Le socialisme judéo-franc-maçonnique ou bolchevisme déguisé tient
aujourd’hui en esclavage mental et physique la presque totalité de cette
planète. Il a su vendre sa soupe à ceux qui voient en lui un modèle de
civilisation qui apportera le « Royaume de Dieu (des Yahvistes) sur
Terre », genre : Demain On Rase Gratis (DORG) ou fin de la pauvreté en
distribuant à égalité les « richesses de la planète » (sans lui demander
son avis, et en imaginant que cela ne lui nuirait pas).
1789, 1917 et le « tribunal » de Nuremberg ont servi d’expériences, et
donnent le merdier mondial que nous vivons dominé par la finance
internationale yahviste.
ATTENTION, IL NE FAUT PAS SE LEURER, CETTE SECTE
SOCIALO-YAHVISTO-MAÇONNIQUE EST UN NID D’ASSASSINS EN PUISSANCE (voir ce
qu’il se passa notamment dès l’après 1789, pendant les guerres de
Vendée en 1792-1793, et en Russie en 1917 et pendant et à la fin de la
guerre civile russe en 1920).
NON, NOUS N’OUBLIERONS PAS. LE TEMPS EST VENU DE STOPPER LA
BOLCHEVISATION DE LA PLANÈTE et de sa PLOUTOCRATIE BANCAIRE YAHVISTE DE
WALL STREET et de son VATICAN LA CITY DE LONDRES.
Drame de l’opinion :
« Lorsque vous adhérez à un seul système philosophique, vous êtes obligé de condamner les autres... » (
Ramana Maharshi, entretien 40), ainsi le « peuple élu » ne peut que condamner le « peuple non élu » !
Réalisation du Soi Instant pouvant sauver le monde :
« Cherchez la source de la pensée ‘je’. C’est tout ce que vous avez à faire. L’Univers n’existe qu’en raison de la pensée ‘je’. Si celle-ci cesse, toute souffrance cessera également. Le faux ‘je’ ne disparaîtra qu’en recherchant sa source » (Ramana Maharshi, entretien 222).
Il n’existe pas de « peuple élu » car l’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne. « La vue émane de l’œil. Et l’œil doit se situer quelque part. Si vous voyez avec les yeux de la matière, le monde aura la même nature. Si vous regardez avec les yeux subtils (ceux de l’esprit), le monde apparaîtra subtil. Et si votre œil devient le Soi, le Soi étant infini [comme l’Instant], l’œil sera infini. Il n’y a rien d’autre à voir qui soit différent du Soi [Instant] » (Ramana Maharshi, entretien 106).
Il n’existe pas de « peuple élu », car la Connaissance, le Spirituel, dépendent du tempérament des individus et de leur état de compréhension. Aussi il n’est pas possible de forcer « en masse » et d’imposer son point de vue. C’est à chacun de faire le travail sur lui-même, personne d’autre ne le fera à sa place. Mais il faut se méfier des gurus et autres « instructeurs » voulant le « bien de l’humanité » et voulant instruire leurs auditeurs « en fonction des besoins de ceux-ci », toujours selon ces gurus afin de protéger des secrets importants de ceux qui ne sont pas prêts à les recevoir. Il est tout de même un fait que révéler des secrets à une personne non préparé, cette personne vous prendra pour un idiot, salopera ce secret, ou vous agressera car prise de panique ou de toutes autres violences. Voir ce qu’il risque fort de se passer si un Extraterrestre et sa petite famille débarque à Paris avec son Vaisseau ! Pour le divin, c’est le même problème, et on n’accepte même pas les microbes et autres petites formes de vie, ni les
'mauvaises herbes' !
L’égalité vendu par cette judéo-maçonnerie, en gommant totalement le divin, et donc en gommant le degré de recherche naturelle d’avancement de chacun, a conduit au Bolchevisme, soit l’incapable d’hier devenait le pouvoir et l’élite ou le gouverneur d’aujourd’hui.
La planète est talmudisé depuis 1789 pour arriver à son sommet avec la révolution russe de 1917, qui nous donnera la contamination, de Cuba et de l’Europe Centrale, mais surtout de la Chine. En combattant, le Japon y échappa ! Il reste d’ailleurs le seul pays de ce monde avec un Empereur.
Le Talmud ne commande que si un pays convoité est gouverné, par un roi, par un président de république modèle Grèce antique ; alors il faut tuer ce monarque ou ce président, et quand il n’y a plus de monarque ou de président, ou qu’ils sont réduit à des marionnettes, cela signifie immanquablement que le pays est bon à prendre et à transformer en vue de la mondialisation.
La Sainte Russie essaya courageusement de lutter contre l’envahisseur socialiste, surtout avec le
général Denikine, l
’amiral Koltchak.
Si les Bolcheviks ont gagné à la révolution de 1917, c’est parce que les secteurs qu’ils occupèrent étaient approvisionnés en armes et munitions provenant des Américains. Cela fut confirmé par le major M. Schuyler qui avait été consul général des États-Unis à l’époque tsariste. Ce major était supposé aider l’amiral Koltchak contre l’Armée Rouge. Il relate ceci : « Le Gouvernement de Russie est presque entièrement juif, et notre Armée Américains en Sibérie est pleine de Juifs communistes qui viennent directement de Moscou. Ils étaient allés aux États-unis et s’étalent aussitôt engagés dans l’Armée Américaine qui allait partir pour la Sibérie. Le général Grave, le Commandant en chef, a un État Major totalement juif. Du fait des Juifs dans toute notre Armée, toutes les informations qui auraient dû parvenir à Koltchak allaient directement à Moscou » (adresse prononcée par le Major Schuyler le 11 janvier 1920 à l’église St-Jean l’Évangéliste à New York City).
L’Amiral Koltchak fut trahi par ses alliés non-russes. Il fit retraite vers l’Est et il y eut une bataille rangée avec les bolcheviks lancés à leur poursuite, et ce fut alors une suite d’horreurs sans nom commises par les Bolcheviks dont on peut avoir un exemple dans le livre de
Ferdynand Ossendowski :
Bêtes, Hommes et Dieux :
« En contemplant cette fabuleuse retraite des glaces, je restai saisi de terreur et de révolte devant un tableau horrible qu’offrait l’Ienisseï charriant dans sa débâcle annuelle les plus affreuses dépouilles : c’étaient les cadavres des contre-révolutionnaires exécutés, officiers, soldats, cosaques de l’ancienne armée du gouverneur général de toute la Russie anti-bolchevik, l’Amiral Koltchak.
Tel était le résultat de l’œuvre sanguinaire de la Tchéka à Minoussinsk. Des centaines de cadavres, têtes et mains coupées, visages mutilés, corps à moitié carbonisés, crânes défoncés, flottaient à la dérive parmi les blocs de glace à la recherche d’un tombeau, quand ils n’étaient pas entraînés dans la fureur des tourbillons où ils se trouvaient alors déchiquetés, écrasés, déchirés, masses informes que le fleuve, écœuré de sa tâche, vomissait sur les îles et les bancs de sable. J’ai longé tout le cours moyen de l’Ienisseï et, sans cesse, j’ai rencontré ces effroyables témoignages putréfiés de l’œuvre des bolcheviks. Il me souvient qu’à certain tournant du fleuve, je tombai sur une troupe de trois cents chevaux au moins, gisant les uns sur les autres. À un verste en aval, ce que je vis ensuite me souleva le cœur : un bouquet de saules, le long de la rive, avait arraché au flot et gardé entre ses branches tombantes, comme entre les doigts d’une main, des corps humains de tous aspects et de toutes les attitudes, leur conservant par-delà la mort une apparence de naturel qui grava à jamais dans mon esprit le souvenir de cette vision d’épouvante. Dans ce groupe macabre je comptais soixante-dix cadavres.
...
Nous traversâmes un bois dans lequel nous trouvâmes les corps de vingt-huit officiers, pendus aux arbres, le visage et le corps atrocement mutilés. Nous prîmes alors la ferme résolution de ne jamais tomber vivants entre les mains des rouges. Nous avions pour éviter cela nos armes, ainsi qu’une provision de cyanure de potassium ».
Ce que décrit Ossendowski s’appelle LA TERREUR ROUGE, copie conforme de notre révolution française de 1789 et des guerres en Vendée. Le
Daily Mail Year Book pour 1919 indique : « Tout le pays fut mis sans dessus dessous, des officiers étaient journellement brûlés vifs, crucifiés, ou jetés dans les rivières les pieds lestés de lourdes pierres ».
À ce stade revient toujours et éternellement (plus pour longtemps) l’OR MÉTAL, les Bolcheviks en avaient besoin pour leurs armes et munitions. C’est ainsi que les Bolcheviques aidés de nombreuses trahisons à la base et par le Saint Fric devinrent les maîtres du Kremlin, d’où ils répandirent leurs miasmes dans tous les pays du monde. Notamment en Chine par l’intermédiaire du
Kuomintang (Tung-Mên-Hui), réorganisé par un franc-maçon :
Sun Yat-Sen, aussi membre de la secte Kop Twang.
Les communistes chinois qui maintenant sont la deuxième puissance capitalo-socialiste du monde : « Frères, d’une main de fer, saisissez le Capitaliste à la gorge, de vos genoux écrasez la poitrine du Capitaliste, et d’un poing de fer frappez le Capitaliste à la tête et brisez-lui le crâne, réduisez-le en poudre ».
Les communistes allemands : « Dans cette bataille finale de l’histoire en vue d’atteindre les objectifs le plus hauts de l’Humanité, notre cri de guerre contre l’ennemi est : « la main à la gorge et le genou sur la poitrine ».
En 1923 un agent bolchevique vint en Chine : le Yahviste Jacob Borodine (Michael Grusenberg). On dit qu’il fut responsable de la nomination comme successeur de Sun Yat-Sen de
Tchang Kaï-chek, qui à l’époque était franc-maçon de 33è degré du Rite Ancien et Accepté. Borodine avec son épouse yahviste infecta de groupes communistes toute la Chine du Sud.
En 1938 un certain nombre de jeunes Chinois communistes étaient déjà étudiants à Moscou dans les techniques révolutionnaires, et parmi eux, un certain
Mao Tsé-Toung.
La Chine put devenir communiste grâce à la défaite du Japon (suite à l’horreur des deux bombes atomiques grâce aux bidouillages des Yahvistes Einstein et Fermi). Combien de nouvelles victimes des capitalo-socialistes ? En 1957 Mao Tsé-Toung admit que 800.000 personnes avaient été « liquidées » pour « raisons politiques » (délit d’opinions) entre octobre 1949 et le début de 1957.
Ne pas oublier non plus les horreurs des terroristes du
Viet-Cong qui au cours des 6 premiers mois de 1968 tuèrent 2416 civils, en blessèrent 5123, et en kidnappèrent 4090...
Léonid Brejneff le 7 juin 1969 : « Dans les pays capitalistes de 1960 à 1968, un total de plus de 300 millions de travailleurs prirent part à des mouvements de lutte par la grève, contre 150 millions les années précédente. Il n’y a pas longtemps, il y avait encore des pays dans le monde capitaliste qui étaient considérés comme des havres de ce qu’ils appelaient « la paix sociale » ; il n’y en a plus désormais aujourd’hui. Partout le peuple des travailleurs combat pour ses intérêts vitaux, depuis les États-Unis, ù il y eut presque cinq milles grèves l’an dernier, jusqu’au Japon, où l’offensive de printemps de la classe ouvrière la même années a impliqué 14 millions de personnes. Depuis la France, où presque 10 millions de travailleurs étaient en grève en mai et juin 1968 et l’Italie où 18 millions prirent part à la grève en février 1969, jusqu’à l’Uruguay et au Chili où des grèves massives et des manifestations de la part des ouvriers éclatèrent à répétition ». (D’après
Soviet News, n°5493 du 10 juin 1969).
Mao lui, au vue de la nombreuse population chinoise, parle « masse », et il faut partir de celle-ci et de ses besoins, et non des désires de l’individu, ce qui reflète bien le règne du quantitatif, par ailleurs nommé universel, soit une nouvelle religion : le capitalo-socialisme. Mao veut manipuler les « masses » pour quelle soient consciente du besoin (du fric donc). Le mot « masse » semble obséder Mao, il devait avoir un problème intestinal, il était surtout rongé, comme Staline, du cancer du pouvoir.
Quantité pour la masse, qualité pour le démiurge Staline : « Un homme de fer, les autres en taule ».
Le Yahviste Edmond de Rothschild : « Il faut constituer une Europe fédérale. La structure qui doit sauter, c’est la nation ». (Magazine Entreprise, du 18/7/1970)
C’est le projet de l’anti Instant :
Cecil Rhodes, et de la haute ploutocratie yahviste internationale :
1. Décolonisation : abandon par les pays européens de leurs anciennes colonies, qui seront livrées à l’exploitation yahviste sans scrupule derrière l’idéologie marxiste.
2. Régionalisation : dépeçage des nations de l’Europe par excitation artificielle des régionalismes, en vue de substituer les patriotismes régionaux ou nationaux (d’où les actions de l’IRA, de l’ETA, du FLNB, Flamands et Wallons, etc.)
3. Intégration fédérale de l’Europe genre Union soviétique européenne selon l’objectif du Saint Fric et de son saint libre-échange. (Voir les vidéos des conférences de Pierre Hillard pour approfondir).
Saint Fric venant des Nations-Unies pour financer notamment entre 1975-95 : la
Swapo, l’OLP, l’IRA, les Brigades Rouges, la
Bande à Baader, etc., et le reste du Saint Fric servait à combattre ces mouvements.
[En référence à :
Nesta Webster :
La révolution mondiale - Le complot contre la civilisation]
(En haut de page : impeccable blason du gouvernement de l’Amiral Koltchak)