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JE SUIS - JÉSUS - INSTANT Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 30-12-2011 20:33

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
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JE SUIS - JÉSUS - INSTANT

Je suis ce JE SUIS, JE SUS, JÉSUS, JÉSUS-CHRIST
(Dieu et Homme)


Page essentielle en référence à Ramana Maharshi et au témoignage d’une patiente ayant faite une EMI (Deadline, du Dr. Jean-Pierre Jourdan)
 
 
 
Ce n’est plus possible !
HALTE à ce monde où le premier qui mange l’autre a gagné !
Donc HALTE à tous ces faiseurs d’opinion : scientifiques, politiques, philosophiques, chrétiens, musulmans, bouddhistes, lamaïstes, juifs, monothéistes, manichéens, etc., chinois, italiens, américains, belges, bretons, normands, bourguignons, etc.
HALTE à tous ces bouffeurs : microbes, bactéries, virus, moustiques, pumas, tigres, serpents, chenilles, etc.

HALTE À CE MONDE-CI fondé sur le pouvoir, la force et la violence, la richesse, les honneurs et diplômes et la compétition qui va avec, la misère, le mensonge et l’hypocrisie, la corruption.
 
 
Différence entre Dieu et le Soi-Instant : il n’y en a pas. Dans l’absolu, Dieu est le Soi, l’Instant.

Question : Comment pourrais-je réaliser Dieu ?
Maharshi : Dieu est une entité inconnue. De plus, Il est extérieur. Alors que le Soi est toujours avec vous, il est vous. Pourquoi donc quitter ce qui vous est intime pour aller chercher ce qui vous est extérieur ?
Question : Qu’est-ce donc que le Soi ?
Maharshi : Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours [même après la mort physique]. Le fait d’être est le Soi. « Je suis » est le nom de Dieu [Je sus, Jésus]. De toutes les définitions de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (Exode, 3) : « Je suis ce JE SUIS ». Il y a d’autres déclarations, telles que brahmaivâham, aham brahmâsmi et so ‘ham. Mais aucune n’est aussi directe [Maât] que le nom de Jehovah = « JE SUIS ». L’Être absolu est CE QUI EST. C’est le Soi. C’est Dieu. En connaissant le Soi, on connaît Dieu. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi.

Question : Pourquoi le bien et le mal existent-ils ?
Maharshi : Ce sont des termes relatifs. Pour connaître le bien et le mal, il doit y avoir un sujet [et donc un ‘temps’]. Le sujet c’est l’ego. Remontez à la source [Instant] de l’ego. Vous aboutirez au Soi. La source de l’ego est Dieu. Cette définition de Dieu est probablement plus concrète et plus facile, pour vous, à comprendre.
Question : Comment atteindre la Félicité ?
Maharshi : La Félicité n’est pas quelque chose à atteindre [pas de messie ou de gourou]. Vous êtes toujours Félicité. Le désir de félicité provient de votre sentiment d’être incomplet. Qui éprouve ce sentiment ? Cherchez...
(Extraits de l’entretien 106, du 29 novembre 1935)

Être Maât (comme la déesse égyptienne « Femme de ménage du Cosmos »), c’est être dans l’Instant, être directe, ÊTRE SINCÈRE (Saint qui serre... au plus près). Un être humain sincère ne se brûle pas au contact du feu, tellement il SAIT, il EST ce feu. Car un être humain sincère est celui qui « colle à l’Instant », ou comme le dit Maharshi : qui a réalisé le Soi. Un être humain non sincère se brûlera car affecté par le monde des apparences, celui de la naissance et de la mort. Cette expérience avec le feu a été effectué par Jean Coulonval, il en parle dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux.

Se rappeler, et en accord avec l’opinion, que l’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne. À regard terrestre : regard terrestre ; à regard avec le Soi : regard dans l’Infini.

Dans l’entretien 122, du 1er janvier 1936, Ramana Maharshi dit que les gens veulent voir le Soi comme quelque chose de nouveau, alors que le Soi est quelque chose d’éternelle et reste toujours le même, comme l’Instant. D’autre part, le Soi n’est n’est ni lumière ni obscurité. Il est ce qu’il Est. Il ne peut être défini. La meilleure définition est « Je suis ce JE SUIS ». Et si on parle de « lumière », c’est qu’aucun autre mot approprié n’a pu être trouvé. Le Soi n’est ni connaissance ni ignorance, il est simplement ÊTRE.
À ce 1er janvier de 1936, et pendant cette période de Noël, les visiteurs vinrent en grand nombre à l’ashram où vivait alors Ramana Maharshi.

Personne n’est séparé de l’Instant, du Soi. Personne n’a besoin d’effort puisque nous sommes le Soi. C’est ce qu’explique le long entretien d’une jeune femme, victime d’un accident dramatique suite à un accouchement, et qui eut une expérience de « mort imminente » (EMI). Elle parle exactement et en tous points comme Ramana Maharshi, qui lui, n’a probablement jamais expérimenté une « mort imminente ». Cette jeune femme n’a aucune expérience de spiritualité ni d’hermétisme, ni de parapsychologie, comme elle l’explique.

Cette personne parle de TÉLÉPATHIE ABSOLUE : non seulement transmission de pensée de personne à personne, mais COMMUNION TOTALE avec la personne : être soi-même et l’autre personne en même temps, être ESSENCE avec elle.

Toutes les religions sans exception étant OPINION, une des pires opinions est le dogme monstrueux du catholicisme probablement dégradé par l’Église de Rome, qui veut que les morts vivent « jusqu’à la fin des temps » (sic), jusqu’à « la résurrection finale ». On ajoute donc du « temps au temps », sorte d’enfer transformé en purgatoire... jusqu’à la résurrection finale ! C’est toujours le supplice de la carotte et du bâton, le truc : cause et effet, le karma des bouddhistes et hindouistes.
C’est exactement la même chose que le business, « la peine qui mérite salaire », le MARCHANDAGE EST AUSSI DANS L’AMOUR (terrestre bien-sûr) : Si tu fais bien tes devoirs mon chéri tu auras une belle image... Le lien de l’amour est si fort que ça en devient UNE CHAÎNE ! C’est pourquoi, comme dans la chanson, « Les histoires d’amour finissent mal », parfois en meurtres. Si je te fais ceci, qu’est-ce que tu me donnes en échange ?
Comme le précise le témoignage : « Quand on aime sur Terre on attend quelque chose de l’autre en même temps. Il y a une main qui donne, et une main qui demande la réciproque. Il y a toujours un peu d’égoïsme, on est attaché [les ‘liens de l’amour’].
Dans l’amour terrestre, même avec un grand A, il y a toujours quelque chose qui réclame, même le fait de dire ‘merci’... Il y a toujours quelque chose qui contrarie, un énervement, etc., bref, c’est la vie... terrestre. Dans le Soi, l’Instant, il n’y a plus cela, « il n’y a plus que la relation vraiment pure d’une âme à une âme, c’est quelque chose d’extraordinaire », explique la jeune femme.

Dans l’Instant, le Soi, l’amour est naturellement pur, on est aimé tel que l’on Est, sans jugement, même pour le plus grand ou la plus grande des criminelles, tant la qualité d’Amour est absolue. L’individu n’a alors besoin de rien d’autre. Comme le précise le témoignage : « Et là j’ai compris le sens des mots : « Je suis ». Parce que j’ai vraiment senti que j’étais éternelle, que je vivrais toujours. Ces mots, « Je suis », c’est difficile à dire, mais on a un contact avec la partie immortelle de soi-même. Là dans notre corps on croit bien se connaître et puis finalement on vit à la surface de nous, un peu comme l’iceberg où il y a une partie qui émerge et de l’autre côté on arrive au cœur de Soi et ça, cela correspond à « Je suis », finalement ».

Évidemment les personnes vivant toutes le même genre d’expérience avec le Soi sont ensuite plus indulgentes avec les autres dans la vie terrestre.
Dans le Soi on rencontre effectivement des « êtres de lumières » comme le décrivent les théosophes, des êtres plus avancés que n’importe qui d’entre-nous, des êtres qui ont la faculté d’observer les humains dans leurs moindres actions, mais qui ne jugent pas.

Le Soi, l’Instant, est l’éternellement présent. Alors ici sur terre, la question principale devrait être : Qui suis-je ? Ce qui englobe : « Qu’est-ce qu’on vient faire sur Terre ? Quel est le but de la vie ? Quel est le sens de la vie ? »

Ce qui pourrit la vie sur Terre est le jugement des humains, leurs tribunaux, leurs jugements en forme d’opinion provoquant des guerres perpétuelles. Seul le Soi peut jauger, le reste n’est que convention humaine et opinion.
« Certains peuvent appeler le cœur de soi-même, le Soi ou le divin ou n’importe quoi, le mot n’a pas d’importance mais disons, c’est un état sans conflit, c’est la paix totale, franchement, être réconciliée avec le Soi sans conflit sans désir, on est libre du désir, sans passion, vraiment j’étais légère et tous les blocages intérieurs, sans être névrosés ni sans avoir de psychose. Quelquefois on vit mal les situations dans un moment de sa vie et puis il y a des choses en soi qui bloquent, là je contrôlais tout, j’étais libérée de tout cela. Puis je me trouvais dans une liberté, c’est cela qui est important, puis plénitude, puis sérénité totale et c’est ce qui est le plus important car ce qui est important dans ma vie c’est de retrouver cet état-là [la ‘réalisation du Soi’]. Mais je crois que pour retrouver cet état-là,il faut passer par la connaissance de soi, c’est-à-dire être libéré ».

Cette jeune femme dans ce témoignage qui peut paraître extraordinaire dit exactement la même chose que Ramana Maharshi. Se connaître ou réalisation du Soi n’est qu’une banalité qui devrait être présente naturellement dans notre civilisation, donc une vraie civilisation, pas celle que nous vivons depuis des millénaires maintenant.

Les personnes ayant vécues cette expérience d’EMI disent qu’ensuite, dans le vie normale, elles ont une attitude visant à un plus grand respect de la vie, à une attention plus grande vis-à-vis de tout ce qui peut y porter atteinte, à une sensibilité plus important pour des notions comme le bien et le mal, ainsi qu’à la souffrance d’autrui. Les « échelles de valeurs » sont donc totalement modifiées. « Un sentiment de nostalgie au souvenir de cet amour, de cette bonté, de cette paix de l’âme ressenti alors, surtout quand je compare cette autre réalité avec ce monde-ci fondé sur le pouvoir, la force, la richesse, les honneurs et la compétition accompagnés de leur lot de misère, de violence, de souffrance, de corruption, de mensonges et d’hypocrisie », écrit un autre patient ayant fait une EMI.

Une autre personne parle comme Ramana Maharshi du « petit moi » ou soi (avec un s minuscule), et que le vrai moi (le Soi) n’est pas là, qu’il est capable de bien plus, « qu’il existe des vérités sur soi inconnues du moi, que le moi terrestre [le soi] n’est pas le tout-puissant qu’il croit être [un coup sur la tête des existentialistes] et loin de là, que ses vérités ne sont qu’illusions [toutes les opinions sont illusions], que la réalité n’est pas uniquement celle que nous connaissons [et que les ‘scientifiques’ veulent à tous prix mesurer] ».

Une autre personne parle encore comme Ramana Maharshi, cette personne qui dit avoir trente ans de consommation de drogues, déclare qu’elle n’a pas vue Dieu, mais a vue cette lumière blanche (l’Instant) et en a retiré ce qui se résume par le mot BONTÉ.
C’est exactement la même impression, le même nostalgie que j’ai ressenti lorsque en 1970 je rêvais me trouver à l’intérieur d’une TORE irradiant les couleurs de l’Arc-en-Ciel, à l’emplacement de l’Instant : le Blanc. Dieu pour moi à « cet Instant », pouvait être le TORE.


La BONTÉ, c’est tellement ce qui manque dans notre monde si violent et destructeur de vies.


Le fait le plus important des EMI est qu’elles contredisent totalement le gnosticisme (mouvement occidental autour du monde grec), qui ont un rapport avec les religions à mystères et l’actuelle franc-maçonnerie. GNOSE : du grecque gnosis : connaissance des mystères, mais dans son sens « raison », mental. Et qui dit connaître les mystères dit LES TUER !!! C’est donc une FIXATION-PRISON !

DÉMIURGE : du grecque démiourgos : architecte. Ainsi on voit la source du chef de la franc-maçonnerie ! Ce démiurge qui est architecte de l’univers pour les platoniciens (le GADLU franc-maçonnique). Pour les gnostiques, leur croyance et opinion fait que les humains sont des âmes emprisonnées dans le monde des accidents crée par un dieu mauvais appelé le démiurge (soit incarnation du mal, soit à moitié parfait !). Ce démiurge n’est qu’un sous-fifre derrière le « Bien ». Donc pour obtenir la libération, francs-maçons et mouvements du gnosticisme ont besoin de la gnose ou « connaissance de l’être suprême ».
Mais dire que le Cosmos est aussi mauvais n’a plus de sens, car à ce moment là : au pire tout est mauvais, et au mieux on retombe dans la dualité guerrière.

C.W. Leadbeater, dans « Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie », écrit à propos de la disparition des écoles avec leurs religions à mystères vient des Chrétiens et de leur intolérance : « Leur incroyable théorie, selon laquelle eux seuls pouvaient être « sauvés » de l’enfer, dont ils furent bien entendu les inventeurs [ce qui est faux, ils ne furent pas les seuls], les conduisit à essayer par tous les moyens, y compris les persécutions les plus cruelles et les plus diaboliques (sic) [mais les bolcheviks firent de même !] de forcer les gens appartenant à d’autres religions à accepter leur doctrine arbitraire. Puisque les Écoles de Mystères étaient un bastion placé au cœur d’une croyance plus rationnelle (sic), les Chrétiens s’opposèrent bien entendu à eux farouchement, oubliant tout à fait que, dans les premiers temps de leur religion, ils prétendaient détenir autant de connaissance internes que tout autre système mystérique ».

Là encore, Leadbeater parle « d’évolution de l’humanité » et de l’Église chrétienne intolérante dans son ensemble. Il parle bien-sûr de répression contre les écoles de mystères. Ce sont surtout les « païens » qui effectivement eurent à souffrir du système d’un Dieu monothéiste qui conduit à DES « universalités » conduisant à des guerres, tortures et autres horreurs, comme savent le faire toutes les inquisitions, y compris celle de notre temps !
Pour Leadbeater, les écoles de mystères disparurent avec l’arrivée du christianisme, pour réapparaître plus ou moins un peu avant la Réforme (protestantisme et autres calvinisme et Luther et emmerdeurs de premières).

Le Christianisme n’a rien inventé et garda quoi qu’il fasse les Mystères antiques chers à Leadbeater et à tous francs-maçons authentiques, il doit bien en exister encore ! Leadbeater écrit d’ailleurs une chose très juste à propos de la chrétienté qui oublia les Mystères « qu’elle gardait auparavant caché » : « C’est là l’une des raisons principales qui lui fit perdre son ascendant sur des fils plus intellectuels, et qui la fit, par conséquence, échouer dans son  devoir d’éduquer et instruire le peuple aux choses les plus importantes de la vie ; c’est encore ce qui la conduisit à faire de notre époque l’une des plus difficiles jamais connues ». Tout est dit...


Je répète : découvrir un mystère c’est le tuer. Et lorsqu’il n’y a plus de mystères dans le mythe, il devient :
1 – Mythe.
2 – Légende/Conte.
(D’après Mircea Eliade).
Aux temps anciens, l’humanité se portait sur tout ce qui « n’a pas vie » et s’abstenait au
contraire de tout ce qui a vie. (D’après un témoignage ancien sur Orphée).
 
(En haut de page : Pyrite de Fer)
 
 

Dernière mise à jour : 30-12-2011 20:42

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