Notre prétendue civilisation ne jure plus que par les mots/maux : économie, marché, emploi, pouvoir, achat, croissance, rentabilité, compétitivité, terroriste, valeur, responsabilité, etc., à ce jour la liste est longue.
Si on est pas dans l’Instant, la Vérité crée la PANIQUE (du Dieu grec
PAN illustrant l’Instant, le Tout, le Soi). Depuis ce que certains
appellent LA CHUTE, les humains feront tout en forme de CONFORT pour
éviter cette Panique et cette non réalisation de l’Instant.
CONFORT : secours, assistance matérielle ou morale ; tout ce qui
contribue au bien-être, à la commodité de la vie matérielle ; situation
psychologiquement confortable.
La première chose qui sort de l’Instant c’est le
SECRET. Tuer le Secret
c’est le MENSONGE, l’ILLUSION. Ainsi on s’apercevra que notre monde
ACTUEL ne fonctionne que sur le Mensonge, sur l’illusion.
La Panique vient de la sortie de l’Instant et de l’OUBLIE, c’est la
CHUTE, ou SÉPARATION, ou DÉCONNEXION, ou DIVISION en monde de la
dualité. Ce que David Icke et d’autres appellent
MATRICE, correspond
bien à cette civilisation du CONFORT. La Chute c’est le MENTAL ou
INTELLECT : nous disons bien parfois « Réfléchissons que diable ! »
INTELLECT : « N’est libre que s’il perçoit la vérité directement avec
les essences ontologiques (être en tant qu’être ou
‘Je suis CE JE SUIS’)
sans passer par les perceptions sensibles trompeuses. (Ne pas tirer de
conclusions sur la nature des essences à partir du temps profane).
(D’après Jean Coulonval).
1) La VÉRITÉ est affaire de l’Instant.
2) La BONTÉ est affaire de cœur. AIMER : nous sommes des passants sur
cette Terre, elle nous fait le cadeau d’être passant ou ANIMÉ ou
trans-mettre ou mettre en transe : transmission de la Tradition. Donc la
BONTÉ n’a rien à voir avec un quelconque sentimentalisme façon New-Age
ou Hippies des années 1960 où je te fourgue plein de fleurs et de
cannabis. Le sentimentalisme est justement le piège parfait pour la
manipulation, comme la passion, la violence, bref, les émotions. Le
piège est effectivement la « religion » du « bien », de « l’amour
inconditionnel », DE LA DIVISION, que prépare le Nouvel Ordre Mondial.
C’est ce que j’appelle le
DORG (Demain On Rase Gratis).
Le DORG correspond au «
Passata la festa, gabbato lo santo » (La fête
passée, adieu le saint), dit un proverbe italien, cité dans
Neuro-Esclaves, à propos des illusions d’illusion comme celle des
révolutionnaires iraniens, où les leaders islamistes chiites, à la
recherche de soutien politique étranger, s’affirmèrent comme
« démocrates », défenseurs des droits civils, en affirmant que « le
chiite est différend du sunnite ». Mais une fois le pouvoir conquis, les
khommeynistes se révélèrent et instaurèrent une dictature de plus,
théocratique et violente, et intolérante, basée sur l’application à la
lettre de systèmes basés sur la religion du livre.
Dans le DORG on trouve le conditionnement que chaque société inculque à
ses ouailles dès la petite enfance : l’amour de Dieu, de la patrie, des
idéaux, de la morale, de la tribu, une haine des étrangers et des autres
pour en faire un « délit de sale gueule », amour de la compétition,
etc.
MATRICE : utérus, ventre, femme, mine souterraine, filon, vaisseau,
vase, creuset, paradis, norme, embryon, chiffre 7, graine, mort, mer,
muse, image, jeu, naissance, opinion, univers parallèles, dimensions,
dualité, raison, etc. Donc la Matrice est ce qui sort, ce qui naît de
l’Instant.
Seul l’INSTANT, le SOI est réel, et donc éternel : « Je suis CE JE
SUIS ». Le « nous » est l’illusion, et est l’assassinat du Tout, du Soi,
de l’Instant. Seul l’Instant, le Soi est éternel. Il est la Foi, et ne
peut jamais être perdu, ni défendu, sinon c’est de la merde, de la
fausse foi.
Et cette fausse foi est diabolique, elle a pour nom DÉPENDANCE,
SOUMISSION : à l’Église, au patron, au banquier ou usurier, et doit être
constamment entretenue comme un FEU (de l’enfer).
Divide et impera
(diviser pour régner) afin d’ignorer l’Instant.
RIEN EST PROUVÉ - RIEN N’EST INTERDIT - RIEN N’EST OBLIGATOIRE
En effet, rien n’est prouvé, si ne n’est que par celui qui le dit, de plus, nous n’avons que cinq pauvres sens ! Déjà une chose de visu est suspecte, encore plus suspecte si elle est rapporté par une autre personne qui n’a pas vu, alors vous pensez, une photo !
Depuis la seconde guerre mondiale qui ne fut qu’une guerre idéologique, comme le furent les « guerres de religions », les croisades contre « l’infidèle », l’ethnocide contre « les sauvages » (Incas, Aztèques, etc.) qui ne connaissaient pas les « bienfaits de la civilisation supérieure », TOUT EST FAUSSÉ. La seconde guerre mondiale est comme en ÉCHO avec la Shoah des chrétiens par quelques méchants empereurs romains ! Le problème, c’est quand on fait du commerce avec ses morts !!! Les Russes ne font pas commerce de l'horreur du Goulag. Et qu’on entretient la haine et que l’on jette de l’huile sur le feu avec des fétiches du passé et des phrases idiotes du genre : « Plus jamais ça ! », alors que l’on sait que ça recommence quelques temps après. C’est la même chose que la soi-disant « respectabilité » ou excellence anglaise ! Tout cela étant du « politiquement correcte » ou pensée unique. Donc le problème n’est pas extérieur ou d’opinion, mais
INTÉRIEUR : l’Instant, le Soi. Le problème est tragiquement humain.
Le monde actuel est en train de boucler sur un véritable ensorcellement amorcé depuis 1789. Le chef des Égrégores créé en 1789 n’en finit plus de chier des ministres qui ont la main mise sur ce monde.
Les ministres Égrégores sont illustrés par exemple par les Messieurs ou agents Smith du film
Matrix. Cette vision des Smith que j’emprunte à Icke est parfaite, mais je n’en ferais pas des « reptiliens » (voir la page Wikipédia sur la
Métamorphose ou Shapeshifting).
Les gens de pouvoir, illustré par les agents Smith dans le film
Matrix, sont justement chargés d’entretenir l’illusion de ce monde. Ils sont les premiers MAGES, premiers Magiciens. Ces Égrégores portant costume cravate datent de la nuit des temps, où bien-sûr ils devaient porter une quelconque robe ou autres costumes anciens.
Je sens bien Imhotep l’égyptien et médecin. Il doit être dans la même ligne que Jean Coulonval : un ouvrier intellectuel et philosophiste à sa façon. Mais une philosophie en Tao, c’est-à-dire personnelle, qui ne cherche par d’élèves ou d’ouailles, ou de disciples ; ce qui tomberait dans la définition des philosophistes ou philosophes : des fabricants d’âmes. Aussi le métaphysique n’est pas la définition qu’en donne le dictionnaire
Le Robert : Ce qui suit les questions de physique, ce qui veut dire une recherche du visible vers l’invisible, ce qui est absurde !
La métaphysique n’appartient pas au monde duel et des cinq sens ! Ce qu’on fait officiellement de la métaphysique aboutit à la philosophie marxiste et soviétique « qui tend, d’une façon tout à fait illusoire, à la perception d’une globalité logique continue par agglutination des acquis de la science dans le spatio-temporel discontinu. Recherche parfaitement légitime, car toute intelligence tend à l’absolu, mais par une voie
‘intrinsèquement perverse’. Pour le marxiste, dans le principe était la matière [partir de l’opinion pour découvrir la matière] », écrit Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux. C’est-à-dire que chez les marxistes, la cognition et la conscience sont des PRODUITS et non des causes de l’activité humaine. Il y a bien inversion !
Les soviétiques de 1917 rêvent bien du Nouvel Ordre Mondial : une globalité intellectuelle, ou d’une même opinion pour tous. Le communisme soviétique, et maintenant chinois, croit en récoltant un peu partout du discontinu scientifique, créer du continu ! Or la connaissance ou perception du métaphysique est immédiate, elle est l’Instant, donc continu puisque indifférenciée. Et une fois hors de l’Instant la connaissance tombe dans le piège des mots/maux ! Donc dans le discontinu (l’opinion).
Jean Coulonval écrit une chose très importante sur l’opinion : « La Pensée est de l’ordre de l’indifférencié continu, l’Opinion de l’ordre du discontinu sensible à partir duquel on tend, par un besoin naturel mais par une voie aberrante, non plus à atteindre le lieu spirituel d’une pensée continue, mais à la forger soi-même par syncrèse [fusion d’éléments culturels], agglutination de conclusions tirées des expériences spatio-temporelles ».
La seconde guerre mondiale a véritablement scellé le package Nouvel Ordre Mondial, déjà préparé en 1789, ne serais qu’avec la simple phrase déjà cité : « Plus jamais ça ». Et bien c’est exactement avec ce genre de phrase qu’on entretient une démocratie guerrière et terroriste comme celle que nous vivons. C’est de la MANIPULATION et de la propagande démocratique comme de dire : « Nos jeunes soldats qui combattent là-bas [remplacez soldats par OTAN] pour notre sécurité et pour la démocratie ».
Le même genre de manipulation à propos de la destruction de l’Iraq par l’Occident des anglo-américano-saxons : « Soutenez-vous nos soldats en Iraq ? ». Question piège et manipulatrice destinée à créer un oui quant à l’occupation d l’Iraq voulue par le pouvoir, en exploitant le sentiment de solidarité envers les soldats qui risquent leur vie là-bas, même s’ils le font pour du fric.
Le même genre de manipulation se produit avec la question : « Êtes-vous favorable à un allègement fiscale ? », ainsi la réponse est contenu dans la question : on force le oui sans aucune réflexion que cette mesure va comporter un allègement de la dépense publique, ou le contraire, car quiconque y est contraire est un « ennemi de la liberté ». C’est typiquement une manipulation sorti de 1789, ou de l’Inquisition (voir l’exemple avec
Galilée et les communistes).
Mais la même dangerosité et manipulation marchait du temps de la monarchie, car on a dit : « Ces rois qui ont fait la France ». Ils ont plutôt pillés des pays comme la Provence, la Vendée, la Bretagne, l’Occitanie, etc., avec la complicité de « la fille ainée de l’Église ».
Ces manipulations sont en droite ligne de cette devise jésuite : «
Calumniare audacter, aliquid tandem haeret » (Accuse effrontément, l’accusation finira par avoir de l’effet). Dans notre démocratie on appelle ça « accusation à charge ». Et ça marche dans les deux sens : aussi pour les décorations : susciter et diriger la confiance, les attentes, l’indulgence, le sentiment du devoir, le sentiment patriotique.
Exemples de manipulation que pratiquent les médias :
- « Monsieur Y dément être un pédophile et avoir commis des abus sexuels sur des enfants », cela donne naissance par analogie chez le lecteur, auditeur ou téléspectateur, à un dégoût et au désir de voir Monsieur Y férocement puni. On colle déjà le mot clé « pédophile » sans rien connaître, et ce très difficile pour Monsieur Y de se défendre, puisque quoique qu’il dise il devient le COUPABLE PRÉSUMÉ ; couple de mots que l’on entend si fréquemment dans les médias. « Présumé » est un mot/maux typiquement démocratique ! On suppose, on se fait son OPINION. Terrible ! Terrible est la manipulation par l’émotion pour faire passer quelqu’un pour un monstre.
Alors la plus efficace et professionnelle des propagandes et manipulations est celle qui est VIDE de contenus. C’est bien connu que
‘la Nature a horreur du vide’. Donc un texte ou un discours savamment vide, et séduisant, dont le vide produira un hypnose, un endormissement des défenses critiques, une atténuation de l’attitude, favorables à l’obtention du comportement voulu.
Plus le langage sera vague et plus l’imagination pourra s’y promener, et en plus personne ne pourra le critiquer.
Tout langage parlé ou écrit est symbole, et par conséquence subjectif, CONVENTIONNEL. Ceux qui maîtrisent les symboles de conventions sont les maîtres du monde. Ainsi on comprendra l’acharnement des francs-maçons à manipuler les symboles : TOUJOURS LE POUVOIR. Et derrière eux de trouvent LES MÉDIAS.
Le rituel, le rythme servent à conditionner : RÉPÉTITION, CYCLES, pour insérer des pensées établit ou fixées. Dans un Goulag un prisonnier installé sur des souches est obligé de crier des centaines de fois « Je suis un tire-au-flanc ! Je suis un tire-au-flanc ! Je suis un parasite de la société soviétique ! » est déjà un fort conditionnement. (Exemple donné dans : Aux origines du Goulag, de S. Malsagov et N. Kisselev-Gromov).
Si ce genre d’incantation est distillé dès la petite enfance, ça devient la pensée unique ou même soupe pour tous ! Ou FAIRE PARTIE DE LA PAROISSE.
Des chercheurs ont montrés que pour qu’il se produise un effet d’identification, d’accord avec la réalité objective pour certains, il suffit que les opinions d’un régime vendues comme « vérités » et en plus étiquetées « universelles » soient répétées et conformées sans jamais les discuter sur le plan de la recherche et de la construction. Il faut donc atteindre la zone primaire du cerveau en bloquant la conscience. Je dirais viser en-dessous de la ceinture.
Dans les Goulag et autres lieux de concentration, on crée un état de régression, de débilité pour éliminer la conscience et teinter l’inconscient.
Extrait du témoignage du femme conditionné par les communistes dans l’Allemagne de l’Est, cité dans
Neuro-Esclaves :
« Jusqu’à la chute du régime communiste, nous étions simplement convaincus de la vérité de l’idéologie et de la politique marxistes. Nous étions convaincus que celles-ci et notre système représentaient le bien, la civilisation, la paix ; et que le monde capitaliste était le règne du mal, de la barbarie et de la violence... »
Voilà un « diviser pour régner » typique, car la femme oublie que le communisme ne peut fonctionner qu’avec le capitalisme, ne serais que le bois travaillé au Goulag des années 1930 était expédié en partie aux États-Unis ! Et en France on « rentabilisait » les enfants bagnards en plein 19è siècle à la montée de l’argent des banques et de la société industrielle.
La femme soviétique de l’Allemagne de l’Est qui se sent perdue dans le capitalisme n’a certainement pas connu le déjeuner à la soupe du Goulag à la morue moisie et sans huile ni céréales !
Les esclaves noirs étaient du « bois d’ébène », les Russes du Goulag étaient du « bois de bouleau » !
Devises démocratiques :
« D’une poigne de fer, nous conduirons l’humanité vers le bonheur ! » (devise à
Solovetski en 1933 transformée en prison de haute sécurité).
« Le travail en URSS est affaire d’honnêteté, de gloire, de vaillance et d’héroïsme ! » (devise dans un Goulag.
« Avec un juste travail je paierai ma dette envers la patrie » (devise d’un autre Goulag).
« Par le travail, la liberté »
«
Arbeit macht frei » (Le travail rend libre, inscription au-dessus de la porte d’entrée d’Auschwitz)
Toujours le fric. Imhotep, et à travers lui Pétrone avaient raison...
Site de
mémoires européennes sur le Goulag.
(Affiche en haut de page du site
Communisme or Kapitalisme)
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