Le Wall Street judaïque coula la Russie
la Maison-Mère étant la City de Londres

Socialisme-Communisme-Capitalisme = FRIC

 

 

 

Liste de Schindler : ou PALANQUÉE : forme de palan (levage, poulies, démultiplicateur), ensemble de fardeaux réunis par une élingue (cordage dont on entoure les fardeaux pour les soulever ; filin garni de crocs utilisé pour mettre à la mer un canot léger).
PALAIGE : droit seigneurial.
PALANGUE : levier, gros bâton. PALLIS : pieu, palissade.
PALÉE : lieu fermé de pieux ; d’où : PALETER : combattre aux palissades ; d’où PALISSADE et PALICE (plus tard police ? en tous cas un lieu fermé comme la cité : polis).
PALICH : grande pelle.
PALETTE, de marchandises, de couleurs.
Tout cela donne une idée d’enveloppement, de réseaux, de contenir un contenant : la masse. Aussi la création d’un réseau actuel comme Facebook n’est pas un hasard. Il eut été extraordinaire que par exemple un Belge, une Française, ou un Italien créé un tel réseau !!! Et la finance est un système de réseau... Une religion même, un CREDO !!! Puisque ça relie, ou plutôt enchaîne les humains dans le CONFORT, le SÉCURITAIRE.

 

En fait la finance judo-anglo-saxonne coula la Russie, ce que mon père émigré russe me raconta lorsque j’étais enfant ; je ne sais d’ailleurs pas comment il s’était procuré ses informations, à l’époque il n’existait pas le livre de Sutton : Wall Street and the Bolshevik Revolution, paru en 1974.



PROGRÈS = MATÉRIALISME

« Si les sentiments et les vertus avaient suivi les mêmes progrès que l’industrie, nous serions des anges, dignes du Paradis. Il est loin d’en être ainsi », écrit avec un absolu bon-sens Mme de La Tour du Pin. Et le décalage gigantesque, en années lumière, indique que le « C’est mieux maintenant » de Michel Serres est une catastrophe, n’en déplaisent à ceux qui encense la modernité, le confort, parce que le « c’était le bon temps » est effectivement très attaquable, quand on pense seulement au travail au 19è siècle en usine où en hiver la neige s’introduit dans les trous de la toiture et tombe sur les ouvriers, que les poêles à charbon ne chauffent rien puisque la chaleur monte et s’enfuit par les trous de la toiture, que les pieds et mains des ouvriers sont fendillés d’engelures... Et à l’époque on travaillait 12 heures par jour et parfois une partie du dimanche. Oui, autrefois le confort était un grand luxe ; et de nos jours le mot « valeur » n’a plus aucun sens. Seuls les ouvriers et quelques rares patrons connaissaient le sens du mot VALEUR.

Image d’un Forgeron, le plus beau métier du monde, d’après Hyacinthe Dubreuil.
Moustachu comme un grenadier de la Garde... poilu comme un singe, ce qui se voyait par sa chemise ouverte. Voilà pour la forme. Mais le fond était d’une extrême délicatesse, notamment lorsqu’il dessinait un détail technique le crayon à la main : les traits et les courbes qu’il traçait en grâce légèreté et précision comme ceux des estampes japonaises. C’était pourtant la même main qui était capable de marteler le métal sur l’enclume, guidée par le même coup d’œil lorsqu’elle maniait le marteau ou le crayon. De plus comme en Alchimie il est question de RYTHME, il est connu que le Forgeron doit en plus « Battre le fer quand il est chaud »... sinon on ne peut pas le « modeler » ! C’est là qu’il faut « Réaliser l’Instant » !
Il faut aussi savoir que le travail de la Forge et de tout Métaux fondu exige simplement le RESPECT, ensuite une imagination et une habilité manuelle, en même temps que des bases de géométrie et d’arithmétique.
Comme Hyacinthe Dubreuil, pour moi aussi, le plus beau métier, et certainement le premier, est celui de Forgeron.

Le « C’était mieux avant » et le « C’est mieux maintenant » correspondent à la division binaire entre monde antique et monde chrétien. On le voit avec notre système de comptage des dates... que la révolution de 1789 a essayé d’effacer !

Les guerres non seulement rapportent mais sont source d’énormes bénéfices. On parle alors de « Reconstruction ». Tout est cycles.
Par exemple à la guerre de 1914-1918 les pauvres bougres devant se faire tuer ne payèrent plus leur loyer. Ils leur aurait été difficile de se battre pendant des mois et de payer tous les mois leur loyer ! Le gouvernement promulgua alors un « moratoire ». Une fois la guerre terminée, ceux qui en réchappèrent ne payèrent plus leur loyer parce que théoriquement ils étaient encore soldats : « en sursis d’appel ». Ils étaient de ce fait inattaquables. Avec la reconstruction ces « soldats » bénéficièrent d’augmentations de salaires, le résultat est que beaucoup d’ouvriers dépensèrent sans compter, facilitant du même coup la hausses des denrées. L’inflation suivait son cours ! (Ref. H. Dubreuil).

Karl Marx est né plein pot dans le 19è siècle s’industrialisant grâce à l’argent des Couilles en Or, ou riches « Liste de Schindler », comme dirait un ami. Le Moyen-Âge possédait ses Couilles en Or qui étaient les Corporations ; après 1789 voulu par les bourgeois ils s’installèrent et donnèrent le monde actuel dans lequel nous pataugeons. Ce nouveaux monde de parvenus dont profita Karl Marx s’enrichi principalement grâce aux USINES, avec un énorme problème digne de Mme de La Tour du Pin cité plus haut : leur éducation n’avait pas suivi la montée en puissance de leur richesse ! Seuls quelques patrons se montraient reconnaissant envers leurs serfs, pardon, leurs ouvriers, et inaugurèrent le paternalisme. Hyacinthe Dubreuil ne manque pas de citer dans son livre : J'ai fini ma journée, un certain Dollfus, de Mulhouse.
Le mondialisme se mettant en place très sérieusement. Voir la page L’Alsace juive depuis la révolution de 1789.

À ce départ du mondialisme qui devait tant impressionner Marx et ses suiveurs Lénine & Co. (il suffit de voir des affiches de propagande soviétique des années 1930-1940), la poussée fut encore plus grande avec la naissance de l’industrie de la vitesse : chemin de fer, automobile, navigation, aviation, électrification et téléphone. Des industries comme Decauville et De Dion-Bouton, Weyer-Richmond, Serpollet se constituèrent. On entrait dans l’hésitation thermodynamique entre vapeur, et pétrole ou essence ! Léon Serpollet fabriqua des voitures à vapeur. À l’époque et jusqu’en 1914 on hésitait à passer au « moteur à pétrole ».

Voilà le décor dans lequel vécu Karl Max qui prôna tant le prolétariat ou un estomac prolongé par un sexe mâle ou femelle ; donc la masse, le communisme, le mondialisme moderne ou une seule « nation ». Les anglo-saxons et leur banquiers tous membres de la « Liste de Schindler » de Wall Street allaient financer la révolution juive bolcheviks de 1917. La encore mon père m’a toujours dit que c’était un coup des Anglais ! Il était dans la vérité !
« Liste de Schindler » comprenant bien-sûr les Rothschild et les Rockefeller, mais aussi les J.P. Morgan, les Jacob Schiff, les Paul Warburg et James Warburg qui déclara le 17 février 1950, au Comité des affaires étrangères du Sénat des États-Unis : « Nous aurons un gouvernement mondial que nous l'aimions ou pas. La question est seulement si nous l'aurons par consentement ou par conquête ».

Il faut savoir que la première ambassade bolchevik fut à New York ! et dans le bâtiment où se trouvaient toutes les « Liste de Schindler » de Wall Street. La première banque soviétique créée dans les années 1920 fut la Ruskombank dirigée par un juif suédois Olof Aschberg (encore une LS ou Liste de Schindler), très lié au monde anglo-saxon, avec un représentant à Londres. Tous ces LS travaillèrent mains dans la main à fomenter le révolution russe de 1917. Tout ça pour établir le mondialisme actuel en train de se mettre en marche. Les mots communisme ou socialisme possèdent le même sens que mondialisme.

La Danse avec le Diable, comme le titre du livre de Günther Schwab, est ceux qui mène cette Danse : la « Liste de Schindler » et l’élite commerçante anglo-saxonne. Il faut dire les choses telles quelles sont tout en respectant les personnes.
La création de la FED fait aussi la partie de la Danse avec le Diable, une FED créée en partie par Paul Warburg. On retrouve toujours la LS (Liste de Schindler).

Il y a deux branches Warburg :
- Max Warburg était la branche allemande en cheville avec l’Angleterre passant par la Hollande. Voir l’empire IG Farben (Agfa), dont Max Warburg fut directeur.
- Paul Warburg était la branche américaine et le premier patron de la FED, qui est une banque privée, donc indépendante de n’importe quel pouvoir politique, et qui fabrique les billets. Ainsi on peut admirer la puissance, le pouvoir colossal des LS, vraiment « le peuple élu » ! Après la création de la FED se créé un Grand Temple de l’opinion (think tank) : le CFR (Council on Foreign Relations). Et à la tête du CFR on retrouve encore et toujours une palanquée de membres de la LS (Liste de Schindler).


[En haut de page : une Serpollet de 1901).