PRISM : système américain de surveillance évidemment suite à la mode du terrorisme jouxté au mondialisme. Big Brother = États-Unis d’Amérique, il faut le savoir si on utilise le moindre de leur service, comme les sites internet en .com, comme mon site, mais je m’en tamponne dans ce cas là. Voir aussi l’article sur «
ceux qui n’ont rien à cacher » et donc vivent dans le confort. Il faut bien savoir que nous vivons dans le confort dit « démocratie », ce qui implique la surveillance généralisée de nous tous, qu’on cache quelque chose ou non. Au moins en Russie sous le tsar seuls les anarchistes dans le mauvais sens du terme étaient surveillés.
Grâce aux frères yahvisto-francs-maçons qui sont des voyeurs pervers car cachés, nous sommes tous surveillés. Ensuite il est très facile de transformer un innocent en coupable. Un type assis devant son écran relié à une quelconque caméra de surveillance est un voyeur en puissance, quoi qu’il puisse en dire !
Sinon,
voir un recueil de citations collant au mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial.
MONARCHIE = PAYSANS ou HABITANTS des CAMPAGNES
SOCIALISME = CITOYENS ou HABITANTS des CITÉS
Classification un peu simpliste, pourtant c’est comme ça que
Georges Clémenceau voyait la France à son époque : « L’immense majorité des électeurs en France sont des électeurs des campagnes. La France, c’est la France rurale [avant qu’elle ne soit décimée par la première guerre mondiale], et la paysannerie de France ne sera jamais socialiste... (pour eux) ce sont toujours les biens, la propriété, la possession, le travail, l’effort... Le Socialisme ne pourra jamais s’enraciner dans un pareil terrain... Prêcher la nationalisation des terres dans un village français, ce serait risquer sa vie... ».
Il n’y a pas pire que les socialistes qui « veulent le bien du peuple » : voyez le résultat avec la révolution russe de 1917 ! Ces socialistes qui se veulent distribuer des diplômes de démocratie dans le monde entier, et qui en 1916 accordent leur confiance à la monarchie de
Guillaume 2, une autocratie contre une France républicaine à la 1789.
Nesta Webster précise dans son livre :
La Révolution Mondiale, que les Allemands étaient menés à la baguette comme des enfants.
Un certain Lafargue, dans un congrès à Liège, et cité par Mgr. Henri Delassus dans le tome 1 de
La Conjuration Antichrétienne, explique ce qu’est la révolution de 1789 : « La Révolution, c’est le triomphe du travail sur le capital, de l’ouvrier sur le parasite, de l’homme sur Dieu ». On a ainsi à la fois là-dedans une méritocratie et la religion de l’homme, et inévitablement le socialisme ou communisme. ce même Lafargue disait encore : « Il y a 400 ans que nous sapons le catholicisme, la machine la plus forte qui ait été inventée en fait de spiritualisme ; elle est solide encore, malheureusement ». Selon Mgr. Delassus ce Lafargue cria pour finir : « Guerre à Dieu ! Haine à Dieu ! Le progrès est là ! Il faut crever le ciel comme une voûte de papier ». Cela nous donnera le libéralisme.
Bref, c’est inimaginable jusqu’où l’opinion peut aller ! Donc on se lance dans la guerre à Dieu, contre le catholicisme, contre la propriété et ses propriétaires, ça donne l’Union soviétique de l’après 1917 jusqu’à la mort de Staline.
Il est certain que la guerre de 1914-1918 a été le grand déclencheur du Nouvel Ordre Mondial, avec notamment la fondation de la
Société des Nations (actuel
ONU) suite au Traité de Versailles.
La tyrannie commence par ce genre de phrase droit de lhommiste en 1789 prononcée par un certain
Clootz : « Tous les hommes sont frères », on peut ajouter : « Et ils peuvent se marier entre eux grâce à Francois de la Hollande ».
Au départ la révolution russe ne devait pas être internationale, à cause de la division, notamment avec les
Mencheviks (sorte de Bolcheviks minoritaires). Quand les bolcheviks prirent totalement le pouvoir le mondialisme s’installa, puisqu’ils étaient soutenus de l’étranger et fondaient leurs espoirs d’une révolution mondiale. Mais les républicains de 1789 poussés par la doctrine judéo-franc-maçonnique étaient déjà des mondialistes et financièrement aidés par la Prusse et l’Angleterre, agents du yahvisme international.
Le Tsar Nicolas 2 ayant refusé en 1903 l’allégeance à l’Occident et à sa banque centrale, qui eût fait de l’économie russe la proie de la finance yahviste internationale, signa là sa condamnation à mort, mise à exécution par les banquiers yahvistes des USA, déjà maîtres de la démocratie américaine depuis 1889 (Vice-présidence de
Levi Morton).
Dans la révolution bolchevique de 1917 les Yahvistes étaient localement très nombreux, et ils accédèrent rapidement au pouvoir par
Kérensky, et se retrouvèrent internationalement très puissants ; ils s’affichèrent comme des meneurs et des sadiques à travers l’institution du Goulag, de la police politique et d’opinion, et la destruction de l’Église orthodoxe.
Le train plombé qui transportait en avril 1917 la bombe atomique nommée Lénine était composé de : 23 Russes, 3 Géorgiens, 4 Arméniens, un Allemand, 123 Yahvistes. La révolution de 1917 est donc une révolution venue de l’étranger, et ne doit rien au « mécontentement du peuple », suivant le même scénario de 1789. On promet toujours le « Royaume de Dieu Yahviste sur Terre », la terre aux paysans, etc., et au final on leur dénie même le droit de posséder les récoltes qu’ils avaient fait pousser. Les ouvriers qui s’imaginèrent diriger les usines qui les employaient se trouvèrent désillusionnés.
« Le Socialisme ne peut être atteint qu’en développant le Capitalisme d’État, par une soigneuse organisation des finances, du contrôle et de la discipline parmi les ouvriers. Sans quoi il n’y a pas de Socialisme... » écrit Lénine en mai 1918. Notez que toutes révolutions depuis 1789 jusqu’au 20è siècle ne concernent que les citoyens ou habitants des cités, exit les habitants des campagnes ou paysans. Cela peut se comprendre depuis plus de 2000 ans il n’existe pas beaucoup de « paysans yahvistes » ! Les Yahvistes avaient observés que l’idée de posséder était plus évidente chez un paysan cultivant sa terre que pour un ouvrier des cités utilisant des machines qu’il n’avait pas conçues et qui ne lui appartenaient pas. Notons que le sens du mot « ouvrier » signifie ouvrir, donc ouvrir la terre comme le fait un paysan.
Le sens du mot « Communisme » selon Lénine signifie : capitalisme d’État, ce qu’avaient inventé ou utilisés les Incas du temps de la Renaissance qui ne connaissaient pas la monnaie, puisque l’État s’occupait de tout, même de les marier.
Avec les Bolcheviks on entrait dans une méritocratie tyrannique : tu travailles l’État te donnes du pain, tu travailles pas tu bouffes pas. Évidemment il y a TOUJOURS des exceptions : « Naturellement, l’obligation du travail pour les riches n’est qu’un stade transitoire en vue de l’obligation générale du travail ».
Code du travail de 1920 publié par le Bureau d’Information Russe du Peuple : « Tous les citoyens de la République Fédérale Soviétique et Socialiste Russe âgés de 16 à 50 ans, avec certaines exceptions en cas de maladie, sont sujets au travail obligatoire de huit heures par jour ». Évidemment « une discipline de fer » est exigée des travailleurs soumis à un seul Maître. Et ce code de l’esclave moderne dans ses grandes lignes existe toujours aujourd’hui. Les extrémistes socialistes estimaient que le salaire devait disparaître au profit du troc : ce qui fut appliqué notamment au début de l’institution du Goulag, où des prisonniers rentraient pour passer la nuit et devaient prêter leurs guenilles puantes à ceux qui devaient partir au travail. L’échange de « biens » était poussé jusqu’à l’absurde grâce notamment à
Boukharine (exécuté sous Staline et incroyablement réhabilité en 1988). Boukharine qui déclarait : « La religion doit être combattue sinon par la violence, en tous cas par la controverse. Pour lui même la religion yahviste est une stupidité, idem pour les Bouddhistes, etc.
ILLUMINISME À LA WEISHAUPT : abolition de la propriété privée, du patriotisme [plus de nations] en faveur du mondialisme, abolition de toute religion [sauf celle des Yahvistes il va sans dire !] ; le mariage est remplacé par « l’union libre et honnête des hommes et des femmes qui sont amants et camarades », on peut ajouter aujourd’hui des hommes et des hommes qui sont amants et idem pour les femmes. Tout cela « dans l’intérêt de l’État » (comme chez les Incas). Donc les enfants sont éduqués en communautés, exit la famille des pères et mères. Mine de rien aujourd’hui on est peut-être en route vers un tel système !
[En référence à :
Nesta Webster :
La révolution mondiale - Le complot contre la civilisation]