Au 18è les gens du peuple désireraient l’égalité et la liberté, et une « nouvelle société » ! Mais ce ne sont que des mots/maux, des opinions et non des faits ! C’est du formatage de cerveau. Et on en rajoute en écrivant que « les gens veulent être heureux en famille ».
Autre fait réel qui ne doit pas être déformé : à partir de Louis 14 plus aucun religieux ne peut s’occuper d’enfants trouvés, ce sont les laïques qui s’en occupent. Dès la mort de Saint Vincent de Paul, l’hôpital des enfants trouvés fut dirigé par des laïques. Les enfants qui n’étaient pas en apprentissage ou à l’école JOUAIENT, ils n’étaient pas encore des petits bagnards comme au 19è siècle : à la mine, où dans les bagnes pour enfants où ils fabriquaient des objets pour les bourgeois. Donc les enfants de l’ancien régime jouaient. À la révolution de 1789 un projet d’éducation des enfants vit le jour, un seul mot peut résumer ce projet d’éducation :
LE BAGNE, qui effectivement verra le jour tout au long du 19è et du 20à siècle et jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Et pour les robespierristes ce projet d’éducation était génial, c’était le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre ». Ce projet ne se basait que sur le TRAVAIL DES ENFANTS, ce qui annonce bien notre civilisation industrielle.
L’administration pénitentiaire du 19è siècle voulait rééduquer les enfants par le travail, en faite par l’esclavage : il suffit de lire des livres relatant les pratiques de ces bagnes. Notamment des enfants étaient envoyés dans ces bagnes, non par mesure disciplinaire, mais uniquement pour répondre aux besoins du bagne (baptisé « colonie horticole »). Ainsi des jeunes qui n’étaient pas tous délinquants et non condamnés étaient cependant soumis à un régime plus sévère et qui ne leur était pas destiné. Des jeunes gens « coupables d’homosexualité » étaient par exemple envoyé à la colonie horticole de St. Antoine : bagne pour enfants d’Ajaccio sous le second empire.
« Il faut soumettre l’enfant, s’il continue à fauter, c’est que la discipline n’est pas suffisante, on renforcera le dressage en intensité et en durée » (Citation d’un directeur de l’administration pénitentiaire de la fin du 19è siècle, mentionnée dans le livre hommage aux petites victimes : La colonie Horticole de St. Antoine, par René Santoni).
Les robespierristes de 1789 voulaient donc faire travailler les enfants dans les fabriques, les champs, creuser des fossés et autres travaux de terrassement, s’occuper des vieux de la commune ; c’était le travaille des enfants qui payait les instituteurs, les enfants eux-même étaient chargé de faire répéter une leçon aux plus jeunes, il fallait que l’école soit RENTABLE, les enfants faisaient aussi le service et le ménage... C’était le grand projet d’arracher les enfants à l’influence pernicieuse de leur famille...
Bref, avec la république, finit la rigolade : les enfants ne jouent plus.
L’autre propagande républicaine est que des livres pour la jeunesse actuelle écrivent que nos Anciens, y compris les paysans, maltraitaient leurs enfants ! Ou dans un autre bobard on écrit que tel parent a eut un accident, qu’il ne peut plus travailler, et qu’il passe sont temps à boire de l’alcool dans les tavernes ! Tout ça pour faire avaler que nos Anciens n’était pas heureux, que c’était pas confortable en ce temps là, etc.
Sous l’ancien régime tous les enfants, garçons et filles, pouvaient recevoir de l’instruction dans chaque paroisse à l’école primaire.
D’après l’opinion du siècle des lumières, les parents n’auraient plus les moyens de nourrir leurs enfants ! Tout simplement parce que le prix des denrées n’est plus fixé par le roi mais par le fric (le marché, comme on dit aujourd’hui), c’est donc la monté du libéralisme. Ainsi les lumières font que les parents n’aient plus le moyen d’être autonome et de nourrir leurs enfants. Ne plus être autonome parce qu’obligé de travailler chez les autres.
RAPPEL : un père de famille incorporé dans un métier nourrit sa femme et ses enfants. Quand la femme travaille, elle n’allaite pas ses enfants et s’arrange avec une connaissance.
Fin du 18è siècle, l’installation du libéralisme a fait qu’on ne pouvait plus nourrir toute la population, la famine s’installa. Le roi appliqua des réformes politiques qui entraînèrent des famines.
LIBÉRALISME : non contrôle des denrées par l’autorité. On passait d’une économie paternaliste à une économie libérale, selon la logique « démocratie » où chacun fait ce qu’il veut selon le principe : «
Exploitez-vous les uns les autres ».
En 1789 la constitution soumet l’Église de Rome à l’État républicain : le matérialisme prenait le pas sur le spirituel.
Un autre poncif républicain maçonnique est de dire que le peuple des paysans souffrait souvent de la disette... à cause de cette non égalité maçonnique !!! Ainsi, quel rapport entre la disette ou pénurie alimentaire et l’égalité ??? Pourquoi les 9 dixième de la population (les paysans) souffriraient-ils de la disette à cause de l’inégalité ?
RAPPEL : le ministre Turgot (de la bande de l’encyclopédie) est le déclencheur de la «
guerre des farines » suite au libéralisme. Il remplace l’économie royale paternaliste par l’économie de marché (désormais synonyme de monopole, capitalisme, libéralisme, trust, etc.), il s’ensuit une flambée des prix et des émeutes violentes à la tête desquelles se trouvent de nombreuses femmes. Turgot est tout simplement un capitaliste, il est ami du capital, et non un ami du peuple. Donc les émeutes éclatent À CAUSE DE TURGOT, parce que le peuple n’est plus protégé par le roi qui interdisait que l’on spécule sur le grain et la nourriture principale : le PAIN. Le roi était donc avant tout un DÉMOCRATE, comme le sont tous les rois sérieux et non psychopathes.
La colère gronde et 1789 va instaurer ce libéralisme, ce dont le peuple de France ne veut pas. Le gouvernement du roi est en faillite, on ne peut plus payer les fonctionnaires, faillite surtout conséquence des guerres sous Louis 15, notamment la guerre en Amérique. Conséquence : le peuple s’appauvrissait et les impôts ne pouvaient pas rentrer normalement. Le roi est donc obligé de convoquer les États Généraux (représentant la population française) à cause de ce manque d’argent. Et dans ces États Généraux il n’est pas question de destitution du roi.
1789 est déclenché pour permettre le marché : le prix des denrées n’est plus protégé, c’est l’anarchie du libéralisme, le «
Exploitez-vous les uns les autres », ce qui est l’inverse de l’égalité, de la fraternité, et de la liberté. Le roi était le garant du prix du pain, il empêchait que les prix montent afin de ne pas ruiner des familles entières : le pain devait être accessible à tous.
Les premières mesures de la révolution de 1789 sont des mesures de LIBÉRALISME : faire sauter toutes les digues qui empêchent le business et les spéculateurs de s’enrichir sur le pain du peuple.
Le roi a toujours été nourricier du peuple, il est le garant de la nourriture pour tous, et même d’un toit pour tous.
Il faut savoir que le soi-disant « libéralisme » n’est qu’un traquenard républicain de plus, car la bande des encyclopédistes exerçaient une véritable inquisition (allant jusqu’à l’emprisonnement) sur ses opposants. Les encyclopédistes ne réclamaient QUE LEUR LIBERTÉ, PAS CELLE DE TOUS !
L’Église de Rome soumise à l’État républicain est l’INVERSE de la laïcité. Avant 1789 l’Église était autonome et percevait des dons de la part du peuple. À partir de 1789 l’Église sous contrôle d’État ne vit plus que des impôts, c’est la fin de la laïcité. Cela durera jusqu’en 1905.
RAPPEL et précision : toutes les belles choses en France ont été faites grâce à la science des compagnons artisans dans leurs CORPORATIONS. Comme le précise bien
Hyacinthe Dubreuil dans :
J’ai fini ma journée, les historiens ont totalement défiguré le caractère véritables des corporations de l’ancien régime. « Ils n’ont vu qu’une chose, c’était que la révolution industrielle avait rendu caduques les anciennes formes de l’organisation professionnelle, qui correspondaient au travail artisanal de leur temps. Aussi ont-ils condamné en bloc, et sans examen, des institutions qu’il aurait fallu, non anéantir, mais adapter aux conditions nouvelles de la technique et du travail. On dit généralement que les révolutionnaires de 1789 étaient les fils de l’Encyclopédie. Mais on peut se demander s’ils l’avaient bien lue, quand on voit l’importance qu’elle avait donné à la description des techniques du temps, en témoignant ainsi de l’intérêt qu’elle accordait aux choses de la production ». Effectivement, l’Encyclopédie de la bande à Diderot est la Grande Bible du matérialisme.
L’abolition des corporations en 1789 fut une catastrophe pour la France qui ne s’en est toujours pas remise, même les syndicats actuels n’ont jamais apporté la richesse qu’il y avait avant (si vous trouver encore d’occasion le livre de Dubreuil cité plus haut, vous pourrez vérifier que c’est exacte). L’abolition des corporations est l’atomisation de l’individu, mais dans le sens matérialiste capitalo-socialisme, c’est-à-dire qu’il y a inversion satanique de l’organisation de la civilisation, ce que résume Jean Coulonval dans son livre
Synthèse et Temps Nouveaux par la suppression de la trinité : Pouvoir spirituel, Pouvoir politique, Pouvoir économie (les Oratores [le spirituel], les Laboreores [le travail, paysans et artisans], les Bellatores [les militaires et les aristocrates et le gouvernement, la justice]) ; cette trinité porta aussi le nom de Clergé, Noblesse, Tiers-État.
La formule «
Laisser faire, laisser passer » est le principe du capitalisme : l’argent n’a pas d’odeur, il est mondial, il régente notre actuel mondialisme. Donc plus aucun contrôle sur l’argent, mais total contrôle sur les peuples, Big Brother oblige, et il faut aussi contrôler ce que les gens consomment pour mieux ensuite leur vendre des cochonneries : piège de l’Ouroboros se bouffant la queue.
Sous la monarchie, il est interdit à un paysan de vendre son blé ailleurs que sur la place du marché. À partir des lumières, le marchand peut passer chez le paysan et lui acheter sa marchandise, même virtuellement : plusieurs mois avant la récolte... 1789 c’est : « On arrête de protéger le peuple contre les spéculateurs ». Le blé, donc le vivant, le produit de la Terre comme le pétrole, devient une marchandise.
RAPPEL : avant 1789 90% des Français habitaient à la campagne. Ainsi il n’est pas étonnant qu’avec l’arrivé de 1789, du fric et de l’industrie, les républicains baptisèrent les Français « citoyens » (habitants des cités, et annonce du mondialisme où alors les 90% d’habitants de la planète habiteront dans des cités). C’est-à-dire que pour être élu et être un représentant du peuple, il fallait être riche, aussi la masse des paysans devenue ouvriers (les sans culottes ou sans religion, sans calotte) n’était pas représenté, alors le mot « citoyen » ayant le sens d’habitant des cités symbolise bien le RICHE HABITANT DES CITÉS : le BOURGEOIS ou habitant du bourg (de la ville).
Autre détail d’importance : sous la monarchie les filles se mariaient à 25-26 ans, et pas à 14 ou 15 ans où elles n’avaient pas encore leurs règles.
Avec ce concept de « citoyen », on dirait que depuis 1789 l’ennemi C’EST LA NATURE, à tel point qu’on vient récemment d’inventer le terme ÉCOLOGIE : on « étudie » la Nature ou milieu, dans le même genre que l’on pratique « la science humaine » ou « science de l’homme », chose impossible puisque l’être humain est en ses essences le résumé de l’univers, il est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet observant un objet comme l’univers. C’est géométriquement impossible, il faudrait SORTIR de l’univers pour pouvoir l’examiner ! Aussi cette conception de 89 faisant un « citoyen » et le coupant d’avec la Nature renvoie bien le satanisme dans lequel les pouvoirs fous nous entraînent et nous manipulent, et la théorie du genre en fait la partie. Et ces pouvoirs en plus osent parler d’égalité !
D’autre part en France, on a pas attendu la religion des droits de l’hommiste de 1789 pour donner des droits aux Français ! La France a toujours été un état de droit, même dans la Gaule : voir nos nombreux mots gaulois du thème de la justice :
barnaunom (juges),
bretos (juge suprême), jugement (britu) ; justice :
uiroiono, du breton gwirionez : juste :
uiroiono :
cele uiroiono (un compagnon honnête et juste) ; jurer :
tongu, du gallois t
yngu (jurer), etc. Là encore les lumières prennent nos Anciens pour des cons.
Un autre grand poncif, et lavage de cerveau par cette franc-maçonnerie spéculative à pouvoir, est de crier que la monarchie c’est le mépris et l’arbitraire envers le peuple ! Ce qui est TOTALEMENT UN MENSONGE, et UN NON SENS. La monarchie méprisait qui ?
Donc, à partir de la révolution de 1789 on ne mépriserait plus personne ? Le pouvoir ne mépriserait plus personne ? Il y a de quoi se rouler par terre ! Parce que c’est à ce moment là qu’arrive le règne et la tyrannie de l’opinion.
Le grand poncif républicain maçonnique est celui des Juifs : le Royaume de Dieu (juif) sur Terre : un matérialisme absolu, que l’on retrouve encore dans la « science » et la médecine occidentale de nos jours ; c’est ce que j’appelle le DORG (Demain On Rase Gratis).
1789 + 19è siècle + chemin de fer = Matérialisme pur
[En référence à l’exposé de Marion Sigaut sur «
Les Lumières dans les ouvrages destinés à la jeunesse »]
Vidéo pour dire MERDE au siècle des lumières et à son matérialisme :
le non agir, donc la Nature dans le vrai sens selon le
Traité du Vide parfait, de
Lie Tseu. Industrialiser la Nature est un crime qui se retourne contre l’humain, et la thermodynamique en fait la partie.
Voir aussi :
Permaculture un véritable développement durable.
Voilà le crime non seulement du siècle des lumières, mais aussi de tout le monde gréco-romain :
« Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle ».
(Tchouang-tseu, chapitre 8,
Pieds palmés).