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EMI et FOLIE ou état normal Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 24-05-2012 00:55

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Folie, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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EMI et FOLIE ou état normal

« N’est pas fou qui veut ! » (Docteur Henri Ey, 1900-1977)

« Le fou n’est pas celui qui a perdu la raison, le fou est celui qui a tout perdu sauf la raison ». (Cité par Jacques Bergier)

« Seul est visible le FAUX ; le vrai cesse d’être vrai dès lors qu’il est vu ». (Clément Rosset, L’école du réel)
 
 
 
Il existe des cas de « folie » en forme d’interactions avec la globalité, l’Instant, le Soi, en dehors du sommeil. C’est comparable à une EMI sans anesthésie, sans accidents physique conduisant à l’hôpital. C’est presque une EMI éveillée. Ceux qui en sont victimes pour une raison ou une autre sont comme perdus dans l’espace, dans le cosmos. Ils errent dans le monde dit « normal » et la plupart du temps, la police les conduit à l’hôpital. J’avais un ami à qui cela est arrivé (il avait alors 60 ans), il errait sur le boulevard périphérique de Paris et la police l’a conduit à l’hôpital. Il se sentait possédé.
 
Quel effroi provocant une apparente folie, comme pour refuser le véritable réel, l’Instant ; cet effroi, cette PANIQUE provocant la folie dès que le réel est perçu comme cruel. La Vérité est dure a entendre dit-on ; ou toute vérité n’est pas bonne à dire. « On ne peut pas toujours nier radicalement le réel, décider que ce qu’on perçoit est faux, n’existe pas : voie de la folie et des névroses graves, qui n’est pas ouverte à tout le monde », écrit Clément Rosset dans, Le réel - Traité de l’idiotie. Ainsi « N’est pas fou qui veut », devise du Docteur Ey.

Le DORG (Demain On Rase Gratis) ou la même soupe pour tous est autant aussi destructeur que le nucléaire, et autant destructeur comme celui et ceux qui travaillent à « l’amélioration de la condition humaine », ce qui fait beaucoup penser à « l’amélioration de la race bovine » ! Celui-là, genre franc-maçon imbibé de pouvoir, a généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! Se souvenir de la devise : Savoir, Pouvoir, Oser, se Taire, où le quatrième mot est la clé de l’ensemble.
Il est depuis longtemps connu que le réel, non seulement provoque la PANIQUE, mais est cruel : voir ce que font tous les humains depuis des millénaires pour se procurer le moindre bout de CONFORT. Ça a commencé avec la « découverte » du FEU. Je n’ai jamais vu un Guépard faire du Feu ! Le jour où il s’aura le faire, les humains devront quitter leur planète ! Mais le principal confort est sans conteste l’invention humaine du FRIC. Toujours par commodité, d’ailleurs on dit les commodités pour parler du lieu où l’on va faire caca, et on parle de grosses commissions entre banquiers ou industriels. Toujours le Confort. Je rappel qu’en radiesthésie les excréments sont symbole de l’Or métal.

Il y a d’ailleurs une comparaison a faire entre PANIQUE et SALE : les deux surgissent de l’Instant et dérangent, pour l’un c’est la Panique, pour l’autre la chose non souhaité dans un ordre bien ordonné : la tache cache le paysage, ou dérange un visage.
Comme pour la folie, et j’y reviendrais plus bas, dés lors que l’on connaît la nature de la tache cela devient moins grave. On se fait son OPINION sur la tache, alors on la laisse là, ou on travaille à l’enlever.
C’est comme les « mauvaises herbes », elles sont « mauvaises » aux yeux des humains, parce qu’elles font TACHES sur la pelouse devant le palais présidentielle ou devant la maison de Madame. Ce sont les humains qui rendent les choses mauvaises, sales, ils travestissent les essences en faisant du SENTIMENT et donc de l’OPINION ; ils prétendent « domestiquer » la Nature.

À ce propos de « domestication » ou de « civiliser » les 'sauvages', la paroisse de Scientologie et son grand prêtre L. Ron Hubbard était très bien résumé en cette simple phrase par Jacques Bergier : « La dianétique (de Lafayette Ron Hubbard) est une sorte de psychanalyse tout à fait faite pour séduire les Américains ». À propos de « dianétique » il ne faut pas mélanger psychologie et psychiatrie ! Ron Hubbard n’était pas psychiatre, mais plutôt employé de chez Phineas Taylor Barnum, le saint américain de l’entertainment (le confort). Bref, la « dianétique » est une escroquerie et une fumisterie de plus, qui en donne la simple preuve en prétendant éradiquer la folie de cette planète. Pour la Scientologie un « esprit sain » cela doit être le DORG ou la même soupe pour tous, celle de Christ Lafayette Ron Hubbard.
Oui, vraiment n’est pas fou qui veut.

Pour en revenir à la folie, l’EMI est comparable à la « psychose » : des jeunes gens amenés par la police ou les pompiers au service d’urgence d’un hôpital reste muet et hébétés par ce qui leur arrive. Pour les faire parler et leur faire dire ce qui ne va pas ce n’est pas facile ! Ils sont incapable de dire JE, le fameux soi vulgaire ou EGO. Le psychiatre doit bien sûr respecter leur silence. Et ceux qui arrivaient à s’exprimer, mettons par gestes, faisaient comprendre au médecin qu’ils étaient en contact AVEC TOUTE L’HUMANITÉ. Cela rejoins les EMI (lire Deadline du Docteur Jean-Pierre Jourdan). Certains disaient au psychiatre : « Docteur je suis vous » ou « Je suis tout le monde à la fois ». Bêtement on pourrait dire qu’ils se prennent pour Dieu, ou pour Napoléon... Ou pour la Reine d’Angleterre...
Donc ces « fous », ces expérienceurs d’EMI pendant le jour, sont en contact avec l’ENSEMBLE DE L’HUMANITÉ, évidemment avant tout, avec leur entourage ; et le psychiatre leur disait qu’il fallait qu’ils l’admettent, exactement comme l’exemple de la tache cité plus haut. Alors une fois identifié de ce qui sortait de l’Instant, la folie, la panique s’estompait pour un moment. C’était la libération momentanée car il y avait apprivoisement de l’Instant, et celui qui était avant paniqué partageait un peu de sa panique avec un autre qui essayait de comprendre. Celui qui se prend pour Jésus de Nazareth ou pour Napoléon, ou pour François Hollande n’est pas si malade que ça, parce que tel ou tel personnalité politique ou autre peut être le déclencheur.
(En référence au Psychiatre Henri Grivois, sur Franc-Info, dans la chronique Info-Sciences du 24 mai 2012).

À propos de l’Instant, il est bien connu que l’on cherche ses lunettes alors qu’on les a sur le front. Alors on est toujours près de ce qui réside en aucun lieu, parce que dans l’Instant, et c’est le Soi. La « proximité immédiate » n’existe pas. Il est aussi connu que son voisin de palier, si on habite dans un immeuble collectif, est la personne que l’on connait le moins, alors qu’il n’a pas à « venir de loin » pour venir jusqu’à moi ; il est comme « ailleurs », d’aucun lieu. Et on retrouve alors notre PANIQUE, car c’est le danger immédiat qui risque de surgir, comme peut le faire la folie surgissant de n’importe quel individu, surtout de nos jours ! Le non localisable, l’insolite et la seule réalité possible, l’Instant, font peur. Le réel fait peur, alors on invente le CONFORT. Voir la devise cité par Jacques Bergier en haut de page...
Ce qui fait peur c’est l’événement proche, si proche. La peur, la panique cesse quand l’événement redoutable a eut lieu. Pour moi c’est une preuve de notre Chute dans la Matière, ou de toute la symbolique entourant cette réalité judéo-chrétienne de Chute. Mais cette Chute n’est qu’un voile tiré devant la seule réalité de l’Instant, du Soi. Il n’y a pas de « salut » ou de rédemption à se farcir, simplement tirer le rideau !!! Pas d’ascension ou élévation ni de quelconque messie à attendre, il faut simplement rompre, ou tirer le rideau provoquant la Panique, parce l’Instant renferme quelque chose évidemment ni près ni loin, mais indéterminablement à proximité. C’est ce sortilège qu’ici-bas on appelle improprement ‘réalité’ et que quelqu’un ou quelque chose a fait que cette ‘réalité’ nous donne la Panique. Alors on se réfugie dans le confort, la FAUSSE SCIENCE nous donnant le nucléaire et la misère électromagnétique. D’ailleurs ce confort se retrouve devant l’inquiétude de l’avenir, puisque les Voyantes et autres tireuses de cartes en font leur business, et que l’Astrologie a toujours autant de succès et que les consultations ne sont pas gratuites.

Le réel est la seule réalité puisqu’il est imprévisible, sauf ce qui peut en sortir sous nos yeux par l’Instant. C’est pourquoi nous avons peur de la nuit et de tout ce qui est invisible. Alors pour obtenir le confort, on invente l’éclairage et de nos jours les caméras vidéo de contrôle et autres appareils de mesures pour rendre l’invisible visible. Rendre l’invisible visible c’est IDENTIFIER, mesurer, se rassurer, etc. Le pouvoir politique éclair proprement les rues au 19è siècle pour mieux contrôler la population, notre modernité politique fait exactement la même chose, peut importe la technologie.
Identifier est la maladie de tous les pouvoirs, surtout ceux de nos jours, qui ont établit une carte de Non Identité : différencier une personne d’une autre personne, garantissant ainsi son « identité » particulière par l’exhibition d’un certificat général de « non identité » (référence à Clément Rosset). Clément Rosset cite Janus, ce Dieu des Romains a deux visages ou Dieu des transitions. Ce Dieu ayant un rapport avec l’Instant : un gardien de la Stargate, il l’ouvre et la ferme. C. Rosset explique que Janus représente à la fois et contradictoirement ce qui est sans égal et ce qui est égal à quelque chose.
On ne « cherche pas son identité » on cherche à fermer la gueule au soi ou ego, tout comme l’analyse étant duelle, puisque du mental, celle-ci ne permettra jamais d’atteindre la Vérité ou absence de sujet-objet.
Donc chercher son identité, atteindre son identité, comme le nom l’indique : du A privatif et Teindre : ne pas teindre ; on n’atteint vraiment que ce que l’on ne cherche pas à prendre. Donc pas de but à atteindre. La réalité étant l’Instant, avec tout ses trucs non identifiables. Une identification consiste à puiser dans l’Instant pour ramener un truc dans le monde spatio-temporel. Ce sera alors l’opinion et la convention, car seul le réel existe...

En résumé : rien n’est APPAREMMENT plus difficile, ou plus long, que de côtoyer la simplicité : tirer le voile (si mince, si mince, voir la référence à Henri Grivois sur Franc-Info) pour retrouver l’Instant, le si proche, si proche, donc le Soi. « Il n’y a plus de limites d’espace et de temps, il n’y a plus qu’une fluidité qui traduit la sensation que l’on a de l’absence de séparation d’avec l’idée que l’on a de ce qui pourrait être autre. L’essence est révélée et je suis cette essence, j’y participe au même titre que ce que je considère d’ordinaire comme séparé de moi. Je suis elle, et je suis fondu en elle, mais il ne peut en aucun cas y avoir identification et appropriation de cela ». (Témoignage dans Deadline, du Docteur Jean-Pierre Jourdan).


[En haut de page, aquarelle de M. Roudakoff, d’après une fresque italienne]
 
 

Dernière mise à jour : 24-05-2012 01:33

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