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Dogme maçonnique du suffrage dit universel Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-02-2014 00:46

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Dogme maçonnique du suffrage dit universel
et destructeur de mondes ou règne du Diable.
Nous, humains, avons créés notre propre ENFER : l’OPINION ou
opiner du chef, raisonner, triomphe de l’ego
ou possession : ma voiture, ma maison,
ma femme, mon assurance, mes envies...
Or nous sommes ici des voyageurs sur Terre,
des participants à cet Univers,
à CES UNIVERS
 
 
Voir aussi les pages :
- Enfer de l’égalité
- Gender ou Fascisme

Depuis 1789 nous avons deux propagandes républicaines devenues dogmes : la souveraineté du peuple, et le suffrage dit improprement « universel ». Improprement parce que le mot universel ne peut s’utiliser que pour ce qui est de l’esprit ou du divin.
Avec ces deux dogmes, autant demander à un aveugle de choisir « librement » entre les couleurs ! À l’idéal de la liberté on immole les cadres de la Nature. « On dit à l’agneau : tu es libre d’être ou de ne pas être herbivore » écrit si justement Gustave Thibon dans : Diagnostics, et qui évoque immanquablement la théorie du genre, où on ne naîtrait pas homme ou femme, et où l’on pourrait « choisir » d'être herbivore comme on choisit sa machine à laver dans un supermarché. La raison frappe encore depuis le siècle des perruques poudrées.
Aussi cela ramène à des institutions d’État (étatisme) qui entretiennent dans la cervelle de tous les humains l’illusion d’être souverains, égaux à quiconque et de trancher, par bulletin de vote, des problèmes les plus étrangers à leur compétence !
Mais étirer, dilater, ou diviser la liberté c’est encore la façon la plus sûre (et la plus dégueulasse et totalitaire) de la supprimer.
 
Ce suffrage dit universel qui est typique de la société industrielle ne vivant plus que dans les cités où les habitants sont appelés « citoyens » par la république de 1789.
« Après avoir promené son désir et son choix parmi les aliments carnés, l’herbivore corrompu ne sait plus choisir sainement entre les plantes qui l’entourent ; - l’homme du peuple farci « d’idées générales » [égalisatrices ou stéréotypes issues de la propagande gouvernementale] et d’ambitions saugrenues perd la sagesse spécifique de son milieu social et professionnel. Il n’est pas libre hors de son ordre : là, il n’a que l’illusion de la liberté ; en réalité, il est mené par des mots creux [Novlangue et le politiquement correct] ou des passions malsaines [achats compulsifs de la société de consommation] et sa souveraineté universelle se résout en fumée et en comédie [du virtuel et de la mode « réseaux sociaux »]. Mais ce qui est plus grave, ce qui est terrible, c’est que, dans son ordre même, il n’est plus libre. Rien plus qu’un certain mythe de la liberté n’a contribué à détruire, dans l'âme des masses, la vraie liberté, la vraie sagesse », écrit superbement Gustave Thibon. J’ajoute que la « vraie liberté » est censée être copyrightée par cette franc-maçonnerie cancérisée par le pouvoir et singeant la maçonnerie constructrice de cathédrales.

« L’homme qui n’accepte pas d’être relativement libre sera absolument esclave ».

Le socialisme ou communisme, de longue date associé au capitalisme, notamment par son institution du Goulag, se veux la Norme, le compas-équerre sacré, ce que Thibon nomme Syndrome du Passage à Niveau.
Le passage à niveau représente un idéal, l’état de l’égalité parfaite, la norme ou justice mathématique ; le garde-barrière symbolise la prolifération épuisante des organismes de contrôle, de défense et de protection  (résumé aujourd’hui par le mot Big Brother ou complexe militaro-industriel, bref, ce que j’appelle les Couilles en Or : les banques). Le résultat est identique au socialisme des soviétiques des Lénine-Staline : du fonctionnarisme, de la mécanisation des âmes.
« Deux pôles indissolubles de la même réalité ; on a voulu tout simplifier [voir la carte des départements de la France en 1789 reflétant cette rigidité instinctives issue du siècle des perruques poudrées en bon hétérosexuelles et qui donnera les bagnes pour enfants et adultes tout au long des 19è et première moitié du 20è siècle], tout égaliser, on a rêvé de réduire le corps social à une figure géométrique plane [carte des départements de 1789]. Résultat : à la complexité organique de la Nature, à la complexité vivante [et naturelle], féconde, fille et servante de l’Unité, on a substitué une complexité mécanique [compas-équerre], artificielle et parasite. L’expérience conduite depuis vingt ans [74 ans] en Russie soviétique illustre avec éclat cette double face de la révolution socialiste.
L’hérésie du passage à niveau a pour sanction la barrière et le parasite qui la garde.
De même l’hérésie égalitaire : elle cherche un remède à son aberration, à la fatalité dissolvante qui niche au creux de ses entrailles, dans un fonctionnarisme amorphe et démesuré [diarrhée législative de lois toujours plus liberticides]. Mais ce remède empoisonne ! Le fonctionnarisme, c’est l’égalitarisme qui se tue lui-même en se défendant contre lui-même [voir la mode droit de l’hommiste des antiracistes, antisexistes, antiphobies, antimachins, etc.] », écrit G. Thibon.

D’autre part, Karl Marx et Sigmund Freud sont frères : ils sont obsédés par l’inférieur : les masses pour Karl, et les instincts pour Sigmund. Résumé : l’inférieur doit balayer le pseudo-supérieur et s’installer à sa place (être le « peuple souverain », débridement des instincts et « mariage des gays » et autres « abc de l’égalité », dictature du prolétariat). Cette religion du salut consiste à délivrer ce qui est en bas du vampirisme de ce qui se prétend en haut. « Quand l’inférieur sera livré à lui-même, tout sera parfait ».
Thibon écrit que l’humanité passé avait trop cherché le salut dans le culte exclusif du supérieur ; l’humain s’arrêtait à l’esprit, à la nation et au Prince ou aux grands : les sens et les peuples suivaient toujours, et au besoins ils tuaient.
« En morale comme en politique, la mentalité du passé est marquée par une ignorance et une brutalité parfois monstrueuse à l’égard des forces élémentaires. le présent a réagi, plus monstrueusement encore, suivant la tragique loi qui fait alterner les excès contraires [l’humain est le Grand Architecte du chaos, surtout le franc-maçon gangréné par la politique], par le rêve de l’émancipation absolue de l’élément inférieur.

Karl Marx et Sigmund Freud étaient de vrais killers, car avec eux la délivrance tant cherchée depuis des millénaires est devenus anarchie et pourriture. Elle ne vient donc pas d’en bas, des peuples. Elle ne vient pas non plus d’en haut : un psychopathe comme il en existe tant chez les dirigeants ne guérit pas par la raison et par sa volonté, ni une société malade comme la notre par la réforme de sa seule élite pourrie.

Cherchez qui est celui qui les voit [Marx et Freud et leurs conséquences]. Établir une synthèse signifie engager le mental dans d’autres poursuites. Ce n’est pas la voie vers la Réalisation [de l’Instant ou Soi].
(Ramana Maharshi, entretien 427).
Ainsi la Synthèse n’est pas le progrès. « Le progrès se mesure d’après le degré de déblaiement des obstacles qui empêchent de comprendre que le Soi est toujours réalisé [puisqu’Il est l’Instant]. Les pensées doivent être contrôlées en cherchant à qui elles apparaissent. De cette manière, vous allez à leur source, d’où elles ne s’élèvent plus » (entretien 618).
Le CENTRUM CENTRI : Bhagavad-Gîtâ, chapitre 6, 25 : « Chaque fois que le mental inquiet et agité s’échappe, il faut le dominer et le ramener à la soumission dans le Moi [Soi ou Instant] ».

Plus nous avançons dans la technologie, plus celle-ci doit retrouver le vrai sens du mot SCIENCE, afin d’arriver à une Vraie technologie infiniment plus performante que celle d’aujourd’hui basée sur l’infernale thermodynamique. Donc avoir un retour à l’Âge d’Or momentanément obscurci. L’Âge d’Or fondé sur le respect du Cosmos et donc de la Nature : le Soi ou Instant, seul dispensateur du réel, que nous cherchons pour notre ruine sur la Terre et dans le temps : dans le mental, parce que le temps c’est le mental, ce qu’on appelle aussi « raison ».

Cette raison allant avec cette morale franc-maçonnique de travailleurs du chapeau imbus de politique. Rousseau et Robespierre furent des êtres toujours frémissants d’émotion morale : la prêche de la vertu était chez eux comme une espèce de cri d’agonie, de chant du cygne des mœurs, les fameuses « valeurs républicaines » transformées aujourd’hui par les socialistes en maladie de l’égalitarisme et autre théorie du genre. Le décadent a toujours faim de vertu, cette faim qu’il va chercher à l’extérieur au lieu de la trouver en lui-même ! Les socialistes sont typiques du fait. Les Rousseau et Robespierre cherchaient à l’extérieur ; ils ne portaient en eux que la faim de cette vertu et en réclament la substance au monde extérieur. Ils lui demandent d’incarner leur idéal, d’incarner leur opinion comme le font les socialiste aujourd'hui ! Donc ils chargent la société de fournir un alibi à leur impuissance ; ils ont besoin de voir sans cesse à l’extérieur, autour d’eux, ce qu’ils sont incapables de vivre en eux.
La décadence des mœurs produit, à son premier stade, un moralisme rigide et exalté comme au 19è siècle ; à un second stade, un immoralisme érigé en dogme : voyez la mode de la théorie du genre, la mise en avant de l’homosexualité (considérée il y a peu comme une maladie), et ça amène tôt ou tard la pire morale.
La morale socialiste actuelle avec son égalitarisme carcinogène ne peut être que superficielle, car elle ne tient aucun compte des mobiles intimes de nos actes. Ainsi le vice et la vertu n’ont pas plus de réalité l’un que l’autre ! Ce sont des fantômes de l’ego.
 
Fraternité terrestre ou cosmique :
Je mourus comme pierre et ressuscitait plante ;
Je mourus comme plante et ressuscitait animal ;
Je mourus comme animal et ressuscitait homme ;
Pourquoi aurais-je peur ? Qu’ai-je perdu en mourant ?
(D’après Djalâl ad-Dîn Rûmî )

Ainsi il suffit de sortir de la dualité sujet-objet, sortir d’une vérité empirique ou opinion en réalisant l’Instant ou Soi. Sortir de la dualité est notre nature comme dirait Ramana Maharshi.
 
 

Dernière mise à jour : 15-02-2014 01:25

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