Accueil arrow Yôkai arrow Élémentals, Divinités, Yôkai arrow Matthieu et le Sentier
Matthieu et le Sentier Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-02-2013 23:48

Pages vues : 7498    

Favoris : 41

Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
Hebergeur d'image
 
 
Matthieu et le Sentier
 
 
 
Matthieu 6, 33-34 : « Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroit. Ne vous inquiétez pas du lendemain : demain s’inquiétera de lui-même. À chaque jour suffit sa peine ». Matthieu explique ici le Soi Instant ou absence de chronologie tueuse, tueuse parce qu’idéation du mental, parce qu’attachée au monde spatio-temporel comme on pourra le voir ci-dessous.
 
La haut sur la Montagne, quelques Bienheureux descendus de leurs Dragons veulent faite une halte, jouer aux échecs et prendre un thé. Ils sont servis par des disciples. Il est peut-être utile de préciser que ces Bienheureux n’ont pas « d’âge », et que le terme « Bienheureux » symbolise le niveau spirituel de l’âme. Ainsi, les Bienheureux aux longs cheveux clairs roses dorés représentent la sagesse immortelle sur laquelle le temps n’a pas de prise ; et les disciples sont symbole des adolescents qui représentent de jeunes âmes désireuses d’apprendre auprès des Sages afin de retrouver le Soi.

Les Bienheureux ont commencés une partie d’échec. Au bout d’un « temps ni court ni long » ils se décident à boire un thé. Pour cela il faut surtout de l’eau pure, et il y en a beaucoup dans les filets de torrents circulants dans la Montagne. Tout le monde sait que le thé se prépare avec de l’eau pure. Ainsi un adolescent est envoyé avec un seau de bois pour chercher cette eau pure.

Au bout d’un « temps ni court ni long », l’adolescent rencontre un ruisseau. Il est quasiment hypnotisé par le miroitement et la transparence de cette eau. Il va pour boire un gorgée mais n’a pas le temps d’avaler, car ses yeux dans un reflet de l’eau aperçoivent la vallée s’étendant devant l’autre Montagne où vivent d’autres Bienheureux. Les yeux de l’adolescent ne voient que cette vallée verdoyante, avec mille fleurs colorées dont la brise douce transporte les fragrances jusqu’à son joli nez. Ces sensations et sa curiosité le poussent à « aller y voir de plus près ».

Au détour de la vallée il aperçoit un village. En y pénétrant il se retrouve dans un marché avec tous ses étales regorgeant de marchandises. Comment se fait-il qu’il ait ignoré qu’une telle abondance puisse exister ? Car il vivait jusque là de graines, de baies sauvages et d’eau et de quelques fruits et légumes de saisons. Il se promène avec joie de long en large dans ce marché. Les marchands le trouvant tous mignon lui donnent des fruits, des brioches. Puis un des marchands lui propose sa fille, car il lui faudra bien avoir une descendance, et nous n’en sommes pas encore au « mariage pour tous » dans l’évolutionnisme des socialistes judéo-maçonniques et de leur destruction de la tradition. Et voilà l’adolescent aussitôt marié, sédentarisé, travaillant et gagnant honnêtement sa vie.

Au bout d’un « temps ni court ni long », son épouse meurt en donnant naissance à leur enfant qui meurt quelques instants après la maman. Le voici veuf et seul. À travers ses yeux embués de larmes et tremblant de sanglots, il voit vaguement une Montagne au loin et un filet de ruisseau. Qu’est-il en train de faire ici, dans ce village dans cette vallée ? « Mon Dieu, mes Maîtres m’attendent, non, leur thé » se murmure-t-il.

La panique le saisit, comme la douleur absolue saisit l’être absorbant par son corps, dans l’Instant, toute la Conscience incidente. Il grimpe sur la Montagne essoufflé et en courant, puis s’empare de son seau de bois laissé à côté du ruisseau. Aussi rapide que pendant sa course, il chauffe l’eau et prépare le thé. Quant il l’apporte aux Bienheureux, qui évidemment n’ont pas fini leur partie d’échec, la théière et les coupes s’entrechoquent bruyamment. L’adolescent s’attend à une réprimande (vu le ‘temps’ qu’il a mis). Mais l’un des deux Bienheureux, sans lever les yeux, s’exclame : « Tu en as mis du temps ! ».

Cette histoire peut nous concerner tous et chacun. À chacun d’interpréter ce qui n’est pas imaginaire. Seulement il faut prendre garde, le sentier est étroit, semé d’embûches et de détours propres aux perditions. S’y engager, c’est marcher sur le fil du rasoir. Le Sentier est étroit parce que la « réalité » c’est ce que nous sommes, et ce que nous souhaitons devenir n’est qu’un vœu pieux, un désir semblable à des tas d’autres désirs.
Le sentier comme la porte étroite symbolise l’extrême difficulté d’arriver vers la Vérité accessible au mortel humain. Pourtant en demeurant hors de la course folle du temps de la « vie moderne », être tranquillement assis et dans le Silence est une porte étroite qui nous ouvre à nous-mêmes. Car ni l’action, ni la connaissance intellectuelle (mémoire), et donc le mental non purifié, ne sont capables d’aider l’être humain à pénétrer dans les profondeurs du savoir. La « Citadelle Alchimique » a d’ailleurs inscrite sur le fronton de son entrée : « Rudes derident quod sapienti magni faciunt et admirantur » (Vulgaire et étrange, ils se moquent des grands et sages), ce qui fait écho à l’antique sentence du Tao-tö king : « Les ignorants ne font que rire du Tao. S’il n’était pas tournée en dérision par eux, ce ne serait pas le pur Tao ». Les prétoriens n’ont-ils pas déguisé le Christ en bouffon de carnaval ? N’ont-ils pas joué aux dés les vêtements du « Fils de l’homme », et cet exemple de la subversion totale des valeurs ne prouve-t-il pas que ce monde actuel a été condamné ? On trouve une ressemblance de cette citation alchimique dans le dur monde de l’ouvrier (dont fait partie l’Alchimiste) : « Ne devient pas ouvrier qui veut. Il existe une culture ouvrière qui ne se juge pas avec les barèmes de la culture tout court... » Les manieurs d’idées loin de l’Instant ne peuvent comprendre les manieurs d’outils dans l’ici et maintenant. Or le but du Labour, qu’il soit alchimique ou vulgaire, est la découverte du Soi Instant ; « gagner sa vie » c’est la perdre.

Préparer le thé ou préparer le Soufre alchimique se ressemble !

SENTIER :
dans le même thème se trouve SENT : seint, sacré, Saint, consacré.
SENTE : fond de cale, petit sentier.
SENTENCE : sens, sentiment, opinion, avis.
SENTENCHIER : celui qui rédige les sentences des juges, greffier.
SENTIR : penser, juger, être d’un sentiment, sonder le sentiment de quelqu’un.
SENTINELLE : entendre, sentir.

Le petit texte de Matthieu en début de page illustre aussi « la peur de manquer » ou instinct d’acquisition si présent dans l’évolutionnisme et sa société de consommation. C’est devenu un « appétit universel » ayant pour nom « Mondialisme » ou Nouvel Ordre Mondial. Et en ces disparitions de valeurs et de tradition, et de confort, la masse veut de préférence quelque chose « pour rien », sans effort personnel, sans PARCOURIR LE SENTIER, ou CHERCHER LA PETITE PORTE si étroite, si étroite. La religion de l’homme a tout transformé en DORG (Demain On Rase Gratis) ; le bonheur sur Terre ; « gagner de l’argent » car la soif de l’acquisition de la propriété s’accroît au fur et  mesure qu’on a cru la satisfaire. Comme si cette soif, ce confort en évolutionnisme portait en lui-même sa propre punition.
La thermodynamique entre d’ailleurs dans ce processus de destruction des civilisations parce que tout est devenu à l’envers, personne ne cherche le sens du texte extraordinaire de Matthieu. Comme l’écrit Hyacinthe Dubreuil dans : J’ai fini ma journée.

L’abandon du Tao
fait naître la bonté et la justice.
L’intelligence et le savoir
entraînent le grand artifice. [Par exemple notre folie technologie]
La discorde des six parents
fait surgir la piété filiale et l’amour paternel.
La nuit et le désordre du royaume
provoquent la loyauté et la bonne foi.
(Lao-tseu, Tao-tö king, Verset 18)

Le texte de Matthieu nous rappelle que nous vivons dans une civilisation du confort et du sécuritaire : LE SURCROIT, LE SURPLUS, L’ABONDANCE et le déséquilibre la caractérise. Seule ne compte plus que la conquête des biens matériels, avec son « pouvoir d’achats », alors que nous trouvons au contraire et invariablement que le désordre, la misère et les drames et les guerres. « Si nous comprenions la nécessité absolue de réaliser d’abord la justice, de satisfaire d’abord les besoins du cœur, nous aurions l’étonnement de voir que la prospérité s’ensuivrait pour ainsi dire automatiquement, en réalisant à la lettre la promesse du texte sacré [de Matthieu]. L’erreur fatale que nous commettons est de changer l’ordre des termes, en nous entêtant à rechercher d’abord la prospérité matérielle, en remettant toujours la justice à plus tard », écrit Hyacinthe Dubreuil. Dubreuil précise que cette promesse de Matthieu peut-être vérifiée et confirmée dans une multitude de cas. Le vrai chef est juste, et il démontre par là même qu’il aime ses subordonnés et qu’il sera servi et obéi par eux avec dévouement que la contrainte n’obtiendra jamais.
Le texte de Matthieu veut aussi dire de ne pas « enfouir de trésors dans la terre, où les vers et la rouille, où les voleurs, peuvent les atteindre, mais dans le ciel ». Ciel qui ne peut être que dans le sens d’élévation spirituelle des humains : la réalisation du Soi Instant.

Oui la voie sur le Sentier est étroite et semée d’embûches, tout est une question d’équilibre sur le fil du rasoir : si deux hommes traversent ensemble une forêt, ou une vaste endroit désert, loin de tout endroit habité ; l’un est porteur d’un coffre de pièces d’Or et l’autre le sait. Si ce dernier a de mauvaises intentions, donc si son cœur ou mental n’est pas purifié, le premier homme est en danger. Ainsi la sécurité du premier n’est fondée que sur la pureté mentale du second. C’est là que se trouve le « ciel » où les voleurs n’ont pas accès... (Exemple d’après Hyacinthe Dubreuil).

Dans notre civilisation de la religion de la laïcité (surtout en France maçonnique), le citoyen ou habitant des cités est réduit à un estomac prolongé d’un sexe (comme dit Pierre Hillard), ou du « matériel humain » (la masse), que l’on abreuve « d’information », donc de manipulations nécessaire dans la « démocratie ».
Les politiques professionnels ne s’occupent que du « matériel humain » (les robots), donc effectivement des estomacs prolongés d’un sexe. Ces politiques ne regardent JAMAIS ce qui est au-dessus de la ceinture : le cœur et la tête. Ils laissent ça aux francs-maçons genre Grand Orient de France qui pourra mieux manipuler la masse en cachette. Le résultat sera l’inverse des compas-équerre : le désordre (en vertu de la Loi des Croisements). Le résultat de l’ensemble de cette civilisation possédée par le Diable est l’action de la « participation aux bénéfices de l’entreprise », donc le « matériel humain » est considéré comme un simple outil aux services des riches rongés par le pouvoir. Et c’est là le principe diabolique de l’évolutionnisme : aucune satisfaction, aucune « modernité » ne saurait le calmer. « Jamais l’homme qui s’y abandonne n’y trouvera la paix du cœur », écrit justement Hyacinthe Dubreuil.

Mieux vaut plein de petits moteurs qu’un gros qui peut casser ! Avec plein de petits moteurs, la puissance étant réparti sur le Tout, il n’y a pas d’écrasement. Un engin crée une pesanteur/force contrôlable et orientable qui est propulsive. Il n’y a pas de frottement d’air, donc pas de chaleur ni de bruit. (C’est une sorte d’antigravitation, que l’on trouve dans les livres de science-fiction). C’est un peu un moteur dans chaque atome ! Un seul gros moteur écrase les wagons (dessin ci-dessous).
 
trans_wa.png
 
 

Les « petits moteurs » se retrouvent dans l’organisation sociale avant 1789 : des institutions autonomes et entièrement libres. Après 1789 et les banquiers nous entrions dans l’étatisme ou début de mondialisation : on centralise tout et la direction est assurée par une « élite » de dictateurs qui s’efforcent de tout prévoir, ce qui par conséquent élimine toute initiative qui pourrait déranger les dispositions qui ont été prises « en haut lieu » ou au sommet de la pyramide ! C’est le confort, le sécuritaire, tout baigne, aussi l’État copie ces pratiques dictatoriales de l’industrie, avec ce résultat que la passivité ou robotisation requise dans l’entreprise est transposée dans le fonctionnement des institutions d’État.
« C’est ainsi que chacun peut constater le développement de cette passivité qui donne aujourd’hui à notre vie sociale une physionomie entièrement différente de celle qui régnait dans les institutions du passé. C’est dans cette atmosphère que la hantise des misères qui ont marqué le début de l’industrie a amené la préoccupation universelle de la « sécurité ». La sécurité est en effet devenue l’objectif principal des Français », écrit justement Dubreuil.
Nous sommes bien dans cette civilisation du confort et du sécuritaire, alors qu’avant 1789 le peuple français était le véritable aventurier du spirituel et du temporel, ça bougeait dure ! De nos jours d’après 1789 il s’est replié dans la crainte du risque : « l’aventurier a rangé ses bottes pour chausser ses pantoufles » et regarder sa télé en couleurs.
L’aventure spirituelle, ou matérielle, forgeait l’être humain et l’aidait à s’élever, à se redécouvrir ; on faisait des inventions, on élaborait des principes et des lois. De nos jours une grande partie du peuple préfère, au lieu de se libérer de son ignorance, amasser des richesses en des opérations comptables informatisées, qu’il croit sûres et éternelles.

Avant 1789 on avait des DEVOIRS ; après 1789 on n’a plus que des DROITS (les compas-équerres étant passé par là avec leur 'égalité'). C’est aussi cela le confort et le sécuritaire !
Le socialisme c’est la communauté des biens, mais pas la communauté spirituelle ! Que pourtant essaye d’atteindre les ouvriers par leur interprétation quotidienne de l’esprit de solidarité. (J’en garde un souvenir bienveillant par mon court passage à la SNCF). SNCF qui fait penser à la famille des cheminots, aussi forte, surtout du temps de la locomotion à vapeur, que la famille naturelle avec les enfants. Dans chacune de ces familles ont vit ensemble : on partage la destinée du travail où peuvent alterner les bons et les mauvais jours. Tout cela forme un Accord en forme de ciment. Ciment ou Accord que l’on retrouve dans le Compagnonnage où l’on voit que les « compagnons » forment une véritable famille, c'est la COMPAGNIE.

Le sécuritaire de l’après 1789 ne sert qu’à combler la perte de foi dans les ressources du cœur. De nos jours un énorme courant de pensée, ou d’opinion, a provoqué l’extension universelle du mécanisme du sécuritaire, de l’ASSURANCE dans tous les domaines (surtout aux États-Unis patrie des avocats). Une assurance qui autrefois était exercé pas la solidarité et l’élan aux sources profondes, car la vie était difficile il fallait se « serrer les coudes ».
De nos jours on a jamais vu de prospectus ou de publicité de compagnies d’assurances contre l’incendie prétendre a créer entre les assurés un lien moral quelconque !
L’assurance sociale ou « sécurité sociale » ou « assurance maladie » entre dans ce contexte, celui des compagnies d’assurances contre l’incendie. Les choses humaines sont abordées de la même manière qu’un simple sinistre qui atteint un immeuble. De là l’institution de « primes » et de tarifs... Donc un mécanisme administratif dans lequel l’esprit de solidarité est totalement absent ! Ce ne sont plus que « DOIT » et « AVOIR » dont le premier comptable venu peut contrôler la balance.

L’après 1789 est bien la naissance du DORG et du confort : LA LOI DU MOINDRE EFFORT ou l’envers de la trinité maçonnique liberté-égalité-fraternité.
Il faudra attendre le retour du Christ ou la réalisation effective du Soi Instant par un plus grand nombre, pour vivre, enfin, le pourtant célèbre « Aimez-vous les uns les autres ». Pourtant cette célèbre citation a été appliquée plus ou moins au Moyen-Âge notamment, surtout à cause de la réciprocité. Le Moyen-Âge qui avait une solidarité avec des groupements non étatisés, administrés par leurs membres de façon autonome, ce qui faisait la maîtrise, de la réciprocité de chacun pour apprendre non seulement comment on vide la caisse commune, mais aussi comment on la remplit. Cette forme d’équilibre ne s’établit pas dans la charité étatiste républicaine vulgaire (une charité mâtinée de franc-maçonnerie).
Pour que l’accord de solidarité sonne juste, il est nécessaire que celui qui reçoit quoi que ce soit ne perdre pas de vue qu’il le paie en quelques manière. L’étatisme et ses institutions centralisatrices se substituent à la responsabilité de l’individu. Là encore l’étatisme ressemble au gros moteur illustré dans le schéma ci-dessus. Les petits moteurs ce sont de très petits groupes devant être totalement autonome. Comme tout est cycles, « Ceux qui ont oublié le passé seront condamnés à le recommencer », notamment en cas de catastrophe planétaire ou de guerre atomique. Car c’est l’économie des moyens, la simplicité, qui est synonyme de la NATURE.

Le Moyen-Âge avait ses organisations libres, nées du sol, comme manifestation spontanée de la solidarité et de l’ingéniosité populaires. Corporation mutualité renvoient le mot SOLIDARITÉ, de VRAIE RESPONSABILITÉ, et de LIBERTÉ. Mais non, les rongés de pouvoirs, les francs-maçons spéculatifs ne supportent pas que des gens puissent organiser eux-mêmes ce qui est nécessaire à leur existence et à leur vie sociale. L’esprit républicain totalitaire s’est efforcé de détruire toutes formes d’initiatives directes et indépendantes des habitants de France, au sein des organisations syndicales où le sentiment de solidarité mutuelle se développait. La loi Le Chapelier de façon stalinienne a détruit les organisations solidaires ouvrières. Une loi qui dura tout de même pendant 93 ans (1791-1884), pour voir l’arrivée des syndicats. Si la république de 1789 n’était pas de l’étatisme, qu’est-ce que c’était ? Elle inspira tout de même la révolution russe de 1917. La loi La Chapelier détruit tout l’acquis et le social des travailleurs d’avant 1789. Avant, toutes les organisations ouvrières ont été basées sur l’idée de symbiose : bénéfice réciproque d’une union, sans vivre aux dépens l’un de l’autre ; ce qui rejoins les petits moteurs du schéma plus haut. D’un autre côté, une corporation ne devait pas s’enfermer dans son égo et émettre des exigences dont les membres des autres corporations feraient les frais : elle ne devait pas se comporter en gros moteur et écraser les wagons.

Ce qui fait peur à cette pseudo-démocratie républicaine franc-maçonnique, ce sont les non-initiés, le peuple, les ouvriers : ceux qui OUVRENT-ŒUVRENT. Alors que ceux qui sont rongés par le pouvoir ne travaillent que du chapeau (du mental, de l’intellectuel), ce sont des technocrates qui mécanisent les âmes, violent les foules, organisent les industries. Et ceux-ci craignent comme le feu d’être remplacés par le peuple, ceux qui œuvrent de leurs mains et ainsi sont AUTONOMES : ils fabriquent tout eux-mêmes.
 
 

Dernière mise à jour : 26-02-2013 00:27

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >