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Société de consummation Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-08-2012 00:21

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Abyme, Amour, Anarchie, Arbre, Argent, Banques, Chaos, Cinéma, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Égrégore, Esprit, Europe, Feu, Fontaine, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Occident, Opinion, Orient, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pomme, Portes, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Société de consummation
ou Société de Consolation
ou Société d’Achèvement


Société de Consummation = Je suis le corps, donc la matière, le pécheur,
donc un client des églises et temples de toutes fournaises possibles.
 
 
 
Voir aussi la page : L’emPire : l’Occident

CONSUMER : vers 1120, du latin consumere : détruire > CONSOMMER. Sens de abattre, épuiser, fatiguer, miner, ruiner, user, ronger. Sens du 17è siècle : consommer ou consumer (brûler) par la digestion les aliments.
Consumer sonne presque comme consommer.
SOMA, du grec sôma : corps. En biologie c’est l’ensemble des lignées cellulaires non sexuelles de l’organisme (opposé à germen) ; (hérédité), dict. Le Robert. C’est aussi le corps cellulaire du neurone. On parle également de « somatique ».
Dans le même thème de Consumer-Consommer : SOMMATION : on ordonne dans le sens qu’il ne peut pas y avoir de refus, sous peine de.
Sommation dérive de SOMMAGE : le droit qu’on payait autrefois pour la charge d’une bête de somme ; le service que doit un vassal à son seigneur avec ses bêtes de sommes. Et SOMMAICHE : autrefois obligation de porter les lettres de son seigneur, et de faire les autres commissions qu’il donne. (Glossaire de Du Cange).
 
SOMME et SOMMER : conclusion, résumé, donc un produit de la DIGESTION, le sel les scelles les selles. Là encore on ordonne sans pouvoir refuser, sous peine de. Et CONSOMMER c’est faire la somme : con (avec) et somme : somme de moi-même. La bête de Somme ! SOMMER c’est faire la somme d’un « compte ».
La CONSOMMATION : con (avec) et sommation : on ne peut pas y échapper, sous peine de dépérissement, selon le vulgaire. Ainsi on brûle (les aliments), on absorbe les propagandes médiatiques et politiques et on s’en nourrit à longueur d’année aux bénéfices des Couilles en Or ou banquiers.
Dans Consumer entre aussi la CONTRITION : destruction, soit une douleur d’avoir offensé quelqu’un. Il est connu que le REMORD ronge comme le cancer. ATTRITION entre aussi comme variation de Consumer : du latin attritio : frottement, comme quelque chose qui froisse un papier ; il y a un aspect boudeur, contrarié, mais c’est moins fort que la Contrition.

La SOCIÉTÉ DE CONSUMMATION ou CONSOMMATION suce, produit, pompe surtout le pétrole et les pétrodollars ; les enfants se droguent aux sucreries de l’industrie ; les adultes se droguent aux produits de la société de Consummation et de sa technologie. Nous sommes ainsi entré dans la TECHNOCRATIE, du process-processeur-procédé ou ARTIFICE ou FAUX.
La SOCIÉTÉ DE CONSUMMATION est l’esclavage des esclaves dans les usines et entreprises des Couilles en Or : rentabilité et compétition dans le travail, brûlage des corps dans la soumission Au Dieu Fric.

Nous sommes également entré dans la SOCIÉTÉ DE CONSOLATION : soit la société du confort et du sécuritaire. On se console notamment avec la technologie. CONSOLATION = DIVERTISSEMENT, coupant ainsi le retour à la Source : les Muses, d’où le mot : a-musement ou privation des Muses ou Inspiration.

La Société de Consummation naît des religions du SALUT. D’ailleurs le moindre des contacts entre deux humains commence par l’inévitable Salut : « Comment ça va ? », même si l’on en a rien à foutre...
SALUT sonne comme SANTÉ, donc avoir la santé, la salvation, salvateur : le SAUVEUR. Mais pour qu’il y ait un sauveur il faut une FAUTE ! Comme le secouriste en mer a besoin du noyé ! Le bourreau d'une tête à couper...
Là encore on est en pleine Société de Consummation : « Je te Sauve et te rachètes tes péchés ».
Il est bien connu - et le dernier exemple en cet été 2012 est Laurent Fabius, qui est pourtant de confession hébraïque, ou plutôt sioniste, et qui se permet d’envoyer en Enfer Bachar el-Assad - que la plupart du temps on ignore superbement le Soi ou Instant et on charge son prochain de tous les vices que l’on a manifestement soi-même, soit qu’on transfère ses péchés à un médiateur divin par le moyen de la repentance. « La distinction du bien et du mal est à l’origine du péché. On projette hors de soi son propre péché [comme Fabius], et par ignorance, on le surimpose sur l’autre [Bachar el-Assad]. La meilleure voie, c’est celle qui permet d’atteindre l’état dans lequel il n’y a plus de distinction » (Ramana Maharshi, entretien 453).

Sans faute ou péché il n’y a pas de Salut, de Salvation, pas de Rédemption.

Près de 10.000 ans de Rédemption du monde JAMAIS ATTEINTE jusqu’à ce jour !
Près de 10.000 ans de Chaos à cause du choix de la voie de l’Agriculture par les Chasseurs-Cueilleurs.
Près de 10.000 ans que l’humanité est DIVISÉE : ainsi existe une vérité qui, représentant le Salut pour les uns, signifiera l’Enfer pour les autres. Tout « universalisme » bloque sur ce terrifiant dilemme puisque sorti de l’Instant. Dilemme du dualisme source de guerres perpétuelles entre Ombre et Lumière, Bons et Méchants ou « Démocrates » contre « Terroristes », pourtant FRÈRES et SŒURS.
« Lorsque vous adhérez à un seul système philosophique, vous êtes obligé de condamner les autres », Ramana Maharshi définissant ainsi l’OPINION, dans l’entretien 40.
Ainsi il n’est de BIEN qui ne puisse susciter le mal, ni de MAL qui ne puisse engendrer de bien. Le conflit est redoutable et relève de l’Instant provoquant PAN, le TOUT ou PANIQUE, soit la CRUCIFIXION (cruci-fiction ou fiction de la croix : Point Focal ou Stargate manifestée naturellement sur Terre). Crucifier c’est être DANS le Point Focal, le Centrum Centri. Il faut pouvoir le supporter... à ce moment là, oui, on peut ressusciter (avant il se trouve naturellement un bref moment de non-mouvement).
N’en déplaise aux francs-maçons, au Siècle des Lumières ou Siècle des Perruques poudrées, un incommensurable Abyme, Abysse nous sépare encore de la RAISON ! La Rais (rayon) qui sonne. Mais de nos jours la RAISON est assimilée au LIVRE DE COMPTES (des Couilles en Or ou banquiers), ou au cochon de Consommateur, gros dans certains pays, et maigre dans d’autres.
Cette Raison, cette Lumière si chair au siècle des perruques poudrées, cette « illumination » chair aux illuminés de Bavière. Cette même raison ou lumière aussi chair dans la SOTTISE, par exemple dans la quête de connaissances des Bouvard et Pécuchet.
Le Christ attend depuis presque 2000 ans que quelques personnes veulent bien se réaliser, être Sachant : Je suis ce JE SUIS. Le Vatican et ismes = une singerie construite par l’apôtre Pierre : une église du temporel : l’église de Rome matinée de judaïsme se transformant en religion mondiale de l’homme : le DORG ou Demain On Rase Gratis, donc faire paître les brebis dans de fraîches prairies de béton armé.
Ce que cette soi-disante « conscience moderne » n’est pas capable de définir ou mesurer passe à ses yeux pour de la folie. Voilà un résultat du Siècle des Perrurques poudrées.


Laurent Fabius en tant qu’adepte de la foi de Moïse se réfère, comme sa communauté, aux tables de la Loi ou religions écrites du genre : « Tu ne dois pas », évidemment sur un ton solennel ! Cette même communauté qui a pondu les Tables de la Loi des Droits de l’Homme, soi-disant « universelle », mais qui ne sont en fait qu’une OPINION DE PLUS établissant la religion de l’homme ou pensée unique.
Laurent Fabius qui a oublié : « Qui est-ce qui agit ? », comme le questionne sans arrêt Ramana Maharshi : « Qui le dit ? ».
Ainsi Laurent Fabius en disciple de Moïse, en passant par le Christ, doit agir comme les judéo-chrétiens : on ne doit pas faire à autrui, en l’occurrence Bachar el-Assad, ce que l’on ne se ferait pas à soi-même : ici damner Bachar el-Assad en disant qu’il ne méritait pas d’être sur Terre. Laurent Fabius est un ignorant, qui par ailleurs fut impliqué dans « l’affaire du sang contaminé ». Fabius oublie certainement que Bachar el-Assad est son FRÈRE. Mais non, il divise, il sépare comme tout bon républicain ou socialiste... droite et gauche, national-socialiste, etc...

Comme souvent déjà écrit, la vraie « arme » contre le Nouvel Ordre Mondial est le Soi ou Instant, avec le rire. Ainsi NOUS DEVRIONS TOUS ÊTRE CRUCIFIÉS. Évidemment ce n’est pas possible en permanence à une humain ordinaire, car c’est tellement paniquant de frayer avec l’Instant, qu’un humain ordinaire ne peut réaliser l’Instant qu’à quelques moments de sa vie terrestre ; car faire face à une telle panique, une telle souffrance, sur Terre, ne laisse plus personne « ordinaire ». L’être devient un Sachant, un Réalisé ; il a réalisé le Soi, il ressuscite tel le Christ : Je suis ce JE SUIS.
Réaliser l’instant, le Soi peut passer par la Souffrance, la Panique issue de PAN (le Tout) : la douleur comme la COULEUR n’appartient pas à la matière mais elle est le résultat de la LUMIÈRE : les sept Couleurs de l’Arc-en-Ciel. Ainsi, tel le Christ, tel celui qui réalise l’Instant, la DOULEUR ABSOLUE est caractérisée par l’absorption par le corps (la crucifixion) de toute la Conscience survenant brutalement en un Instant. C’est ce qui s’appelle ÊTRE SURPRIS, ÊTRE PRIS DE COURT, il n’y a plus de TEMPS D’AVISER, point de RECULE, point de SÉCURITÉ et point de CONFORT. On appelle ça aussi LA CATASTROPHE, comme « Faire en catastrophe ».
La Couleur de l’Arc-en-Ciel est ascensionnelle, comme par exemple le jeu d’ombres et de lumières dans les églises romanes où l’ombre n’est pas l’envers de la lumière mais l’accompagne.
Dans la douleur absolue il y a comme un « arrêt du mouvement » (une sorte de mystère), ensuite peut venir la résurrection. La réalité Christique est véritable. Pour les Orientaux ce sera la réalité de Bouddha. Dans les deux thèmes il s’agit toujours de l’Instant ou Soi, ou Tao, peu importe le nom car ça dépend du point de vue de chacun.

Christ et Bouddha sont donc des symboles personnifiant le Soi ou Instant : l’Unité, le mariage sujet-objet ou Yin et Yang. Ainsi le Soi ou Instant représente à la fois la thèse, l’antithèse en même temps que la synthèse ! (Voir la symbolique du MANDALA ou Cercle résumant la représentation du monde et des puissances divines, donc une sorte de « Stargate »). Soi de Christ et de Bouddha n’empêche nullement l’existence des Dieux, mais enlève la tyrannie d’un Dieu monothéiste et raciste genre Yavhé. Il n’y a pas une dimension mais DES dimensions, ce qu’avaient déjà sentis les Anciens.

Douleur absolue de pénétration dans l’Instant à cause de la descente dans l’abyme de contradiction propre à la nature humaine. Mais comme l’explique Ramana Maharshi, le mental ne résout pas la Réalisation du Soi, le mental est le gros obstacle. Mais sans l’expérience de la Réalisation du Soi, on ne peut pas entrevoir le sacré ; c’est pour cela que la symbolique christique sur le caractère pécheur de l’être humain et sur le péché originel, est dans le but de montrer l’abyme de « l’ambivalence universelle ».

1 devient 2, 2 devient 3, et du troisième naît l’un comme quatrième écrit Marie la juive (Alchimiste ou soi-disant la sœur de Moïse). Ainsi Quatre a la signification du maternel et du physique ; trois du masculin et du paternel et du spirituel. « L’instabilité entre quatre et trois représente donc quelque chose comme un balancement entre le spirituel et le physique : un exemple frappant de ce que toute vérité humaine n’est qu’une avant-dernière vérité », écrit Carl Gustav Jung dans : Psychologie et Alchimie.

« Au temps suspend ton vol » est une expression populaire qui tente naïvement de réaliser l’Instant, de le fixer, donc de marier les contraires ; mais « dès que l’inconscient se manifeste leur scission commence [les contraires], comme lors de la création, car toute prise de conscience est un acte créateur et c’est de cette expérience psychologique que dérivent les symboles cosmogoniques les plus divers », écrit Jung, parlant ainsi du mental ou ego, ou dualité sujet-objet.

Ramana Maharshi insiste souvent au cours de ses entretiens sur « Qui le dit ? », car seul un être humain peut découvrir par lui-même ce qui le porte : « Je suis ce JE SUIS », qui est la base éternelle de son être. Malgré cela, la plupart des êtres humains cherchent à l'extérieur des bases ou ce qui les « fait avancer » dans leur vie terrestre. Ils sont en quête du terrain solide sur lequel ils pourraient se tenir, pain béni pour tous médias et publicitaire et propagande. Et comme aucun appui extérieur n’est capable de le leur apporter, pas même la religion du Nouvel Ordre Mondial, ils n’ont finalement que la ressource de le trouver en eux-mêmes ; ce qui paraît invraisemblable à Jung ! Mais qui lui semble néanmoins possible sous l’angle de l’inconscient, qu’il assimile ici au Soi, lequel englobe évidemment le conscient ou ego. Le Soi avec S majuscule est le Centrum Centri ou Instant, le ‘Je’ ; et le soi avec un s minuscule est le moi ou ego, ou le mental ou la conscience avec un c minuscule, le ‘je’.

Mauvais pour le Nouvel Ordre Mondial, l’Instant, le Soi lui échappe , car il ne peut ni être amélioré ni corrompu et échappe à toutes manipulations et technologies humaines.

EN RÉSUMÉ : le Soi l’Instant est là de tout temps en chacun de nous, il n’y a donc pas à le chercher, pas de but à atteindre, pas « d’élévation » ou de « rédemption » ou Salut. Seul l’ego peut se perdre : la pensée ‘je’. Le vrai ‘Je’ est « Je suis ce JE SUIS ». Personne ne peut se nier ! Et rien à perdre ni rien à gagner. Ce qui est éternel comme le Soi ne peut faire l’objet d’une expérience. « Ce qui est né doit mourir. Ce qui est acquis doit être perdu. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu » (R. Maharshi, entr. 20). La notion de « rachat des péchés » est encore une idée matérialiste comme on rachète la souffrance par le confort technologique. Et pécher c’est utiliser son mental, son ego ; en y renonçant on peut enfin s’occuper des autres.
Enfin, le seule Vraie Paix est le Soi ou Instant. C’est le bonheur et NOTRE CONDITION NATURELLE.


[En haut de page : four à pain. Il est bâtit suivant un moule en sable comme on construisait des voutes des petites pièces genre cuisines ou remises dans les châteaux du Moyen-Âge. Une fois la voute de pierres en place, on « vidait » le sable pour faire place à la petite pièce. Four à pain = 10.000 ans de consommation de céréales à cause de la voie Agriculture...]
 
 

Dernière mise à jour : 18-08-2012 01:04

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