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Paradoxe de l’individuel et du mondialisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 08-12-2013 00:37

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Paradoxe de l’individuel et du mondialisme
ou
Paradoxe de l’individuel et du collectif
Dans le même paradoxe se trouve :
Le « peuple élu » et le peuple non élu !
Le « peuple élu » se voulant collectiviste...


Le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » : bienvenue dans le Fast Food maçonnique !
 
 
« Toute unité saine postule une diversité. Réciproquement, toute diversité saine repose sur une unité ». (Gustave Thibon : Diagnostics). Les feuilles d’un arbre sont toutes différentes, et pourtant elles forment l’Unité : l’Arbre. Même chose pour le moindre brin d’herbe au bord d’un sentier, ou la moindre pousse de Ronce des bords de sentiers.

L’être humain est un ÊTRE, et non un avoir. Il EST : Je suis CE JE SUIS. Il est un Homme, ou une Femme (1), et non un Homme ou une Femme parmi d’autres hommes ou d’autres femmes. Or le mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial veut faire de nous tous des NUMÉROS humains parmi d’autres (c’est déjà fait depuis 1789 avec la carte d’identité, et depuis un moment avec le numéro de sécurité sociale : nous sommes en fiches maintenant prisonnier dans le virtuel des ordinateurs). Actuellement le drame paradoxale individualisme-collectivisme est le drame le plus profond de toute politique mondiale.
 
La Nature c’est la diversité à l’infinie, mais ELLE EST UNE. Comme l’explique Gustave Thibon, dans un organisme malade, l’unité dégénère en centralisation (l’étatisme, le mondialisme maintenant), et la pluralité dégénère en anarchie (sens négatif). Qui dit centralisation ou mondialisme dit anarchie : ils se cooptent mutuellement, libéralisme et ses normes oblige, et on ne peut les concevoir l’un sans l’autre. Cet état morbide déjà dénoncé maintes fois sur le plan politique et social se retrouve dans tous les domaines de l’activité humaine. Faute de savoir unir, notamment par les religions censées justement unir, on centralise ou étatise, et quelque soit le régime politique : empire, royaume, tyrannie ou démocratie. 

« Une pseudo-unité qu’est la centralisation [étatisme, mondialisme] se fait généralement autour de l’élément le plus corrompu [le monde de la finance et ses banques]. Un corps malade est asservi aux exigences du moins sain de ses organes, une nation malade est gouvernée par la lie de ses habitants [voyez ce qui compose la plupart des démocraties modernes...] ».

Le mondialisme avec ses technologies entraîne les humains dans une tragédie à cause du déclin rigoureusement corrélatif de la diversité et de l’unité. Et avec l’Internet et la folie des réseaux de toutes sortes, y compris dans les transports (avions, etc.), jamais les êtres humains n’avaient été aussi semblables et aussi étrangers les uns des autres. Au Moyen-Âge où celui qui pouvait se payer et entretenir un cheval était en fraternité avec une connaissance rencontré à 15 jours de route. Aujourd’hui du tout virtuel et artificiel, du tout contrôlé, mesurable et contrôlable et automatisé, jamais les humains n’avaient été rivés entre eux par des liens aussi artificiels et aussi inhumains. Le principe démocratique fait qu’il faut cacher la réalité pour n’offrir que du faux, du clinquant nommé « valeur ».
Le Diable sépare et groupe à jamais tous les habitants de son Paradis ! Ce lieu où la centralisation et l’anarchie sont portées à leur expression suprême.

La NORME ou le COMPAS-ÉQUERRE de cette franc-maçonnerie spéculative travaillant du chapeau SPÉCIALISE, STANDARDISE : l’humain devient EN SÉRIE, comme l’ordinateur ne sait que fonctionner en série : séquences de petits bouts de machins les uns à la suite des autres, exactement comme l’évolutionnisme ou Adamisme des Judéos-Chrétiens avec un début et une « fin des temps » en forme de géométrie de la ligne droite. Avec cette maçonnerie et ses normes, vous ne pourrez faire une chose que si vous tenez à la norme spécifique de votre fonction : c’est une société compartimenté, cloisonné : à tel étage on fabrique les roues, à tel autre la carrosserie, à tel autre le moteur, et au sommet le Maître conçoit les plans. Bref, la société fourmilière, robotisée, ou pyramidale, maintenant si abondamment dénoncée sur Internet. Ainsi vous serez exclu d’un étage si ce n’est pas votre fonction, pas de votre ACCRÉDITATION ou pas de votre compétence. C’est ainsi que procède les grosses industries américaines ; j’avais donné l’exemple de l’entreprise Walt Disney où un metteur en perspective d’un décor de dessin animé, pouvait travailler un ou deux ans sans jamais avoir de contact avec le type du bureau d’à côté qui exécutait l’animation ou mise en mouvement d’un personnage genre Mickey ; c’était un « coordinateur » qui effectuait la « liaison ».

Dans le mondialisme où tout est dirigé vers la rentabilité et la compétition dans son domaine spécifique, sanctionné par un diplôme, la société ne chie plus que des diplômés, des spécialistes ; les médias sont fièrent de présenter le « spécialiste » de ceci ou de cela lorsqu’il y a un gros problème genre attentat ou crime produit « par un malade ». Aujourd’hui dans cette civilisation où tout ne jure que par la cité : le citoyen (habitant de la cité), il devient un exploit de trouver un cordonnier dans un village ou même une grande ville, ou de trouver un réparateur d’ustensiles de cuisine comme un moulin à café électrique ou une vieille cuisinière à gaz. Par contre on trouve à tous les coins de rue un coiffeur ou un pharmacien ; et on boit dans les bistrots parisiens, au lieu du bon vin que chaque ancien vigneron faisait « à sa façon », un ignoble liquide hyper sucré ancêtre des breuvages des medecin-men de la fin du 19è siècle aux USA déjà totalement industrialisés.
Aujourd’hui tout est normalisé, codifié : interdiction de planter ceci ou cela, etc., tout doit être certifié (sanctionné par un « diplôme », un numéro de mise en vente...). L’enfer est déjà en place, bravo les judéo-francs-maçons et votre « Royaume de Dieu juif sur Terre ».
Avec les francs-maçons spéculatifs, ils nous préparent sournoisement (dissimulé) un monde de « spécialistes », donc de robots à l’envers du Soi : uniquement tourné vers l’extérieur. Or cela produira l’effet de jeter de l’huile sur le feu ! Spécialiser c’est affirmer les désirs. Spécialiser veut dire les affirmer, les spécialiser ou les renforcer, ainsi plus les désirs seront satisfaits et plus les tendances innées prendront racines. Au contraire, les désirs doivent d’abord devenir plus faibles, ne pas se spécialiser avant de cesser de s’imposer. « Cet affaiblissement ne peut survenir qu’en refrénant, et non pas en s’abandonnant aux désirs », dit justement Ramana Maharshi dans l’entretien 495.
Les désirs disparaissent grâce à la connaissance, car les désirs sont du domaine du mental, et la connaissance aide à les contrôler. La judéo-franc-maçonnerie procède sournoisement à propager le contraire.
Le désir est bien du thème de la société de consommation : « Chaque fois que vous tentez de satisfaire un désir, cette connaissance vous rappelle qu’il vaut mieux s’abstenir. De fréquents rappels de ce genre affaibliront à la longue les désirs ».

On ne connaît le mental que par ses effets, pas par la cause : sept couleurs de l’Arc-en-Ciel forment le Blanc de l’Instant : seul l’Instant ou Soi se décompose en plusieurs aspect : mental, corps, monde, etc. L’Arc-en-Ciel est donc une sorte de Stargate perçu en tant que mental, corps ou monde : passage à travers la Stargate pour aller vers un « ailleurs ». Autrement dit, l’Arc-en-Ciel ou Stargate prend la forme de tout ce que vous percevez.

Pour résumer : la spécialisation est diabolique ; elle divise, sépare, charcute.
Mieux vaut se construire selon le Yoga-vâsishtha : « Détachement à l’intérieur et attachement en apparence ». Car la société (franc-maçonnique républicaine et droit de l'hommiste) attend de nous des « devoirs » (comme ceux donnés dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry).
Spécialiser vient de spéculer, spéculum : particulariser, viser, définir, concentrer. Celui qui spécule pratique la théorie, travaille du chapeau ou mental, ou de l'anus : anal-analyser. La spécialisation est un état d’avoir, pas un état d’être.
Spécialisation va avec les brevets et la « propriété intellectuelle » : un type un peu éveillé invente le marteau pour s’en servi lui-même, tant il trouve cela pratique. Mais il ne va pas « vendre sa propriété intellectuelle » en forme de brevets sur les marteau ! Hélas ! c’est ce qu’il se passe depuis 1789 : la folie technologie et industrielle, y compris la « culture » et ses « auteurs » sont devenus des machines à faire de l’Or. Cette robotisation technologique n’est pas au service de l’humanité mais sert à SPÉCULER, CE SONT DES INSTRUMENTS DE SPÉCULATION, DESTINÉS À FAIRE DU PROFIT.
Détail essentiel : le type qui croit inventer un marteau n’invente rien : il RE-découvre ce qui avait été perdu ou en germe (essence) auparavant chez un autre type. RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL.
SPÉCIALISATION = INDIVIDU, donc la spécialisation est l’art et l’artisan porté au quantitatif, au robot ou à l’industriel, donc au fric des Couilles en Or.
SPÉCIALISATION = LIBERTÉ : mot totalement trompeur de la judéo-franc-maçonnerie possédant le sens de pulsions individuelles et « principalement entendue comme la remise en cause des normes comportementales traditionnellement admises dans les sociétés européennes ; donc c’est un terme employé pour marginaliser la définition de la liberté comme participation à la vie publique et maîtrise de son destin ». Ce terme va avec la masse des consommateurs : ils sont « libres » de consommer... (Réf. d’après le Nouveau Dictionnaire de Novlangue, de Polémia). Aussi il n’est plus étonnant que le « mariage gay » soit associé à la « liberté ».

Avec ce compartimentage social et la généralisation d’une fonction, sanctionnée par la norme ou diplôme universitaire, on en arrive au général, à UNE VISION DIVISÉE OU ÉTROITE. Une « vérité générale » trouvera très peu d’applications, on se trouve alors dans le quantitatif. Et au contraire, plus une vérité est particulière, ou en forme de principe, plus elle mobilisera des énergies, exactement comme le ferai le Point Focale ou Stargate ; on se trouve alors dans le qualitatif.
Un autre exemple est celui de « l’égalité des chances » vendue dans les écoles du maçon Jules Ferry : on fabrique la norme, comme ce qui s’appelait jusqu’à il y a peu : les « écoles normales » (où les futurs instituteurs apprenaient leur métier), là ou instituteurs et institutrices devaient apprendre à ne pas dépasser certaines limites et les imposer ensuite à leurs futurs élèves. Quand l’élève dépassait la limite, il était viré. Donc ce que les francs-maçons appellent « égalité » sont des « normes » de leur opinion ou MODÈLES RÉDUITS DE LA VIE (compas-équerre obligent).
Avec ces opinions l’élève et être humain devient UN CONSOMMATION : IL POSSÈDE (un diplôme, un savoir faire pour une future fonction salariale) ; MAIS IL N’EST PAS UN ÊTRE.

La seule égalité possible ne peut se trouver que DANS L’INSTANT ou UNITÉ ou SOI. Pour qu’il y ait « tic-tac », il faut une confrontation permanente entre Instant et monde des accidents ou monde de la manifestation (le spatio-temporel). Il ne faut pas qu’il y ait des forces ou énergies qui se confondent, des parasites en quelque sorte. Ainsi une société saine ne peu fonctionner qu’avec des individus qui se distinguent, donc qui on réalisé le Soi ou Instant et qui puissent dire naturellement : « Je suis CE JE SUIS ». D’ailleurs, pourquoi dit-on souvent : « c’est quelqu’un de distingué » ? (sens de qualité, d’honnêteté, de gentillesse, qui conaît beaucoup de choses, etc.)
Ainsi l’individu est TOUT, la société n’est RIEN : « rien dans le Tout et Tout dans le Rien », comme est la devise du site fangpo1.com. Donc chacun peut se reconnaître dans son chef et lui en vous, même mieux : chacun est son propre chef et tous s’accordent pour une réalisation d’ensemble.

Donc la vraie spécialisation professionnelle n’est pas virtuelle ou par l’opération de l’opinion judéo-républicaine, mais ORGANIQUE, NATURELLE, DONC LIMITÉE, car QUALITATIF et non pas quantitatif ; aussi elle ne peut pas être multipliable à l’infini. La fausse spécialisation actuelle artificielle à coups de diplômes résulte de la norme, de l’uniformité, et par la même elle ne connaît pas de limite, d’où le mondialisme et la quantité : on peut diviser sans fin un corps indifférencié !
La saine spécialisation professionnelle repose sur l’unité et la diversité de la vie : pointée vers la partie, elle reste enracinée dans le Tout. Comme déjà expliqué, voit les trésors de prudence et d’initiative non seulement techniques, mais surtout humaines, que doit dépenser un artisan de village qui fabrique et vend lui-même sa marchandise ; ainsi centrée sur le Tout, elle sert le Tout : c’est la spécialisation du MICROCOSME, comme l'exemple des feuilles de l'arbre cité plus haut.
« La fausse spécialisation [l’actuelle à coups de diplômes] est celle du FRAGMENT INFORME [qui se veut norme, elle s’adresse à des humains robotisés] ; elle s’adresse à des fantômes abstraits ; son objet n’est pas la partie gonflée du tout, mais le pseudo-tout qui gît dans le cadavre de la partie mutilée. Ainsi séparée du tout et centrée sur elle-même, elle encrasse et parasite l’organisme collectif. Aucun salut économique ne sera possible tant que les activités humaines continueront à se différencier suivant un rythme étranger à l’être et aux besoins de l’homme, autrement dit tant que la spécialisation ne correspondra à aucune SPÉCIFICITÉ NATURELLE », écrit justement Gustave Thibon.


Le mondialisme et sa corruption généralisée dû à la juiverie et à sa finance internationale (voir la vidéo où Jacques Attali le dit lui-même et enfonce le clou en désignant les non-Juifs par le prénom Christian), résulte du glissement de l’être humain hors de l’unité de sa nature et des sources de sa vie, « de ce processus de disjonction idolâtrique » par lequel chaque élément relatif, devenu pour lui-même un centre absolu, ne peut s’affirmer qu’en excluant tout le reste. Ainsi, la liberté devient révolte et l’autorité tyrannie, et elles s’opposent et s’enfante sans fin l’une l’autre » comme s’enfante sans fin le commerce et la piraterie, ou l’Or métal enfante sans fin les voleurs.
Dans ce mondialisme naissant, dans cette civilisation devenue une immense machine où - comme dans toute ordre mécanique - chaque rouage est condamné à une passivité absolue (1984 d’Orwell), ou à une originalité destructrice : ce que les autorités appellent « délinquant » ou « terroriste ». Ainsi il est devenu de moins en moins possible de « servir » avec sa liberté et son êtreté, son âme : « Je suis CE JE SUIS » ; il faut choisir entre l’isolement et le non-confort et l’esclavage de la démocratie. On peut aussi se résigner, car il n’y a pas de vraie liberté sans communion ni de vraie communion sans liberté [ACCORD] pour aboutir au double joug de l’isolement et de l’esclavage : l’enfer des esclaves solitaires (réf. Diagnostics, de Gustave Thibon). Là, on atteindra le non-confort ! Le confort se situant dans l’Instant.


À propos du mot « antisémite » ou « antisémitisme ».
Ne veut plus rien dire et n’a plus aucun sens depuis la publicité en 1945. « Antisémitisme » chez les républicains droit de l’hommiste actuels est un mot inquisitorial et un outil de tribunaux français pouvant amener devant le tribunal de la sainte Inquisition républicaine toutes personnes critiquant une personne de confession juive héritée par sa mère, ou le sionisme représenté par l’État criminel d’Israël (pays fabriqué par l’opinion de vainqueurs), ou bien toute personne désignant l’identité juive d’une autre, à la condition qu’elle soit française de souche. En France l’Inquisition punit par son opinion les propres écrits et comportements « antisémites ». Cette Inquisition est parfois moindre si leur auteur est d’origine immigrée ou de confession musulmane ; exemple : traiter un arabe de « sale bougnoule » peut passer ; mais aujourd'hui essayer de traiter un Juif de « sale youpin », et la Guillotine vous tombe dessus : mort économique et professionnelle !
Autre exemple et médiatique : allez faire un sketch dans une salle de spectacle en caricaturant un colon israélien (comme le fit Dieudonné), et c’est la destruction en  réaction en chaîne pour l’auteur. Par contre vous avez le droit de dire que les musulmans volent des pains au chocolat mais pas le droit de dire la même chose des Juifs ; on tague des mosquées et on casse des Églises, mais les synagogues sont intouchables et sacrées (comme la Shoah), et en plus protégées maintenant par la police.
Bref, dans cette histoire de la pleurniche internationale et shoatique, on fonctionne à deux vitesses, ce qui est logique avec le « peuple élu » et celui qui ne l’est pas...
De plus, le mot/maux « Juif » est un sac de nœuds à lui tout seul : qu’est-ce que c’est un « Juif » ? Même pour un Juif comme Shlomo Sand ça semble très compliqué : voir son livre : Comment le peuple juif fut inventé. Shlomo Sand résume bien le mot « Juif » : (je traduis) un manipulé professant l’opinion de Moïse ; il fait aussi la distinction avec le mot « Judéens » : habitants de la Judée antique. Cependant il ne parle pas de la mutilation au huitième jour de naissance du jeune Juif, ce qui entraînera chez lui une maladie mentale : le travail du chapeau ou hypertrophie du mental, de la « raison », c’est pourquoi on trouve beaucoup de spéculateurs financiers juifs, de psychiatres juifs, voir par exemple Sigmund Freud, Olievenstein, Lebovici, Bettelheim.... ce sont des coupeurs de cheveux en quatre : ils analysent... (anal : le trou de balle, le stade anal... là par où ça sort... pipi et caca...). Les Juifs analysent pour s’en mettre plein les poches et leurs bourses style Wall Street avec leur frères spéculateurs francs-maçons style Grandes Loges.
Enfin, il est salutaire de rejeter le Pharisien ses normes et son Talmud rabbinique et raciste, puis le sionisme et l’État criminel d’Israël : invention des vainqueurs après 1945 sur une base (le sionisme) inventé au 19è siècle suite au courant marxiste. CE QUI RESTE DE LA FRANCE EST AUJOURD’HUI OCCUPÉE PAR DES SIONISTES DANS UN PETIT COIN DE PARIS : 8è arrondissement, et par quelques médias appartenant à la juiverie financière internationale dans des tours de verre.


La GALLUTOUTA : mot gaulois pour remplacer le mot « démocratie » qui ne veut plus rien dire depuis 1789 ; de Gallu (pouvoir, puissance), et Touta (peuple, tribu, pays, contrée, gens) n’est valable que si le peuple est éveillé. Si le peuple est composé de cons (on appelle ça « la masse »), ils se transformera en tyran pire que le tyran lui-même qu’ils auront porté au pouvoir !!! « On ne fait pas une société avec la masse, et sans société véritable, pas de liberté organisée. Si vous voulez être libres, commencez donc par refaire une société, imbéciles ! », écrit si justement Georges Bernanos dans : La France contre les robots ; il ajoute aussi justement que la civilisation moderne dans son cruel orgueil (religion de l’homme), a non seulement corrompu les traditions, les institutions, les lois, mais a aussi réussi à corrompre les humains. « Refaire une société » implique que celle-ci soit composé de gens éveillés, ayant plus ou moins réalisés le Soi ou Instant ! Et qui seront ainsi AUTONOME n’ayant plus besoin d’aucun étatisme et encore moins de la camelote mondialiste totalitaire et judéo-franc-maçonnique.

Dans le monde de la judéo-franc-maçonnerie, le savoir-faire l’emporte sur le savoir lui-même ! Ce qui est le propre de la religion de l’homme où tout est inversé : ce sont les accidents qui engendrent les essences ! ce qui est la marque du satanisme absolu. Aussi le socialisme devient une catholicité en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé.
La judéo-franc-maçonnerie n’est qu’un courant d’opinions, et absolument pas un courant spirituel détenant des secrets ou « vérités » réservés à une élite, ou même à ce qu’on appelle « les Bienheureux » ou « Adeptes ». La judéo-franc-maçonnerie n’est dépositaire d’aucun secret. Le secret il est EN CHACUN DE NOUS : L’INSTANT OU SOI.



Note.
1. « Quelle que soit la chose que nous avons décidé de faire, persévérons jusqu’à ce que l’absurde ou la lumière de Dieu nous délivre et nous rende libres dans l’acte et dans le repos ». (Louis Cattiaux).
 
 

Dernière mise à jour : 08-12-2013 01:33

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