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Ptah ou Christ, Stargate et Cabires Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-02-2014 01:50

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Ptah ou Christ, Stargate et Cabires
et le Péché originel

Combler la peur du Vide et de l’extase (hors du soi ou ego) en nommant et en donnant forme : l’ILLUSION.
 
 
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La trinité cabirique
 
 
PTAH : Dieu Primordial de Memphis, alors capitale de l’Égypte. Il est le Maître du jour (Rê) et de la nuit (la Doua ou monde souterrain où vivent les morts).
Ptah est de l’ordre du sensible et de l’espace (corps gainé), et Rê est le « visage ».
Le P de Ptah indique bien sa chute dans la Matière (le Dieu humain !). P dans le sens de plein, le presque carré du hiéroglyphe de la natte de la « lettre » P qui « pousse » dans les 4 angles et les 4 coins, donc dans l’espace. Idée de droit, direct : la déesse Maât qui relie le Divin à l’Humain. Le P de per (maison en égyptien), contenant et contenu.
En tant que « corps », Ptah ayant chuté dans la Matière est représenté emmailloté, ligoté au plus profond de cette Matière. L’emmaillotement de Ptah a un rapport avec l’Androgyna (œuf cosmique), la chaleur active : Un produit Deux. L’Androgyna c’est la Totalité, le plus et le moins réunis.
 
(Note : le mot substance a un sens double : il en est donc sa chaleur active, qui est le moteur secret de sa génération. Chaleur active : Principe de Vie, le Logo créateur. Il est le premier Principe de l’Intelligence Universelle et de la Conscience, le premier Aspect ; l’autre aspect, c’est l’Androgyna : « se créer lui-même ».
Ptah est le feu corporifié, manifesté, créateur de toutes les possibilités et fonctions ; il correspond bien à l’Héphaïstos (père des Cabires) ou Vulcain. Il a été conçu dans la Matière inerte, passive, dont il devient alors le « mobile » créateur de la forme corporelle (il y a vraiment un aspect ondulatoire).
Ptah dieu humain : il est le Premier ARTISAN de la création matérielle, il opère sa continuité. Il fait partie de l’une des triades Divines de Mur-Blanc : Ptah-Sekhmet-Nefertoum. Mur-Blanc : nom du 1er nome (département) de Basse-Égypte, probablement à l’origine sanctuaire de Ptah. Le mur qui rappelle la gaine : ils limitent et en même temps DÉFEND (voir le mont Meru en Inde, la Montagne de Victoire). En Égypte le mur est l’élévation du niveau du commun (sens pyramidale ou hiérarchie). Bref, le mur est ambiguité : prison et défense, proche de la matrice féminine et passif.
Ptah ne devient vivant, mis en action, que s’il est délivré par le Hotep, qui indique la paix, le repos ou pth à l’envers.
Htp : paix, offrande, satisfait.
Hpt : embrasser, envelopper.
Ptah fera ainsi la paix ou l’union entre les opposés, il est donc à un moment le Soi-Instant.

Ptah étant ARTISAN, il œuvre avec Khnoum (Neter ou Principe des conjonctions). Khnoum est le Divin Potier des formes qui réveille Ptah en le travaillant avec ses deux mains sur son tour de potier. Brasser l’homme de glaise dans les deux sens : involution et évolution.
Cela donnera à la Vie, ou l’Enfant, sa « nature innée » et ignée ou son ka (1) ou le point fixe qui assurera l’identité de cet être humain à travers tout son Devenir.
Dès que le ka a pris corps, il se développera le Moi Inek. Chez Ptah se trouve l’analogie avec l’œuf portant l’embryon et la substance nourricière, pareille pour une graine de végétal.
(Note : le mot substance a un sens double : perceptible et imperceptible ; et la substance peut être matérielle, psychique et spirituelle).
Puisque Khnoum brasse dans les deux sens, il est le Logo-Verbe : la Divinité manifestée chez tous les peuples, traduction-manifestation de la Pensée-Cause à jamais cachée.
Ptah est le « Donneur de vie », le « Né de lui-même », l’émetteur, l’onde auto-entretenue : engendré selon son propre désir, né sans père et sans mère, Dieu créateur de qui dépend étroitement tout ce qui existe.
Ptah façonne continuellement la Première Matière du monde, Pâte, Pain de l’origine (dans la manifestation). Comme l’écrit H.P. Blavatsky dans son Glossaire Théosophique : « C’est le Saint Esprit des Égyptiens ».
Je pense qu’il s’apparente aussi à l’Archée (Substance Primordiale porteuse des caractéristiques universelles).

La Salamandre : on peut transformer l’Ouroboros ou Serpent qui se mord la queue en lui ajoutant des pattes. Dans le cas de Ptah, l’Ouroboros peut devenir Salamandre : la Chaleur active de Ptah.
Symbole d’une très grande importance, la Salamandre peut vivre dans le feu sans être détruite par icelui.
En se basant sur le principe des Croix, Croisements, celui du caducée (c’est-à-dire : l’effet produit et pas la caractéristique), la Salamandre ne craignant pas le feu peut l’éteindre, donc le faire mourir... de froid !
(Sorte de logique à la manière des ergoteurs de la Grèce antique qui copièrent les Égyptiens).
La Salamandre qui se nourrit de son feu est en symbolique alchimique, la Pierre fixée au Rouge, soufre incombustible.
L’oiseau Phénix, le Benou qui renaît de ses cendres est aussi le symbole du soufre incombustible ou auto-création. L’oiseau Benou est peint en rouge. Qui dit rouge dit Cinabre, le Phénix est appelé en Chine par les Taoistes : Oiseau de Cinabre. Vulgairement, le Cinabre est le sulfure rouge de mercure.
Quand le Benou sent/sang sa faim/fin approcher, il se construit un bucher et se brûle en offrande ; alors apparaît un ver dans les cendres qui se développera en un nouveau Benou, ressuscité des cendres de son prédécesseur.
Benou a un rapport avec Vénus, la deuxième compagne de Rê qui remplit une double fonction : assister soit au lever, soit au coucher de Rê. A son lever, Vénus le précède et s’identifie au Benou. Cet oiseau porte l’âme d’Osiris, il représente le Divin Ego de l’homme (le Soi ou Instant).
On y voit un symbole des cycles : retour de la lumière sortant des ténèbres, et retour cyclique des crues du Nil.

Ptah est représenté la tête rase ou coiffée d’un bonnet bleu moulant sa tête, et son corps enserré dans une gaine momiforme. Seules de sa gaine émerge ses deux mains tenant le long bâton Ouas, symbole de l’origine qui devient deux (Ptah gainé est comme sans sexe, ou Androgyne). Le bâton est surmonté d’une tête Sethienne et souvent il y a attaché au bâton une plume et un lien. Le pouvoir du bâton Ouas s’exerce sur les forces ténébreuses.
Dualité du symbole : Ouas signifie pouvoir, et Ouasia signifie tomber en ruine ! (Poussière d’empire) Autre mot proche : Ouser, signifiant puissant, puissance (puissant : mageto, mogeto en gaulois, remonte à la racine meg, mag : grand, maglos : prince. Même thème avec le mot Pur ou Limpide : glano en gaulois ; Gland, Glanus).
 
 
La Jeune Servante.
 
Le thème du péché originel se retrouve en Grèce antique chez les Cabires, avec « l’aimable servante » ou « jeune servante : Pelatinea ou Perséphone (Psyché ou âme sans corps), l’âme sans corps, comme la gaine de Ptah lui supprimant le corps ; Psyché esclave fugitive de l’Hadès et revenue à son point de départ.

Orphée (Arpha en étrusque), le ravisseur (pelatiphile), amoureux de la servante, est le domestique qui l’a excités à commettre le péché originel (naissance du mental), en volant la pomme ou le parfum de la vieille Dana Ennéa (ou Dina Ennéa), la souveraine du Léthé (l’oubli). (Réf. Grasset d’Orcet : L’Archéologie mystérieuse, vol.1).

Pelatinea joue ordinairement le rôle de rédemptrice, de salut ou rachat de péchés (soigner le mental comme le tentent les religions et de nos jours la psychiatrie). D’autres divinités rédemptrices sont : Athéné (principe humide ou mental, la fortune croissante ou Ithynoché sur son char), Thesan ou le Thésée étrusque (l’ouvrier, et aussi Hercule : Thésée en grec veut dire : mercenaire) qui n’est autre que Prométhée (le fuseau). Thésée s’écrit TSN, pour pouvoir être lue Thesin, le domestique voleur, et Thesan, lié à la croix, crucifié, le rédempteur, donc dans la Croisel (ou CROISIEU ou CROISUEL) : Voie alchimique Courte ou travail au Creuset, petit creux : de Croisel ou lampe à quatre lobes rappelant la forme de la Croix (travail en un TEMPS HACHÉ, PONCTUEL ; notion de synchronisme/simultanéité, le sec RESSERRE). La Voie Sèche est comme une lecture verticale par rapport à la Voie Humide ayant lecture horizontale, comme la surface de l’eau.

Thésée (Hercule) peut aussi se lire Tisin (qui expie le péché). Athéné, Thésée et Tisin sont trois versions inséparables, une trinité cabirique avec la troisième face ou celui qui est mis à mort par les deux autres, pour l’expiation des péchés du monde, l’Éros de Platon.

La trinité cabirique représente ici la trinité en géométrie de la ligne droite : Passé-Présent-Futur (schéma en haut de page). Donc le Passé (rouge ou le sec) et le Futur (le bleu ou l’humide) sont « fixe » ou éternels, et Tisin représente l’Instant (le Blanc) car devant passer par le Point Focal (mort) pour se transformer en « indéterminé androgyne » ou Instant « déplacé » sur le Futur en corrélation avec le Passé (le TOUT). Cela donne ERCHOMENON : ce qui arrive, et devient aussitôt devenu (ôn), qui va immédiatement rejoindre le (èn), ce qui était, auquel il reste cloué à jamais ; ainsi s’explique le Thesan lié à la croix, qui rappelle le Christ ou Instant, illustré par le Jésus de Nazareth cloué sur sa croix. Donc le Présent ou Instant constamment mortel et naissant.
Grasset écrit que Thesan figure souvent sur des sarcophages, lié aux coudes à un pin, le corps suspendu, tension de Taon, ayant souvent pour hiéroglyphe la queue du paon : voir au Louvre le Satyre Marsyas. Marsyas a en dessous de ses pieds la Toison d’Or (feu du Ciel)...

RAPPEL : Dans les Mystères d’Éleusis (culte de la Voie de l’Agriculture), Grasset explique qu’on s’en tenait à la trinité cabirique. Grasset écrit que le troisième cabire, Thésée, fut remplacé dans le bouclier d’Achille par un Dieu thrace et macédonien : Arès ou Mars : signe zodiacal du Cancer. Ce qui amène à Héphaïstos ou Ptah : le Sagittaire et le mois de Novembre ; et Héphaïstos à l’époque d’Homère c’était la Grande Ourse (Grande Casserole qui ne se couchait jamais). Ptah est le Dieu de la Doua (Hadès) avec Hermès et Poseidon. Ptah est dans sa gaine le démiurge n’ayant ni bras ni jambe : estropié de tous ses membres, y compris le sexe, donc l’Amphigyiès, celui qui sépare le destin, qui voit le destin (il voit tout autour). Les Cabires sont estropiés de tous les membres, gainés comme Ptah. Ils travaillent du SOUFFLE (vibrations et forgerons comme Vulcain ou Héphaïstos). Les Cabires semblent illustrer la symbolique du Papillon, la psyché ou mental. Selon Grasset le Cyclope est un tisserand plutôt qu’un forgeron : il tisse le filet dans lequel sera emprisonné Arès (Mars), lequel n’est autre que l’enveloppe soyeuse du COCON ou Vase.- où doit s’échapper Psyché

Ptah est aussi Perséphone : l’âme sans corps, la jolie servante à la cruche. Vulcain est uniquement la vue, il est Kyklops (Cyclope), l’œil du cercle, le Centrum Centri : Le Centre est partout et la Circonférence nulle part : « Quand vous êtes dans le Cœur [Instant], vous savez que ce Cœur n’est ni le centre, ni la circonférence. Il n’existe rien en dehors de lui. De quoi peut-il être le centre ? » (Entretien 273, de Ramana Maharshi).
Le Cyclope ou chrysalide du Papillon, genre Oiseau Benou ou Phénix se reconstituant de lui-même dans ses cendres ou son tombeau (le Soufre alchimique). Voir la page : Dragon Estragon.... Chrysalide = passage de la transmutation ou métamorphose ; et Papillon = Flamme, et symbole de l’âme, du Soi chez les Aztèques.
Ptah est représenté en Héphaïstos dans sa gaine où ne dépasse que deux mains tenant le bâton Ouas.

L’ensemble de la doctrine des Cabires est résumé dans le Bouclier d’Achille, représentant la cosmogonie des Cabires, la même que celle des Assyriens. Mais les Grecs étaient essentiellement bouddhistes écrit Grasset, et ils attribuaient peu d’importance à la Création du monde, comme la tradition judéo-chrétienne et autres ; ainsi les doctrines secrètes des Grecs n’admettaient pas cette création. Les Grecs croyaient donc à l’APRÈS-VIE : une sorte de réalisation du Soi ou Instant, un mouvement éternel de transformation, exactement comme en Orient chez les Taoïstes. Un mouvement ou transmutation en attente dans le Léthé, en forme de sommeil ou de Purgatoire (la lie, les fèces, le marc, les cendres du Benou) où l’être ou le soi se purifiait et renaissait ensuite avec un corps et un destin nouveaux. Tel est le sujet des poèmes grecs et surtout du bouclier d’Achille. Bouclier qui est l’œuvre de Ptah ou Héphaïstos, le concepteur des destinées humaines : vers l’éternité.
Nous retrouvons notre Ptah-Héphaïstos dans LA BELLE AU BOIS DORMANT (le LÉTHÉE), qui blessé à la main par un fuseau (Point Focal) et devient Mère du Petit Jour et de la Petite Aurore, ce qui en fait la mutilée Vénus de Milo, esclave et fugitive de l’Hadès.


INSTANT


L’Instant qui porte une liste de noms aussi longue que celle nommant la Matière dans le moindre livre d’Alchimie. Aussi l’Instant ou Soi entre autre de se nommer Centrum Centri, Dieu, Tao, Vierges Marie, Isis, Connaissance, etc., peut aussi se nommer La Paix du Tombeau ou Nirvana en Inde (autre nom du Point Focal), Nirvana qui est aussi la non-dualité (advaita), la perte ou le domptage de l’individualité ou ego. Le Nirvana est perfection n’ayant aucune dualité, plus de sujet-objet ; plus rien à voir ou à connaître puisque domptage absolu de l’ego. Voir et connaître sont des fonctions mentales. Dans le Nirvana il n’y a rien que la FÉLICITÉ de la Pure Conscience : JE SUIS. (réf. à l’entretien 406 de R. Maharshi).
La Paix du Tombeau se nomme aussi Taphirana (TVRAN en étrusque, simplement dans le sens de Maître, donc aucunement le sens qu’on lui donne de nos jours), elles a des ailes sur la tête figurant qu’elle se cache, d’où son autre nom de Charybde (la cachée) ; son nom de Kholé veut dire coupé. Kholé qui tranche, coupe à chaque INSTANT le fil dont Dina Ennéa avait mélangé les COULEURS au hasard et que Mététia enroulait sans relâche autour de son fuseau (allusion flagrante à la stargate, notamment par l’allusion aux couleurs pouvant figurer l’Arc-en-Ciel et la survenu de l’Instant dans la Conscience provoquant la Panique absolue ; voir la partie fuseau dans le chapitre « Svastika ou Briquet antique » à la page : Notre Stargate à Paris).

Nirvana ou la mort n’existe pas plus que la vie : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés », explique Ramana Maharshi à l’entretien 264.
Comme naturellement on est, on a toujours été, et on sera toujours ! C’est pour cela qu’ici-bas nous ne sommes que des Voyageurs.
Le Nirvana ce n’est pas être son propre miroir, sinon on tombe dans le mortel ennui et la fixité conduisant à la mort, le sens négatif et trompeur de l’expression « Paix du Tombeau » synonyme de prison ou fixité, celle du but à atteindre (et y mourir). La Vraie Paix du Tombeau est la FIXITÉ CAVALANTE ou le Centre est partout et la Circonférence nulle part. J’espère pour le beau Thésée que ce n’est pas un fixiste... Car il me semble un peu lourd...

La FIXATION CAVALANTE n’est pas l’évolutionnisme puisqu’elle part de l’Instant - ou Tao, ou Ptah et de l’infini nombre de mots - pour « CAVALER » : bénéficier de nos Anciens, donc en les respectant et en ne faisant pas de tabula rasa comme dans toutes révolutions imbéciles et guerrière comme 1789 et 1917, mais en allant vers une TRANSMUTATION en une nouvelle espèce, impliquant un nouveau modèle, un nouveau Centrum Centri qui imprimeront les formes suivantes. Fixation Cavalante parce que la disparition des espèces et des races ne détruit pas la Cause Première ou Instant ou Soi, c’est à dire le Principe des Principes ou Tao, ou Instant, etc., il y a seulement « cavalcade » ou transfert d’une Origine », donc un nouveau Centrum Centri ou nouveau Point Focal, qui sera sous une autre forme, non pas modifié comme s’il s’agissait d’une hybridation ou organisme génétiquement modifié (OGM), mais au contraire, comme après un passage à travers la Stargate, de formes différentes n’ayant plus rien à voir avec les précédentes, par le fait même du déplacement du Centrum Centri. C’est cela la Fixation Cavalante, le MOUVEMENT DU POINT FOCAL, mais restera toujours Origine puisque Principe des Principes ou Instant-Soi. Toute nouvelle expérience de la vie ne peut que s’appuyer sur l’ancienne. La vie éternelle ou de passage ici-bas est un MOUVEMENT, et à chaque mouvement correspond naturellement un POINT de PASSAGE, si on s’y fixe ce point devient un tombeau, d’où l’expression dans son sens négatif : « La Paix du Tombeau ». La vie est Mouvement, il n’y a jamais de « point à atteindre, jamais de but : « Le vrai ‘Je’ est toujours là. Il est présent dans l’Instant (ici et maintenant), il n’apparaît ni ne disparaît jamais. Ce qui EST doit perdurer à jamais , ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître. C’est pour cela qu’il n’y a pas un Univers, mais DES UNIVERS, et qui naissent et qui meurent.
C’est très important pour distinguer ce qu’il se passe aujourd’hui avec l’évolutionnisme d’une partie des Yahvistes actuels (les Juifs matérialistes et leur adamisme et ‘fin des temps’) et ceux qui sont authentiques et ne s’attachent pas à l’illusion de l’État d’Israël, comme aussi certains Chrétiens ou d’autres croyances orientales.
Le Soi ou Instant est par la force des choses toujours réalisé. Seul une chose qui n’est pas encore réalisée peut être recherchée.


[En haut de page : la belle Psyché et le beau Eros (Cupidon) tous très canon de beauté du 19è siècle et nourrit au blé, par le peintre académiste W. Bouguereau ; très photographique, cependant ne manquant pas de charme limite coquin, et d’élégance, de puissance aussi. Il n’est pas étonnant que ce genre de peinture plaise aux Américains : le Eyes Candy est de leur société : l’empire]


Note.
1. Ka : le Soleil, dans le sens de Soufre. Le Point d’appui pour toutes manifestations. Il y a un Ka supérieur et un ka inférieur. Ka le Taureau est l’incarnation animale du Feu de Ptah : ardeur, stabilité, etc...
Le Ka est le Principe réalisateur de la Création continu. Par exemple, les qualités vitaminiques, vitalisantes de toutes nourritures sont leur Ka. Le Ka est triple : actif, neutre, passif. Il est représenté par deux bras relié entre eux.
L’autre composante importante de l’humain est le Ba : la Lune, dans le sens de Mercure. Le Souffle-animation (sorte « d’Énergie ») comportant trois degrés : âme cosmique, âme naturelle (cycles), âme humaine. Dans l’être humain, Ba est à la fois universel et particulier. Les Dieux aussi ont des Ba ou Baïs. Le Ba est représenté par une sorte de cigogne.
 
 

Dernière mise à jour : 09-02-2014 02:42

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