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Cours d’électricité : l’Amour Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-03-2013 00:19

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
 
Cours d’électricité : l’Amour
CHACUN EST LE MESSIE ou LE LIBÉRÉ
ou
sortir du binaire du monothéisme juif ou mondialisme
ou
sortir de l’AGROCRATIE
(plus de 10.000 ans ça suffit !)
Mieux se diriger vers l’ORTOCRATIE
(la voie de l’Horticulture ou bien commun des Jardins)


Il n’y a pas un Dieu mais DES DIEUX contenus dans l’INSTANT.
 
 
 
AMOUR signifie : privation de mort ; du A privatif et mort (mur ou mour). Tel est le vrai sens.

Autres mots proche d’Amour :
UNIVERSEL : qui se rapporte au divin, seul le Soi ou Instant ou Dieu est universel. Tous les autres emploies qui utilisent et collent ce mot sont des supercheries politiques et des manipulations diaboliques.
INSTANT : « Tu n’es pas une apparence, mais une apparition. L’apparence cache Dieu ; l’apparition le rend sensible ». (Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière).
Christ synonyme d’Instant : « Je ne suis pas venu pour détruire, mais pour accomplir [réaliser l’Instant] », et : « Je suis venu allumer un feu sur la Terre ».
 
Le SOI INSTANT est se débarrasser de l’ego, de la personne, du personnage pour COÏNCIDER avec son prochain ; or le siècle des perruques poudrées ou des lumières favorisa l’ego : l’INTÉRÊT PERSONNEL ou libéralisme ; l’intérêt ne peut qu’éloigner de l’Instant ou Soi. Être SPONTANÉ, ça s’appelle aussi AMOUR. Privation de mort ou éternité ou seul monde réel.
Tout se qui est marié dans un amour illusoire est condamné à se dissoudre ; mais tout ce qui est séparé dans ce monde des illusions, les vivants et les morts, les amants et leur impossible amour, l’âme qui appel Dieu qui se tait, tout cela se rejoins dans l’Instant, y compris Dieu.


À propos de la mode du « Mariage gay ».

« Aimer c’est avoir faim ensemble [Accord ou Harmonie], et non pas se dévorer l’un et l’autre », comme l’exprime G. Thibon
« Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé » (Évangile de Jean, 13, 34). Oui, et pas « Mangez-vous les uns les autres » comme c’est actuellement le cas dans ce « Royaume de Dieu des Juifs sur Terre », et même pire maintenant avec le « libéralisme » : « Enculez-vous les uns les autres... »

MARIAGE : ils appellent ça « amour ». Mais que savent-ils de cette préférence de l’autre, de cette fusion de deux âmes et de deux destinées qui sont la marque de l’amour ? Comme l’écrit Thibon, leur « amour », dans sa phase d’effervescence, n’est que la coïncidence de deux égos, de deux égoïsmes ; et plus tard quand l’habitude ou la routine succède à l’ivresse, l’amour devint une convention, un compromis entre ces mêmes égoïsmes.


CRIME PASSIONNEL du MONDIALISME ou EMPIRE

Le mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial est un crime passionnel, comme le sont tous les EMPIRES, et particulièrement des élites actuelles au pouvoir. Ces élites et leurs idées manipulatrices judéo-franc-maçonniques procèdent par déviation d’idées et d’énergie spirituelles. Ainsi les rêves politiques multi millénaires de domination mondiale apparaissent comme la singerie de l’appel divin à l’Instant, à l’Unité : un seul troupeau et un seul Dieu (binaire de l’informatique oblige) avec ses prêtres les Juifs. Cette soif de nivellement symbolisé en 1789 par l’horrible guillotine mettant en pratique l’égalité franc-maçonnique en coupant les têtes des opposants, reproduit, à sa manière humaine, l’égalité des âmes devant Dieu, le mythe de la « Cité future » (Royaume de Dieu sur Terre) et du DORG (Demain On Rase Gratis), autrement appelé : « Lendemains qui chantent » (lendemains de Juifs qui chantent).
Tout cela ramène sur Terre notre attente du Paradis et de l’amour de la liberté. Toutes ces utopies sont comme l’avortement dans la chronologie tueuse d’une aspiration faite pour s’épanouir dans l’éternité, dans le Soi Instant.

EMPIRE : le Saint renonce à l’ego pour réaliser le Soi Instant. le conquérant ou l’élite actuelle font le contraire : sacrifier son âme pour dilater son égo, il étire ses limites à l’infini ; il ne cherche pas l’unité, mais le nombre ; non pas LE BIEN ou QUALITÉ, mais LES BIENS ou QUANTITÉ. C’est pour cela que nous autres le peuple ne sommes que des patates, des marchandises dans des sacs à code-barres.
La folie des conquérants est celle de la POSSESSION, donc du Diable, possession de l’illusion, car on ne peut posséder que l’illusion.
On ne développe pas son égo, mais on cherche à éliminer l’ignorance, à ouvrir son Soi pour échapper à ses limites par l’ACCUEIL, et non par la conquête qui est toujours extérieure.

Le Grand Amour est toujours tragédie : « Je l’aimais trop, je l’ai tuée ! ou tué » (si c’est un homo).
Ainsi le projet du mondialisme est-il, depuis Weishaupt et sa politique de la Tabula Rasa : tout grand amour fait naître la mort : détruire l’objet de cet amour, le BOUFFER de peur de le perdre, de PEUR DU CHANGEMENT, donc un parfait égoïsme, une prison. L’amoureux fou comme le mondialisme craint le changement plus que la destruction, parce qu’il se sent fait pour l’éternité et qu’il le sait en employant le mot « universel » dans les élections au « suffrage universel », ou dans la « Déclaration universelle des Droits de l’homme », cette bible judéo-franc-maçonnique, ou dans la « république universelle » des francs-maçons ; il craint le changement plus que la destruction (Putréfaction alchimique) qui elle est la porte de l’éternité. D’où cet acharnement à éliminer en 1792 les Vendéens opposants à la république « universelle » franc-maçonnique modèle spéculatif de 1717.
Ce pressentiment instinctif est à la base de tous les serments des amants (plutôt mourir que trahir, ou de celui des poètes (O temps suspends ton vol !), soit une invocation à la mort qui seule peut arrêter la chronologie tueuse.
On retrouve cela dans le : « Je l’aimais trop, je l’ai tuée ! ».

L’humain est fait pour le seul Vrai Amour, celui de Dieu ou Soi ou Instant, mais l’humain se trompe sur la nature de cet Amour en lui donnant pour mesure et borne sa propre passion divinisée et un moment de la chronologie tueuse érigée en absolue.

L’être humain est un animal religieux et révolté, mais plus religieux car il reste religieux jusque dans sa révolte : voir le culte de la « raison » en 1789 suivi du culte de la matière dans le communisme russe et de nos jours le capitalisme mondiale.
Le crime de l’amoureux fou est de remplacer le Soi ou « Heure nuptiale » (les Noces Chimiques alchimiques) par un viol meurtrier.

Pas plus pitoyable que le « Mariage gay » : la fusion parfaite demande une distance infinie, donc le contraire de s’enculer ! Il n’y a pas de vraie immanence (le contenu) sans transcendance (le contenant ou Ciel). Hors de là, les hommes s’enculent les uns les autres et se repaissent les uns les autres, mais ils restent irréductiblement seuls.
On aime comme on mange, donc cet amour repose sur UN MEURTRE : meurtre de l’âme et de sa liberté, meurtre plus profond que celui du chasseur. Le drame de l’amour humain, c’est qu’il voudrait à la fois contempler, donc ‘templer’ ou faire un temple à l’oiseau, et le bouffer ; chose impossible. Il faut choisir entre le besoin de ses entrailles et le eyes candy. « L’intimité vraie n’est pas une assimilation, c’est un échange entre deux libertés qui se contemplent l’une l’autre - et cet échange implique avant tout une distance », écrit Gustave Thibon.

Ensuite l’Amour authentique est GRATUIT et ne souffre d’aucun CONFORT : baiser au lépreux. L’Aimant, parce que nous avons renoncé à toute attraction : il y a SPONTANÉITÉ, donc réalisation de l’Instant ou Soi.
Ce qui est universel est la RUPTURE (Putréfaction). « Pour qu’un lépreux nous devienne aussi proche que nos frères, il faut que nos frères nous soient aussi étrangers qu’un lépreux. Pour aimer jusqu’au lépreux, il faut avoir haï jusqu’au plus beau visage », écrit G. Thibon.

Maintenant l’amour terrestre est véritablement électrique : le « mariage gay » c’est comme les « droits de l’homme » : un AMOUR IMPOSSIBLE.
 
 
En effet, c’est électrique et surtout contradictoire. Le premier signe ou polarité amoureuse a besoin de « manger » : une fusion ou unité absolue entre les amants, donc une abolition de la dualité ; et le deuxième signe ou polarité a besoin du respect de la personnalité et de la liberté de l’autre, c’est-à-dire l’acceptation de la dualité !
Sur le plan humain cette contradiction est insoluble. La soif de communion comme le mondialisme devient tyrannie et esclavage, et comme dans le Nouvel Ordre Mondial le respect de la différence devient l’indifférence (voir le « United colors of Benitton ».
 
 
Chercher une unité ici-bas relève de la recherche du Graal ! Car la fatalité de l’amour c’est de chercher l’unité au niveau de la limite. Mais qui dit limite dit séparation. L’unité, le Soi Instant est l’infini, donc le sans-limite, donc l’abandon de l’ego.
Tout ce qu’on appelle « amour » et qui n’a pas la réalisation du Centrum Centri n’est que de la tyrannie, de l’esclavage, du commerce, ou surtout de l’habitude, avec la sauce du mensonge pour donner du goût au néant.

Notre démocratie est une coquette, ou plutôt une putain usant outrageusement de sa séduction pour obtenir du consentement : tirer le ficelles d’un pantin qui s’appelle « peuple », dans une espèce de jeu abstrait franc-maçonnique. Là dedans se montre souvent l’émotion théâtrale bien dans le siècle de l’image et des médias, donc toujours de l’illusion bâtit sur de l’illusion ou REPRÉSENTATION, mais jamais sur une PRÉSENCE (Instant).

Le mariage gay ou tous mariages, catholiques ou pas, ne sont que l’union de deux fantômes, le vécu d’une pseudo intimité avec ses ruses de guerre et ses échanges de fausse monnaie. Le vraie mariage n’est que l’Instant, la spontanéité de communion de deux regards, en une seule seconde, qui « désarment l’âme de tout ce qui n’est pas l’âme elle-même » comme écrit G. Thibon.
 
 
Tous mariages et le gay aussi est une tentative de fuir la terrible solitude et de se fondre, de bouffer un autre être, en oubliant les deux conditions absolue de cette unité : pureté de l’Amour et respect de la liberté des Amants. L’amoureux veut le but de l’unité, de la fusion, mais il ne veut pas fouler le sentier si étroit nommé Vérité, Unité ou Soi ; il ne voit dans cette unité qu’un assemblage hétéroclite fondé sur la tyrannie, l’esclavage, et surtout sur la convention et le compromis.
Sympathie, amour, échanges, tous ces eyes candy du « Royaume de Dieu sur Terre » des Juifs sont autant de mirages : on naît seul et on meurt seul, son chemin on le fait seul (je ne peux pas manger pour vous), chacun ne partage avec les autres que des illusions d’illusions, soit un partage d’erreurs et de misères ou d’imbécilités du vagabondages du mental. « Le hasard fait parfois que deux ou plusieurs de ce blocs suivent le même chemin et frottent leur surface ; on appelle cela ouverture ou communion : un remous du vent, et cette ivresse, transformée en choc douloureux ou en séparation définitive, nous replonge au sein du chaos », écrit G. Thibon.

Ce eyes candy propre à la putain démocratie se retrouve dans une forme de flatterie avec particulièrement le mot « valeur » collé au mot « république » : louanges de toutes sortes et stimulants sociaux pour gonfler, tout au moins en symbole, le « pouvoir d’achat », pour se raffermir dans l’estime de sa politique et persévérer dans l’effort d’engrosser les comptes en banque des banquiers juifs, tout cela symptôme d’un infaillible signe de destruction intérieure. Un édifice a d’autant plus besoin d’étais que ses fondements sont peux sûrs. Mais non, de nos jours où tout est devenu faux et à l’envers, la gangrène du profit s’appelle « progrès » ou évolutionnisme.
 
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Sympathique encore jeune homme élancé qui résume bien et se rapproche de ce que dit Ramana Maharshi : la révolution passe par la Réalisation du Soi en chacun de nous. Personne ne le fera à notre place, donc surtout pas besoin d’élite désormais synonyme de pourriture et de pouvoir ! Évidemment aucun messie à attendre ! Chacun est le Messie.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 09-03-2013 00:50

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