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La richesse des Couilles en Or Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 11-03-2012 02:11

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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La richesse des Couilles en Or
Ce sont les Pauvres qui sont leurs outils !
Ainsi on ne peut plus dire : « Salauds de pauvres ! »
 
 
 
Conséquences : une minuscule population profite et la majorité subit !
C’est au peuple de renverser la vapeur et de mettre fin aux plus grands terroristes de tous les temps. Car les Couilles en Or sont les seuls terroristes, il n’y en a pas d’autre dans notre dimension actuelle.

Les riches ne payent pas d’impôts (ou se démerdent pour), et les pauvres crachent au bassinet.



Le BINAIRE c’est SEC. Des paquets sans AMOUR. Même le wifi ne fait pas l’affaire !
 
Depuis le problème économique mondial de 2008, le machin européen (Commission) prend des mesures (sans demander l’avis du peuple) jonglent avec la dette. Ces jongleries permettent aux banques privées et autres institutions (fonds de pensions, assurances etc.) de recevoir du fric de leur créance évidemment en faisant des profits de Couilles en Or, grâce à la différence entre le taux auquel ils empruntent aux banques centrales et celui auquel ils empruntent à l’État.
La Commission européenne sait qu’il faut imposer aux banques la « réduction des dettes », mais elle la repousse sans cesse, ce qui fait peser la devise « le temps c’est de l’argent », car en attendant c’est l’État qui paye et derrière ce sont les contribuables ! car comme indiqué en sous-titre en haut de page, les hauts revenus ou Couilles en Or trouvent toujours le moyen de payer le moins d’impôts possibles !

CRÉANCE : droit en vertu duquel une personne (créancier) peut exiger de quelqu’un quelque chose.
DETTE : ce qu’une personne doit à une autre. Le devoir envers son supérieur hiérarchique...

L’État Petit-père-des-peuples hospitalise les banques en faillite, ce qui augmente la progression des virus : la dette. Le virus progresse fortement en ce moment dans l’Angleterre, l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, l’Espagne, le Portugal, les États-Unis, l’Islande, etc. Ces gouvernements ont dépensé beaucoup de fric en pansement et autres bandages sur les banques. Ces pansements et bandages sont complémentaires d’injection de liquidité pour éviter un effondrement vital du crédit et des échanges de flux (baisse du taux d’intérêt de la FED, de la banque d’Angleterre, de la Banque centrale européenne (BCE), etc.

La maladie de la dette, qui remonte à plus de 4000 ans, s’est brusquement aggravée après la révolution de 1789 et la naissance de la société industrielle au 19è siècle (principalement dans les pays du Nord). Mais le cancer démarre dans les années 1980, suite au « premier choc pétrolier » et la crise économique de 1973-1975, avec le remède dit « keynésien », on commença à recourir AU VIRTUEL : L’EMPRUNT, et son corolaire le LIBÉRALISME : tout tout de suite !
La mal s’est aggravé lorsque la FED augmenta son taux d’intérêt en octobre 1979 en opérant une rupture par rapport à un demi-siècle de remède keynésien lors de la présidence de Franklin Roosevelt en 1933.

De la fin des années 1980 jusqu’au début des années 2000, le cancer commença a ronger sérieusement les chairs de façon inégale selon les organes (les pays du Nord). La cause du mal : une « contre-réforme fiscale » menée en faveur des entreprises et des Couilles en Or ; avec pour conséquences la baisse des recettes provenant de l’impôt sur les sociétés et sur les personnes, compensée d’un côté par la hausse des impôts indirectes (TVA), et de l’autre à un recours débridé à l’endettement.

La clique du FMI est un grand repère de terroristes, ils servent les l’intérêts des créanciers et piétinent les droits naturels et fondamentaux du peuple. Ainsi, en profitant  de la crise de la dette des années 1980 pour inoculer ses propres opinions à la quasi totalité des pays du Sud (Hors Europe et Amérique du Nord), le FMI et la Banque Mondiale (institutions contrôlées par les États-Unis et leurs « provinces » européennes dont la France, ont mis sous tutelle la plupart des pays en développement (ou pays pauvres). Ainsi il n’existe plus de souveraineté des peuples ce qui encourage une mondialisation vers la nouvelle religion mondiale : LE FRIC, soit une colonisation parfaite : LE SOCIALISME.

Contrairement à la croyance, la dette ne sert pas à apporter aux pays du Sud les sommes qui leur manque pour s’y retrouver économiquement. Au contraire, cette organise l’envoi de gigantesques capitaux depuis les pays du Sud vers les coffres des Couilles en Or créanciers. Les pays du Sud sont donc obligés non seulement de faire face à des remboursements énormes en comparaison de leurs économies, mais ils doivent consacrer la totalité de leurs nouveaux prêts et ajouter 666 (tout un symbole !) milliards de dollars pour parvenir à la somme demandée par les Couilles en Or. En plus le Diable est de la danse car ces nouveaux prêts engendrent à leur tour des intérêts, qu’il faudra rembourser, sans doute avec de nouveaux prêts et de nouveaux intérêts. Bref, l’Ouroboros dans son sens le plus infernal ! Car les « grandes puissances », donc celles qui se disent « démocratiques » avec leur Bible des Droits de l’Homme, n’hésitent pas à soutenir les dictatures des régimes autoritaires et corrompus, du moment qu’ils imposent à leur peuple le remboursement de la dette. EN droit international, une dette contractée par un régime pourri, et qui lui sert à renforcer son pouvoir et qui ne profite jamais au peuple, n’a pas à être remboursée par un quelconque régime « démocratique » qui lui succède !

Le cancer de la dette est devenu une abomination moderne. Ses inventeurs et profiteurs sont les seuls véritables terroristes de cette planète. Car maintenant nous le vivons, c’est au tour des pays du Nord de subir le cancer de la dette. Les nouvelles sources de profits sont les fameux subprime : proposer des prêts à des taux variables à des personnes pauvres aux États-Unis. C’est toujours à cause du drame du libéralisme : tout tout de suite, l’être humain se prend désormais pour un Dieu en éjaculation ! Les banques veulent faire du profit IMMÉDIAT. Vers la mi-2007, effondrement des prix sur le marché de l’immobilier aux États-Unis, encore eux. Le mécanisme du crédit avait un cancer entrainant des nécroses en réaction en chaînes. Des « responsables » qui se prennent pour des « grandes personnes » ont bien essayé de sermonner les banques. Évidemment celles-ci passèrent outre, et les directeurs des grandes sont presque toujours le cul sur le même siège social ; et la logique est restée intacte ! et les spéculateurs s’en donnent à billets-joie !

Le résultat est inscrit en haut de page, c’est toujours le peuple qui trinque : AUSTÉRITÉ (on le voit avec la Grèce et d’autres pays du Nord). Les banques sont sauvés (ou sous perfusion de centaines de milliards de dollars et d’euros par les fonctionnaires soldats du G20 aux ordres des Couilles en Or, et les États ont financé ce remède en appliquant aux pays du Nord la médecine de sinistre mémoire au pays du Sud. Le cancer dette ronge de plus belle.

(Référence à : La dette ou la vie, sous la direction de Damien Millet et Éric Toussaint)
 
 

Dernière mise à jour : 11-03-2012 02:29

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