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Le Bolchevisme Antifas des mondialistes Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-06-2013 23:23

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le Bolchevisme Antifas des mondialistes
 
 
Les Antifas français se comportent exactement comme des Bolcheviks : sectarisme, intolérance, Inquisition, KGB, violence guerrière contre ceux qui ne sont pas de « leur vérité », mensonges et déformations, etc. (Voir la page Drame du monde : l’OPINION).

Voir aussi la page Wiki Antifa en allemand, beaucoup plus complète
 
 
La Révolution de 1789 a établi le culte de l’opinion comme critère de vérité politique. Le peuple le croit, mais les vrais politiques, les hommes de pouvoir qui ne sont pas nécessairement ceux dont on publie les noms, ne sont pas dupes parce qu’ils ont pouvoir de fabriquer des opinions à leur convenance [aujourd’hui à celle des banques].
La Révolution française de 1789 est l’œuvre du Diable dans son principe, copiée par celle de la Russie en 1917. Elle ne pourra être tuée, définitivement, que par le principe contraire.
Ce principe se résume par le mot CHRIST, qui veut aussi dire : Soi, Instant, Vérité, Foi, Conscience, Cœur, Centrum Centri, Dieu, Tao, et d’une foule d’autres noms selon le point de vue de chacun ; et même pourquoi pas utiliser le mot Yahvé, si les Yahvistes ne cherchent pas à imposer de force leur point de vue au reste du monde en se prenant pour « les maîtres du divin » et seuls détenteurs de la Vérité dans leur obsession d’une « Unique Église Universelle », genre « République Universelle » des francs-maçons : « un culte universel parmi tous les peuples du monde ».

CANCER DU POUVOIR
(définition) : ce sont les voyeurs judéo-francs-maçons à l’ego et l’orgueil lucifériens en forme de religion. Et il n’y a aucune crainte à avoir de ces gens là, leurs maîtres en très très petit nombre qui se trouvent au sommet de la pyramide illustrée sur le billet de un dollar ne peuvent pas connaître ni vivre la Vraie Paix ou Libération, donc connaître la Vérité, car ils procèdent exactement à la façon du binaire informatique qui voudrait que la Vérité tout entière soit l’addition d’un puzzle de vérités partielles savamment cueillies un peu partout. Aucune crainte, car ils s’écrouleront bientôt puisque le Tout est autre chose, ET PLUS, que le total des parties. Cette oligarchie, maintenant uniquement financière, s’écroulera naturellement d’elle-même suite à ses propres erreurs. Et c’est là que la devise (que je fais aussi mienne), une chétive note de bas de page de l’Adepte et Potier Cyprian Piccolpassi Durantoys, dans son livre : Les Trois Livres de l’Art du Potier : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes crées par Dieu ». Cette devise est fondamentale et concerne immédiatement la Vérité, la Seule : à savoir, par un exemple matérialiste avec deux billards, l’obtention d’une mémoire initiale des conditions, sera toujours supérieure à la mémoire de stockage de toutes les conditions des trajectoires possibles et imaginables des deux billards. Le Tout est supérieur à la somme de toutes les vérités possibles et imaginables, ou calculables même avec l’ordinateur du futur, et le plus puissant de l’Univers !
Ce Tout que j’appelle « La Fixité Cavalante ».

« Qui se dépêche -
S’approche de la mort par-devant.
Qui tarde -
S’approche de la mort par derrière.
Entre les deux : l’Éternité.
Qui agit à temps ignore la mort ».

Entretien 9 avec Gitta, dans : Dialogues avec l’ange, document recueilli par Gitta Mallasz. Encore un exemple de Réalisation de l’Instant ou Soi.


« La Révolution [russe] une fois détachée des causes secondaires et des circonstances locales, apparaît donc comme un immense complot qui a réussi jusqu’à présent, non pas pour une cause dépassant la responsabilité humaine, mais par l’audace des conspirateurs, et par dessus tout par la faiblesse, par l’aveuglement volontaire de ceux qui, au lieu de combattre, ont systématiquement bouché leurs oreilles aux avertissements... » (Père N. Deschamps, historien, dans : Les Sociétés secrètes et la société).

Au cours des années 1920, en Angleterre, ce qui ce passait en Russie était systématiquement édulcoré, étouffé, et le mot « bolchevik » était remplacé par le mot plus vendeur de « communiste » (sens de tout partager en commun, ce qui est plus vendeur et sympathique et semble sans danger !).
En 1940, en Angleterre exprimer publiquement des opinions anti-communistes pouvait vous valoir d’être arrêté au titre du Décret n°18b du temps de guerre, qui permettait d’emprisonner quelqu’un sans motif ni jugement pendant un temps indéfini. Les crimes des anti-communistes étaient décrit comme : « soutien à l’ennemi », ou « soutenir des opinions hostiles à l’effort de guerre », et si on connaissait quelqu’un ayant à un moment de sa vie soutenu des opinions fascistes, il était inculpé de « participation à des associations hostiles ». Beaucoup restèrent en prison toute la durée de la guerre, ils furent ruinés et ne reçurent aucun dédommagement.
Ensuite, l’Europe centrale tombe aux griffes des socialistes : moitié de l’Allemagne, Pologne, Hongrie, Tchécoslovaquie, Bulgarie, Roumanie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Albanie, et même une partie de l’Autriche.

La deuxième guerre mondiale permit l’extension de tout le processus révolutionnaire 1789-1917, et cette seconde guerre mondiale n’a fait que depuis, le monde n’est pas libre et est en permanence dans les guerres et la violence. Comme l’écrivait Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux, cette seconde guerre mondiale fut IDÉOLOGIQUE, et il faut ajouter qu’elle fut un piège dans lequel furent poussées les nations chrétiennes.
Voici un exemple avec le Mouvement Fasciste (une démocratie comme tant d’autres dont le National-Socialisme allemand), qui apparut en Italie en 1922, et qui a l’époque était le seul essai sérieux d’organiser la résistance par la force aux violences du Bolchevisme, et qui arrêta en effet la marée rouge en Europe occidentale. Du fait par sa nature d’être essentiellement antibolchevique, le fascisme italien fut attaqué dès le départ dans la presse mondiale détenue par la finance yahviste, et la fin du Mouvement Fasciste se termina par le meurtre de Mussolini par la populace communiste en 1945.

Si Communisme et Fascisme sont de parti unique, tout les oppose. Le Bolchevisme était d’importation étrangère et ne fut imposé au peuple que par un coup d’État et par une violence extrême ; le Fascisme fut un mouvement national qui avait le soutien d’une grande partie du peuple italien, et qui effectua de grandes réformes.
Le Bolchevisme étant une conspiration internationale, tel un virus il se dissémina en points d’impacts dans nombre de pays, et par le biais de syndicats incita les ouvriers à se soulever contre leur gouvernement. Le Fascisme ne se répandit pas, il n’avait aucun allié extérieur, il n’avait qu’un seul parti, et il n’avait ni cellule ni groupes organisés sous sa direction dans d’autres pays.
« Le Fascisme n’est pas un article d’exportation » déclara Mussolini. Le Fascisme ne représentait seulement qu’un danger pour la Russie des Bolcheviks. Le Fascisme s’il put faire l’affaire un moment du mondialisme yahviste parce que socialiste, était un danger et un ennemi à abattre parce que national. Même chose du nazisme. Le Fascisme fut si intimidant pour les Communistes qu’ils décidèrent de l’abattre. Ainsi ils déformèrent le sens du mot Fasciste, qui devint dans le monde dit « libre » (du libéralisme bancaire) une totale ignominie, reprise de nos jours par le groupuscule « antifas » notamment.
Du Fascisme italien, Churchill déclara le 11 novembre 1928 :
« L’Italie a montré qu’il existe une voie pour combattre les forces subversives, capable de rassembler les masses populaires pour qu’ainsi, bien dirigées, elles apprécient et veuillent défendre l’honneur et la stabilité de la société civilisée. Dès lors, aucune grande nation ne restera dépourvue d’un dernier moyen de protection contre l’expansion cancéreuse du Bolchevisme ».

La même dénomination infamante de « Fascisme » fut appliquée au régime qui mit un coup d’arrêt à la marée socialiste en Espagne. Le « Front Populaire » fut au pouvoir par les élections de février 1936, avec des éléments révolutionnaires d’Espagne : Anarchistes, Syndicalistes révolutionnaires, etc. tous aux ordres de Moscou pour à nouveau tel le cycle infernal faire régner la TERREUR ROUGE.
À l’été 1936 en Espagne le Bolchevisme sévit : atrocité du gang international bolcheviste : des prêtres et religieux furent brûlés vifs dans les rues des grandes villes, et des aristocrates et des intellectuels furent massacrés de la main des révolutionnaires. J’imagine déjà ce qu’il pourrait de passer si les Antifas avait une once de pouvoir !...
La situation en Espagne fut finalement maîtrisée par la guerre civile, lorsque le général Franco, soutenu par toutes les classes, par les monarchistes, les républicains, et même des socialistes, réussit à contrer cette guerre. Le général Franco fut présenté par la presse anglaise comme « un Fasciste », et il devint comme Mussolini, comme Hitler, la cible des médias genre The Times (propriété de la famille yahviste Astor).

Des volontaires catholiques irlandais sous le commandement du général O’Duffy, allèrent en Espagne soutenir Franco dans sa lutte contre les terroristes bolcheviques.

D’autre part, sitôt la défaite allemande en 1919, l’Allemagne avait été le théâtre de mouvements communistes yahvistes, avec les spartakistes de Rosa Luxembourg, Bebel et Liebknecht, Radek, etc., mais l’opposition du peuple allemand le fit avorter. Cependant la République de Weimar était aux mains des Yahvistes, il y avait Walther Rathenau, et l’inflation ruina le peuple et poussait à la guerre civile.

Le 2 septembre 1929 le journal Le Figaro, repris un article de Italia Litteraria, écrivait à propos de la République de Weimar : « Le domaine financier et intellectuel est passé entièrement aux mains des Israélites. Ils forment actuellement l’élément actif qui donne à la vie allemande son caractère ».
Le Kahal yahviste abandonna l’idée d’une révolution, il entreprit de faire monter la puissance de l’Allemagne de Hitler afin de créer les conditions d’un conflit européen qui cette fois détruira tus les pays d’Europe à la fois. Journal yahviste américain : The Jewish World du 16 janvier 1919 : « Pour amasser de grosses somme d’argent, mais aussi pouvoir recommencer une autre guerre mondiale au moyen de cet argent ».
Comme la montré A. Sutton, et d’autres, le parti nazi fut épaulé dès ses débuts et jusqu’en 1936 au moins par la haute finance américano-juive, le Nazisme entrant dans leur plan de ce que j’appelle le capitalo-socialisme.

Parmi les soutiens bancaires au Nazisme, nous avons : le yahviste Emil Kirdorf magnat du charbon, Kurt von Schroeder, la banque Stern et celle de von Oppenheim, les banques Morgan, Chase Manhattan, Kuhn & Loeb, Dillon Read, les firmes Ford, ITT, l’aide personnelle des Yahvistes Paul et Max Warburg, etc. Il ne faut pas non plus négliger la clique de sectes judéo-maçonniques entourant Hitler et d’autres sectes en cheville avec la Golden Dawn, Tulé, l’AMORC, etc.

C’est à Yalta que fut décidé le remplacement de la Société des Nations (SDN) par l’ONU. Ce projet de parlement mondial (Société des Nations) avait été élaboré par un comité de 150 personnalités maçonniques placées sous la direction du colonel House, homme du banquier Schiff et mentor du Président Woodrow Wilson. Selon le Times du 18 mai 1953, la charte des nations unis fut élaborée par un comité dirigé par Léo Pasvolski (famille de communistes russes et membre du CFR). Dans ce comité figurait 17 personnes dont 16 étaient des membres de réseaux soviétiques ; le 17è, Dean Acheson, était conseiller juridique de l’URSS !

POGROM : mot ukrainien. En Ukraine, des représailles populaires (pogroms) étaient lancées contre les hordes de brigands et de voleur gitans, ou contre des Yahvistes usuriers ou convaincus de crimes rituels.
À Kiev s’est déroulé un procès célèbre : l’Affaire Biétry. Procès contre des rabbins qui avaient enlevé, torturé, saigné à mort un petit garçon chrétien. Le cadavre de l’enfant, vidé de son sang, fut retrouvé jeté dans un marais ; il portait des traces d’incisions féroces dues aux instruments rituels qu’utilisent les rabbins pour obtenir du sang chrétien qu’ils mêlent aux azymes pour la Pâque yahviste.


Scandale du « tribunal » de Nuremberg et de ses « crimes contre la paix ».

À cette époque de ce « tribunal », le Yahviste Ilya Ehrenbourg avait écrit à l’adresse de l’Armée Rouge : « Tuez, tuez ! Dans la race allemande, il n’y a que le mal... Suivez les préceptes du camarade Staline et anéantissez la bête fasciste une fois pour toutes dans son repaire ! Employez la force et brisez l’orgueil de race des femmes germaniques : prenez-les comme légitime butin. Tuez ! En déferlant en avant, tuez, vaillants soldats de l’Armée Rouge ! ». Cité par l’Amiral Doenitz dans ses Mémoires.

Ce « tribunal » de Nuremberg qui avait des « juges » bolcheviques, donc des assassins de dizaine et dizaine de millions de morts. Le plus horrible est qu’aucun de ces crimes ne fut jamais officiellement reproché aux Soviétiques ; ils avaient été accueillis à bras ouverts dans la Ligue des Nations en 1936, et il leur était désormais permis de siéger parmi les juges des allemands à Nuremberg !
Au cours du procès : « Staline s’était régalé de vodka à 100° de vol. pendant que Churchill s’en était tenu à son brandy favori. Staline se leva pour porter un toast : « Je propose un toast au jugement le plus expéditif pour tous les criminels de guerre d’Allemagne, un jugement face à un peloton d’exécution. Je bois à notre union pour les liquider tous et aussi vite que nous les capturerons, et il devra y en avoir au moins cinquante mille ! ». Le Churchill essaye de tempérer le poivrot Staline.
Au « tribunal » les documents à charge furent choisis, non seulement pour démontrer la culpabilité pour les actes de guerre des accusés, mais aussi pour cacher ceux des puissances qui se faisaient les procureurs. Documents PIPÉS dont il étaient pratiquement impossible d’échapper aux implications des charges dont ont les avaient plombés. (Le général Alfred Jodl dont l’accusation ne put relever aucun crime fut pourtant pendu).

En 1945 le cardinal anglais Bernard Griffin après une visite en Europe centrale : « Les horreurs des viols et des pillages par les Russes. À Vienne, cent mille femmes furent violées, et pas seulement une fois, mais à plusieurs reprises, y compris des fillettes qui n’avaient par onze ans ». (Document de la presse catholique d’octobre 1945).
Dans l’Allemagne socialiste, la sioniste Margarete Wittkowski fut présidente de la banque d’État, Kurt Cohn fut juge de la Cour Suprême, et Hilde Benjamin fut Ministre de la Justice. Cette yahviste rétablira la peine de mort par décapitation et envoya à la guillotine des milliers d’Allemands anti-communistes.

À cela il faut ajouter les horreurs dont on parle encore trop peu, par honte certainement : « la libération », période plus sanglante de 1944, plus sanglante que la St. Barthélémy. Terreur façon 1789 qui durera de 1944 à 1946, où les estimations prudentes établissent le nombre de tués à plus de 100.000, en plus des cas de ceux qui furent battus, torturés ou emprisonnés, et les femmes tondues.
C’est le Maréchal Pétain qui lança la Résistance en France pendant la guerre, après la formation du Gouvernement de Vichy ; ce fut lui qui donna son accord à un plan pour le recrutement secret des ex-soldats et de tout Français, homme ou femme, dans une Armée de l’Ombre pour s’opposer au Allemands dans la zone occupée. Des saboteurs et des hommes entraînés à la guérilla furent parachutés en France après un entraînement en Angleterre. Nombre de ceux-ci étaient connus comme sympathisants communistes.

Il y eut aussi les FTP yahvisto-communistes qui de 1941 à 1944 commirent des attentats provocateurs, tactique du harcèlement des troupes contre les occupants qui faisaient retraite vers l’Allemagne, et provoquer les répressions sans fin sur des otages. Les FTP assassinaient aussi des officiels patriotes. En 1944 ils tueront le plus possible d’élites catholiques ou patriotes partout où ils pourront, dans des conditions atroces comme celles des Bolcheviques des premières heures : supprimer les têtes les plus vaillantes pour interdire un renouveau contre-révolutionnaire.


[En référence à : Nesta Webster : La révolution mondiale - Le complot contre la civilisation]
 
 

Dernière mise à jour : 15-06-2013 00:36

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