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Maîtres et Disciples Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-05-2012 02:58

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Maîtres et Disciples
ou
Maîtres et Esclaves (Slaves)
ou
Petit-Père ou Petite-mère des esclaves (peuples)


ÊTRE À SA MERCI

Les enfants de la Veuve

En haut de page : Train fantôme sur le mythe de la PEUR entretenue dans ce monde.
 
 
 
Petit-Père ou Petite-Mère des peuples s’entend de tous chefs ou cheftaines à la tête d’un groupe d’individus (le peuple, le troupeau, la masse). Il y a un rapport de serviteurs et de servis sous servitude ; un rapport de maître à bonniches ou domestiques au 19è siècle bourgeois. La démocratie, la monarchie, n’échappent pas à cette règle.

DIRIGER = POUVOIR
ÉRECTION - MEMBRE = POUVOIR
 
Le pouvoir est le royal cancer du monde. Des gens qui avaient du temps autrefois, au Moyen-Âge : les moines, se penchèrent sur cette question du pouvoir lié aux chefs.
J. Krisnamurti a fait une déclaration restée célèbre : « Les gurus détruisent les disciples, et les disciples détruisent les gurus ». C’est donc le rapport de maîtres à serviteurs... ou l’inverse ! qu’ont notamment tentés de résoudre les moines, en estimant que le chef était AU SERVICE de ceux qu’il avait sous ses ordres. C’est pourquoi, par exemple, depuis 1789, et même sous la monarchie, on pouvait parler de « serviteur de l’État ».
Ainsi, un roi est au service du peuple, le chevalier est au service des paysans qu’il défend ; notions toutes chrétiennes. Donc : place aux humbles ! Ou puissance par la faiblesse, qui poussé dans son absolu demande à ce qu’il n’existe AUCUN chef.

Comme le dit un historien spécialiste du Moyen-Âge, Jacques Dalarun (livre : Gouverner c’est servir), cette époque vit le renversement des pouvoirs : les premiers seront les derniers, soit la base des micro-sociétés. Dans SERVIR il y a SERF, SLAVE. La société féodale fonctionne sur la domination, genre : le plus fort protège le plus faible, ce qui était le cas du chevalier, du seigneur devant protéger ceux qui le nourrissaient : les paysans. Le chevalier sachant tuer et le paysan sachant cultiver, le seigneur ou le noble sachant diriger, le religieux sachant prier, chacun avait sa besogne dans sa case ou caste. La mondialisation n'était pas encore effective.
Mais déjà au Moyen-Âge on rencontre des groupes d’habitants qui tentent de se gouverner eux-mêmes en se passant de l’État.
Il faut rappeler que les cases ou castes étaient prépondérantes à cette époque, puisque des professions considérées comme infamantes, comme les bouchers ou tout ce qui touchaient au sang et au corps étaient confiés à une catégorie ou corporation (les franc-maçons ou tailleurs de pierres constructeurs des cathédrales sont aussi une corporation... il fallait bien se soutenir dans un monde ou n’existait presque que le langage parlé). Ainsi des moines recherchant le plus humble ou le plus méprisé pouvaient trouver un ancien boucher comme leur supérieur.
Évidemment au Moyen-Age l’homme est supérieur à la femme !

Le problème du supérieur ou maître, c’est que ses esclaves sont soumis à son OPINION, ou volonté !!! Ainsi des moines s’étaient juré que lorsque leur supérieur parlerait, ils s’interdiraient de le désavouer, quelque que soit sa position ! On voit là une certaine absurdité si le supérieur abuse de son opinion...
Jacques Dalarun a raison de dire que les démocraties ne s’exporte pas, elles s’invente, de l’intérieur, du Centrum Centri ou INSTANT puisque par ceux qui sont directement concernés. C’est bien ce qu’illustre et symbolise à merveille l’affiche ci-dessous, c’est-à-dire qu’au nom de la « liberté », on n’assassine pas des millions de personnes ! Voir 1789, les guerres de Vendée, 1917 en Russie, la Libye détruite en 2011, etc., etc.
 
 
democracy460.jpg
 
 
Tout pouvoir est LE cancer, car même celui qui se dit humble et serviteur des autres, puisque ceux-ci l’ont choisi, domine, quoi qu’il en dise !!! C’est là qu’intervient la notion de Petit-Père ou Petite-Mère, tels les parents responsables et dominants leurs enfants qui sont à leur merci, je répète : À LEUR MERCI. Or on dit bien merci à un serviteur... Et on est à la MERCI de quelqu’un.

MERCI : de 880 : mercit, du latin merces, edis : prix, salaire, récompense, d’ou l’expression être à la merci... du patron... ou des marchandises que l’on vend, d’où l’origine de MARCHAND et MARCHANDISE. Plus tard merci possédera le sens de : faveur, grâce, pitié. On dit bien : Dieu merci ! Encore plus tard, de nos jours, cela deviendra une très très très banale formule de politesse.

De nos jours le pouvoir beugle et prétend être le serviteur de ceux qui l’ont choisi ; il suffit de se souvenir des propos récents du candidat socialiste à la présidence de la république de France en 2012 : il se veut le serviteur champion de tous les Français, c’est-à-dire leur Petit-Père. Bref, nous le peuple, on nous prend toujours pour des gamins ignares ! Il devient urgent de sortir de la « démocratie de papa maman », c’est pourquoi j’avais déjà écris sur une page que normalement, naturellement, ON PEUT SE PASSER DE GOUVERNEMENT... et d’impôts. Cela implique une élévation du niveau de conscience qui n’a rien de difficile, comme l’explique Ramana Maharshi.

Parce qu’entretenir à vie, un « serviteur de l’État », comme un certain Sarkozy, ça coûte beaucoup d’impôts pour le peuple !!! Ne serais-ce qu’en dépenses pour sa protection.

Krisnamurti a raison, naturellement un Guru influence ses disciples, et ceux-ci influencent leur maître : « Si vous ne parlez pas, qu’aurons-nous à transmettre, demandent les disciples à leur maître. Celui-ci leur répond : « le ciel parle-t’il ? ». Voilà un Vrai Adepte dans la tradition du Tao, car : « La suprême parole est de ne rien dire : ceux qui parlent ne savent pas, ceux qui savent ne parlent pas » (Tao-to king). Seul le Silence est le Vrai langage de communication !


Du négatif ou du positif ??


Donc pour dire merci, pour honorer quelqu’un, on se met à plat ventre, ou on se prosterne devant lui comme un serviteur se prosterne devant son maître, voir ce que fait un prêtre de l’Église de Rome face à son autel et tournant le dos aux fidèles, ce qui est logique et naturel puisque tous sont tourné vers la symbolique du Christ. Maintenant si pour honorer on se prosterne EN MONTRANT SON DOS AU MAÎTRE, on se considère comme lui lui tout en l’honorant !
« Ils se prosternaient vers l’Orient [Soleil couchant], devant le Soleil. Et il me dit : « As-tu vu, fils d’homme ? N’est ce pas assez pour la maison de Juda de pratiquer les abominations auxquelles ils se livrent ici ? » (Bible, Ézéchiel 8, 16-17). Donc honorer le Soleil c’est tout de même se prosterner DEVANT lui. Or les loges maçonnique sont orientés tournées vers l’Est ! et font exactement le contraire de ce qui est indiqué dans la Bible. C.W. Leadbeater, dans son livre : Le côté occulte de la franc-maçonnerie, donne la raison suivante pour l’orientation des loges en est-ouest : le Soleil se lève à l’Est, ensuite les nations occidentales placent dans l’Orient la source de leur sagesse, enfin les francs-maçons sont conforment au précédent Temple de Salomon orienté Est-ouest en « imitation du tabernacle porté par les Israélites dans leur marche errante à travers le désert, et toujours orienté de la sorte lorsqu’il était posé à terre. Assurément, il ne suffit pas de dire que primitivement les Maçons orientaient leurs Loges par la seule raison que toutes les églises et chapelles doivent être orientées également; il faut dire plutôt que la règle ecclésiastique spectare ad orientem existait aussi pour les Maçons (...). La véritable raison pour orienter avec soin la Loge tient au magnétisme. Un courant d’énergie est sans cesse en marche, dans les deux sens, entre l’équateur et chacun des pôles terrestres ; un autre courant se dirige perpendiculairement au premier et se meut autour de la terre dans le sens de la rotation. Ces deux courants sont utilisés dans le travail de la Loge ».

Si les sociétés secrètes, tout comme les gurus, veulent le pouvoir de diriger les autres, on le doit en partie aux ASSASSINS : Ordre maçonnique et mystique fondée par Hassan-Sabbah en Perse au 11e siècle. Le mot est une déformation européenne d’Hassan qui représente la partie principale du nom. Ceux-ci n’étaient pas des Soufis, et ils étaient adonnés, selon la tradition, à la consommation de Haschisch pour produire des visions célestes. Comme l’a montré feu notre frère Kenneth Mackensie, « ils enseignaient les doctrines secrètes de l’Islam ; ils encourageaient les mathématiques et la philosophie et ont produit nombre d’ouvrages de valeur. Le chef de l’Ordre était appelé Scheik-el-Djebel, traduit par le « Vieux-de-la-Montagne », et en tant que Grand Maître, il avait sur eux droit de vie et de mort ». (Glossaire Théosophique de H.P. Blavatsky).
Les Assassins ou Hassassins sont donc une bonne part du désir de mondialisme vers l’année 1092, car la suprématie appartiendrait à celui qui tiendrait tous les souverains du monde enchaînés par la peur. C’est exactement ce qui se passe encore de nos jours.
Il est fort probable que les Hassassins est eut des contacts et des échanges avec les Templiers.
 
Le guru ou initié, ou celui qui est dans « le secret des dieux » avec le pouvoir pour contrôler le non initié ou disciple. En plus, le problème des sociétés secrètes comme la franc-maçoânerie est de prêter serment, allégeance dès l’entré en « fonction » sans même connaître aucune finalité : le disciple se jette corps et âme dans l’inconnu en compagnie d’autres inconnus !!! Soi disant pour chercher la lumière. Bien-sûr les gens d’Église font aussi une « promesse », un engagement solennel. Le problème de taille est que le novice franc-maçon prête son serment les yeux bandés !!! On essaye toujours le pouvoir par LA PEUR, surtout quand on sait le contenue très gore des serments, digne des jeux de fêtes foraines genre « Train fantôme ». Bref, Église de Rome comme franc-maçonnerie, tous cherchent « la lumière », et ce n’est pas pour rien que la naissance de la franc-maçonnerie à Londres en 1717 donna le tempo pour appeler ce 18è siècle : « siècle des lumières » : abandon de la VRAIE Foi, uniquement travailler du chapeau (le mental ou intellect et développement de la palabre), détournement du vrai sens du mot SCIENCE pour en faire un mécanisme de la ligne droite avec les outils équerres et compas : la RELIGION DE L’HOMME ou HUMANISME ; bref, le système en isme et sa raison. Pour cette religion mondialiste de l’homme, la raison ou intellect sera de mise, soit nous entrerons alors dans un monde de ROBOTS, si personnes ne se révolte avant bien-entendu. L’expression « siècle des lumières » ne veut rien dire, car il y a une multitude de sens au mot « lumière », tout comme le sens du symbole Lucifer est à double tranchant puisque l’autre tranchant pourrait être Ahriman. Le nom de Lucifer a été sali puisqu’on en a fait : luciférien ou satanisme. Donc associer Lucifer à la franc-maçonnerie est une erreur, comme on peut malheureusement le voir dans la vidéo en fin d’article, vidéo par ailleurs intéressante, mais qui n’apprendra pas grand chose, et où celui qui se présente comme ancien franc-maçon frôle souvent la caricature et amuse la galerie, commet des associations symboliques qui ne sont que son opinion (sur le tablier) ; il survole trop vite la complexité de la franc-maçonnerie. Satan est ce que les maçons nomment GADLU (Grand Architecte de l’Univers) ou Grand Administrateur.

Sans disciple, le guru n’est rien !!! Car il est avant tout un maître ou une maîtresse d’école : un instructeur devant des élèves gobant tout ce qu’il dit. Par contre, un ADEPTE n’est pas un instructeur, mais quelqu’un qui a réalisé le Soi, l’Instant.
« Les disciples croient que s’ils paient suffisamment, s’ils plaisent au guru et lui obéissent, ils avanceront spirituellement. La servilité des disciples aide à détruire les gurus, en leur donnant la sensation d’être supérieurs et puissants. Les gurus exploitent les disciples avec des offres de récompenses spirituelles, tandis qu’eux-mêmes reçoivent des dons matériels tels que des avions privés, des voitures et des résidences luxueuses, et d’autres objets de confort », écrit Radha Burnier.

Une société secrète est une forme de « démocratie » avec à sa tête un guru imposant son opinion : par exemple le mondialisme avec sa religion (relier) unique : énième tentative de religion unique !... après la Tour de Babel et la « civilisation » de Babylone... Babylone qui est le parfait symbole du mot CITOYEN.

La franc-maçonnerie de 1717 se réfère toujours au symbole Hiram Abiff : « Personnage biblique ; constructeur habile et « Fils de la Veuve », que le roi Salomon fit venir de Tyr pour diriger la construction du Temple, et qui, par la suite, est devenu un personnage maçonnique, le héros autour duquel tourne tout le drame, ou mieux le jeu, de la troisième initiation maçonnique. La Cabale attache beaucoup d’importance à Hiram Abiff ». (Glossaire Théosophique)
Cet Hiram Abiff est tellement un symbole que je l’ai introduit, sans le savoir, sans aucune étude, dans le scénario d’un projet de film de long métrage sur une histoire se passant au temps du roi Djoser. Encore plus extraordinaire, ce que je viens d’apprendre dans la vidéo ci-dessous, cet Hiram Abiff est attaqué par trois bandits, comme dans mon scénario... Mais Osiris a bien été découpé en morceaux par son double négatif : Seth ; et Hiram Abiff comme Osiris, le Christ est considéré comme le Grain vivant, soit la résurrection-érection, le JUS. Comme tous symboles est double, Seth est le mauvais coté d’Osiris : son contraire, et il n’a pas toujours été le méchant. Osiris-Ptah sont bien-sûr maître du Royaume des morts (pendant la nuit ou ce qui est caché).

C’est le sexe d’Osiris que l’on n’avait pas réussit à retrouver, ce qui symbolise la mort du mâle après la copulation, comme chez les sauterelles où la mante religieuse bouffe le mâle qui vient de la féconder.
La encore on retrouve le mot POUVOIR.

SEXE = POUVOIR.


Ainsi Hiram Abiff est une forme symbolique de ce que certains appellent l’inconscient collectif où la ville de Tyr a son importance ; mais c’est une autre histoire. Le père connu de ces symboles est le Dieu PTAH, prototype d’Osiris, lui-même prototype des branches du Christ et d’Hiram Abiff. Ils sont tous des « fils de veuve » ou des nés d’eux-mêmes (absence de conjoint pour faire un enfant, symbolisme de la virginité). Isis était la veuve d’Osiris, et Osiris représentait l’Œuvre au Noire : la FERMENTATION, le SACRIFICE, qui servit de modèle au Christ mort sur la Croix.
Rappel : la guillotine, cet instrument de torture bien français est appelé « la Veuve », comme aussi la potence, donc un sens de castration, de privation de vie, d’ailleurs le mot veule est proche puisqu’il indique également une faiblesse, une convalescence (sens du dictionnaire d’Antoine Furetière). Le mot veuve désigne aussi « la veuve poignet », soit la privation sexuelle d’un partenaire, puisque on a recourt à la masturbation, et que « travailler du chapeau », comme les frères maçons, c’est aussi de la masturbation intellectuelle puisqu’ils s’appellent « enfants de la Veuve », même si Hiram Abiff est fils d’une veuve. Ce sont donc des frères chapeautés...


Aucun Adepte n’ouvrira les portes de la liberté pour nous, aucun messie a attendre, pour ouvrir les portes à une dimension spirituelle élevée. L’Adepte, c’est chacun de nous, à condition d’en prendre conscience comme l’explique Ramana Maharshi, où il répond à chaque question : Qui le cherche, qui le demande ?? Ce qui correspond bien à se situer dans L’INSTANT. Personne ne peut le faire à notre place.
Il n’y a pour le chercheur spirituel aucune autre possibilité que de travailler et de créer pour lui-même des conditions favorables. Personne d’autre ne peut le faire pour lui. Cela correspond à : « Le ciel parle-t’il ? » cité plus haut. Donc être honnête, désintéressé...
L’Adepte peut dire : « Je suis CE JE SUIS ».
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 12-05-2012 03:39

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