Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Voltaire la perruque poudrée type
Voltaire la perruque poudrée type Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-09-2012 02:35

Pages vues : 9163    

Favoris : 42

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Abyme, Amour, Anarchie, Arbre, Argent, Banques, Chaos, Cinéma, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Égrégore, Esprit, Europe, Feu, Fontaine, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Occident, Opinion, Orient, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pomme, Portes, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
Hebergeur d'image
 
 
Voltaire la perruque poudrée type
Un salopard, comme la plupart des philosophes laveurs de cervelles


« S'il y a un esprit universel, doit-il être sensé ? » (Charles Fort)
Histoire de dire Merde au grand Architecte de l’Univers et à ses compas et à ses équerres.
 
 
 
RAPPEL :
Définition de la démocratie : elle consiste non pas en un gouvernement qui fait ce que la majorité veut, mais en un gouvernement qui convainc le peuple à accepter ce que le gouvernement veut, et ce que veulent surtout les banquiers. Car cette élite financière ne se base que sur des critères comptables et quantitatifs de chiffres, monétaires, sans aucune place pour l’humain et la conscience morale.


Voltaire qui protège ses comptes en banques ou son blé, au sens propre et au sens figuré.
Par conséquence, ce siècle des perruques poudrées ou siècle dit des lumières est une des plus grosses arnaques et enculage du peuple comme c’est aussi le plus gros enculage de mouches (au sens qualitatif négatif). Cela consiste en ce qu’une société dite « bien organisée » fasse travailler, ou réduise le plus grand nombre en esclavage, ce plus grand nombre nourrissant le plus petit nombre. Voilà la démocratie. Voilà la république. Voilà le gouvernement des Couilles en Or. C’est de plus la tyrannie de la majorité fabriqué par la propagande démocratique et son corolaire la déresponsabilité de l’individu.
 
C’est-à-dire avec cette république, cette démocratie, nous avons régressé par rapport à la féodalité et son système de répartition trinitaire exemplaire et énergétique :
« La force de la féodalité vient de chacune des trois classes et de ses membres individuels dans l’État », écrit Joan Evans cité par le Psychiatre A. Stocker dans : Folie et Santé du Monde. Chacune des trois classes telle la Trinité assurait la substance de l’autre tout en se complétant et en gardant sa qualité propre. Soit une trilogie en rapports analogiques, terme à terme, avec la Trinité, et dont les rapports réciproques doivent être conçus, non pas en antagonistes, mais comme étant l’Unité.
C’est la féodalité au Moyen-Âge, tout au moins au début, qui fut le plus proche de la structure essentielle de l’ordre social : Pouvoir spirituel (Oratores), Pouvoir Politique (Roi et Noblesse ou Bellatores), Pouvoir économique (Paysans ou Laboratores). Le Trois seul fait la synthèse et la Paix comme écrit justement Jean Coulonval. Le Deux, comme Droite et Gauche établit naturellement la dualité et ses guerres sans fin. « La Trinité, c’est la Paix, en chaque individu, entre individus et entre nations. Le « Deux », c’est la guerre », écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.
Et c’est au Moyen-Âge que la liberté de penser s’exerçait pleinement, contrairement à notre civilisation démocratique si conformiste. Durant le Moyen-Âge il n’y avait pas de règles pour définir le sens littéral, pas plus qu’il n’y avait de règles pour établir le texte (L’univers de l’écrit, de David R. Olson). Ce sont les « humanistes » de la Renaissance qui corrigent les textes pour « retrouver l’original », donc emprisonner le verbe sous leurs opinions. Finalement, sous l’aura même de l’Église de Rome et malgré son Inquisition et ses censures, le non conformisme et la vraie libre pensée réussit à s’exprimer follement au Moyen-Âge.
Rien de plus paradoxal et dramatique à notre époque que la libre pensée, dont la démocratie se réclame, car en triomphant la libre pensée signait son arrêt de mort : impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d'accord. Aussi le système démocratique est-il obligatoirement conformiste.

Voltaire est l’initiateur de fabriquer des esclaves afin que les riches s’en mettent plein les poches et n’en foutent pas une ramée. Cela donnera la naissance au 19è siècle de la civilisation industrielle.
Voltaire est un matérialiste pur et un crétin, exemple :
« Les écoles ont beau nous dire que Dieu est infini négativement et non privativement, formaliter et non materialiter, qu’il est le premier, le moyen et le dernier acte ; qu’il est partout sans être dans aucun lieu ; cent page de commentaires sur de pareilles définitions ne peuvent nous donner la moindre lumière [sic]. Nous n’avons ni degré, ni point d’appui pour monter à de telles connaissances. Nous sentons que nous sommes sous la main d’un être invisible : c’est tout, et nous ne pouvons faire un pas au-delà. Il y a une témérité insensée à vouloir deviner ce que c’est que cet être [sic], s’il est étendu ou non, s’il existe dans un lieu ou non, comment il existe, comment il opère ». (Dictionnaire philosophique de Voltaire)

Voltaire qui naïvement, ou inconscient, écrit dans son même dictionnaire à l’article « Politique » que : « Dans l’aristocratie l’inégalité, la supériorité se fait sentir, mais moins elle est arrogante, plus elle assure son bien-être ». Il nous décrit notre société actuelle de l'élite ! Exit « égalité-liberté-fraternité ».

À l’article « Propriété », Voltaire commence à juste raison par cette citation : liberty and property, ce qui doit découler de la City, déjà puissante à son époque. Pour Voltaire, il semble naturel que le paysan qui cultive sa terre en soi le propriétaire, comme cela se passe de la Suisse à la Chine, selon ses dires. Pour Voltaire, c’est la possession qui est bandante, qui est le eyes candy : « L’esprit de propriété double la force de l’homme ». C’est avec des opinions comme cela que nous aurons plus tard notre société de consommation et son Dieu Fric. Et comme pour renforcer l’égo et l’égoïsme, Voltaire à l’hypocrisie et la bêtise d’ajouter : « On travaille pour soi et pour sa famille avec plus de rigueur et de plaisir que pour un maître ». Oui, et le maître actuel ce sont les banques et en second l’État !!
Et Voltaire finit en salaud et en esclavagiste imbécile :
L’esclave qui est dans la puissance d’un autre, a peu d’inclination pour le mariage. Il craint souvent même de faire des esclaves comme lui. Son industrie est étouffée, son âme abrutie ; et ses forces ne s’exercent jamais dans toute leur élasticité. Le possesseur, au contraire, désire une femme qui partage son bonheur, et des enfants qui l’aident dans on travail. Son épouse et ses fils font ses richesses [plus tard il faudra ajouter : sa maison, sa télé, sa voiture, son jardin, sa piscine, etc.]. Le terrain de ce cultivateur peut devenir dix fois plus fertile qu’auparavant sous les mains d’une famille laborieuses [l’enfer de 10.000 ans de culture céréalière]. Le commerce général sera augmenté [grâce aux banquiers] ; le trésor du prince en profitera [au banquier]

Voltaire et les pauvres, qu’il nomme « Gueux », « Mendiant » (vagabond ou comme on dit maintenant marginal) :
« La gueuserie est une vermine qui s’attache à l’opulence, oui, mais il faut la secouer. Il faut que l’opulence [l’élite, les riches] fasse travailler la pauvreté ; que les hôpitaux soient pour les maladies et la vieillesse, les ateliers pour la jeunesse saine et vigoureuse ».
Sous sa perruque poudrée Voltaire est un parfait esclavagiste. Il annonce le système des juifs bolcheviks des Kolkhoze et Sovkhoze (agriculture collectiviste), mais avec Voltaire c’est privatisé et ça annonce le libéralisme.

« Tous les paysans ne seront pas riches, et il ne faut pas qu’ile le soient. On a besoin d’hommes qui n’aient que leurs bras et de la bonne volonté [il dit comme Aristote]. Mais ces hommes mêmes, qui semblent le rebut de la fortune, participeront au bonheur des autres ». [Ils seront les esclaves. Mais voltaire n’a point d’imagination, il exploite la Trinité féodale sous ses plus mauvais jours].
Esclavage transformé par Voltaire en :
« Ils seront libres de vendre leur travail à qui voudra le mieux payer. Cette liberté [esclavage] leur tiendra lieu de propriété. L’espérance certaine [sic] d’une juste salaire les soutiendra. Ils élèveront avec gaité leurs familles dans leurs métiers laborieux et utiles [incroyable !] ».

Quant à la fabrication des « droits de l’homme » en 1789, c’est une opinion de la classe bourgeoise et donc du Saint Fric tentant de gommer le passé avec au minimum 10.000 ans de vie de nos Anciens ; c’est-à-dire que ces bourgeois, ces « gens des biens » les prennent pour des cons, comme si nos Anciens étaient ignorants ou inconscients de ces « droits de l’homme ». Et on les prenaient toujours pour des cons dans la dernière mouture de cette « déclaration » en 1948, où on se permet même orgueilleusement ou plutôt selon le « peuple élu » d’ajouter « universel », transformant cette déclaration en chose religieuse messianique, en Bible républicaine et démocratique. Or tant en 1789 qu’en 1948, rien ne permet de penser que les manières de comprendre et logique de ces époques étaient, et sont toujours culturellement « universelles » ; ce ne sont que des opinions. Dans la lancée de ces « Commandements », on pondra une déclaration des droits des enfants, de la femme, des singes, des belles-mères, des culs-de-jatte, des gays, etc. Bref, la tyrannie de l’opinion du plus grand nombre.

A cette même dégradation de civilisation dans la suite de Voltaire, il faut ajouter la nouvelle Bible récente : Vatican II. Soit « la soumission de l’Église catholique au nouveau rapport de force issu de la Deuxième Guerre mondiale, à l'intérieur du camp occidental », écrit Alain Soral dans : Comprendre l’empire.
Alain Soral ajoute :
« Le gros morceau de Vatican II est sans conteste la déclaration selon laquelle « avec ceux qui, baptisés, s'honorent du nom de chrétiens, mais ne professent pas intégralement la foi ou ne conservent pas l'unité de la communion avec le successeur de Pierre, L’Église se sait unie par de multiples rapports ». Déclaration qui revient explicitement à renoncer, sur le plan théologique, à s'opposer à la Réforme protestante.
Pire encore, dans cet esprit de cohabitation fraternelle masquant, en réalité, une pure reddition théologique, est la déclaration selon laquelle, au nom des persécutions subies par les juifs à travers l'Histoire, l’Église renonce par son action à opposer la Nouvelle Alliance à l'Ancienne. Une Nouvelle Alliance accomplie pourtant explicitement par la Passion du Christ pour la dépasser et l'abolir.
Un renoncement doctrinal pour raisons politiques qui revient en fait, par une théologie de contrebande, à admettre leur coexistence. Et comme les juifs, dans le même temps, ne reconnaissent pas, eux, la Nouvelle Alliance qui nous ferait tous juifs, cette déclaration de ‘fraternité universelle’ aux relents maçonnique revient, en bonne logique, à faire purement et simplement du catholicisme, un sous produit du judaïsme en plus non reconnu par lui ! ».
Bref, l’Église n’est plus, elle est remplacé par le temple (des protestants) ou la synagogue (qui est une copie de la Maison de Vie chez les Anciens Égyptiens). L’Église n’est plus, à tel point que l’ont appelle les vrais catholiques des « intégristes », donc des gens intègres : honnêtes, incorruptibles, justes. Bref, des « terroristes ».
 
 

Dernière mise à jour : 01-09-2012 02:54

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >