Depuis 1789, nous sommes à l’R air des OPINIONS, et l’air R pénètre partout comme l’Huile, comme l’Huile de Pierre ou pétrole, maîtresse ou princesse de ce monde. Le fric nous a envahi. L’R ou air du temps, opinion, est capable de FIXER les esprits en une pensée unique, mortelle, car fixée, sans circulation ou mouvement.

Le pouvoir actuel occidental judéo-franc-maçonnique atlantico-sioniste tente de détruire la famille chrétienne catholique et islamique, mais surtout pas la famille ou tribu juive !

 

En ce débit, ce début de l’année 2013, en France, pays de traditions (évidemment avant la Renaissance, avant 1789 et le siècle des lumières), le pouvoir actuel essaye de détruire la famille. D’un autre côté, le pouvoir par le « mariage gay ou pour tous » essaye d’avoir un maximum de contrôle sur la population : « lien du mariage »... dans le mauvais sens du terme.

Famille = Liens, aides et Soutiens.

Mais la franc-maçonnerie partisane de « liberté » ou Royaume de Dieu sur Terre imagine dans son opinion que c’est une chaîne trop solide et surtout réservé à un petit nombre ; cette franc-maçonnerie veut une FAMILLE MONDIALE (le communisme ou socialisme). On parle aussi du « poids de la famille »... Le mariage gay ce sera le renforcement du PLAISIR (gay et gai, sens de rapide et vif), et donc de son CONTRAIRE la DOULEUR. Seul un ‘sans passion’ peut être chef de famille. Aussi il est normal qu’il reçoive comme épouse [époux] un, une vierge comme épouse ou époux ou maîtresse [maître] de maison. (Ramana Maharshi, référence à l’entretien 411).

FAMILLE : de 1337, du latin familia, de famulus : serviteur, donc notion d’humilité dans le sens positif pouvant se transformer en négativité : esclavage.
Sens moderne simplifié : Les personnes apparentées vivant sous le même toit, et spécialement le père, la mère et les enfants (réf. dictionnaire Le Robert). Avec le « mariage gay » il faudra changer les dicos !!!
Parce que le mot Famille est une variation du thème : MAISON (foyer ou Point focal, bercail ou berceau, nid, là où on est né). On parle aussi de RACE, de DYNASTIE ou MAISON (royale, etc.), de PATRIE PATRIARCAL PATRIARCHE et PATRIMOINE ; et la patrie est ce que le mondialisme veut supprimer. On parle aussi de TRIBU. Le LIT est comme une Famille, le lit du courant de la rivière... Le PIEU, aller au pieu pour se reposer, pour retrouver son AXE.

FAMILLE possède le sens d’INTIMITÉ, de FAMILIER, de REPÈRE : le Pieu, l’Axe.
FAMELIÈRES : familier, conseiller intime, comme les rêves.
FAMILIER : qui est attaché au service de quelqu’un, domestique, serviteur.

Le mot CONTRAIRE est du thème de la Famille : CONTRAIRE et cependant inséparable, car les Contraires se soutiennent l’un et l’autre. Il n’y a pas de « guerre » entre eux.
Ne pas isoler, voir l’ensemble.
Avec le « mariage gay », on s’éloigne de plus en plus de l’Instant, du Soi ; beaucoup de gens ne ressentirons plus LES CONTRAIRES. Nous courons à la catastrophe. Le célèbre principe alchimique ne voudra plus rien dire : « Chaque chose fuit son contraire et se réjouit de son semblable », ou « Nature jouit/contient Nature, ou principe d’identité » (signature).
Il n’y aura plus le REBIS des Philosophes : fait de 2 choses de sens contraires + et – ou mâle et femelle, c’est-à-dire du dissolvant et du corps dissoluble.
Il y a bien un moteur à deux sens. Le – attire le + : pour garder un troupeau de moutons, il faudrait un autre mouton (similitude) ; et bien non, on place un BERGER pour garder les moutons, un conducteur (analogie, hétérogène). (Voir la Doctrine Secrète. Tome 3, page 467, de H.P. Blavatsky).
Le « mariage gay » est le parfait outil pour l’introduction de la Novlangue, pour la destruction du Taiji et les repères ou énergies comme : « L’eau coule vers ce qui est humide. Le feu coule vers ce qui est sec. (Yi-King). Les deux éléments sont différents mais semblable, car ils coulent tous les deux ».

- Question : Je suis chef de famille. Est-il possible, en ayant une famille, de se réaliser [le Soi] et si oui, comment ?
- Maharshi : Qu’est-ce qu’une famille ? À qui est la famille ? Si vous trouvez les réponses à ces questions, toutes les autres questions se résoudront d’elles-mêmes.
Dites-moi : êtes-vous dans la famille ou bien la famille est-elle en vous ?
- Le visiteur ne répondit pas.
- Maharshi : Qui êtes-vous ? Vous réunissez en vous trois aspects de la vie, les états de veille, de rêve et de sommeil profond. Vous n’étiez pas conscient de votre famille et de vos liens avec elle dans votre sommeil, si bien que ces questions ne se sont pas posées. Maintenant, vous êtes conscient de la famille et des liens et c’est pourquoi vous cherchez à en être délivré. Mais vous restez la même personne tout au long des trois états.
- Question : Parce que je me sens maintenant impliqué dans la famille, il est normal que je cherche à m’en libérer [poids de la famille].
- Maharshi : Vous avez raison. Mais réfléchissez et dites-moi : Êtes-vous dans la famille ou la famille est-elle en vous ?
- Un autre Visiteur : Qu’est-ce que la famille ?
- Maharshi : Nous y voilà. il faut le trouver.
- Question : Il y a ma femme et il y a mes enfants. Ils dépendent de moi. C’est cela la famille [le seigneur et les serfs].
- Maharshi : Les membres de la famille vous lient-ils à eux ou bien est-ce vous qui vous liez à eux ? Viennent-ils vous dire : « Nous sommes votre famille ; restez avec nous », ou bien est-ce vous qui les considérez comme votre famille et qui êtes lié à eux ?
- Question : Je les considère comme ma famille et je me sens lié à eux.
- Maharshi : Fort bien. C’est parce que vous pensez qu’une telle personne est votre femme et telles autres sont vos enfants que vous pensez aussi être lié à elles.
Ces pensées sont les vôtres. C’est à vous qu’elle doivent leur existence. Vous pouvez entretenir ces pensées ou les laisser de côté. Dans le premier cas, c’est être lié, dans le second, c’est être libéré.
- Question : Ce n’est pas tout à fait clair pour moi.
- Maharshi : Il vous faut exister pour pouvoir penser. Vous pouvez avoir telles ou telles pensées. Les pensées changent, mais pas vous, vous ne changez pas. laissez passer les pensées et accrochez-vous au Soi immuable. Ce sont les pensées qui vous lient. Si vous les abandonnez, vous vous libérez. Le fait d’être lié n’est pas extérieur. [Donc le « mariage gay » sera une prison de plus et surtout un moyen de contrôle de plus de l’État, et prochainement du Nouvel Ordre Mondial].
Par conséquent, il n’est pas utile de chercher un remède extérieur pour être libéré [remède extérieur s’entend par une « assistance » d’État ou légalisation de « mariage gay »]. Vous avez le choix : soit de penser et être lié [mariage gay ou pour tous], soit de cesser de penser et être libre.
- Question : Mais ce n’est pas facile de rester sans penser.
- Maharshi : Vous n’avez pas besoin de cesser de penser. Pensez seulement à la racine des pensées. Cherchez-la et trouvez-la. Le Soi resplendit de lui-même. Quand vous l’aurez trouvé, les pensées cesseront d’elles-mêmes. C’est la libération de la servitude.
- Question : Oui. Je comprends maintenant. Je l’ai appris tout au moins. Un guru est-il nécessaire ?
- Maharshi : Tant que vous vous prenez pour un individu, un guru est nécessaire pour vous montrer que vous n’êtes pas lié par des limitations mais que votre nature est d’être libre.
(Entretien 524, du 2 octobre 1938).

Le « mariage gay » renforcera le LIEN, la CHAÎNE au Nouvel Ordre Mondial ou mondialisme, c’est pour ça que la franc-maçonnerie est pour ce « mariage pour tous ». Cette CHAÎNE empêchera tout simplement d’aller vers la délivrance, ou spiritualité, ou LIBÉRATION :

« Le banquet spirituel est commun à tous et n’est refusé à personne - vieux ou jeune, homme ou femme ». (Entretien 251). Mais cela n’a rien à voir avec le « mariage pour tous ».

- Question : Mais nous sommes dans le monde. Nous avons famille, femme, enfants et amis. Nous ne pouvons pas ignorer leur existence et nous résigner à la volonté divine sans retenir quelque parcelle de notre personnalité.
- Maharshi : Cela prouve que vous ne vous êtes pas complètement abandonné à la volonté divine comme vous le prétendez. Vous ne devez avoir confiance qu’en Dieu [Soi ou Instant].
(Entretien 43, du 28 mars 1935).

« C’est l’ego qui est la source des pensées. Il crée votre corps et le monde et vous fait croire que vous êtes un « chef de famille ».
« L’obstacle, c’est le mental. Il doit être dépassé, que l’on reste chez soi ou que l’on se retire dans une forêt... Vos efforts peuvent s’accomplir dès maintenant quel que soit le milieu où vous êtes ».
(Entretien 54)

La Famille chez Lie Tseu, dans le Traité du Vide parfait :
ÊTRE AU PLUS PRÈS DE L’INSTANT.
« La mort de son fils n’affligea nullement le Liangois [habitant du Liang] Wu de la Porte de l’Est.
- L’intendant : Nul au monde n’aime son fils autant que vous aimiez le vôtre. Pourquoi n’êtes-vous pas affligé de sa mort ?
- Wu : Je n’ai plus de fils. Je n’étais pas affligé lorsque je n’avais pas de fils. Mon fils est mort. La situation est identique à celle où je n’avais pas de fils. Pourquoi serais-je affligé ? » (Lie Tseu, Nature et Destin).
‘Wu de la Porte de l’Est’ s’est libéré de ses souvenirs pour vivre le seul moment présent. Il a retrouvé son état naturel. Il est libéré du monde des accidents ou monde spatio-temporel.

La FAMILLE, une valeur oubliée, par Hyacinthe Dubreuil, dans son livre : J’ai fini ma journée.

Hyacinthe Dubreuil explique que sous couvert de « protection sociale » [surement provenant des francs-maçons !], il faut mentionner le problème de la « retraite » qui hypnotise tant les Français. Dubreuil écrit qu’une certaine hypocrisie règne au sujet du « départ à la retraite ». Mais à l’époque où Dubreuil écrit son livre (paru en juin 1971), il est plutôt question de raccourcir le temps de travail alors que maintenant c’est plutôt son allongement ! Là encore, toujours le fric. Dubreuil écrit justement que pour résoudre le problème de la retraite il faudrait revenir à la tradition : LA FAMILLE : « se souvenir que, depuis le commencement des temps, la vie des vieillards a été tout simplement assurée dans la famille, c’est-à-dire sans mécanique administrative [d’État] ». Dans la Nature, le mâle va à l’extérieur cherchez la nourriture et se met au besoin en position de combat pour protéger son nid [sa maison], pendant que la femelle y reste avec ses petits. Mais la naissance de la civilisation industrielle au 19è siècle a commencé par prendre la femme après avoir pris l’homme, tendant ainsi à détruire déjà la famille. Le « mariage gay » n’est qu’une miette de pain parmi les pièces du puzzle du Nouvel Ordre Mondial !
« Ne dit-on pas que les dirigeants chinois d’aujourd’hui s’efforcent de détruire le sentiment de la famille qui avait assuré depuis deux mille ans à ce pays une continuité et une stabilité qui n’a pas d’autre exemple dans le monde. Le résultat de la destruction de la famille est de compromettre gravement l’éducation des enfants, et d’autre part de réduire le vieillard à l’état de résidu gênant... », écrit Dubreuil.
Et le « mariage gay » s’inscrit dans l’optique lointaine « d’achever les vieux » qui ne rapportent plus aucun fric et coûtent trop cher à cette société capitalo-communiste ou mondialisme.

Dubreuil ajoute ce constat de son époque : « La destruction des sentiments naturels qui devraient assurer la subsistance des vieillards est confirmée par les propos que tiennent même des personnes âgées, qui disent qu’elles ne veulent pas être à la charge de leurs enfants. C’est la marque de l’oubli complet de ce qui s’est fait de tout temps, c’est-à-dire bien avant qu’on ne poursuive la chimère d’assurer pleinement le sort des vieillards par des pensions ou quelque système de secours administratif... L’Histoire atteste le respect que l’on portait aux « anciens », dans le temps où l’on admettait le vieillard à la table familiale, avec le même naturel que l’on donne à l’enfant son premier biberon, sans lui demander s’il a préalablement versé les cotisations nécessaires.
L’influence de l’ambiance est telle que l’on peut entendre des gens qui s’érigent en défenseurs de la famille et qui, loin de protester contre le travail de la femme, parlent eux aussi de sa « liberté » et se réjouissent contradictoirement de son entrée dans les professions les plus variées. Ces personnes semblent ignorer que les usines où tant de femmes entrent maintenant sont de véritables pourrissoirs ».

Pour justifier l’institution de la retraite le pouvoir étatique déclare qu’il n’est plus possible de compter sur la solidarité familiale pour assurer régulièrement la « sécurité sociale ». Comme l’écrit Dubreuil : « Il faudrait mieux entreprendre, par une éducation appropriée, destinée à faire revivre les vertus antiques, rendre à la famille les capacités qu’elle serait seule à pouvoir mettre en œuvre ». Et l’administration ou dictature d’État n’est que froideur et robotisation par laquelle « il n’est plus besoin d’aimer son prochain ». Je rappel que la trinité franc-maçonnique « liberté-égalité-fraternité » est une escroquerie inscrite sur la façade des écoles franc-maçonnique, des mairies et autres institutions.
1789 et sa république a effacé plus de deux mille ans d’enseignement moral et religieux que nous avaient donné nos Anciens.

De nos jours nourrir un vieillard ne coûte pas cher, mais c’est le logement de citadin, de citoyen, qui ne permet plus de pratiquer l’hospitalité de ses vieux, ni l’hospitalité du malheureux.
Autre problème, la fluctuation et incertitude de la monnaie en périodes de troubles politique. Dubreuil cite un de ses oncles qui réussit à assurer ses vieux jours avec des ressources modestes... que dissipa comme pour tant d’autres, l’inflation qui suivit la guerre de 1914. Il fut contraint de se réfugier dans un asile ou dépotoirs à vieillards : vaste dortoir et promiscuité... J’ai vu un de ces dépotoirs dans les années 1970 : endroit sombre et sinistre, de quoi achever par tristesse et désespoir les vieux plus rapidement.
Et que dire des injustices et non égalité actuelles face au coût de séjour dans des maisons de retraite ! L’abaissement de l’esprit de solidarité est tel, qu’on laisse plus ou moins de côté le problème des vieux avant d’en finir pour une euthanasie déguisée. Depuis 1789 la société n’est plus humaine mais uniquement matérialiste et mercantile. Dans cette civilisation robotisée et industrielle le retour à une situation multi millénaires est devenu contraire à notre logique de penser et à nos mœurs. Pourtant, la religion chrétienne bien avant les francs-maçons disait qu’il fallait s’aimer les uns les autres, et c’était le cas tout au long du Moyen-Âge.

Avec cette infâme franc-maçonnerie spéculative né à Londres en 1717 et fabricante du « socialisme matérialiste », nous sommes libre d’être dans un total isolement individualiste, ainsi nous serons « libres », libérés de la préoccupation d’aimer nos frères (référence à Hyacinthe Dubreuil). Il dit très justement que c’est le spectacle de notre civilisation d’assurés, donc vivant dans le CONFORT, où les liens de la solidarité semblent s’affaiblir en proportion de la sécurité que l’on croit acquise. Et depuis le 11 septembre 2001 c’est pire.
Selon Dubreuil, la famille a vraiment été détruite à la guerre de 1914-1918 : pendant quatre années, le père était aux armées, les mères étaient en grand nombre dans les usines, et les enfants... à la rue. D’autre part, le gréviste d’avant 1914 n’aurait jamais eu l’idée de réclamer le paiement des jours de grève, de se faire payer pour du travail qu’il n’aurait point fait... Nous n’étions pas tout à fait dans cette civilisation du confort.
Dubreuil en parle de ce confort, ou plutôt de ce non-confort actuel : « le comportement social de la population d’aujourd’hui est tout à fait différent de ces temps où régnait encore une certaine « douceur de vivre ». Et pourtant maintenant les ouvriers ont leur voiture, leur ordinateur et leur télé à écran plat et toute la batterie de cuisine pour entretenir la maisonnée.

« Au lieu de préparer la jeunesse à affronter les aventures, on ne lui offre que de consommer du papier [et de nos jours des écrans d’ordinateurs]. On lui fait écouter passivement des conférences. On lui fait espérer des diplômes qui la mettront à l’abri  de tout risque », écrit Dubreuil.



Roue, Rosace et Moyeu se confondent en CENTRE COSMIQUE ou SOI. Le RETOUR à l’Origine, au Point Focal ou Soi Instant. En Alchimie le PASSAGE est la Putréfaction ou dissolution : la nuit étant la source de la lumière. Donc retrouver les ESSENCES.

Trente rayons convergent au moyen
mais c’est le Vide médian
qui fait marcher le char.

On façonne l’argile pour en faire des vases,
mais c’est du Vide interne
que dépend leur usage.

Une maison est percée de portes et de fenêtres,
c’est encore le Vide
qui permet l’habitat.

L’Être donne de possibilités,
c’est par le non-êtres qu’on les utilise.
(Lao-tseu, Verset 11, trad. Liou Kia-hway)

On retrouve toujours le Soi ou Instant.
La Rosée résout les Contraires :
Le Tao n’a pas de nom.
Bien que son fond soit minuscule,
le monde entier n’ose pas l’assujettir.

Si les princes ou les seigneurs pouvaient adhérer au Tao
tous les êtres du monde se soumettraient à eux.
Le ciel et la terre s’uniraient
pour faire descendre une douce rosée,
les peuples sans contrainte aucune
se pacifieraient d’eux-mêmes.

Qui inaugure une institution en établit les diverses fonctions.

Les fonctions une fois établis,
il faut arrêter leur multiplication.
Qui sait arrêter à temps cette multiplication
peut conjurer toute catastrophe.

Le Tao est à l’univers
ce que les ruisseaux et les vallées sont au fleuve
et à la mer.
(Lao-tseu, Verset 32).

La ROSÉE [RUSEE] reçoit l’énergie des Forces Éthériques.
Énergie provenant de tout ce qui se balade dans la Matière de l’Air. Énergie provenant de tout ce qui se balade dans la Matière de l’Air. Énergie parce que la Rosée est attirée par ce qui est en haut. (Absence de pesanteur ou antigravitation).
La couleur ROUGE est proche de ROSE : mélange du Rouge du Passé (Adam) avec le Blanc de l’Instant. La Rose est une des fleurs préférées des Alchimistes.
ROSE = OR ou GRAAL ou CHRIST, soit ce qui source de l’Instant : Eau Primordiale, Mandala, etc.

 

 

[En haut de page : extrait de mon arbre généalogique du côté Russie]