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Politique : la Droite, la Gauche Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-02-2013 01:55

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Politique : la Droite, la Gauche
Égalité pour tous et liberté et fraternité ou mariage pour tous : ENCULEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES, telle est la « Nouvelle église » franc-maçonnique. La laïcité c’est la neutralité dit un politicard professionnel. La laïcité c’est celui qui ne fait pas partie du clergé, qui ne porte pas la robe (soutane ou calotte, que les républicains transformeront en culotte : les sans-culotte), mais qui dans un pays catholique comme la France est chrétien (le profane). De nos jours cette laïcité est à deux vitesses, celle du « peuple élu » teinte désormais la France : LA DESTRUCTION TOTALE, teinture à haut pouvoir que ce « peuple élu » a su toujours très bien faire (détruire les quatre empires : Babylonien, Grèce, Perse, Romain dont l’Occident avec l’Église catholique actuelle est le successeur). Beaucoup de Juifs cochonnent tout ce qu’ils touchent, mais ça leur passera bien un jour ou l’autre. Depuis le temps !!! Il s’agit bien-sûr de leur idéologie ou opinion : le JUDAÏSME (avec transmission par le sang par la mère de l’opinion, il faut le fer - faire !!!), et non des personnes mêmes, car si les Juifs réalisaient le Soi, ils perdraient leur diplôme de « peuple élu » et rejoindraient enfin l’éternité. Car il faut le savoir, les Juifs de l’après Christianisme (talmudistes) refusent le Christ, donc ils refusent le Soi ou Instant, c’est aussi simple que cela. Le mot Christ est synonyme de l’Instant, du Soi. Ceux qui refusent sont les Juifs talmudistes (mouvement des Pharisiens et des rabbins portant leurs opinions et morale en un décorum particulier).
LA DESTRUCTION C’EST LE POUVOIR ET L’OPINION CE CANCER ET MÉTASTASE DU MONDE.
RAPPEL : la France est la terre de la CATHOLICITÉ, donc de l’universalité jouxtée avec celle du monde grec, que tente depuis 1717 de s’approprier la contre-Église : l’Église de le judéo-franc-maçonnerie.
 
 
 
Page dédiée à Hyacinthe Dubreuil

Pour sortir de plus de 220 ans de division Gauche et Droite : ABOLITION DU SUFFRAGE UNIVERSEL.


Droite et Gauche découlent en partie de ceci :  « Il y a pour les races supérieures un droit parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures ». (Discours de Jules Ferry à la Chambre des députés le 28 juillet 1885). C’est typique du siècle des perruques poudrées et des Lois Noachides qui donneront les droits de l’homme, donc un outil de l’impérialisme suivant le modèle Empire romain. Les Conquistadors avaient eux aussi un « devoir de gérance humanitaire » quand ils allaient porter maladies, destruction, mort et « civilisation » au nom d'une certaine chrétienté ! Nous sommes toujours dans l’évolutionnisme et les religions du salut modèle franc-maçonnerie : le modèle communiste ou socialiste, c’est pareil, donc les plus arrogants, les plus dangereux (voir 1917 et la suite en Russie...). La franc-maçonnerie spéculative née en 1717 à Londres est un totalitarisme, soit une négation de tout ce qui n’est pas de son opinion.
 
Le communisme de l’URSS est identique à notre actuel mondialisme et ses Lois Noachides donnant les droits de l’homme. La révolution russe de 1917 rêvée par les Juifs pour le monde entier est en train de se réaliser actuellement (voir sur Internet les conférences d’Alain Soral et de Pierre Hillard)
Donc comme en 1917 et pendant ses 74 ans d’URSS, le monde occidental est sous la coupe d’une élite d’oligarques de gauche socialo-communiste en cheville avec les banques, et qui n’a jamais œuvré de ses mains (une fausse aristocratie) et qui « dirige » et manipule la masse des travailleurs. (Lire l’hallucinant Aux origines du Goulag, récits des îles Solovski, de Sozerko Malsagov et Nikolaï Kisselev-Gromov)


Si les Chasseurs-Cueilleurs il y a plus de 10.000 ans n’avaient pas choisi la voie de l’Agriculture, il y aurait une GÉOMÉTRIE autre que celle que nous connaissons et certainement pas de franc-maçonnerie ! Et pas non plus d’université, ni de Droite ni de Gauche comme nous le connaissons, surtout en France, depuis 1789.

« Ne dit-on pas, par exemple, que l’immense savoir des géomètres égyptiens est né de la nécessité de reconstituer les limites des parcelles de culture, après avoir été effacées par l’inondation du Nil.
Mais encore aujourd’hui, le fait est là : les connaissances humaines se sont développées au point qu’en s’éloignant de leur origine on a fini par l’oublier, assimilée à cette Minerve qui était sortie toute armée du cerveau de Jupiter. Et voilà pourquoi on peut aujourd’hui énumérer les « objets » de la culture en oubliant le travail et les travailleurs... ». (Hyacinthe Dubreuil, J’ai fini ma journée).


Tout par effectivement de ce choix de la voie de l’Agriculture qui ira jusqu’à nous donner la Droite et la Gauche en politique à travers principalement l’université.
Il y a bien une division terrible : le monde ouvrier ou la « masse », et l’élite dont fait la partie les politiques de profession (ces parasites ne produisant rien).

Dans les milieux pauvres, dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry on reçoit simplement un instrument pour apprendre : je dirais les quatre opérations de calcul, lire et écrire et savoir rédiger une petite rédaction. Ensuite, c’est à la masse, aux ouvriers de se compléter eux-mêmes leur instruction. C’est comme cela que naissent les autodidactes ; c’est le cas de Hyacinthe Dubreuil, de Jean Coulonval, et de moi.
On parle encore trop de la jeunesse des collèges et des lycées (je n’ai pas fais de lycée). On oublie encore trop souvent qu’il existe une jeunesse très supérieure en nombre qui va de bonne heure au travail, et constitue la partie la plus considérable de la nation.

On néglige toujours d’en parler comme si l’enfant du peuple n’était pas intéressant.
Comme Dubreuil, Coulonval, j’ai eu la chance d’échapper aux « classiques » : ce monde gréco-latin, ces « humanités » qui plaisent tant à la république franc-maçonnique, c’est-à-dire les idées ou opinions véhiculées par la littérature de peuples anciens chez lesquels le travail était assuré par des esclaves, et qui par conséquent étaient méprisés et considérés comme des objets, des marchandises, comme nous de nos jours.
Ces esclaves d’autant méprisés qu’ils étaient le plus souvent des prisonniers de guerre, parlant sûrement mal la langue de leurs maîtres, ce qui ajoutaient naturellement à l’éloignement qu’on éprouvait pour eux. « Là est l’origine de toutes les expressions qui traînent dans notre littérature, pour créer autour du travail et des travailleurs l’idée d’une infériorité sociale. Ceci est confirmé par cette sorte d’obsession d’une partie de la jeunesse - celle qui en a les « moyens » - qui est préoccupée avant tout de ne pas avoir à travailler avec ses mains [les costumes-cravates gris sombres].
En passant, on peut remarquer que, dans les pays anglo-saxons, et particulièrement aux États-Unis, où la culture gréco-latine exerce moins d’influence sur les esprits, on n’observe pas le même mépris du travail et des travailleurs que dans les pays où cette culture domine », écrit Dubreuil.

Aujourd’hui le pouvoir détourne de la spiritualité par ce qu’il appelle « CULTURE », soit la culture des OBJETS : tableaux et sculptures dans les musées, théâtres (les lettres), livres, spectacles divers et musicaux, cinémas, etc. Ces moyens culturels ne sont pas naturels, ils sont la production d’humains, et plus spécialement du mental.
Ce monde ouvrier, la masse, les jeunes ont encore trop rarement accès à la « sainte table » de la culture, telle qu’on l’entend en « haut lieu ». « Car notre Université forme de hommes qui sont incapables de concevoir qu’on peut accéder à la culture par d’autres moyens que ceux des écoles [et universités]. D’autres moyens que le pauvre Van Gogh a indiqués avec une si cruelle exactitude, quand il a parlé des « cours gratuits de l’Université de la misère ». Non toujours de la misère matérielle, mais de l’autre, la misère morale qui réside dans le fait d’avoir à supporter la contrainte, l’humiliation, et le sentiment d’une injuste infériorité sociale », écrit Dubreuil.

Une élite de travailleurs du chapeau du genre : Arago, Dupin en citant Monge et Désargues ont osé dire que les ouvriers ne savaient travailler que d’après une « routine » transmise dans les ateliers. Alors le Compagnon du Devoir et franc-maçon Agricol Perdiguier leur répondit : « Je respect infiniment ces savants, mais je ne puis les croire, et je leur réponds : quoi, Désargues et Monges... sont tout ce que vous dites ? Quoi, avant eux la classe ouvrière était sans science, et les moyens précis de tailler la pierre ou le bois leur était totalement inconnu ? Mais les nombreuses cathédrales dont les voutes, dont les coupoles, dont les charpentes, dont les chairs à prêcher, dont les détails, dont tout l’ensemble frappe d’étonnement tout homme au cœur élevé qui en approche, sont simplement le produit de la routine !... » Évidemment que les principaux artistes travaillaient naturellement sur plans !

L’état d’esprit de ceux qui ont une culture gréco-latine ou « classique » ont toujours le même mépris et la même méconnaissance totale de la valeur du travail comme moyen de culture. Ainsi on divise en mettant d’un côté la masse des inférieurs qui ont été refoulés dans une position sociale considérée comme inférieure. Nous savons bien que la trinité franc-maçonnique « liberté-égalité-fraternité » est identique à un moderne slogan publicitaire pour faire acheter n’importe quoi. Avec cette division on en arrive à la « lutte des classes » : les classes cultivées d’un côté, et de l’autre l’armée des travailleurs qui œuvrent pour assurer l’existence de l’autre classe. Nous sommes toujours au Moyen-Âge avec les Oratores en moins et dans la classe dirigeante avec le mélange dramatique du pouvoir politique et du pouvoir économique !

Le pire drame des travailleurs est celui de ceux qui font leur boulot machinalement pour assurer un salaire pour nourrir sa famille et acheter le dernier écrans plat de télévision afin de mieux s’abrutir. « Ils travaillent », comme le souhaitent tous gouvernements de républiques franc-maçonnique. « Ils travaillent », et ainsi ne pensent pas à se révolter contre leur condition ! « Ils travaillent, et si humble et obscure que soit leur tâche, ils tiennent leur place dans la grande œuvre par laquelle l’humanité continue à vivre ».
Thomas Carlyle, cité par Dubreuil, écrivait qu’il y avait là quelque chose de religieux, comme une résignation, une soumission, oui.



L’ÉDUCATION


En premier elle ne devrait pas être exercée par la franc-maçonnerie à travers les écoles de Jules Ferry !
Ensuite elle devrait être exercée par la FAMILLE, que cette même franc-maçonnerie essaye de détruire (mariage gay, etc.). À l’époque où Dubreuil écrivit son livre (vers 1968, livre sorti fin juin 1971), les jeunes traitaient leurs parents de « croulants », ce qui exprime un irrespect total, et la volonté de n’accepter aucune autorité, tout au moins le moindre conseil. Mais déjà comme de nos jours avec le mariage gay, il y avait dans les années 1970 un glissement transportant l’autorité du père vers les mains des diverse initiatives qui sont prises pour l’encadrement de la « jeunesse », de plus en plus amenée à l’idée de se gouverner elle-même, à l’écart de l’influence des parents, tournant ainsi le dos à une tradition millénaire du rôle des « Anciens » dans la société d’avant 1789 et dans l’antiquité.

L’autre source d’éducation est l’école. Depuis longtemps elle est dirigée, selon Dubreuil, par l’Université, et il a raison d’écrire aussi que c’est là l’une des clés du problème. Il est bien connu que les étudiants ne veulent pas se salir les mains et « veulent réussir », avoir « des débouchés », avec la course aux diplômes, et la tentation facile et qui rapporte gros c’est la POLITIQUE. Pour réussir dans la politique la voie la plus facile et la plus rapide est celle des flatteries démagogiques. Aristide Briand peut être considéré comme un symbole de cela.
Dubreuil écrit qu’Aristide Briand a commencé à établir sa notoriété par un éloge de la grève générale. Plus tard il changera de route...

« Ceux qui se préoccupent de l’avenir de ce pays devraient commencer par une réforme profonde de notre appareil d’enseignement, car l’une des clés de nos désordres se trouve à l’Université », écrit justement Dubreuil.
Ceux qui se préoccupent de l’avenir de la France ne se préoccupent que de leur compte en banque, sont dans les banques ou au gouvernement, et en réseaux franc-maçonnique, mais ils ne connaissent et ne vivent jamais l’Instant ou feu de l’action, ils pilotent comme pilotent des drones ces nouveaux « soldats » assis dans leur fauteuil devant leur écran d’ordinateur. Ces élites qui se préoccupent de l’avenir de la France sont dans les métiers où il y a la communion avec le Saint Fric : spectacle, banques, médias, multi-nationales et politique. Ces élites sont typiquement des technocrates et travailleurs du chapeau maçonnique.

« Les personnes qui ont eu la chance de recevoir une éducation régulière ne savent pas quels dangers menacent un jeune ouvrier, isolé loin de sa famille, et exposé à tous les entraînements. Il est normal, s’il n’a personne pour le mettre en garde, qu’il se laisse séduire par le bruit et le brillant des propagandes, car c’est un fait que la jeunesse est facilement « extrémiste ».
Après le désastre de la guerre de 1870, l’élite au pouvoir dont la franc-maçonnerie voulait faire du peuple des soldats : on distribua partout dans les écoles le manuel scolaire « Tu seras Soldat », où bien-sûr le méchant, le « terroriste » de l’époque était le Prussien...

Le fameux « suffrage universel » est important pour l’élite politico-franc-maçonnique manipulant la masse afin de s’en assurer les votes. Ce sont les socialistes sur les traces de Karl Marx  qui ont forgés la formule « l’émancipation des ouvriers sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes », et qui, grâce à ce slogan, ont constitué les « Partis » qui en fait, ne sont nullement dirigés par des ouvriers, mais par des gens parfaitement étrangers aux réalités du travail, qui, il est facile de le voir, ne les intéressent en aucune manière. Les questions d’ateliers, qui tiennent une si grande place dans l’esprit des ouvriers, sont complètement ignorées d’eux ».
« C’est avec ces sortes de personnages [les socialo-communistes] qu’a commencé le socialisme électoral, si souvent exprimé par des formules démagogiques et des violences de langage [ce qu’explique notamment Alain Soral dans son entretien de janvier 2013]. Moyens faciles d’exciter l’enthousiasme chez les esprits simples et sans culture. Le caractère principal de cette influence néfaste consiste à promettre des avantages obtenue sans autre effort que de « bien voter », au lieu D’AGIR DIRECTEMENT ; sur les conditions de la vie et du travail, comme le recommandait la Charte d’Amiens en 1906 ».

Avec les communistes-socialistes français plus besoin d’élections au suffrage universel puisque le mariage gay va aboutir quoi que puisse en protester les opposants, dont je suis. Mais la franc-maçonnerie pousse au cul le gouvernement français pour faire passer cette loi de « mariage pour tous » pour briser les traditions encore plus que 1789 ; c’est typiquement une vision de loge maçonnique à la Weishaupt. Comme le dit très bien le rabbin Gilles Bernheim, avec ce projet on veut détruire [les francs-maçons veulent détruire] le sens du mot MARIAGE toujours dans le but mondialiste : on est en train de dévoyer le sens des mots pour l’appliquer à des situations totalement différentes ; et ont traite d’homophobe ceux qui sont contre le « mariage gay » comme on traite à tout bout de champ « d’antisémite », injures et procédés d’inquisition à la mode. D’ailleurs l’association des mots « mariage gay » ayant un tel non-sens qu’on en a fait le collage « mariage pour tous » dans la lignée de la Novlangue afin de faire avaler la soupe.

La symbolique alchimique est limpide, le mariage se fait du ROI et de la REINE. On appelle ça aussi CONJONCTION. Le courant diabolique actuel veut remplacer les mots père et mère par « parent 1 » et « parent 2 », signifiant bien que nous ne sommes plus QUE DES MARCHANDISES.
Or le mot MÈRE sonne comme MER, ce réceptacle et matrice de la vie. Le MER et la TERRE sont des symboles du corps maternel. Il y a aussi des mères, la mer, qui avale et empêche leur progéniture de se libérer mentalement, des mères castratrices, ou fixation à la mère. Évidemment la Mère c’est l’Église que la franc-maçonnerie cherche à détruire depuis plus de 220 ans (de nos jours Islam et catholicisme sont autant attaqués puisque notamment contre la dette et le Saint Fric). On va évidemment avancer la « tyrannie spirituelle abusive de l'Église », la secte, « les islamistes » comparés au « terroristes », etc.  La Mère de Dieu c’est aussi la Vierge Marie, etc.
Le PÈRE c’est la domination et l’autorité, la valeur et la génération, la protection ; évidemment avec la tyrannie de l’égalité maçonnique ça ne va pas. Le Père représente la tradition (être pépère) en face des forces nouvelles de changement.
Le Père c’est l’institution (Petit-Père-des-peuples en URSS, ou en la personne du Tsar). Le Père représente l’être que certains rêvent de devenir. Per en égyptien indique la Maison, le lieu qui contient : l’intérieur, le contenant, le NID. « Le MOT est comme le NID, le sens est l’OISEAU » écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveau, citant Djalâl-od-Dîn Rûmî (Mathnawî).

PARENT :
égal, pareil (glossaire de Du Cange) ; voir PARITÉ, ENTIER, INTÈGRE, FIDÈLE, etc. Avec le mot Parent on retrouve encore cette folie égalitaire maçonnique, cette destruction des traditions ; pourtant : PARENTÉ : liaison par le sang, autrefois du genre masculin écrit Du Cange. La Parenté peut s'appliquer sur les Juifs et la transmission de leur opinion.

MARIAGE :
symbole de l’union amoureuse de l’homme et de la femme. Dans le sens mystique, il signifie l’union du Christ avec son Église, de Dieu avec son peuple, de l’âme avec son Dieu. Pour Jung, il s’agit du mariage de l’inconscient principe féminin, avec l’esprit principe masculin.
Les hiérogamies ou mariages sacrés se rencontrent dans presque toutes les traditions religieuses.
Le mariage est une institution qui préside à la transmission de la vie, auréolée d’une tradition exigeant la virginité. il symbolise l’origine divine de la vie, dont les unions de l’homme et de la femme ne sont que le réceptacles, des instruments et des canaux transitoires. Il relève des rites de la sacralisation de la vie. (Réf. Dictionnaire des symboles, de Chevalier et Gheerbrant)

Le plus grand danger et le plus grand pouvoir ce sont LES RÉSEAUX, et donc tous les Weishaupt du monde ou francs-maçonneries rongées de pouvoir. Plus c’est caché plus c’est pernicieux et puissant et à dualité exacerbée.

L’idéologie évolutionniste à la Darwin et à la maçonnerie, la fuite en avant ou « modernité », et au siècle des lumières ou perruques poudrées est totalement œuvre du Diable et de sa violence à POSSÉDER : empire des sens (nous n’en avons que cinq), donc toujours et encore le matérialisme à la puissance franc-maçonne : la « liberté jusqu’au bout », très bien illustré par le film de Pier Paolo Pasolini : Salo ou les 120 Journées de Sodome. Dans ce film on a bien la notion d’évolutionnisme, d’une progression paroxystique allant à l’envers du but escompté par les philosophistes : la raison, ainsi on dérive rapidement maintenant vers la folie destructrice : libéralisation de tous les interdits matériels et pouvoir maintenant se payer la misère des pauvres (voir ce que dit Pierre Bergé du ventre des femmes !). Aboutir toujours à ce qu’on cherche à l’envers depuis des millénaires : la liberté, mais actuellement totalement faussé, car libérer de quoi ? Et c’est quoi la liberté ou libération ? En premier c’est réaliser le Soi ou Instant ! « La Libération c’est la connaissance du Soi » (entretien R. Maharshi 192)

« Vous savez que vous ne savez rien. Découvrez ce qu’est cette connaissance. Cela est la Libération (mukti) » (Ramana Maharshi, entretien 12).
Effectivement, il faut d’abord savoir ce qu’est la « Libération », donc se connaître.

- Question : Quel est le chemin qui mène à la Libération ?
- Maharshi : Le chemin sur lequel on est déjà engagé conduit à la Libération.
(Entretien 38).
Mais en définitive, pour cette fameuse Libération il n’y a rien de nouveau à gagner. « Elle est l’état originel qui demeure toujours inchangé » (Entr. 139) Ainsi aucun but à atteindre, aucun évolutionnisme ou progressisme.
L’évolutionnisme est devenu une « déclaration de guerre au bon sens » comme le dit Alain Soral. Encore faut-il se mettre d’accord sur le terme « bon sens », et dans quel sens ?!

DU BON SENS
En principe, c’est l’Art de la mobilité (Mouvement) de l’intelligence qui se synchronise sur la mobilité de la vie. (D’après Henri Bergson). Donc être DANS L’INSTANT.
Découvrir par soi-même. Pour découvrir des Mystères, il suffit d’observer la Nature ; le Pommier au début de sa naissance, ne sait pas bien faire ses premières feuilles ; mais VISIBLEMENT et simplement il y met toute sa « joie ». Si l’homme est appelé à pénétrer des mystères dans la Nature, c’est que Dieu a choisi de s’y révéler. La Nature est comme une sorte de Temple de Dieu.
Il faut faire un gros effort pour s’éveiller, se renouveler (vaincre la routine, le préjugé). Ne pas faire en « dépit du bon sens ».
Mais de quel bon sens s’agit-il :
Du bon sens d’après les apparences, ou de l’autre bon sens plus profond !
Ou du sens commun ! Ou du sens de cultiver !
La Nature qui nous a mis au jour sans notre consentement ne nous permet pas de quitter le jour sans le sien. (Le Pédant joué, début, scène 3, acte 5, de Savinien Cyrano de Bergerac).
Les plantes sont tournées vers la lumière, dans l’attente favorable de « gober » et sélectionner ce qu’il y a d’intéressant pour elles, parmi tout ce qui se balade au-dessus de nos têtes.


La libération ne survient même pas pendant la mort si elle n’est pas réussit :
Ramana Maharshi explique à l’entretien 247 la lutte qu’il dut mener pour que l’esprit de sa Mère mourante rejoigne le Cœur. Au moment du décès, l’âme passe par toutes une série d’expériences subtiles. Le contact de la main du Maharshi avait engendré un courant qui avait ramené l’âme errante dans le Cœur.
« Les samskâra (tendances innées) de sa mère luttèrent contre la force spirituelle engendrée par le contact de Sa Main (celle du Maharshi). Cette lutte dura jusqu’au moment où les samskâra furent détruits totalement. L’esprit de la mourante put alors rejoindre le Cœur et y trouver la Paix éternelle, ce qui revient au même que la Libération. L’entrée de l’esprit dans le Cœur se reconnaît à une sensation particulière, perceptible à un Mahâtma (Grande âme) et comparable au tintement d’une cloche » (note du compilateur).
 
 

Dernière mise à jour : 07-02-2013 02:49

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