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Hataraki Man Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-09-2008 21:21

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Publié dans : Sommaire JDramas, Sommaire Dramas du JAPON

Tags : Dramas, Hataraki Man, Japon

 
Hataraki Man 働きマン
 
 
 
 
http://wiki.d-addicts.com/Hataraki_Man

Official site : http://www.ntv.co.jp/hatarakiman/

Il existe aussi une japanimation (voir la petite vidéo ci-dessus) portant le même titre, et avec Matsukata Hiroko confronté à ses mêmes tracas ; voir par exemple sur Manga-Arigatou

Drama de 11 épisodes diffusé au Japon sur NTV en 2007.

L’histoire tourne autour de Matsukata Hiroko (joué par Kanno Miho), la rédactrice en chef d’un magazine hebdomadaire. Ses collègues de travail la surnomment « hataraki man » (working man, sorte de travailleuse de force, genre femme forte travailleuse de l’ancien régime soviétique, mais en nettement plus belle ! Une Superwoman quoi). Cette Superwoman, comme son modèle américain, va offrir des prises pour le scénariste... Attention, elle est Superwoman japonaise, alors ça cache de la poésie et de l’émotion, nous ne sommes pas au pays des big boys with big toys with the big black wallets.
 
 
 
S’arroser, s’habiller, non je veux dire se maquiller, s’habiller, arroser la plante, tel est ce que fait la belle Matsukata Hiroko, 28 ans, avant de se rendre à son job, dans la Gotansha Publishing Company. On ne peut pas dire qu’ils font des économies d’énergie dans leur salle de rédaction, tellement elle est éclairé.
Drama speed, magazine-drama, milieu de la presse où on mange tout en travaillant, ce que fait Hiroko.
Le Newly-hired Editor (un pigiste ?), Tanaka Kunio, 22 ans, est joué par Hayami Mokomichi, le beau robot mâle de Zettai Kareshi.
Ce monde des médias est le même que dans le drama Suppli, où il s’agissait d’une entreprise de publicité tout aussi speedé...

Aussi je remet l’annonce de faire attention aux médias et à la pensée unique :
 
Petit rappel ou INQUISITION MODERNE (valable pour beaucoup de trucs) :

Contrôle de la pensée.

* le chercheur qui dérange perd sa place ;
* l'universitaire qui ne pense pas comme tout le monde perd son poste ;
* l'écrivain qui émet une opinion insolite est censuré ;
* le dirigeant sportif qui veut que ses élèves soient bien dans leur peau et tous heureux de pratiquer, au détriment des médailles, est remplacé.

En résumé, tout ce qui dérange la «pensée unique», destinée à mondialiser l'économie, c'est-à-dire à concentrer les profits dans quelques mains, est balayé.
 
 
 
Pour en revenir à Suppli, c’est le même genre de salariwoman ici : tout pour le boulot, rien pour la vie tout court...
L’habitude du stéréotype au Japon : l’uniforme que les japonais portent à l’école se retrouve quand ils sont adultes et vaccinés : tous le même costume gris sombre dans le métro !... Ça doit être pareil quand ils se retrouvent dans la tombe... J’ai oublié un détail important, comme tout les détails, seul la cravate offre une petite variante de couleur sous leur costume sombre. Ils me font penser à des clones. Mais c’est étonnant, car l’austérité de leur uniforme contraste avec la poésie de leur travail dans leurs dramas et leurs films par exemple.
 
 
 
Le petit ami de Hiroko est Yamashiro Shinji, 28 ans (joué par Yoshizawa Hisashi), il est entrepreneur général dans le bâtiment.
Hiroko doit réaliser l’interview du Ministre japonais des Affaires étrangères : Hoshikawa Hikaru. On l’expédie un peu sur les roses, et c’est une personne de l’entourage du ministre, sa secrétaire, qui lui accorde un entretient privé, où elle lui révèle l’implication du ministre dans des détournements de fonds. Grand moment journalistique pour Hiroko. Il ne lui reste plus qu’à se mettre en mode « hataraki man », testostérone en plus ou en moins.... mais avec le don d’ubiquité, pour réaliser ce scoop. L’article est publié, et bien-sûr on essaye de faire passer pour des menteuses la secrétaire du ministre et Hiroko. Mais révéler des vérités est aussi très dangereux ! Aussi Hiroko en rentrant chez elle a l’impression d’être suivit par des personnes qui « veulent sa peau ».
Sous son apparence de Superwoman dans le job, Hiroko cache bien une grande fragilité.

L’image est souvent soutenu par une musique dans le style de Byakuyakou, la réalisation est pro, mais sans plus et quelconque.   
Une étoile pour la belle Kanno Miho, et une étoile pour le bel Hayami Mokomichi. Ça se laisse voir et c’est plutôt une comédie, enfin je n’ai pas été enthousiasmé.

M. R.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Dernière mise à jour : 12-09-2008 21:37

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