Car enfin, l’évolutionnisme et son corolaire le « Progrès » est une folie, une imbécilité : que sert à l’être humain de « gagner l’univers » comme on gagne 100 pauvres millions d’euro à la diabolique Française des Jeux (des ‘je’) s’il vient à perdre son âme ?
Ce danger et cet effondrement futur inévitable sera d’autant plus grand que la conquête de l’univers matériel est développée : « le Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre » implique une concentration presque absolue de l’esprit sur la création et la mise en œuvre des moyens matériels proportionnés à cette fin, et, par conséquence (car l’humain ne peut pas s’épanouir à la fois dans tous les sens sauf s’il réalise le Soi Instant), un oublie corrélatif des réalités de la vie intérieure : deux choses qui tombent à fond sous le coup de l’avertissement de l’Évangile : « Que sert à l’homme de gagner l’univers s’il vient à perdre son âme ? ».
L’être humain perdra peut-être son âme pour conquérir l’univers, et devant sa conquête, il sera sans âme pour en jouir, de sorte qu’il se trouvera passé de winner en loser, et même pire : en fou. Il deviendra complètement déprimé et sera une mine d’Or pour les Big Pharma prochains. Vivre sans idéal est impossible : il faut un moteur, pour certains ce sera d’ailleurs les drogues, légales ou, et, illégales ; car traduire cet idéal dans la vie du spatio-temporel n’est pas donné à tout le monde, c’est trop difficile, trop INCONFORTABLE, d’où par exemple la difficulté de commencer une œuvre en Alchimie, ou une œuvre tout court : la peur de la page blanche. Ainsi une autre drogue éloignant de l’Instant consiste à admirer les héros, au cinéma ou dans la vie courante, à admirer les Saints. Tous éléments aussi admirables et vénérables tant que nous les contemplons d’assez loin, par CONFORT, pour nous sentir dispensés de les rejoindre... Un pape, c’est tellement pratique... Les jeunes surtout vont chercher leurs modèles AILLEURS, au lieu de faire sourcer leurs propres talents, pourtant : « Quelle que soit la chose que nous avons décidé de faire, persévérons jusqu’à ce que l’absurde ou la lumière de Dieu nous délivre et nous rende libres dans l’acte et dans le repos » (d’après
Louis Cattiaux).
Plus que jamais ce qui restera d’âme aux humains devra se tourner vers l’invisible (d’eux-mêmes).
Le Moïse des Juifs est soi-disant contre l’idolâtrie, mais elle est là et au combien en maîtresse : C’EST LE PROGRÈS et son évolutionnisme, et son messie attendu par les Juifs avec le mythe de la « terre promise » ; tout cela éloignant totalement de l’Instant ou Soi : le ‘Je’ ou « je suis CE JE SUIS ».
Il y a forcément une connotation magico-religieuse dans le capitalo-communisme actuel que domine la judéo-franc-maçonnerie. Ça sent le souffre (et Soufre) partout !!! Ça sent surtout la FUITE EN AVANT et le total éloignement de l’Instant !!!
C’est une abominable erreur que ce mythe du progrès ou évolutionnisme. Quand un Frédéric Mistral parle de « la foi dans l’an nouveau », il ne parle pas du « sens de l’histoire » des progressistes évolutionnistes de l’après 1789, ni de la transposition dans le futur du « Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre », mais il parle du Soi Instant ou éternité.
Qu’est-ce que c’est cette course en avant, vers le progrès ; cette course des adorateurs et idolâtres de l’histoire, qui croient à la vertu intrinsèque et nécessaire du « changement », à un avenir en « lendemains qui chantent » ? Un (faux) rapprochement de plus en plus de la vie terrestre vers la vie céleste ?
NON ! Car c’est toujours un éloignement de l’Instant ou Soi, présent partout et à chaque Instant.
Croire à l’avenir, au messie des Juifs, c’est s’éloigner de l’Instant ou Soi, car c’est croire aux « lendemains qui chantent » alors que ceux-ci sont déjà contenu de toute éternité dans
l’ICI et MAINTENANT. PAS DE BUT À ATTEINDRE.
L’Instant, le Soi ou Dieu ou
Centrum Centri n’abandonne jamais personne, quoi qu’il arrive. Vu l’état du monde actuel, il est fort probable que de terrifiantes catastrophes nous attendent, avec autant de régressions, mais cela n’entame en rien l’éternité de l’Instant.
Ce qui importe, ce n’est pas le bien ou le mal, que les choses aillent bien ou qu’elle aillent mal dans ce monde des accidents ou spatio-temporel, c’est la trace que laisse, dans le fond de l’âme, ce mieux ou ce pire :
quid hoc ad æternitatem ?
Le seul progrès à faire est la réalisation du Soi en vainquant l’ignorance, comme l’explique
Ramana Maharshi. Et ce progrès se passe totalement du spatio-temporel et de son monde matérialiste, même s’il s’insère dans le temps comme événement, mais il échappe à la chronologie tueuse par sa nature. Comme la lumière solaire prend place dans l’orbite terrestre, mais elle n’est pas de la Terre. Comme la douleur ou la couleur n’appartenant pas à la matière mais est le résultat du traitement que subit la lumière. Ainsi la douleur absolue correspond au BLANC DE L’INSTANT composé des sept couleurs de l’Arc-en-Ciel ou apparition brutale de toute la Conscience ou réalisation du Soi.
Le vrai progrès de l’être humain ne dépend pas de ses acquisitions diaboliques temporelles (prospérité, confort et facilité technologiques, développement de l’instruction et de la culture, égalitarisme façon « mariage gay », etc.), mais de la façon dont il use de tous ces jouets, ou de leur absence, car la simplicité et l’apparente pauvreté est très souvent une réalisation du Soi sans le savoir, et d’ailleurs il n’y a même pas à le savoir puisque le soi est toujours là, quoi que nous fassions, ou ne fassions pas.
Le « Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre » est la profession de foi des communistes de l’ex URSS, qui pourtant niaient Dieu ! Ou plutôt en faisait le Yahvé déguisé en chef de Parti unique ! Car il faut distinguer un moment Spirituel et Temporel : amour de la terre et de la vie qui porte sur les êtres et les choses apparaissant dans le spatio-temporel, et le culte ou foi au progrès qui porte sur le spatio-temporel lui-même, donc sur du vent, de l’ILLUSION (
Quod æternum non est, nihil est). L’unique progrès est de vaincre le temps, cette Chronologie tueuse, donc réaliser l’Instant :
Ce qui est réel doit toujours exister.
Ce qui EST doit perdurer à jamais.
Ce qui apparaît nouvellement (le «
Nouveau, vu à la Télé ») doit aussi disparaître.
La nouveauté ce ne sera pas le « mariage gay » ni l’écran informatique à eau, ou d’autres choses encore inimaginables, toutes nouveautés en forme de la prison du l’Ouroboros ou serpent se mangeant la queue comme le chien courant après sa queue, donc une prison pour esclaves de la mode et de l’actualité (l’information ou le sans forme), toutes choses cherchant la voie du salut dans l’ornière creusée par le char de la Chronologie tueuse. Non, la nouveauté on ne la trouve pas en courant vers l’avenir, donc en s’éloignement de l’Instant ou Soi. La nouveauté on la trouve en réalisant l’Instant ou éternité.
Le Cycle, le Rythme sont l’image de la Vie. La ligne droite et continue de l’évolutionnisme à la géométrie euclidienne modèle Ancien Testament est l’image de la mort.
Il n’y a pas pire que les normes (celles des compas-équerres judéo franc-maçonnique), et leur lois, leurs contrats, leurs serments, leurs vœux solennellement formulés qui sont en général ceux qui, par la suite, sont le moins respectés (il s’agit bien-sûr du RESPECT INTÉRIEUR, pour le conformisme social, on sauve les apparences de la fidélité). Il est facile de faire une promesse dans la mesure où l’on se sent plus ou moins extérieur à la chose qu’on promet. Et c’est exactement pour la même raison qu’on trahit ! Cependant, le cœur ne promet pas aux autres organes du corps d’assurer la circulation du sang jusqu’à la mort : c’est cela l’une des devises du site : « Mieux vaut plein de petits moteurs qu’un gros qui peut casser ».
Le vœu, le serment, par le fait même qu’ils font appel à un principe extérieur à l’Accord et à l’Amour, contiennent déjà un germe à la trahison, ce qui nous donnera le
SOPHISME : prêter serment sur une Bible ! Ce qui en dit long sur l’actuelle « JUSTICE HUMAINE ». Cela ne correspond aucunement à Matthieu, 5, 36-37 : « Ne jure pas non plus par la tête, car tu ne peux en rendre un seul cheveu blanc ou noir. Que votre langage soit : « Oui ? oui », « Non ? non » ; ce qu’on dit de plus vient du Mauvais ».
Les Esséniens ne prêtaient serment sur rien du tout, mais leurs « Oui » et leurs « Non » valaient bien plus qu’un serment.
Avec l’évolutionnisme, le « Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre » ou « lendemains qui chantent », ou PROGRÈS, le monde est à eux (peuple élu) : la Terre rapetissée par la magie de la technologie sera la banlieue de leurs désirs grâce à la circulation de l’argent virtuel dans le binaire informatique.
Il n’y a pas de but ou d’objectif à atteindre, par conséquence pas de messie à attendre : quel est le plus optimiste, le plus winner ? Celui qui ne croit qu’en l’avenir, donc à la venue d’une personne avec sa promesse qui ne pourra pas être tenue ? Ou celui qui sait que l’éternité est là, partout, en chacun Instant qui coule ?
Il n’y a pas de but à atteindre, pas d’avenir ni d’évolutionnisme ou « progrès ». On ne peut pas se couper du Passé, et de la Tradition : si une racine pourri et meurt, demain la fleur séchera faute de sève !
Le mot est comme le NID, le sens est l’OISEAU (comme écrivait Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux).
Enfin, le mondialisme est le capitalo-communisme (voir
cette importante conférence, environ minutes 0.08.00 et 0.54.30 et 1.02.30) ou totalitarisme du « Royaume de Dieu (Juif) sur Terre » : ÉGALITÉ ou ravaler au niveau du quotidien, une platitude ou du quantitatif en étendue, du général baptisé par eux « universel », tout cela au lieu de partir du qualitatif. Ce qui est bien l’œuvre du Diable ou Prince de ce monde, soit la Chronologie elle-même bouffeuse de temps.
Sans réalisation du Soi, les humains ne font qu’accueillirent l’éternité comme temporel, ce qui donna 74 ans de communisme en URSS, et aujourd’hui donne le mondialisme. « Celui qui n’élève pas la Terre jusqu’au Ciel dégrade le Ciel jusqu’à la Terre (dévotions puériles et intéressées, conformisme religieux, etc.) », écrit
Gustave Thibon dans :
Notre regard qui manque à la Lumière, dont je fais référence dans cet article.
Trois ennemis terrestres de la Terre :
- L’orgueil où l’ego, le ‘je’, le mental, mange le ‘Je’.
- L’avarice qui tire tout à soi et détruit cette planète.
- La Vanité qui se nourrit d’illusions.
Désormais, les croyants sont trop éloignés du Soi ou Instant, ou Dieu.
Il faut des SACHANTS ou RÉALISÉS, des êtres du TORE ; le Passage par le Soi ou Instant ou Stargate sera la Vraie Paix attendue depuis plus de 10.000 ans pour chaque aspect de chacun de nous. La vraie Paix ou Félicité est notre condition naturelle, notre Nature ; personne ne peut l’apporter sur un plateau ou dans un temple à notre place ! Aucun messie ne peut l’apporter, ce sera un imposteur avec son illusion du DORG (Demain On Rase Gratis) ou même soupe ou pensée unique pour tous. « Celui qui est dans l’erreur essaie de l’imposer aux autres. Celui qui possède la vérité s’efforce de l’appliquer à lui-même. C’est la marque qui ne trompe pas », écrit si justement Louis Cattiaux.
La résistance c’est résister contre l’administration et l'État, les impôts, donc devenir AUTONOME selon l’une des devises du site : « Mieux vaut plein de petits moteurs qu’un gros qui peut casser » (comme l’État).