12-2011 02:27

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