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Histoire = Peur et Prison Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-08-2013 22:44

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Histoire = Peur et Prison
Soit : le Temps qui coule


HISTOIRE = FRIC ou MAL ABSOLU
RAISON = HISTOIRE ou IDÉATION ou VOLONTÉ ou LIBÉRALISME TYRANNIQUE
 
 
L’histoire, l’histoire : ça coule, ça coule, on consomme, on jette, on consomme, on jette, et ainsi de suite jusqu’à ce que mort s’en suive dans ce monde de guerres intestines et de grosses commissions.


HISTOIRE [ESTOIRE] STORIA : récit d’événements mémorisables. ESTOIER : garder, réserver. ESTOIREMENT : provision, fourniture. ESTOIE : cabane aisée à transporter où l’on se met à couvert. On dit aussi « raconter une histoire » ; HISTORIER : raconter, composer une histoire.
L’histoire est CONTENANT, CE QUI SAISIT, CE QUI TIENT FERME (delgh en gaulois, du sanskrit dark, du latin in-dulgere : ne pas retenir, pardonner).
 
Le seul Salut de l’être humain est de retrouver le Grand Temps, celui des CYCLES et des RYTHMES COSMIQUES, et non celui du temps qui coule ou de l’histoire coulant dans le monde des ACCIDENTS. Ainsi, c’est seulement que TOUT DEVIENDRA POSSIBLE, mais pas avant. Parce que le judéo-christianisme a tout détruit avec son mythe d’Adam et de la Chute, faisant de l’être humain un être déchu prisonnier de l’histoire ou du temps qui coule ou du monde des ACCIDENTS et de la peur régnant en empereur ; prisonnier du progrès ou progression abandonnant Cycles et Rythmes dans sa folie évolutionniste résumée maintenant en un seul mot : FRIC.

La perte de l’Âge d’Or et l’arrivée des religions ou opinions monothéistes imposées le plus souvent par la violence a provoqué la Chute, et la dérive vers la technologie et son monde des ACCIDENTS.

ACCIDENT :
[ACCIDENS] [INCONVENIENT]. Monde du Courant (dynamique), de l’histoire et de la peur. Accident/survenir : contraire de constant/fluide et CYCLIQUE et RYTHMIQUE.
Monde des accidents ou du spatio-temporel : quand l’homme se fait de l’absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde du temps profane (ou spatio-temporel). Le monde des Accidents est celui de l’OPINION. Fabriquer ou imaginer un extérieur, en oubliant son intérieur. D’où le danger d’une imagination mal contrôlée. C’est aussi ce qui arrive quand on naît : on entre, comme toute Matière, dans le temps profane ou temps des accidents, le « temps qui coule ». Il y usure et fatigue : « l’injure du Temps ».
Le temps profane ou temps visible, celui qu’il y a entre une naissance et une mort. Dés la première seconde après la naissance, la Chronologie tueuse est enclenché.
C’est le monde des êtres gouvernés par l’histoire, hors du domaine « des Dieux ». Accident parce que prisonnier de la Matière et coupure du Cosmos.
Le temps des accidents est celui de l’évolutionnisme des judéo-chrétiens, le temps de la carotte et du bâton : FAIRE VENDRE ; le temps des religions ou opinion de la rédemption avec son apocalypse ou sa « fin des temps ».
ACCIDENT, de ACIDE, ACCÈS, ACHAT, ACCÈS...
Le temps des accidents est celui de la perte des MIRACLES (ou ils sont si rares que la chrétienté de l’Église de Rome en fait des saints et des saintes), puisque le mot Miracle signifie S’ÉTONNER, donc ÊTRE PROCHE DE RÉALISER L’INSTANT. Aujourd’hui on parle de « mirage » de façon péjorative.
MIRACLE : de MIRER : donner des remèdes, traiter, guérir ; MIRE est le chirurgien, le médecin, l’apothicaire ; et MIRENCOULIE est le chagrin la peine (mélancolie).
Si les Miracles sont si rares, c’est bien la faute des chrétiens tombés dans le sentimentalisme où ce sont les sentiments qui décident des idéologies !

Depuis 1789 en passant par les deux guerres mondiales, nous sommes les deux pieds à fond dans l’histoire ou monde des accidents ! Et ça empire USionistan depuis 1945 !
Depuis 1789 et son « homme moderne » ou républicain : le « citoyen » ou habitant des cités, N’EST PAS LIBRE, MAIS PRISONNIER. Il n’est plus le créateur de l’histoire DE SON HISTOIRE, il est devenu MODERNE, c’est-à-dire celui qui est uniquement LAÏQUE (voir l’encadré) dans le temps vulgaire, le temps qui coule entre un début et une fin. L’homme moderne, celui du judéo-christianisme, est dépourvu de défense contre les accidents de la Chronologie tueuse. L’homme moderne se veut dans l’histoire selon le principe socialiste et marxiste et existentialiste : ce sont les accidents ou l’histoire qui engendrent les essences ! Ce qui est la marque du satanisme absolu. Alors cet homme moderne est obligé de se faire son histoire, soit par les germes d’actions déposés dans le passé il y a plusieurs millénaires (voie de l’Agriculture par exemple), et donc extérieurs ; soit à ce laisser manipuler par un nombre d’humains toujours plus restreint (l’élite ou oligarchie) qui, non seulement interdisent à la masse de leurs contemporains d’intervenir directement, ou indirectement dans l’histoire qu’ils fabriquent (ou QU’IL fait) ; mais disposent en outre de moyens suffisants pour obliger chaque humain à supporter quant à lui les conséquences de cette histoire voulue par l’élite, c’est-à-dire vivre immédiatement et sans arrêt à cause de l’évolutionnisme dans l’épouvante et la terreur du temps des accidents.

C’est pourquoi la liberté de faire l’histoire dont se targue l’humain moderne, surtout celui de l’après seconde guerre mondiale (tribunal et manipulations de vainqueurs) est absolu illusion pour tout le genre humain.
Il ne reste plus que deux possibilités à l’humain :
1 - S’opposer à l’histoire des manipulateurs que sont les élites et les vainqueurs (winners), c’est le cas de ce que depuis 1945 certains nomment « négationnistes » ou « révisionnistes » : au mieux ces personnes sont ridiculisées et traité de « faussaires » ou de « fous », au pire on les envoie en prison en France avec la loi « Fabius-Gayssot » (association du capitalisme et du socialisme). Donc s’opposer à l'histoire est le fait d’une toute petite minorité.
2 - Se réfugier hors du monde des accidents ; au mieux réaliser le Soi-Instant : Je suis CELUI QUI SUIS (amorcer la pompe).

Nous sommes dans une véritable prison que certains nomment le Nouvel Ordre Mondial, mais c’est celui de l’histoire, du monde des accidents ; et plus ce monde devient historique, grâce surtout à la deuxième guerre mondiale et au problèmes des Yahvistes, et plus notre temps en devient historique (voir la loi Fabius-Gayssot qui en devient une religion en forme d’Inquisition avec crime d’hérésie), c’est-à-dire qu’il y a coupure d’avec le modèle du Grand Temps. Par exemple le marxisme et le fascisme aboutissent à la constitution de deux faisceaux des accidents avec même résultat :
- L’existence du chef ou démiurge qui est le seul vraiment libre, il est le Créateur, le fabricant d’âmes, et le dictateur fabricant d’âmes était en germe dans Karl Marx qui écrit que : « la structure intellectuelle de l’individu est le produit de son milieu ».
- Et le temps des fabriqués qui découvrent dans l’existence du temps des accidents le chef, le démiurge, et non un archétype ou modèle de leur propre expérience, mais seulement le législateur des gestes qui leurs sont provisoirement permis. Le fabriqué doit vivre dans l’évolutionnisme entre un passé et un futur, le souvenir même lui est interdit, il ne doit pas regarder en arrière pour réaliser le cycle de boucler le futur sur le passé. En d’autres mots, seul le chef ou démiurge s’accorde cette possibilité et l’interdit aux fabriqués, lui seul a le droit au JE ou au « Je suis CELUI QUI SUIS ». L’éducation nationale procède de même : coulage dans un moule, celui de la république franc-maçonnique.

L’humain moderne n’est pas libre et n’est pas créateur de son histoire (le JE). Tout au contraire, l’Ancien est créateur de son monde ce qui lui permet d’être libre. Il est libre d’être même plus que ce qu’il a créer, libre d’annuler sa propre chronologie par abolition cyclique de la chronologie tueuse et par régénération collective. L’Ancien est comme chaque PRINTEMPS, en éternelle naissance, retrouver à chaque Printemps toutes ses énergies intactes. L’Ancien trouve la possibilité de transcender définitivement la Chronologie tueuse et de vivre dans l’éternité. S’il Chute, il tombe dans le temps qui coule ou temps historique, il « chute dans l’histoire ».

Nous sommes prisonnier de la Chronologie tueuse (l’histoire) et celle-ci engendre la TERREUR : on en vit les effets à chaque révolution humaine typiquement dans le temps qui coule. Le temps qui coule de la religion de l’humain moderne : le christianisme où l’humain se découvre une « liberté personnelle » ou opinion, donc un renforcement de l’ego, dans un temps en évolution entre un Adam et une fin des temps (au lieu du temps cyclique).



L’ENNEMI, C’EST CETTE FANATIQUE RELIGION DE LA LAÏCITÉ EN FRANCE

Émile Poulat résume bien la laïcité : « J’ajouterai que ce que nous appelons notre laïcité à la française n’est finalement qu’un héritage de la catholicité à la française », donc une déformation de déformation, etc. Ne jamais oublier qu’ici en Occident nous subissons l’héritage de la philosophie et logique de l’ancien monde gréco-latin ! laquelle analyse, embrouille et finalement tue ; la laïcité étant une émule du libéralisme à la John Locke et du Siècle des Lumières ou siècle des perruques poudrées.

La laïcité est une culture, un système dominant français issue de 1789 et de la franc-maçonnerie spéculative matérialiste, qui s’impose à l’ensemble de la population. Or tout ce qui impose à l’ensemble n’est qu’une dictature. Mais la laïcité française à ceci de plus sournois, voir de plus monstrueux, de plus diabolique, c’est qu’elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà, comme s'il était issue de Dieu.
La laïcité française est un killer en forme de neutralité qui déniera ce qu’elle fait à l’instant où elle le fait, afin de pouvoir en faire plus sans avoir à s’expliquer, puisqu’elle a dénié ce qu’elle était en train de faire ! Bref, c’est l’Ouroboros ou serpent qui se mord la queue, dans le sens de la prison.

La laïcité publique française possède un code non écrit d’une extrême subtilité (puisque c’est franc-maçonnique) qu’il faut, premièrement, maîtriser et, deuxièmement, décoder. C’est exactement le principe de l’INQUISITION et de la Tchéka qui copie l’Inquisition. Car en URSS comme en république il s’agit de défendre un DOGME, appelé aussi ‘Valeur’, c’est-à-dire une position du mental qui, pour l’accusation ou le pouvoir, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme la laïcité, comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux ; écoutez le Grand prêtre Vincent Peillon pour vous en convaincre. Aussi, si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d’une religion (par exemple c’était le cas de Galilée, et c’est le cas de tous membres d’un parti, surtout communiste ou socialiste ou d’une république) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S’il le sait, il se condamne lui-même par auto-critique et ne subit qu’une peine légère ou ne subit pas une condamnation imposée. S’il ne sait pas pourquoi on lui reproche quelque chose, c’est qu’il est fou, et pour ce cas là le post-stalinisme des années 1960-1970 a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. L’inquisition brûlait ses opposants comme possédés de Satan, c’était moins barbare que n’importe quel hôpital psychiatrique moderne. Inquisition et Tchéka, et Vincent Peillon ont la même configuration mentale.

Comme le dit bien Émile Poulat, la laïcité est un confessionalisme retourné. Aussi en l’état actuel des consciences et de la « démocratie », le problème de la libre pensée libérée depuis l’époque de la Renaissance, notamment grâce à l’invention de l’imprimerie, crée un redoutable fardeau pour l’État, affranchi, séparé de l’Église. Désormais, l’État, a la charge de gérer soixante millions de consciences en liberté et bien décidé à en user, démocratie et mensonge du « pouvoir du peuple » oblige. Auparavant, l’État pouvait s’appuyer sur l’Église pour gouverner les consciences avec les paroisses et les prédicateurs, les confesseurs et les directeurs de conscience. Maintenant, c’est fini. L’État n’a plus de recours et se trouve face à face avec ces soixante millions de consciences... et en plus consommateurs ; ainsi la manipulation de l’opinion et le mensonge devient la règle de base de l’État républicain et de toute démocratie.
Aujourd’hui ça devient urgent : la seule voie de la libération passe par la réalisation de l’Instant ou Soi de chacun de nous.... Par la Stargate : amorcer la pompe, être DIRECTE....




Typiquement le temps de l’histoire et sa prison : l’empire USionistan en action, ou les « nettoyeurs » en action.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 22-08-2013 23:14

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