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Pas Un Dieu, mais DES DIEUX Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 04-02-2013 23:04

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Pas Un Dieu, mais DES DIEUX
Or en Occident
la Loi Noachide veut nous imposer UN Dieu
Ce sera une nouvelle mouture de
la tyrannie du monothéisme
ou « peuple élu » et des « Gentils »
contre les « non élus »
 
 
 
Voir aussi la page : Contrepoison pour 1789 et 1917
Rappel de cette Loi Noachide (ou Lois Noahides) à la sauce rabbinique déformant le sens du Père Noé :
Commandements rabbiniques :
- établir des tribunaux ;
- interdiction de blasphémer ;
- interdiction de l’idolâtrie ;
- interdiction des unions illicites ; (alors pas de « mariage gay »)
- interdiction de l’assassinat ;
- interdiction du vol ;
- interdiction de manger la chair arrachée à un animal vivant.

Le monothéisme nous a déjà donné le communisme, mais à l’envers ! Et il est en train de récidiver depuis 1945 jusqu’au 11 septembre 2001 avec son Nouvel Ordre Mondial ou mondialisme. Le France décline lentement en devenant une province de l’USionistan-Israël dictature, c’est parti de plus bel avec l’aventure au Mali, la dégringolade et dégénérescence avec le « mariage gay ou pour tous », la PMA (procréation médicale assistée) et la GPA (gestation pour autrui).
Avec le Père Noé, nombreux sont ceux qui se prétendent les descendants de sa semence... et des Anunnaki !
 
 
Pas Un Dieu, mais DES DIEUX

DIEU : Di-deux et EU, donc trois par conséquence. Les Juifs ont tout faux !!! À Dieu s’ajoute naturellement la Trinité, le Triangle ou première figure fermée ou Circulus ou Circumincession.
Qui dit « Dieu » dit plusieurs, car qui dit « Lumière » fait naître l’Ombre, et qui fait naître l’Ombre « décoche le feuillage qui voile le Soleil, et alors Arbres ; et Racines alors ; et Terre et Eau, et Herbes et maintes autres Images qui sont Formes de tous les Territoires et de leur Ciel », Le Manuscrit des Paroles du Druide sans Nom et sans Visage, Emmanuel-Yves Monin.

Les NOUVELLES tribus des Juifs clament : « un seul Dieu », mais y adjoignent les « Faux Dieux » des « autres », ceux qui ne sont pas « peuple élu » ; ces « Faux Dieux » qu’ils appellent « idoles » ; car avec leur Lois Noachides ils ne savent pas ce que sont les Dieux, car comme les francs-maçons ils ne savent point ce qu’est DIEU.
Nouvelles tribus des Juifs, car avant eux il en exista naturellement un nombre incalculable d’autres.
Si les Juifs attendent leur Messie, d’autres attendent le retour de leurs Dieux.
Le premier tyran connu du monothéisme fut le reptilien Akhénaton au corps étrange. Ce rongé par le pouvoir ruina l’Égypte. Voir aussi la page : Isis - Râ - El.
Akhénaton réforme la religion surtout à cause de la politique : il s’agissait pour la royauté d’établir une forme de laïcité avant celle de la franc-maçonnerie spéculative : se dégager de la tutelle étouffante du clergé d’Amon, enrichi par les victoires des grands pharaons guerriers depuis Thoutmosis III. Akhénaton quitta la capitale d’alors Thèbes, pour fonder une capitale nouvelle à Amarna : Akhetaton. Cela dura vingt ans, l’Égypte perdit son empire d’Asie, et le successeur d’Akhénaton revint à Thèbes. Cet épisode fut, selon les égyptologues, un grand retentissement dans l’art égyptien.
Ne pas oublier qu’Akhénaton rongé par le pouvoir, pour arriver à ses fins et contrer le clergé adopta une politique d’hostilité : il fit détruire les idoles d’Amon, dont la racine nous donna AMEN, soit ce qui est caché en toutes choses : l’INSTANT, car Amon fonctionne avec MAÂT : ce qui est directe, instantané. Amon est créateur des autres Dieux, il est éternel et n’a ni commencement ni fin ; ainsi il représente le SOI ou INSTANT. C’est cela qu’a voulu détruire Akhénaton, effectivement très en parallèle avec les événements actuels : Israël, Nouvel Ordre Mondial et compagnie.
Le mot AMEN symbolise également l’Instant, dans l’Apocalypse, le Christ est appelé l’Amen (3, 14). De plus, le mot AMEN est à rapprocher de AUM. L’un et l’autre possèdent le même sens de l’INSTANT.

AUM ou OM est le premier mantra, l’un des plus puissant et le plus célèbre de la tradition indienne. AUM est la syllabe sacrée ; l’unité en trois lettres : donc la Trinité en un. Cette TRINITÉ qu’on nomme aussi TRIMURTI (en sanskrit en Inde) : « Les « trois visages » ou la « triple forme » – la Trinité. Dans le Panthéon moderne, ces trois personnes sont Brahmâ, le créateur, Vishnu, le conservateur, et Śiva, le destructeur. Mais c’est une présentation postérieure, car dans les Védas ni Brahmâ ni Śiva ne sont connus, et la trinité védique se compose d’Agni, de Vâyu et de Sûrya, ou comme le Nirukta l’explique, le feu terrestre, le feu atmosphérique (ou aérien), et le feu céleste, puisqu’Agni est le dieu du feu, Vâyu celui de l’air, et que Sûrya est le soleil... Le fait est que les trois « personnes » de la Trimûrti sont simplement les trois gunas qualifiées ou attributs de l’univers de l’Esprit-Matière différencié, qui-se-forme-lui-même, qui-se-conserve-lui-même, qui-se-détruit-lui-même à des fins de régénération et de perfectibilité » (extrait de l’article Trimurti, dans le Glossaire théosophique de H.P. Blavatsky).

AUM résume le Souffle créateur : Aum terre ! Atmosphère ! Ciel !
Étant le son primordial, le Verbe de l’univers, son énoncé contient une charge énergétique considérable et extraordinairement efficace en vue de la transformation spirituelle. Exprimer le « son de Dieu » c’est le diviniser. La Trinité se reflète dans les trois lettres de AUM : rythme ternaire si important dans la pensée, l’organisation du monde et la cosmogonie indienne, par exemple comme en Chine il y a trois monde : la terre, le ciel, l’espace (en Chine : terre, homme, ciel) ; et l’humanité est divisé en trois castes : tiers état, noblesse, clergé, à l’égal de la personne humaine, faite du corps, de la pensée, de l’âme (parallèle avec le Moyen-Âge : Laboratores ou Corpus, Bellatores ou Anima, Oratore ou Spiritus).
Le mot AMEN terminant les prières symbolise comme AUM le vœu final de la prière, le souffle créateur appelé pour exaucer la prière. AUM, AMEN sont proches de AURA (lumière divine dans le thème du TORE)

Hymne à Amon (Papyrus 17 du Caire du Musée de Boulaq, trad. André Barucq et François Daumas)
Adorer Amon-Rê,
le taureau qui est à Héliopolis,
qui est à la tête de tous les dieux,
Dieu parfait, bien-aimé,
qui donne vie à tous les êtres chaud (de vie) et à tout le bétail.

Salut à toi, Amon-Rê, Seigneur des Trônes-du-Double-Pays,
qui réside à Karnak,
Kaméphis « qui réside devant ses prairies »,
(dieu) aux larges enjambées, qui réside au Pays-du-Sud,
Seigneur des Madjoi (peuple de Nubie), Régent d’Oponé (contrés du Sud et de l’Est),
Vénérable du ciel, Aîné de la terre,
Seigneur de ce qui est, ‘par qui) toute chose est stable ;
unique en son espèce parmi les Dieux,
taureau parfait de l’Ennéade,
qui est à la tête de tous les dieux,
Seigneur de la justice (Maât), Père des dieux,
qui a fait les hommes, qui a créé le troupeau,
Seigneur de ce qui existe, qui a créé les arbres fruitiers,
qui a fait le fourrage pour nourrir le bétail,
puissance bienfaisante qu’a faite Ptah (Sculpteur-créateur primordial),
Jeune garçon, beau d’amour
que les dieux ne cessent de louer, qui a fait Haut et Bas (Ciel et Terre) quand il éclaira le Double-Pays.
...


Amon est l’intérieur alors qu’Aton est l’extérieur (disque solaire). Aton symbolisé par un disque solaire et ses rayons que l’on retrouve de nos jours dans de nombreux logos de marques commerciales (la femme de la Columbia en haut de page et de la statue de la « liberté »). Cet Aton est une mouture du Dieu créateur dans l’Ancien Testament (la Genèse). Aton était un Dieu universel (une universalité de plus), aussi bien pour les Égyptiens que pour les étrangers, et il avait pourvu (ses fabricants) les uns d’un Nil terrestre, et les autres d’un Nil céleste pour les alimenter. On voit tout de suite le parallèle actuel : Lois Noachides pour les non-Juifs, Lois Mosaïques pour les Juifs.
Si Aton était aussi solide que cela, il devrait encore régner de nos jours et nous ne devrions pas être dans la merde actuelle ! Non, Aton fut fatal à l’empire égyptien ! Aton étant symbole de lumière, il en oublie l’ombre, pourtant si nécessaire dans ce pays d’Égypte aussi chaud !
La capitale d’Akhénaton : Akhetaton, est du même symbole que la « Nouvelle Jérusalem » et l’attente du Messie.

Akhénaton est le prototype du mondialisme : politique impériale en pensant cimenter, enchaîner religieusement l’union des peuples « qu’Aton avait créé » puisque son image était censé parler pour tous : la chaleur du Soleil préfigurant le fraternité maçonnique ! Sur le plan politique ce fut un échec. Akhénaton fut sans doute trahi par ceux qu’il avait cru convertir, et vers la fin de sa vie il semble s’être rapproché de Thèbes. Les successeurs d’Akhénaton dont le général Horemheb durent composer avec le clergé des écoles théologiques d’Héliopolis, de Memphis (Ptah), d’Hermopolis. (Référence à : La civilisation de l’Égypte pharaonique, de François Daumas).
 
 


En comparaison des Lois Noachides, voici les préceptes de Bouddha avec les devoirs moraux des Bouddhistes :
- Ne maudire en aucune circonstance, car la malédiction retombe sur celui qui la profère.
- S’aimer les uns les autres et même vos ennemis.
- Donner notre vie, même pour les animaux.
- Remporter la plus grande victoire en se vainquant soi-même.
- Éviter tous les vices.
- Pratiquer toutes les vertus, spécialement l’humilité et la douceur.
- Obéir à ses supérieurs.
- Chérir et respecter ses parents, les vieillards, le savoir, les hommes vertueux et Saints.
- Donner nourriture, abris, réconfort aux hommes et aux animaux.
- Planter des arbres au bord des routes et creuser des puits pour le bien-être des voyageurs.
(Dans : Isis Dévoilée. Vol 2, part 2. H.P. Blavatsky)
À aucun moment il n’y a le mot « interdiction » écrit six fois dans les Lois Noachides ou Noahides !!! Lois Noachides qui nous ont données les Droits de l’Homme à partir de 1789. Tout ces gens se prennent pour des Dieux et seront rongés par leur orgueil.

Parmi le peuple non élu, ceux qui adhéreront aux Lois Noachides seront décorés par les Juifs du nom de « Gentils » ; et au train où vont les choses politiques, les autres seront probablement qualifiés de « terroristes », « d’antisémites », de complotistes, de négationnistes, de fascistes, de révisionnistes...
Au « peuple élu » le mosaïsme, aux autres le nohaisme ou noachisme des rabbins ; et toujours la prison des « ismes ».

Rien de Nouveau sous le Soleil. Il n’y a de nouveau que ce qui a été oublié. Le monde a été créé en mesure, nombre et poids, et c’est vrai pour l’éternité. Et comme le dit Ramana Maharshi à l’entretien 264 du 20 octobre 1936 : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».
Il ajoute : « La Réalité a été, elle est et elle sera. Elle ne change pas ».

Un dernier COUP D’ISTANT, pour la route :

- Meng Sunyang : Certains valorisent la vie et aiment leur corps au point de tenter de ne pas mourir [cas des transhumanistes]. Est-ce possible ?
- Yang Zhu : La loi naturelle est que l’on ne peut pas ne pas mourir.
- Meng : Peut-on tenter de prolonger la vie ?
- Yang : La loi naturelle est que l’on ne peut pas prolonger de beaucoup la vie. Ce n’est pas en valorisant la vie qu’on peut la conserver, ce n’est pas en aimant ss tseueuon corps qu’on peut le protéger. À propos, pourquoi prolonger la vie ? Les cinq sentiments, l’amour et la haine existent depuis l’Antiquité. Les affaires du monde, les peines et les joies existent depuis l’Antiquité. Le devenir, le changement, le gouvernement, les troubles existent depuis l’Antiquité. Avec ce que l’on entend, voit et vit, cent ans semblent déjà beaucoup. Pareille vie prolongée ne serait-elle pas remplie de souffrance ?
- Meng : Alors, mourir jeune vaut mieux que prolonger la vie. Jetons-nous sur la pointe d’une épée ou sautons dans un feu, et le but sera atteint.
- Yang : Non, lorsque l’on vit, supportons-le, et examinons nos désirs en attendant la mort. Lorsque l’on meurt, supportons-le, et examinons le passage vers l’évanescence. On ne peut pas ne pas les supporter, ne pas les observer. Dans ces transitions, où est la différence entre tôt et tard ?
(Lie Tseu, Traité du Vide parfait, chapitre : Yang Zhu)
 
 

Dernière mise à jour : 04-02-2013 23:52

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