La Religion cosmique de Baal contre la Religion de fidélité de Yahvé, créateur du monde (juif) et maître de l’évolutionnisme ou fuite en avant.
Quoi de plus fidélisant que le Saint Fric !
Yahvé règne, les peuples tremblent,
il siège sur les Chérubins, la terre chancelle ;
dans Sion Yahvé est grand.
...
Le roi qui aime les jugements, c’est toi ;
tu as fondé droiture, jugement et justice [droits de l’homme... ;
en Jacob c’est toi qui agis.
(Psaumes 99 : Dieu, roi juste et saint, 1-4)
Yahvé est donc un sioniste... Ainsi Israël « veuille sur le monde afin que celui-ci adopte ses lois noachides » (l’ONU est infiltrée). Bientôt dans les écoles du maçon Jules Ferry. Savoir que pour éviter la résistance ou la peur, on teinte ou instille l’opinion à dose presque homéopathique ; c’est se faire enculer en douceur.
Donc nous sommes dans la merde judéo-maçonnique jusqu’au cou ! Ancien ou Nouveau Testament c’est, presque, kif-kif, surtout avec les Pharisiens... (1)
Avec la Vraie Télépathie tout cela n’existerait pas...
La FIDÉLITÉ entre bien dans cette religion de l’évolutionnisme ou fuite en avant ou corruption par en-bas (les Juifs inverse tout).
Les Juifs sont dans la course en avant du Jardin d’Eden ou Paradis sur cette Terre. Ils en ont déjà réalisé une partie par la création de leurs banques. André Gide écrit : « La fleur la plus belle est aussi bla plut tôt fanée. Sur son parfum, penche-toi vite. L’immortelle n’a pas d’odeur, cité par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.
Pourquoi ce rêve d’absolu, de Jardin d’Eden dont s’accompagne tous les remous de l’âme ? Alors que : « Ce qui est Réel doit toujours exister ; ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître ».
Comme écrit Thibon la pensée de Gide procède d’une confusion entre ce qui échappe au changement et à la corruption par en-bas : « une affinité avec l’immobilité de la mort, et qui dépasse le changement et la corruption par en-haut. donc par un excès de vie et de pureté, par affinité avec la force éternelle qui meut tout sans être mue.
André Gide parle de l’Instant, mais fixe, prisonnier ; or tout est mouvements rythmes et cycles, qui sont l’image de la vie ; l’évolutionnisme de la ligne droite est l’image de la mort. Être fidèle ce n’est donc pas transformer en habitude, en SYSTÈME de mort un élan vivant dans le TEMPS un sentiment dont on ne garde que l’arête exsangue et desséchée ; c’est la Réalisation de l’Instant ou Soi. Cette fidélité que symbolise le Yahvé des Juifs est UNE FAUSSE FIDÉLITÉ.
Le vœu, le serment, par le fait même qu’il font appel à un principe extérieur à la communion et à l’amour, contiennent déjà un germe de trahison. « L’homme a d’autant plus besoin de s’appuyer sur une promesse qu’il penche davantage vers le reniement. Il engage l’avenir avec ses lèvres parce qu’il ne porte pas l’éternité dans son cœur », écrit Thibon. Et c’est exactement ce que firent les sabbataistes, les frankistes. (Voir à ce propos la page : Noachisme et franckisme). D’autre part, il n’y a pas plus fidèle que l’anima !...
RAPPEL :
Les sept commandements des barbus rabbiniques devant s’appliquer au monde entier :
- Établir des tribunaux (justice humaine source d’erreur) ;
- Interdiction de blasphémer (Inquisition, censure, pensée unique du monothéisme, en anglais bien-sûr !) ;
- Interdiction de l’idolâtrie (en contradiction : le progrès ou progressisme est devenu idole, tout comme la « terre promise ») ;
- Interdiction des unions illicites (en contradiction avec la théorie du genre) ;
- Interdiction de l’assassinat ;
- Interdiction du vol (en contradiction : la finance et ses banques et sa fabrication de monnaie et ses dettes sont le vol) ;
- Interdiction de manger la chair arrachée à un animal vivant (en contradiction avec les usines à bouffe, les expérimentations animales pour la médecine, les cosmétiques, etc.).
Voir aussi la préparation inquisitoriale de lavage de cervelles par l’empire : Education Day, U.S.A. (traduction Google en note 2).
« Pour chaque Gentil (non-juif) qui n'accepte pas ces commandements, il doit être exécutés s'il est sous notre autorité incontestée ». (Moïse Maïmonide, Mishneh Torah, Loi des rois, chapitre 8 règle 9). Ainsi nous sommes bien dans le binaire : avec nous ou contre nous : pas d’alternative ou de flou ‘artistique’ à la Jacob_Franck et Sabbataï Tsevi. Maïmonide est un dur de dur. Inutile d’écrire que les nations qui ne respecteront pas les sept lois rabbiniques seront punis (genre bombes sur la gueule ?)
Effectivement ça fait beaucoup d’interdictions et ÇA FAIT PISSER DANS SA CULOTTE ! et ÇA PUE LA MORALE. En comparaison voici les préceptes de Bouddha avec les devoirs moraux des Bouddhistes :
- Ne maudire en aucune circonstance, car la malédiction retombe sur celui qui la profère.
- S’aimer les uns les autres et même vos ennemis.
- Donner notre vie, même pour les animaux.
- Remporter la plus grande victoire en se vainquant soi-même.
- Éviter tous les vices.
- Pratiquer toutes les vertus, spécialement l’humilité et la douceur.
- Obéir à ses supérieurs.
- Chérir et respecter ses parents, les vieillards, le savoir, les hommes vertueux et Saints.
- Donner nourriture, abris, réconfort aux hommes et aux animaux.
- Planter des arbres au bord des routes et creuser des puits pour le bien-être des voyageurs.
(Dans : Isis Dévoilée. Vol 2, part 2. H.P. Blavatsky)
BAAL symbolise la vie totale, la sacralité cosmique, « incitant à une activité cultuelle complexe et, malgré les excès orgiastiques, non dépourvue de grandeur », écrit Mircea Eliade dans : Histoire des croyances et des idées religieuses.
La croyance en la sacralité était aussi partagée par les Hébreux. Ainsi un problème se posa lors de la confrontation avec les Canaanéens : comment conserver une croyance semblable sans l’intégrer dans l’idéologie religieuse canaanéenne ? Car dans la spiritualité de Baal la théologie était centrée sur la modalité intermittent et circulaire du principal Dieu : Baal (rythmes et cycles), symbole de la vie totale. Mais le Yahvé ne partageait pas ce modèle. Et même si le culte de Yahvé comportait aussi quelques sacrifices, il ne se laissait pas contraindre par les actes de culte, il demandait la transformation intérieure du fidèle à travers l’obéissance et la confiance (donc toujours un Dieu extérieur et une morale du sentiment).
Cette lutte entre Yahvé et Baal s’est prolongée très longtemps, et malgré des compromis et à travers beaucoup d’infidélités, elle s’est achevé par la victoire du yahvisme, qui règne aujourd’hui sur notre monde (réf. d'après M. Eliade).
Le mot GUERRE comme le mot OPINION sont depuis longtemps synonymes de RELIGIONS, de DUELS et DUALITÉ ! L’Ancien Testament des Juifs est un livre de guerres et de violences : par exemple Jézabel avait donné l’ordre de massacrer les prophètes de Yahvé ; Élie après sa victoire demande au peuple de saisir les 450 prophètes de Baal. Il « les fit descendre près du torrent de Qishôn, et là il les égorgea » (Rois I, 18, 40).
Avec les prophètes nous entrons dans la VOYANCE, le chamanismes, etc. Le prophète est doué de facultés divinatoires et autres attributs du Chaman ou Medicin-man : il ressuscite les morts, nourrit les foules avec un quignon de pain, rend certains personnes malades, etc. Évidemment chez les Juifs quelque soit l’inspiration de leurs prophètes, c’est toujours des messages de leur Yahvé. Et le Yahvé par exemple leur « souffle » aux oreilles de juger les peuples voisins pour « péché contre la morale », ce qui évidemment donne déjà le mondialisme où toutes les nations doivent se trouver sous la juridiction du Yahvé (droits de l’homme oblige...) : « C’est le droit et la justice que Dieu attend de ses fidèles... ». On marchande, on fait du business.
Le drame du monde actuel vient de la confusion entre le Dieu des Juifs Yahvé, et l’autre : le Dieu des Chrétiens. Cette confusion se retrouve dans le mot UNIVERSEL. Or par exemple un roi est universel, il représente Dieu sur Terre, et pour le Yahvé des Juifs le roi était agréable à leur Dieu, car le roi était l’oint, comme le Christ Jésus, le roi était « adopté » par Yahvé comme son fils. « Mais le roi n’est pas engendré par Yahvé, il n’est pas reconnu, ‘légitimé’ par une déclaration spéciale » ; de plus le peuple juif était « fils de Yahvé ». Le roi est serviteur de Yahvé et doit apporter le RDJT (Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre) : assurer la fertilité du pays, défendre les faibles, maintenir l’ordre cosmique, etc. Et de là découle l’attente d’un roi idéal : le roi des Juifs ou le Messie ; la royauté étant interprétée comme une nouvelle alliance entre Yahvé et la dynastie de David, prolongement de l’Alliance du Sinaï (Moïse).
Ensuite Salomon fit bâtir un temple à Jérusalem près du palais royal, temple dédié à Yahvé. L’Arche d’alliance (religion du Livre ou code de conduite dans la tradition du Moyen-Orient) est installée dans l’obscurité du debir (Saint des Saints). De son sanctuaire, Yahvé rayonne sur la ville et la Terre entière écrit Mircea Eliade (Psaume..., Isaïe 31, etc.). Le mont Sion sur lequel est élevé le temple devient un « centre du monde » (aujourd’hui le sionisme !)
Le temple de Jérusalem devient sanctuaire et religion d’État, et là encore l’universalité tente de s’imposer. Eliade écrit que le temps fut construit d’après un modèle étranger : formes canaanéennes. Les rois commencent à se considérer comme chefs de la religion d’État, ce qui nous donnera bien plus tard le communisme avec les démiurge Lénine, Trotsky (voir vidéo en fin d’article), et leur exécuteur le « démiurge » Staline : le grand roi par-dessus tous les Dieux, puisque les Juifs bolcheviks disaient qu’il n’y avait pas de Dieu (sauf Staline). Aussi dans maintes occasions les rois furent critiqués parce qu’ils avaient accompli des rites réservés aux prêtres : le pouvoir politique et temporel prenait le pas sur le pouvoir spirituel.
À la mort de Salomon le royaume se divisa en deux : celui d’Israël au Nord, et celui de Juda au Sud, et l’Arche était resté à Jérusalem laissant les tribus du Nord privées du sanctuaire commun. Jéroboam le premier roi d’Israël établit deux sanctuaires : à Béthel et à Dan où Yahvé était adoré sous la forme de deux veaux d’Or (Rois I, 12, 28-29). Veaux d’Or étant d’influence canaanéenne et n’étant pas conforme à « l’opinion de Moïse », ce qui aggrava la mésentente entre les deux royaumes. (La monarchie héréditaire de la dynastie davidique s’est maintenue dans le Sud, la royauté fut dans le Nord plus ou moins charismatique, est-il écrit en note de bas de page dans le livre d’Eliade déjà cité).
Les Juifs font de leur Dieu Yahvé le « maître du monde » parce que « c’est lui qui l’a créé » !!! Aussi « il a le pouvoir » et peut montrer sa colère (la foudre et ses éclairs...). « Il est juge de sa création » et donc des humains... Mais Dieu est immortel alors que les humains ses créatures sont mortels. Le Yahvé est esprit et les humains sont chairs à Rancor. (On retrouve notre noachisme et ses lois)
Pour le judaïsme l’homme fut tiré de la poussière et retournera à la poussière, donc la mort c’est le caca, l’enfer dans les profondeurs de la terre, car la mort est la négation de la création du Yahvé, et le Yahvé ne règne pas sur les morts mais sur les vivants ses créatures. Cela nous donnera le RDJT ou projet d’établissement du Jardin d’Eden (sur Terre) : la terre promise, dans le système de la carotte et de la baston (ou bâton c’est pareil). La baston c’est que l’humain (juif) doive vivre dans la crainte de son Dieu, puisque la désobéissance porte atteinte aux commandements. Aussi, dans l’Ancien Testament, comme le précise bien Eliade, il n’existe que des rapports binaire Dieu-Humain, jamais l’unio mystica de l’âme avec son créateur. La Torah proclame seulement avec précision la « volonté divine », l’essentiel est de suivre les compas-équerres ou commandements : se comporter comme dans les Droits de l’Homme, pardon, comme le droit et la justice (humaine). Aussi l’idéal juif est que l’humain soit « juste » et respect les lois (humaines et talmudiques) ou OPINIONS (j’insiste, car il ne s’agit que de cela).
Il faut savoir que ces « lois » entre dans la tradition de ce qu’on appelait dans l’antiquité « les Sagesses », qui constituaient un des principaux genres littéraires dans les civilisations de l’Orient ancien, y compris l’Ancien Testament. C’étaient des recueils de préceptes pratiques et éthiques (des instructions, enseignements), énoncés par une personne pourvue d’une longue expérience à l’intention d’un jeune homme, visant à lui faire connaître les « normes » de conduite dans la vie sociale. Les Sagesses de l’Égypte pharaonique inspirèrent directement, et même textuellement, l’Ancien Testament. Dans l’Enseignement pour Mérykarê, une des plus anciennes réflexions sur le pouvoir et la politique, un Pharaon entend faire bénéficier son futur successeur d’une expérience acquise à travers un règne chargé d’évènements.
Le « droit d’auteur » n’est que très récent (après 1789), les manuscrits des Sagesses appartiennent à une littérature d’opinions, qui aux yeux du moderne ne sont cautionnées que d’après une RÉFÉRENCE (notre époque de la ‘raison’ avec ses « scientifiques » qui veulent tout mesurer). Dans le cas des Sagesses il est souvent difficile de connaître l’auteur de l’enseignement, c’était souvent des Pharaons, des Vizirs. Des auteurs sont mal identifiés à cause des incertitudes pesant sur la lecture de leur nom. Quand aux dates c’est encore plus aventureux...
Avec le Yahvé des Juifs, la mort est privé du rapport avec Dieu, ce qui est très curieux ! Tout de même il arrive au Yahvé de « tirer les morts » hors de leur tombe (références à la résurrection des morts avant la captivité babylonienne (587-538) (réf. M. Eliade).
Le péché faisant partie de la condition humaine, le Yahvé est miséricordieux, et donc sa « punition » ne sera jamais définitive. Ouf ! Je respire !
La confusion entre universel et opinion se retrouve parce que selon les Juifs et leur opinion, l’homme est créé à « l’image de Dieu » alors il se permet de « régner sur la Nature », et cela conduit à l’horreur diabolique de la division, de la POSSESSION : SE COUPER DE LA NATURE ou Fraternité, donc se couper de sa propre nature, se couper du Soi ou Instant, donc ne pas se connaître.
On ne tue pas le Dragon, le Gardien du Seuil, on l’apprivoise.
C’est-à-dire que l’ego n’est pas vraiment un ennemi, car il est l’enfant
de notre propre tendance innée (samskâra en sanskrit). On ne peut pas
tuer l’ego, mais comme l’explique Ramana Maharshi, simplement découvrir
comment il fonctionne, en l’observant avec vivacité mais avec le fusible
indispensable et essentiel qui est l’HUMOUR (que l’on retrouve souvent
dans la Taoïcité). Donc bien observer les machinations diaboliques de
l’ego pour mieux le dompter. Ainsi commence la vraie libération, la
vraie connaissance.
« En dehors du Dragon qui veille, les choses ne sont pas gardées ».
« Chargé de surveiller l’enclos merveilleux où les philosophes vont
quérir leurs trésors, le Dragon passe pour ne jamais sommeiller. Ses
yeux ardents demeurent constamment ouverts. Il connaît ni repos ni
lassitude et ne saurait vaincre l’insomnie qui le caractérise et lui
assure sa véritable raison d’être », écrit Fulcanelli dans : Les
Demeures Philosophales, tome 2).
Le Dragon apprivoise les contraires. Quand on s’en est fait un ami l’ego
est toujours là mais il est dompté. Le Dragon est évidemment en nous,
comme le dit souvent Ramana Maharshi : tout est dans le mental. La
pollution n’est pas sur la planète de l’humain, la pollution est en lui ;
et la racine du mal est bien l’ego (qu’il faut dompter et non tuer).
Ceci est fondamental en notre époque où tout est à l’envers et sans
dessus dessous : « Le roi serait souverain, et le peuple serait roi... »
comme l’écrivait Ossip Senkovski.
[En haut de page : tête du Dieu Baal]
Notes. 1. Être initié c’est être passé au-delà du pont qu’éventuellement fait passer le pontife (guru), ce n’est nullement le résultat d’attitudes morales (qui puent fortement), lesquelles ne sont qu’une esthétique du sentiment, nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes, des accidents dans le spatio-temporel ; c’est à ce piège que se font prendre les Pharisiens. (La Foi ou l’Amour ou la Vérité n’a pas besoin d’être défendue par aucune loi, qui ne peut être qu’humaine, donc opinion).
2. Traduction de l’un des outils, sinon le principal, du Nouvel Ordre Mondial : THE NOACHIDE CODE, adopté par l’empire.
Alors que le Congrès reconnaît la tradition historique de valeurs éthiques et les principes qui sont à la base de la société civilisée et sur lesquelles notre grande nation a été fondée ;
Considérant que ces valeurs et principes éthiques ont été le fondement de la société depuis l'aube de la civilisation, quand ils étaient connus comme les sept lois Noahides ;
Alors que sans ces valeurs et principes éthiques de l'édifice de la civilisation est en danger grave de retourner au chaos ;
Alors que la société est profondément préoccupé par le récent affaiblissement de ces principes qui ont conduit à des crises qui assiègent et menacent le tissu de la société civilisée ;
Alors que la préoccupation justifiée à ces crises ne devons pas laisser les citoyens de cette nation perdre de vue leur responsabilité de transmettre ces valeurs éthiques historiques de notre passé prestigieux pour les générations futures ;
Alors que le mouvement Loubavitch a favorisé et encouragé ces valeurs et principes éthiques à travers le monde ;
Alors que le rabbin Menachem Mendel Schneerson, leader du mouvement Loubavitch, est universellement respecté et vénéré et son 89e anniversaire tombe le 26 Mars, 1991 ;
Alors qu'en hommage à ce grand leader spirituel, ‘le rabbin', cette année de son 90e anniversaire sera considéré comme l’une des « éducation à donner », l'année où nous nous tournons vers l'éducation et pour la charité à donner au monde la morale et l’éthique et les valeurs contenues dans les Sept Lois Noahides ; et
Alors que ceci sera reflété dans un défilement internationale sur l'honneur signée par le Président des États-Unis et d'autres chefs d’État : maintenant, que ce soit
Résolu par le Sénat et la Chambre des Représentants des États-Unis d'Amérique réunis en Congrès, le 26 Mars 1991, le début de l'année du 90e anniversaire du rabbin Menachem Schneerson, leader du mouvement Loubavitch dans le monde entier, est désigné comme ‘Journée de l'éducation, USA’. Le Président est prié de publier une proclamation appelant le peuple des États-Unis à observer ce jour avec des cérémonies et des activités appropriées.
Président de la Chambre des représentants.
Vice-président des États-Unis...
Léon Trotsky (juif et fils de paysan propriétaire) par Henri Guillemin.
Citation du jour
"La France n’est pas de tradition spirituelle chrétienne mais DE TRADITION DU PALÉOLITHIQUE : LE DOMAINE DES PAGANS : provinciaux des districts. Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION. Sa spiritualité sera celle du CULTE DE LA TERRE-MÈRE ou MÈRE DIVINE (Vierge Noire, Isis la Noire : l’Eau de Vie). Cette Tradition Paléolithique appartient au Christ-Soi".
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.