Fin de la tyrannie de la QUANTITÉ
Fin des Envahisseurs
Fin du monde des « No vacancy »
Fin de la civilisation du Juke-Box

 

 

 

C’est pour bientôt, parce que la Nature, c’est-à-dire nous, ne peut en supporter plus que quelques périodes.

Le mot/maux QUANTITÉ confondu sataniquement avec universel (1).

Aussi la fin du mot « Amalgame ».

AMALGAME : de 1431, terme d’Alchimie. Mot employé dans les médias pour faire fermer la gueule de celui ou celle qui s’écarte de la pensée unique. C’est donc un outil sournois de l’Inquisition, au même titre que le puant « Plus jamais ça ».

 

Voir aussi :
Matérialisme, cervelle et comportement
Nous sommes des patates
Monde sous ordinateur
Scandale de l’Avandia

La tyrannie de la quantité s’appelle OPINION. Elle est active avec le suffrage « universel » en variation « opinion publique », et n’est qu’un effet statistique qu’on ne peut tenir en aucune façon pour un critère de « vérité ». Il n’existera jamais une opinion « vraiment vraie », si le cas se présente ne sera qu’une illusion. Le vrai ne peut être une possession, une propriété.

Il est désormais acquis que depuis l’époque de la Renaissance, l’Homme a voulu sa propre « science » (devenu une technique), bien à lui, en refusant de la recevoir comme le reflet, la lumière du Verbe.
L’Homme est devenu un robot. On est jamais aussi intelligent qu’en refusant l’intelligence, donc en refusant le mental, qui n’est qu’un outil, un système, une mécanique. Transposée en politique et avec notre avancée technologique, ça devient la mécanisation des âmes, et le viol des foules. Historiquement, l’avancée technologique donne la mécanisation sociale ayant progressé parallèlement à la mécanisation industrielle.

 

 

 

 

L’humain mécanisé et robotisé : un monde sous chimiothérapie, c’est tout bénéfice pour Big Pharma. Effectivement, la psychiatrie n’a AUCUNE fondement « scientifique », parce que simplement « La Vérité, pour l’Homme et pour chaque homme, c’est l’idée qu’il se fait de sa nature d’homme [son opinion]. Et il se trouve que, de même que l’équerre à centrer situe le centre d’une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l’Homme acquise par le discours logique, et qu’on appelle « opinion », n’a e valeur scientifique, quoi qu’elle en prétende.
En fait, la connaissance par l’Homme de sa nature humaine ne peut être une science puisque toute science naît d’un dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par ailleurs l’Homme étant ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l’Être et de l’ex-istant, il est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un « Univers » qui lui serait extérieur. C’est, géométriquement IMPOSSIBLE. C’est pure illusion satanique fondée sur le renversement des rôle entre essences et accidents », écrit si justement Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

Coulonval ajoute avec lucidité, que le règne de l’opinion en tant que critère de « vérité politique » n’a pris valeur dogmatique qu’avec la révolution de 1789, et le communisme en est la maturation historique en se parant des prédicats de l’Absolu [l’emploi du mot ‘Universel’], ce qui est fait une religion à l’envers, comme l’envers d’un cuivre repoussé. La république et sa laïcité sont une variation du thème Communisme ou Mondialisme ou système en isme professant le dogme que les accidents du monde spatio-temporel engendre les essences. Effectivement depuis 1789 le monde en crève car ce renversement des rôles entre essences et accidents est la marque infaillible du Diable, ce que maintenant de nombreux internautes aperçoivent.
Les constructeurs de systèmes intellectuels, de « ismes », comme les philosophes ou perruques poudrées du siècle des lumières ont bouffé la pomme. Les autorités de l’Église sont aussi en train de la bouffer, surtout depuis Vatican 2, en essayant de singer le monde profane moderne et en réduisant la religion au sentimentalisme social et politique (Vatican 2 ou progressistes façon ligne droite darwinienne), ou en conservatisme des formes rituelles (Monseigneur Lefebvre ).

Note.
1. il ne peut exister deux univers, deux globalités de connaissable et donc d’existant, car aucun ne pourrait alors être dit universel, parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par lui. Cela pour la même raison que, si l’on tient que Dieu est infini, il y en a nécessairement qu’un seul puisque, s’il en était deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre [sujet-objet], aucun ne pourrait être dit infini. (D’après Jean Coulonval)
D'ailleurs, la religion de l'Homme est résumé dans la 'Déclaration 'universelle' [sic] des droits de l'Homme' quand il est écrit à l'article 29 :
La liberté de l’un commence, non s’arrête, où démarre celle du voisin (division meurtrière en bien et en mal). C’est l’Ouroboros, le serpent qui se mord la queue, bref la prison dans le monde euclidien ou monde des accidents. C’est dans cet article qu’il est mentionné une seule fois le mot démocratie, comme si c’était honteux !
Cet article enferme tous les autres et les range dans le coffre-fort des Nations-Unis : même chape de plomb ou Matrice issue de la seconde guerre mondiale ; de plus ces Nations-Unis font partie de la « paroisse » des banquiers et autres maffias du mercantilisme galopant et fabricants du mondialisme, tel que :
- Bohemian Grove
- Groupe Bilderberg (englobe la finance internationale, les services secrets, le lavage de cerveaux des écoles et universités)
- Commission Trilatérale
- Club de Rome
- The Aspen Institute
- OTAN
- International Socialiste
Etc.



Les Envahisseurs (The Invaders) ou l’American way of life. Toute une époque, qui tel le cancer ronge toujours le monde. Alors, qui est réellement l’Envahisseur ? L’American way of life, la CIA et son dictionnaire d’agences gouvernementales, le Mind Control, tout cela est déjà présent dans cet épisode 1 du célèbre feuilleton US. Les années US 1950-1970 furent étrangement riches et presque intelligentes. Ça sent aussi la « guerre froide » le stalinisme n’est pas loin.