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La rédemption est diabolique et mortelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-09-2013 22:43

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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La rédemption est diabolique et mortelle
Elle est l’œuvre du Diable ou de l’opinion des Yahvistes
Elle est synonyme de MAFFIA, de RANÇON,
donc du monde du business
Elle est lié à l’évolutionnise des fixistes Yahvistes ou Juifs
et à leur Adam
 
 
Le péché des Juifs ou Yahvistes est leur péché de travailleurs du chapeau, leur péché du mental, soit leur révolte contre l’infini ou Instant.
Le péché des Juifs est leur messianisme : une idolâtrie éloignant de l’Instant puisque leur finalité essentielle consiste à attendre le messie qui fait Tout. Il en est de même du dogme judéo-maçonnique du bien et du mal.
 
RÉDEMPTION : 980, du latin des Chrétiens, de redimere (racheter), rançon. Pour les Judéo-Chrétiens c’est le business du genre humain par un certain Jésus, donc un élément extérieur à l’Instant ou Soi. Rédemption et crédit sont des termes de maffia, de business : croire en quelque chose, et surtout au Saint Fric : par exemple voir les jeux de la diabolique Française des jeux déguisée en impôts par les jeux de hasard style casino des pauvres.

La rédemption c’est l’avilissement de la vie au même titre que la DETTE sur laquelle est bâtit toute notre civilisation.
Rédemption sonne comme l’IMPÔT, la REDEVANCE, REDOUTABLE, REDOTER (craindre), REELENGHE et REENENGHE (juridiction, chambre des comptes), REEMBEOR (rédempteur), REEVE (bailli, prévôt, juge), REFAICTURE (droit qu’on paye au seigneur pour prendre dans sa forêt le bois dont on a besoin pour les réparations qu’on a à faire) ; on parle aussi de REFAIT (poisson de mer, rouget, nommé ainsi parce qu’il est gros et gras), RÉFECTION et RÉPARATION et RÉSULTAT sont aussi du thème de la Rédemption, pareil pour REFELLON (REDEVANCE), REFERMER, RÉTABLIR. (Termes en référence au Glossaire de Du Cange).
Bref, le RE, du latin re, indique un mouvement en arrière : ramener, recourber, un retour à un état antérieur : réhabiliter, refermer, rhabille, redire, réunir, ramasser, raccourcir, réformer, refouler, refroidir, réchauffer, réfugier, etc.

La Rédemption est le parfait éloignement de l’Instant ou Soi ! La Rédemption est criminelle.
Les Yahvistes et leur opinion : le judaïsme, ont ainsi inventé la guerre du genre humain avec leur idéologie de Gog et Magog (un truc d’Occidentaux du désert), avec guerre des deux messies bien dans le binaire juif : le messie de style David, le messie de style Joseph. Tous deux évidemment de copyright juif et évolutionnisme !
Avec les Yahvistes nous avons le messie de la Maison de Joseph (celui qu’attendent tous les Yahvistes et qui apparaît de temps à autre comme le malade mental Sabbataï Tsevi, ce genre de messies s’auto-proclame) ; et le messie de la Maison de David (celui qui se fait appeler Jésus et qui selon certains Yahvistes volera dans les airs avec l’archange Michaël).
Le fils périodique de Joseph est du thème thermodynamique : la violence et la guerre, nous en vivons les résultats en ce moment ; le fils de David ou le Jésus se révélera après la mort du messie guerrier, « et alors le messie de la tribu de Joseph et tous ceux qui sont morts avec lui ressusciteront, sauf les Gentils, les pécheurs, et les apostats » (cité par G. Scholem dans : Sabattaï Tsevi le messie mystique).

Bizarrement il n’existe pas de Saints chez les Yahvistes ! Ils sont spécialistes en messies et en prophètes en gros, et en Torah.
En bons diviseurs winner-loser, les Yahvistes, surtout leur Ezéchiel, nomment Gog et Magog les méchants, les losers, donc les PAÏENS, ceux qui n’adhèrent pas à l’opinion de leur Yahvé, soit l’Asie Mineure, les Scythes, et autres pays considérés comme païens. Le Gog et Magog moderne ce sont les Brigands (nom donné aux Vendéens par les républicains de 1789), et les terroristes (devenus à la mode suite au 11 septembre 2001 destiné à remplacer le jouet guerrier cassé qui était la « guerre froide » envers les socialistes de l’URSS des Lénine-Staline-Trotsky). Maintenant le Gog et Magog ce sont l’actuel gouvernement de la Syrie.
Gog et Magog désigne les losers parce qu’il renvoie à la fin des temps inventé par les Yahvistes : leur armageddon si pratique pour « sécuriser » la planète. Un armageddon amenant la sublimation du binaire dans une violence style Big Bang (donc unique selon la conception fixiste, soit : éternelle). Chez les Yahvistes tout est éternel..... ICI-BAS. Les Pharisiens sont typiquement des fixistes : ils se croient « peuple élu » parce qu’ils respectent leur code, loi ou norme inscrite dans leur Torah : l’eau la plus polluée leur paraît pure pourvu qu’elle coule au fond du lit des conventions ou opinions sociales ! Que l’Instant ou l’Amour l’emportent sur la loi, les Pharisiens ne comprennent pas ! Ils sont si matérialistes et restent à l’EXTÉRIEUR DE TOUT.

BIEN ET MAL : Rien de réel là-dedans, parce qu’il s’agit toujours d’OPINION, et les Scythes étaient vu par les Juifs de l’époque comme des « barbares » !
En résumé : Gog et Magog C’EST L’AUTRE, LE DÉLIT DE SALE GUEULE, LE BARBARE, LE SAUVAGE. Et depuis 1945 avec la starisation du sionisme le mot à la mode est bien « antisémite », c’est le thème avec sa suite et variation comme : négationnisme, nazisme, etc., tant la liste est désormais longue.

L’armageddon est bien-sûr désiré par tout Yahviste et sioniste qui se respecte et qui attend son messie de la Maison de Joseph, lui, victorieux dans un premier temps, mais qui tomberait ensuite aux portes de Jérusalem. « Les tribulations finales, au cours desquelles les Juifs devaient être dispersés dans le désert, une poignée de justes parfaits restant seule à survivre, n’avaient pas encore frappé Israël. Le petit reste lui-même serait dispersé, et chaque fugitif s’imaginerait être le seul Juif survivant, jusqu’au moment où Élie apparaîtrait pour annoncer la rédemption. Alors seulement le fils de David [Jésus] apparaîtrait, rassemblerait les dispersés des quatre coins de l’univers, et la trompette sonnerait », écrit G. Scholem citant un auteur qui signala les midrashim apocalyptiques mineurs auxquels remontent ces opinions.

La POSSESSION caractérise les Yahvistes si matérialistes : ils veulent convertir Dieu au judaïsme ! Convertir les Gentils dont soi-disant ils subissent la règle ! Mais eux veulent imposer LEUR règle. Les Yahvistes sont donc DES DIVISEURS DU BINAIRE DE PREMIÈRE CLASSE. Notre messie, notre Dieu, notre fric, notre souffrance, notre travail du chapeau, notre rédemption, etc.....

Les Yahvistes se voient en Superman, en héros américain des bandes dessinés destinées à remonter le moral des Américains après la débâcle de leur Dieu Dollar en 1929. Or le Saint comme le héros est typiquement l’ambiguité même : à cause de l’ego on ne sait jamais s'il agit par orgueil ou par sacrifice, les deux sont une même chose attachée à l’égoïsme et le RACHAT DES PÉCHÉS EST DU PUR ÉGOÏSME ET DU SÉCURITAIRE, DU CONFORT. Comme l’opinion, rien n’est plus trompeur que les manifestations extérieures des sentiments, comme savent si bien le faire la Pleurniche internationale : les Yahvistes, qui savent aussi y faire du côté de Hollywood et de tous spectacles ou business d’entertainment !
Nous avons la même chose avec la morale judéo-chrétienne ou franc-maçonnique : tous ces gens s’en contente en parfait fixistes qu’ils sont, ils s’en servent comme l’inquisition de l’antisémitisme, ils s’en servent comme d’un paravent derrière lequel ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux : leur misérable satisfaction de JUGER LES AUTRES, leur orgueil donc. Se suicider pour que la morale triomphe en tout est du pur égoïsme ! C’est de l’immoralisme par moralité.
Ces moralistes immorales genre BHL le 'chevalier blanc', qui trouvent « honteux » qu’on n’aille pas envoyer des bombes sur la gueule des Syriens ! Toujours évidemment pour la « sécurité » des sionistes et de la « communauté internationale », nouveau terme qui peut aussi cacher le sionisme, puisque nous sommes en guerre d’opinions.

La modestie extérieure peut masquer l’orgueil intérieur, et vice-versa. La pureté du Cœur peut être chez celui qui vote socialiste et François Hollande, et le cœur sec peut fort communier au Corps du Jésus par simple automatisme, éducation ou conformisme et de classe sociale. Seul existe l’Instant qui signifie aussi Cœur. Il y a le récit du bon larron et de Judas le disciple.
L’être humain ne vaut que par le Cœur ou Soi Instant, qui n’a rien a voir avec le moindre sentiment. L’acte intellectuel n’est pas le cœur. Et s’il y a don de l’intellect ou puissance du mental, son domptage ne pourra avoir pour résultat que l’Instant ou Soi, ou Cœur, ou Conscience : le Centrum Centri.

Go et Magog face au « bien » sont perçus comme des entités ontologiques, alors qu’ils ne sont que des effets, des trucs EXTÉRIEURS. Le bien serait l’accord parfait, et le mal la dissonance et la haine ou obstacle aux affinités naturelles. Or la haine, le mal est nécessairement précédé et conditionné par le concept de l’amour, puisqu’il est la volonté de mettre obstacle à l’amour ! On retrouve d’ailleurs cette essentielle division yahviste dans la trame des Star Wars avec le personnage central d’Anakin Skywalker présent dans les six épisodes, qui d’amour passe dans le camp de la haine sous la forme de Dark Vador. Anakin devait être le messie de Joseph, et l’armageddon final se retrouve, en très petit car versant dans le sentiment, dans le sixième épisode. Ce grand principe yahviste du bien et du mal a fait le succès, et évidemment la fortune de son concepteur George Lucas, il est un winner typique.

Le seul problème, est que bien et mal NE SONT PAS DEUX CONTRAIRES qui seraient diamétralement opposés. S’ils l’étaient, il faudrait admettre qu’ils auraient accompli chacun leur création et Dieu, ou l’Instant, ne serait plus infini, puisqu’il serait limité par cela même qui le séparerait de Satan et de sa création. Seuls les Yahvistes pharisiens ne comprennent pas ! Et pourtant ce sont des travailleurs du chapeau !!!
Bien et mal ne sont que des mots/maux, des noms comme tant d’autres ; ce ne sont aucunement des individus humains. On ne peut pas dire d’une personne que c’est le « bien ou le mal incarné », ou que Mr Bachar el-Assad ne mérite pas de vivre, comme le proclama un certain Fabius ! Comme l’écrit si bien Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, la personnification mythique du bien et du mal, genre Gog et Magog, est de la manipulation mentale manichéenne ou du binaire informatique. C’est ainsi qu’en France nous avons la Droite (capitalistes) et la Gauche (socialistes), soit le bien et le mal... Or nous savons depuis la mise en route du mondialisme avec la révolution, d’abord française de 1789, puis sa continuité socialiste avec la révolution russe de 1917, que si pendant la « guerre froide » le socialisme combattait le capitalisme, le socialisme lui doit pourtant d’exister : voir qui finança les révolutions de 1789 et surtout celle de 1917 financée par Wall Street (cf. Wall Street et la révolution bolchevique, de Antony C. Sutton). Mondialisme masqué par cette nouvelle étiquette si socialiste et manipulation politique : « Communauté internationale », cette nouvelle mouture de l’Inquisition, car qui oserait se monter contre cette « communauté » ? Tous ces mots valises comme le sont ceux du thème Antisémite sont dignes de George Orwell et de son 1984.
Capitalisme et socialisme se conditionnent l’un et l’autre pour former le MONDIALISME. Le socialisme a la phobie de l’épaisseur, il devient alors le Grand niveleur, comme le rêve égalitariste des francs-maçons spéculatifs, comme le Jésus niveleur (voir la page Les Yahvistes déclenchent la 3è guerre mondiale). Niveler pour amener le mondialisme c’est amener la rapidité, la quantité, bref : la rentabilité et la compétition chères au libéralisme et au Nouvel Ordre Mondial. Égalitarisme aberrant puisque bâtit sur le libéralisme et la Compétition : EXPLOITEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES. Niveler renvoie la platitude égalitaire ou rationalisation de l’humanité ! La platitude franc-maçonnique des compas-équerres où « tout est à niveau ». L’expérience égalitariste socialiste de 74 ans chez les Soviets a donné naissance aux inégalités les plus révoltantes que l’histoire humaine ait jamais connues ; je ne donnerai que l’exemple de l’économie de l’URSS basé en grande partie sur l’institution du Goulag où l’inégalité était la règle compas-équerres.
Le rêve socialiste c’est celui du « pouvoir d’achat » : l’ouvrier ou esclave moderne avec un bon salaire, le bureaucrate et le cadre également bien payé, etc. Les « démocrates » modernes ont confondu vie pénible et vie inhumaine. Ainsi ils se sont condamnés presque uniquement à corrompre sous prétexte d’humaniser.

Conclusion : il n’existe pas à ce jour de « démocratie » ! Car la dictature stalinienne et hitlérienne était une démocratie, idem pour le fascisme de Benito Mussolini !!!

Ne pas oublier que l’évolutionnisme juif ou yahviste est dans le matérialisme comportant le dogme de l’évolution, où l’être humain est né de la matière. Que ce dogme s’écroule, et le socialisme ou communisme se dissout !

Nisi efficiamini sicut parvuli (Si vous ne devenez comme les petits enfants), donc avant la contamination par le cancer de la division bien-mal. Car oui, cette horrible division en Bien et Mal est une machine à broyer l’Instant ou Soi, donc à broyer l'Innocence. L’Innocence excite, provoque quelque chose chez le non-innocent ou perverti en adulte ; une excitation qui provoque le plus souvent le mal, rarement le bien. L’innocence devant le mal est une plaie TOUJOURS ouverte et QUI NE S’INFECTE JAMAIS, UNE BLESSURE INVULNÉRABLE, comme l’écrit superbement Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière. Et je confirme par mon expérience auprès du psychiatre Émile Rogé et de bien d’autres personnes.
 
 

Dernière mise à jour : 01-09-2013 23:46

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