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Les anglo-saxons sont fous Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-09-2012 19:35

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Abyme, Amour, Anarchie, Arbre, Argent, Banques, Chaos, Cinéma, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Égrégore, Esprit, Europe, Feu, Fontaine, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Occident, Opinion, Orient, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pomme, Portes, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Les anglo-saxons sont fous
Enfin pas tous, mais beaucoup sont atteints, et ça comprend la sphère politique des américains, tout ce monde de violences, de guerres et d’impérialisme et de dictature.
   
 
Les anglo-saxons, ces fabricants de la norme sociale « universelle » du monde selon le binaire guerrier du Winner et du Looser : plus fort que la « république universelle » des francs-maçons. Ou c’est kifkif, car l’un est à la lumière et l’autre est dans l’ombre. Toujours l’équerre et le compas des Occidentaux héritiers des ergoteurs Grecs antiques. Ces anglo-saxons qui imposent déjà au monde entier leur langue comme naguère le roi Charles 5, en 1370 imposa l’heure unique : il ordonna que toutes les cloches de France se règlent sur l’horloge du Palais Royal, qui sonne les heures et les quarts d’heures ; le libre business pouvait commencer dans le confort !

L’uniforme, l’opinion de la norme d’équerre et compas franc-maçonnique est incompatible avec la LIBERTÉ. L’être humain est : Je suis ce JE SUIS. Il est un être humain, éternel. La diversité, infinie, est le propre de la Nature, et l’humain en fait la partie.
 
En effet, les anglo-saxons veulent imposer au monde entier leur DORG (Demain On Rase Gratis ou Meilleur des mondes). Ils appellent ça aussi la « démocratie », une copie du monde des anciens ergoteurs et philosophistes grecques. Par exemple, le DORG c’est la Sainte Croissance ou la nouvelle Sainte Vierge en pilules de Big Pharma : l’Havidol, censé soigner le consommateur non compétitif : ‘troubles dysphoriques et anxieux d’attention sociale et de consommation déficitaire’. Avec tout ce salmigondis de mots/maux, inutile de dire que c’est une grosse farce illustrant cette nouvelle Saint Vierge : la Croissance. Mais cela annonce un possible futur : la pilule du bonheur pour engrosser les Couilles en Or : des pilules pour leur faire encore plus vite remplir leurs comptes en banques en engrossant la Sainte Croissance en incitant le peuple moutons à consommer comme des malades. Si cette farce de l'Havidol semble un peu grosse, et bien ça marche ! Nombre de gens en réclament à leurs fournisseurs de drogues légales habituelles : les médecins allopathes.

Si cela est de l’amusement niveau troisième de lycée des écoles du franc-maçon Jules Ferry, il n’en est pas de même de l’opinion anglo-saxonne voulant imposer au monde ses équerres et ses compas maçonniques à l’aide de leur big équerre : le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders). On est impérialiste ou on ne l’est pas si on est un bon anglo-saxon, ou un bon occidental tout court !

C’est quoi le DSM ? Mais l’équerre et le compas des anglo-saxons, mis en lumière, alors que les outils des francs-maçons sont dans l’ombre. Tous ces gens sanctionnent l’originalité. Tous ces gens mettent en prisons. D’ailleurs l’hypocrisie de cette civilisation de merde nous pond le marketing vendeur de « bio-diversité », même chose que le slogan publicitaire des années 1960 « United colors of Benetton ». Une « bio-diversité » en forme de segments de marché, comme écrit Alain Soral dans : Comprendre l’empire (anglo-saxon), segments de marché qui sont tout bon pour enrichir les Couilles en or.
Ainsi on veut protéger la « bio-diversité et on veut uniformiser la psychodiversité !! Ces compas et équerres « psychiatriques » les nouvelles Inquisitions sanctionnant l’originalité, comme naguère quand on brûlait celui ou celle qui n’était pas dans la norme de l’Église de Rome (voir le cas de Lucilio Vanini qui fut horriblement torturé à Toulouse en 1619, et auquel mon site est dédié).

La norme franc-maçonnique ou celle des anglo-saxons sont les trucs pour encourager les esclaves à être productif, car au siècle des perruques poudrées, ce salaud de Voltaire parlait ainsi des « gens pas biens » ou qui ne possédaient aucun biens : « Ils seront libres de vendre leur travail à qui voudra le mieux payer. Cette liberté leur tiendra lieu de propriété. L’espérance certaine [sic] d’une juste salaire les soutiendra. Ils élèveront avec gaité leurs familles dans leurs métiers laborieux et utiles ».
Voltaire est imbibé du mythe de l’esclave de la terre à cause du choix dramatique par les chasseurs-cueilleurs de la voie de l’Agriculture. Pour Voltaire il faut produire et vendre comme un malade.

Car qu’est-ce que c’est la médecine moderne dite « officielle » ? C’est le compas et l’équerre des Couilles en Or maçonniques et anglo-saxons destinés à « recadrer », à réparer dans leur « atelier de maintenance » les esclaves égarés et usés par une condition esclavagiste de production non humaine.
Alors les esclaves pour produire doivent avoir le sourire et les dents blanches pour aller au charbon, conformément à la norme sociale, ou plutôt socialiste façon Goulag.
 
 
 
TROUBLE MENTAL : c’est ce qui est jugé anormal par l’opinion d’un groupe de gens influents à un moment donné. Ce sont donc leur OPINION selon la MODE et la logique du moment. La « norme » concernera le social, la « civilisation » ou société. Cette norme n’existe nulle part. Par exemple au Moyen-Âge ou la libre pensée était très libre, contrairement à ce qu’on peut croire à cause de l’emprise de l’Église, il n’y avait pas de règles pour définir le sens littéral, pas plus qu’il n’y avait de règles pour établir le texte (L’univers de l’écrit, de David R. Olson). Ce sont les humains qui décident selon leur opinion qu’elle sera la norme, donc ils se comportent absolument comme des DICTATEURS.
Celui qui pond son opinion en forme de « norme » détient le pouvoir de fabrication de l’âme de ses sujets. C’est un DICTATEUR, du DIABLE en puissance.
Ne jamais oublier qu’au soi-disant pays de la liberté, les États-Unis, au 19è siècle s’industrialisant, les Nègres esclaves qui cherchaient à fuir leur condition d’esclave étaient considéré comme malades mentaux. De nos jours la situation est identique ! Mais c’est plus sournois, plus propre ou plus démocratique.




Pas besoin d’aller faire un séjour aux États-Unis ou en Angleterre pour se rendre compte, par exemple à travers les films et séries télés des usines d’Hollywood, du culte du winner et du looser issu de l’American way of life, où le mise à l’écart du looser s’impose. Ainsi l’équerre DMS, cet avénement d’un diagnostique universel de « maladie mentale », sous couverts non pas de science mais d’opinions, décide de comment il faut coller des étiquettes sur le fichier des loosers.
La non-compétitivité, la non-rentabilité, la non-intégration et la non-adaptation sociale sont sanctionnés !

Ce sont des salauds de Voltaire et de Couilles en Or qui chient le culte de la performance, et fabriquent le mal-être ou les objectifs de la norme que le looser ne parvient pas à remplir. C’est exactement le système du Goulag, je n’exagère pas ayant un peu étudié le système économique du Goulag.
Ainsi il y aura toujours des pauvres gens qui mettront leur échec professionnel sur une cause chimique ou biologique de ce qui leur tient lieu de cervelle : ils parleront de « dépression », de « manque de succès », de « baisse de motivation », toutes excuses bien dans cette civilisation du confort où la « faute » serait décrétée d’origine biologique !

Alors pour que l’esclave de Voltaire devienne plus productif, on lui fait gober un antidépresseur genre Serentil : « Contre l’anxiété née du sentiment de ne pas être à sa place, de ne pouvoir s’intégrer. Le Serentil vous permettra de vous intégrer ». On nous prend vraiment pour des marchandises, des patates avec un code-barres ! On nous prend pour des gosses.

Le fabricant du moule à humains peut désormais corriger, soit le moule, soit l’humain, soit les deux ; simplement parce qu’un individu saint d’esprit refusera de rentrer dans ce moule.
Ainsi certains se demandent si « être normal » c’est être un individu « performant » et productif doublé d’un joyeux consommateur, dans la mode du coaching. Cela revient à vouloir fabriquer uniquement des winners conforme à la norme de l’idéologie capitaliste et maintenant communiste ou mondialiste. Soit un monde « démocratique » où ne peuvent régner que le mensonge, le faux et le sournois : impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d'accord. Aussi le système démocratique est-il obligatoirement conformiste, et premier utilisateur de normes en tous genres !
Et la Norme cachée et sournoise de la démocratie est la réussite d’une civilisation néolibérale. Et cette norme sournoise est notamment le DSM. Puisque nous sommes entré dans une société d’égo et d’égoïsme de consommateurs, on valorise la « responsabilité » ou l’auto-censure ou auto-contrainte individuelle démocratique, ce qui est pareil que l’INQUISITION.

C’est-à-dire « qu’il y a la défense d’un dogme, une position intellectuelle, qui pour l’accusation, est censée être implicitement acceptée par tout le monde (la norme), comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d’une religion (c’était le cas de Galilée et c’est le cas de tout membre d’un parti, surtout communiste) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S’il le sait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, il se condamne lui-même par auto-critique. S’il ne le sait pas, c’est qu’il est fou. Pour ce genre de fous, le post-stalinisme a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. l’Inquisition les brûlait comme possédés de Satan. C’était moins barbare que les hôpitaux psychiatrique... », écrit si justement Jean Coulonval dans : Synthèse et temps Nouveaux.
La psychiatrie anglo-saxonne ne copie pas l’Inquisition, la similitude de cette auto-contrainte individuelle ou auto-censure obligée par la « libre pensée » est mentalement identique. C’est une question de « géométrie du mental » comme écrit Jean Coulonval.


En résumé : Le DSM est bien l’outil des capitalistes anglo-saxons de la City de Londres, un outil de formatage néolibéral de l’humain pour une civilisation du DORG, bref que du bonheur en pilules. On conditionne en douceur les esclaves à accepter leur servitude. On fabrique des ROBOTS : un modèle unique d’êtres humains, un modèle standard produit en quantité comme des patates avec différentes qualités.

Civilisation de merde !
 
 

Dernière mise à jour : 01-09-2012 20:18

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