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L’être humain n’est pas un avoir Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-10-2013 13:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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L’être humain n’est pas un avoir
mais un ÊTRE
 
 
L’être humain n’est pas un avoir : extérieur et souffrance à la bouddhisme (comment échapper ici-bas à la souffrance).
L’être humain authentique se trouve dans l’Instant : le Christ, le Calvaire de la survenue des Couleurs de l’Instant (traitement que subit la lumière et absorption instantanée par le corps de toute la Conscience ou Christ). Douleur de l’Instant ou Amour dont le corps ou ego ne peut supporter ici-bas l’intensité.

L’être humain n’est pas un avoir : les religions et philosophies ont confondu personne et individu (1) l’ego, source de toutes les misères, les divisions, les drames et violences ici-bas.


Le métier est un avoir : j’ai un métier, donc ce n’est pas un être. On ne se défini pas par un métier ! D’ailleurs le dicton populaire l’affirme : « Il n’y a pas de sot métier il n’y a que de sottes gens » (où de sottes manières de le faire).
Le sot, c’est l’être humain qui peut le devenir selon la manière dont il fait le métier. L’être humain n’est pas un « avoir » mais un être : « Je suis CE JE SUIS ». Si un être a été malmené pendant son enfance et son éducation, il ne sera plus qu’un être « cassé ».
 
Aujourd’hui il n’y a presque plus d’être véritable puisque les pouvoirs font de nous des avoirs : le pouvoir d’achat, soit ne compte plus que le QUANTITATIF (la croissance). Exit la Qualité.

Je reprend sommairement l’explication du schéma en haut de page, qui est la conception du Docteur Psychiatre A. Stocker, dans son livre : Folie et santé du monde. Il écrit que le plan de l’être (a et a’, vie morale et spirituelle) doit être guidé par l’essence, ou ce qui est du domaine de la Nature, du Cosmique : « viser à ce que l’être humain réalise dans on existence non seulement une individuation par les « contenus » des paliers de l’essence, mais aussi l’ordre hiérarchique de cette essence. Cosmique ou Nature, ou essence, s’entend de ce qui a été donné à l’être humain, et non un ordre que l’être humain se serait donné à lui-même : genre religion de l’homme. Ainsi cette essence doit être respecté, sous peine de déchéance : tout écart ne peut conduire qu’à une dégénérescence humaine et de sa « civilisation ». Les essences sont la VRAIE MORALE. Elles ne s’encombrent pas de la « raison » chère aux philosophistes et laïcards franc-maçonniques de tout poils pour qui le « réel » doit être rationnel ; ces gens sont incapables de comprendre que la vraie vie comporte tout un monde de faits « infra-rationnels » et « supra-rationnels ». Ces gens là cherchent à subjuguer les autres ou à les détruire. C’est la logique de malades.

- Palier a et a’ (aimer) : vie morale et spirituelle et institutions sociales ecclésiales.
- Palier b et b’ (connaître) : capacité intellectuelle et vie politique avec institutions gouvernementales, administratives, etc. Palier de la vie en commun.
- Palier c et c’ (sentir) : aptitudes dont l’activité constitue la vie corporelle. Là où se situe aussi l’activité animal-végétative que l’être humain a en commun avec les autres êtres vivants (notamment les mammifères supérieurs) ; palier de la vie économique avec production, commerce, agriculture, défense du pays, etc.
Dans l’ensemble cette trinité constitue L’ESSENCE de la nature humaine : capacité d’aimer, de connaître, de sentir et de capacité motrice.
Normalement, le troisième palier : l’économie et la « finance » devrait rejoindre directement le premier palier : le spirituel ! Car les deux sont une « énergie » fondée sur un « sentiment » : LA CONFIANCE, CROIRE, qui est de l’ordre du premier palier : avoir la foi, CRÉDIT vient de CRÉDO ; et autrefois les banquiers étaient appelés « Marchands de confiance »...

Cette trinité individuelle est identique à la trinité sociale représentée au Moyen-Âge par : les Oratores [le spirituel], les Laboreores [le travail, paysans et artisans], les Bellatores [les militaires et les aristocrates et le gouvernement, la justice] ; cette trinité porta aussi le nom de Clergé, Noblesse, Tiers-État. En Inde, terre des castes, la société comprend trois varna (couleurs) : Prêtres (brahmana), Guerriers et Rois (kshattrya ou rajanga), Éleveurs-Paysans (vaicya). En Iran c’était aussi trinitaire ; chez les Scythes aussi. Bref, on retrouve les trois symboles : la charrue (Laboreors), la hache (Bellatores), la coupe (Oratores).
Cet état trinitaire est multi millénaires puisque reposant sur l’être humain.

Le schéma des trois paliers a, b et c signifie L’APTITUDE innée à tout être humain d’exercer, le cas échéant, les facultés qui y correspondent. Facultés latentes dans l’essence à l’état de « puissance » ou énergie. Le Dr. Stocker utilise aussi les a’’, b’’, c’’, etc., pour signifier un type d’individu et bien d’autres choses.

« Tout homme doit ainsi faire « société » avec lui-même, au plus intime de son être, avant de se lancer à faire société avec les autres. Des relations sociales authentiques ne peuvent avoir lieu qu’entre personnes authentiques » (Dr. A. Stocker).

L’individu : le couple essence-existence, qui est la base de la société : formation de « l’individu social » ou société « extra-personnelle ». Ce sont le couple homme-femme qui forme la première individuation de la société : le Dr. Stocker l’appelle institution (mariage, formation de la famille). Aujourd’hui des forces obscures judéo-maçonniques essayent de détruire la famille qui était, AVANT la destruction de la Gaule par l’empire romain, SACRÉ pour les Gaulois ; et bien avant l’arrivé du catholicisme qui défendait aussi la famille.

Chez les Gaulois la famille est la cellule sociale primordiale. Leurs parents, leur femme, leurs enfants, représentent pour le Gaulois, ce qu’il y a de plus cher ; ce sont eux qu’invoque le plus sacré des serments. Les soldats à Alésia jurent « qu’ils ne rentreront pas sous leur toit, qu’ils ne reverront ni leurs enfants, ni leurs femmes, ni leurs parents avant d’avoir traversé au moins une fois, aller et retour, les rangs ennemis ».
Donc en Gaule la famille est fortement et strictement constituée. Elle est, comme la famille romaine, sur le type patriarcal : le chef de famille est le père qui semble assurer la perpétuation de son peuple. Un Gaulois est officiellement désigné par son prénom suivi de celui  de son père : Vercingétorix Celtilli Filius, on ajoute aussi le peuple ou le pays auquel il appartient : Arvernus.
En Gaule il ne semble pas y avoir eu un état matriarcal : les cas où le nom de la mère se trouve indiqué seul à côté de celui du fils sont exceptionnelles et dénués de toute indice probant.

Le père chef de famille, les enfants élevés par la mère. Tant qu’ils n’étaient pas en âge de porter des armes, les enfants ne devaient pas paraître en public à côté de leur père. Dans les hautes classes l’éducation était parachevée par les Druides. Dans la plèbe, chaque famille devait chercher, pour ses enfants, grâce à quelque protecteur, une terre à cultiver ou un métier à exercer : un avoir, comme écrit plus haut.
Malgré la dépendance de la femme à l’égard de son mari, un ingénieux système de communauté assure son sort au point de vue pécuniaire ; donc les Gaulois possédaient une notion de l’égalité, ce n’était pas des « sauvages », alors qu’aujourd’hui... Aujourd’hui des femmes sont banquières, membres de tel ou tel conseil d’administration de grands groupes industriels. Pour moi ce n’est ni un signe d’égalité ni un signe de « progrès » puisque nous sommes encore dans le domaine de l’avoir, du métier, et non de la personne. Comme l’écrit le Dr. Stocker, si l’homme et la femme sont « différents », ils ne le sont pas pour s’exclure l’un l’autre. Leurs différentiations sont complémentaires, et cela les Gaulois devaient aussi en être conscient, car sans ces différentiations la société humaine n’existerait pas ! Sans cette complémentarité il n’y aurait pas de collectivité humaine, au sens de masse non organisée.
Voilà qui devrait plaire à Pierre Bergé : une phrase de Strabon porte contre les mœurs des Gaulois une accusation dont on ne saurait préciser la porté écrit Albert Grenier dans : Les Gaulois : « On assure que ces peuples n’attachent aucune idée de honte à ce que les garçons prostituent la fleur de leur jeunesse ». On ignore la source de ce renseignement précise A. Grenier, et à l’époque gallo-romaine, aucun indice ne vient le confirmer ; de plus, s’agissait-il d’argent ? Il peut aussi s’agir d’un traficotage historique destiné à nuire aux peuples Gaulois. A. Grenier précise que d’une façon  générale, la vie de famille apparaît en Gaule, particulièrement saine et établie sur des principes qui, jusqu’à la mode du « mariage gay », sont demeurés les nôtres.

Aussi bien chez nos ancêtres les Gaulois qu’aujourd’hui, l’essentiel est LA PERSONNE, et sa dignité : toute société, public ou privée, est au service de la personne, et non la personne au service de la société, ce que semble oublier la démocratie actuelle et son Dieu la finance internationale. Aussi la personne est la vraie valeur de la société ; ce n’est nullement la « république », comme le brament les malades actuels atteint par le pouvoir républicain. Parce que toute personne est en quelque sorte transcendante par rapport à la société, c’est la personne qui donne un sens à la société, et non le contraire. C’est de la personne qu’individu et société « tirent » leur personnalité.

Enfin, tous Dieux doivent être dynamiques, ce qui n’est pas le cas du Dieu d’Aristote ou Saint Thomas d’Aquin (c’est la même chose !) qui est un Dieu Statique, mais ne produit aucun courant !!! puisque il décide par avance, donc il éloigne de l’Instant : un comble pour un Dieu !
RAPPEL : Saint Thomas d’Aquin est contemporain de Saint Louis (un « saint » qui part en vraie guerre avec des morts) là où commence l’étatisme et le développement du commerce et donc le mondialisme (notamment avec les criminelles Croisades) !!! Thomas d’Aquin en tant qu’ami et conseillé du roi mangeait à la table de Saint Louis et soutenait l’étatisme dans son principe, ce qui l’amena, comme Grégoire le Grand, à prendre conscience que « la corruption du meilleur est la pire... ». Thomas d’Aquin défendant un pouvoir central « monarchique » est bien dans la ligne d’un Dieu statique ! Un puissant exerçant un pouvoir central, au lieu d’un multiplicité de pays dirigés par des seigneurs, dont les discordes imbéciles permirent l’étatisme de Saint Louis (les Druides n’étaient plus là depuis longtemps pour régler subtilement les conflits).
Le Centre est partout et la Circonférence nulle part. Aussi plein de petits pays et plein de « petits chefs » n’est pas un inconvénient s'il y a un lien de spiritualité. Et plus un pays est grand et puissant et plus il est fragile.

Instant, Dieu ou Soi sont dynamique : SOURCE ÉTERNEL, ESSENCE.
« Depuis ce temps-là, Dieu représente pour moi une source fondamentale d’énergies, inépuisable, intemporelle, elle rayonne sans cesse en énergie, absorbe aussi de l’énergie dans une pulsation continuelle... Elle est l’harmonie parfaire... différents mondes se forment à partir des différentes vibrations, les fréquences font les différences. C’est pourquoi différents mondes peuvent exister en même temps au même endroit », Johann Christoph Hampe, cité par le Père François Brune, dans son livre : Les morts nous parlent, tome 1

[Référence sur la famille en Gaule : Les Gaulois, d’Albert Grenier]
 
 
 
Note.
1. Il existe des individus qui ne sont pas des personnes : un individu animal n’est pas une personne. Seul un individu humain est apte à devenir une personne : Père Sonne : créateur du mouvement déployé en ondes dans le monde spatio-temporel, et autour du son diffusé et déployé : persona, du latin indiquant le masque de théâtre. Tout individu humain porte en lui, en son essence, tout ce qu’il faut pour être une personne : Je suis CE JE SUIS. La personne forme la société. Il y a une analogie structurale entre la société et l’individu. Aussi la structure de la société doit comporter les trois paliers (a et a’, b et b’, c et c’).
« L’examen objectif des manifestations fondamentales de toute société humaine, permet de grouper ces manifestations dans trois ordres ; celles qui ont trait à la vie religieuse ; celles qui se rapportent à la vie politique ; celles, enfin, dont l’objet se trouve être la vie économique », écrit le Dr. A. Stocker, qui reprend donc la trinité du Moyen-Âge décrite plus haut. Le docteur Stocker explique que les trois ordres de manifestation fondamentales de la société répondent comme un écho aux trois facultés essentielles de l’individu.
 
 

Dernière mise à jour : 21-10-2013 13:36

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