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Boku dake no Madonna Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 24-08-2008 17:27

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Publié dans : Sommaire JDramas, Sommaire Dramas du JAPON

Tags : Boku dake no Madonna, Dramas, Japon, Takizawa Hideaki

 
Boku dake no Madonna 僕だけのマドンナ
 
 
http://wiki.d-addicts.com/Boku_dake_no_Madonna

Tackey Official Website :
http://www.avexnet.or.jp/tackeytsubasa/index.html

http://wiki.d-addicts.com/Takizawa_Hideaki
Tackey Gallery : http://takizawa-hideaki.net/

Pub avec Takki : http://www.dailymotion.com/video/x487a1_oronamin-c-20050812_ads

Drama en 11 épisodes diffusé au Japon sur Fuji TV en 2003. Réalisation de Nagayama Kozo, et Sawada Kensaku.

Le pauvre Suzuki Kyouichi (joué par Takizawa Hideaki) semble la boniche de tout ceux de sa famille qui vivent avec lui dans une petite maison. Il doit même en réconforter certain, comme s’il était Merlin en personne. Il ne peut même pas se regarder une vidéo pour adultes (on ne précise pas ce que ça veut dire et Kyouichi semble déjà adulte !).
Ainsi voulant une vie privée, je suppose tout de même qu’il ne pouvait s’isoler que lorsqu’il allait aux toilettes ! il décide donc de se trouver un gîte pour lui tout seul ; son rêve. Il trouve un appartement dans un petit immeuble aux murs jaune, qui m’évoque l’Angleterre, Brigthon, plutôt que le Japon. (Voir les captures d’écran).
 
 
 
Mais il est loin de se trouver sur une île déserte ! Dès qu’il met la clef dans la serrure de son appartement, un voisin lui saute dessus en lui disant que sa mère l’a charger de veiller sur lui... Et en plus le voisin, un écrivain, se sent seul... Pauvre Takki-Kyouichi ! ici aussi vivre seul va être difficile. Peut-être dans les toilettes, car c’est tout de même, c’est le seul endroit où on peut être seul, tout au moins depuis l’époque des Romains, car dans leurs latrines, on faisait ses besoins naturels en commun, ce que j’ai pu vérifier dans les ruines de Pompéï. En faîte, dans cet immeuble ça semble à Kyouichi pire que chez lui.
 
Comme Kyouichi porte quelque fois un porte documents en bandoulière en forme de gros rouleau, on pourrait deviner qu’il est étudiant dans une école de dessin, ici il est étudiant en architecture, et dans son université il rencontre Imamura Keiko (joué par Shimatani Hitomi). Ils sont sur le point de sortir ensemble, mais finalement Keiko, si elle trouve beau Kyouichi, elle le trouve ennuyeux. Dans la classe de Kyouichi se trouve Nakano Takashi (joué par Koizumi Kotaro), il est plus âgé que Kyouichi car il redouble. 
 
 
 
Pour avoir de l’argent Kyouichi prend un travail comme veilleur de nuit. Là encore, son supérieur le trouve ennuyeux. Sanglé dans son uniforme, Takizawa Hideaki est gros comme un haricot. Ce qui transparaît encore plus quand, rentrant chez lui un soir, il se met torse-nu ; il aperçoit alors une jeune femme couché sur son lit. Tellement frappé le pauvre Takki, qu’il ressort de l’immeuble pour se persuader d’être bien « chez lui ». En y revenant, il découvre que la jeune femme lui à dérobé son plat cuisiné acheté la veille. C’était le long prologue pour atteindre le générique, très côtes de Californie avec palmiers et parasols, fruits exotiques... sur une musique industrielle de super marché...

J’ai oublié de dire que dans l’histoire, dans le petit immeuble de Kyouichi, il y a un locataire à la tête de Frankenstein, à l’allure mystérieuse, qui ne parle jamais, dont on ne connaît pas l’occupation.
Avec son rouleau porte documents Takki à l’air timide, comme perdu, ce qui renforce encore plus son côté kawaï.
Une deuxième fois la même jeune fille s’introduit par la fenêtre dans l’appartement de Kyouichi. Il en parle autour de lui car un étudiant croit à un yokaï (élémental ou esprit de la Nature), mais ça ne semble pas cela puisque aux narines de Kyouichi, cette jeune fille dégage une agréable odeur.
Ça se produit une troisième fois, et elle fout le bordel dans les meubles. Du coup la nuit suivante, sur les conseils de son supérieur gardien de nuit, il se couche sous son lit et attend. La jeune fille ne tarde pas à passer par la fenêtre, et a aller directe au frigo ! Ne trouvant rien, elle devine sous le lit la présence de Kyouichi.
   
 
 
Comme j’écrivais plus haut avec le côté kawaï de Takki, son rôle de Kyouichi le fait s’excuser auprès de la fille rentré somme toute par effraction. Ça le rend encore plus fragile et comme si les rôles étaient inversé, il est la victime de cette fille tout de même, ce qu’elle lui fait remarquer d’ailleurs. Elle lui demande son nom puis le rebaptise Kyon, mais elle ne lui dit pas son propre nom.
Au QG des veilleurs de nuit, le chef de Kyon-Kyouichi, après avoir entendu son histoire, la prend pour une communiste ou bien elle appartient à une secte.

La fille revient encore la nuit suivante, et en présence de Kyouichi, elle l’ignore complètement. Sur l’insistance de Kyouichi, elle se décide à lui dire son nom : Kataoka Surumi (joué par Hasegawa Kyoko). Kyon-Kyouichi lui demande pourquoi elle s’introduit chez lui : pour observer. Comme dans un thriller, à la vue d’une lumière qui vient de s’allumer au travers de la fenêtre d’un immeuble en face dans la rue, elle crie à Kyon-Kyouichi de se cacher, celui-ci réagit à la seconde en se plaquant au sol, comme si c’était son comandant militaire qui le lui demandait ; ce qui peut laisser supposer à quelle sauce va être mangé le pauvre Kyouichi, car comme un couillon il reste plaqué au sol attendant l’ordre de se relever...
Surumi lui raconte que dans l’immeuble d’en face, il y a son petit ami qu'elle aime et qu’elle envisageait de se marier avec lui. Hors elle se dit trahie, il va se marier avec quelqu’un d’autre. Selon Surumi, la future femme de son petit ami est laide, stupide et n’a aucun sens de la mode... Dit-elle la vérité à Kyouichi ? Finalement elle fait comme chez elle et demande les clefs de l’appartement à Kyouichi ; entrer par la fenêtre c’est dur...
Comme Surumi est jolie (j’aime pas ses cheveux ça fait serpillière), Kyouichi accepte la cohabitation avec elle.
Quand elle n’est pas là, c’est Kyouichi qui espionne l’immeuble d’en face.
 
 
 
Bon, c’est une comédie, intéressante, mais langoureuse et manquant d’intérêt. Pour les histoires d’amour j’attend de voir d’autres épisodes (ça peut s’amorcer par exemple à la fin du second épisode). Je découvre Takizawa Hideaki dans un registre différent de celui de Romeo and Juliet, et complètement éloigné de son rôle d’Hiraku dans Majo no Jouken, où il apparaissait secret, poète et rêveur, et légèrement efféminé, comme fragile, enfin à certains moments.
Héritage d’Hiroshima, sur la vitre de la fenêtre « d’espionnage » de l’appartement de Surumi, je veux dire de Kyouichi, on peut observer un autocollant avec le symbole de radiations. Sûr qu’on ne doit pas ouvrir la fenêtre en cas de radiations extérieures dangereuses ; mais est-ce suffisant ?... La musique de la bande sonore se veut humoristique, avec par exemple une variation parodique de la célèbre sonnerie de trompettes du Aida de Giuseppe Verdi. Autrement ce sont de petiotes mélodies sautillantes en pizzicatti.

Takki dans son rôle de Kyon ou Kyouichi est parfait selon mon goût : il est timide, un peu empoté et surtout naïf, manquant d’initiative. Si vers la fin de l’épisode un, Kyon et Surumi semblent former un couple, c’est la femme qui « porte la culotte » ici, (puisqu’elle prend des décisions à la place de Kyon, et qu’elle en fait ce qu’elle veut). C’est pour ça que j’aime pas ses cheveux, elle ressemble à une messaline... Un séquence m’y fait penser, celle où tous deux volent une bicyclette pour de promener, sur l’initiative de Surumi bien-sûr.
Une messaline avec des mystères et donc un charme, qui ne manque pas d’idées aussi.
Dans ce drama je remarque une nouvelle fois la société japonaise très hiérarchisée : les tranches d’âge, avec leurs étiquettes comme senpai, comme sensei. Ainsi on a une grande attention au TEMPS.

Trois étoiles pour ce drama et pour Takki. Finalement, il voulait être seul et se retrouve avec une belle femme carrément dans son lit sans qu’il l’ait demandé ! elle est toute habillé et c’est tout public, mais qui ne voudrait être à la place de Takki ? Un peu coquin le départ du scénario, non ?


M. R.
 
 
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Dernière mise à jour : 24-08-2008 18:11

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