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MANIPULATION : franc-maçon et psychanalyse Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-04-2014 16:45

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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MANIPULATION : franc-maçonnerie et psychanalyse
Psychanalyse ou Copyright de Sigmund Freud
On possède ce qu’on peut chez les Moïse
MANIPULATION = CHEFS ou MENTAL : les Caputs
ou Capitales, les TÊTES, les PAPES
Toutes ces têtes sont À COUPER (le Souffle ou l’Âme)

Franc-maçonnerie - Manipulation et Thermodynamique
 
 
RAPPEL : la Vérité est UNE, éternelle, elle n’a pas besoin d’être « indiquée »  par un guru ou un quelconque franc-maçon caché ! Ainsi cette franc-maçonnerie à pouvoir comme le Grand Orient de France n’a qu’une seule chose qu’elle ne pourra jamais enseigner à ses adeptes, de peur qu’ils ne la répètent au dehors : c’est la Vérité. Donc cette franc-maçonnerie ajoute de l’illusion sur de l’illusion en entraînant ses adeptes dans ce qui n’est qu’OPINIONS.

Le Poison Manuel Valls a été franc-maçon à pouvoir qu’il a quitté en 2002, mais est resté en « relation » avec eux. Cette franc-maçonnerie spéculative à pouvoir, cancer de la France depuis le siècle des perruques poudrées. François Rebsanem, récent ministre du travail est un membre de la secte du Grand Orient de France. Jean-Yves Le Drian est aussi dans la même secte.
 
FRANC-MAÇONNERIE SPÉCULATIVE rongée par le pouvoir : dualité initiés-profanes, soit attachement, fixation aux religions à mystères qui réalisaient les premiers efforts de l’élite humaine vers le « progrès », donc dans la logique de l’évolutionnisme, et qui se vendait dans le package du mystère pour soi-disant se protéger contre les ignorances et les fureurs des foules grossières (la masse). C’est un système ou un dogme dont l’exercice permet une autorité occulte. Dans ce système, de l’apprenti devenu compagnon, le maçon est toujours tenu sous la dépendance d’une pensée directrice qui descend jusqu’à lui sans qu’il sache d’où. En passant au grade de « Compagnon » le maçon reçoit autant de directive manipulatrice que quand il était apprenti. Il en reçoit même d’avantage en raison des nouveaux exercices de puérilités de développement de l’ego qui lui sont imposés, et dont l’effet est de le manipuler un peu plus chaque jours dans la main de l’autorité inspiratrice invisible se prenant pour Dieu, d’où le système de la laïcité, ou d’une religion à l’envers.
Le JACOBINISME est une des figures de cette franc-maçonnerie rongée de pouvoir comme le Grand Orient de France, ne serais-ce que le pouvoir de verbiage de rhétorique des travailleurs du chapeau, du mental ou ego.
C’est le même système manipulateur que la psychanalyste de Sigmund Freud.
AVANT TOUT IL FAUT SOUMETTRE L’AUTRE : dualité sujet-objet.
« Les principes actifs de la psychanalyse sont précisément les mêmes que ceux de la thérapie comportementaliste [behaviorisme dans la foulé du marxisme et du socialisme], mais sous des apparences plus trompeuses.
Tout d’abord, durant la phase initiale, le patient s’avance, se livre à l’analyste en investissant sur lui son argent, son temps, sa confiance, ses secrets, ses hontes, ses peurs. Une fois engagés, il est impossible à la plupart des psychanalysés de se rétracter, il leur faudrait, entre autres, reconnaître avoir été stupides. Ce déséquilibre - là se situe le véritable transfert - servira d’obstacle à tout examen critique de la part du patient pour la suite de son rapport avec l’analyste. Il le prédispose en effet à collaborer et à accepter les suggestions de l’analyste. Entre-temps, le setting, c’est-à-dire le cadre psychanalytique, s’ajoutant à la non-intervention et à la non-directivité (qui infligent incertitude au patient désireux de soutien, de modèle, de protection) produit une réduction sensorielle laquelle stimule l’extériorisation de comportements verbaux et non verbaux de la part de celui qui se trouve allongé sur le divan [où on ne ressent rien]. Pour forcer cette extériorisation, l’analyste augmente la sensation de privation en infligeant à l’analysant des silences impénétrables, lesquels vont s’ajouter à la conscience que chaque minute qui s’écoule dans ce silence coûte quelques euros. Si l’extériorisation ainsi obtenue n’est pas appréciée ni suffisante, l’analyste inflige un autre silence ou d’autres sortes de renforcements négatifs. Si elle est positive, ou si l’esprit du patient s’adapte au schéma voulu par l’analyste, celui-ci le gratifie de renforcements positifs - et pour obtenir un bel effet sur un être aussi amoindri, il lui suffit souvent d’un petit mot gentil.

On procède ainsi durant des années, tant que le comportement du patient n’est pas conforme au modèle d’extériorisation comportementale, verbale, émotive, décidé par l’analyste [qui est lui-même manipulé...]. Puisque le patient a accepté - par l’acte lui-même - de se constituer patient, que l’analyste soit son analyste (et qu’il soit donc juge des interprétations, des significations, tout au moins à l’intérieur du rapport analytique), le patient ne peut recourir à la réalité pour contrer des affirmations de son analyste qu’il ne partage pas. Quant à l’analyste, sur la base des règles du jeu préalablement acceptées, celui-ci peut discréditer toute réflexion en tant que « résistance ». La conviction erronée de Freud qui soutient qu’à l’origine des névroses se trouvent généralement des traumatismes sexuels de l’enfance en est la preuve. Car à travers la suggestion de la psychanalyse, il introduisait chez de nombreux patients, en mode non conscient, le souvenir de traumatismes qu’ils n’avaient pas subis, en réalisant ainsi exactement le contraire de ce que la psychanalyse professe ; on voit que les patients tendent à assumer les conceptions de l’école spécifique du psychothérapeute qui les a traités, s’en faisant les apologètes [les défenseurs] ». (Marco Della Luna, avocat, psychologue et expert en manipulation sociopolitique, dans son livre avec le Neuropsychiatre Paolo Cioni : Neuro-Esclaves - Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse)

La franc-maçonnerie à pouvoir s’inscrit dans la thermodynamique : propagande, violence de rhétorique et révolution, soit la DYNAMITE du killer Nobel.
Quant à la psychanalyse elle consiste aussi à faire passer dans la MAJORITÉ, SOIT DANS LE MONDIALISME : il faut faire comme tout le monde, SE CONFORMER ou se NORMALISER. Obéir à un contexte social, à une mode comme le font certains jeunes. IL FAUT FAIRE PARTIE DE LA PAROISSE, ENTRER DANS LE TROUPEAU, c’est à cela que sert la psychanalyse et la psychiatrie, et les religions. Ce n’est pas le choix individuel, libre et conscient de la Réalisation du Soi-Instant : « Je suis celui qui suis ». C’est le « truc » invisible comme dans la franc-maçonnerie, le FAUX DIEU QUI POUSSE collectivement à croire, et en dernière refuge dans le confort, le Dieu de chaque religion représenté par la structure du groupe social des « croyants » ou adeptes, avec ses « valeurs » comme celles du républicanisme, son autorité, ses caractéristiques (y compris la couleur de la peau).

Le Dieu des Chrétiens et de la franc-maçonnerie (GADLU) s’est transformé en OPINION : il faut « évangéliser » (coloniser), soumettre les Païens et la Masse. Et aujourd’hui le Dieu des Chrétiens donne mandat aux États-Unis d’Amérique d’exporter ses valeurs de la « démocratie » dans le monde à coups de bombes sur la gueule.

Maintenant, qui dit MANIPULATION dit CHEF ou SOMMET DE LA PYRAMIDE.
Ainsi je prolonge la page sur l’étatisme et ses chefs et son oligarchie, aussi bien sous une monarchie, une république, ou une tyrannie ou totalitarisme. Le haut de la pyramide ce sont les chefs, les initiés ou oligarchie. ILS EMPOISONNENT puisque la masse se réfugie au pied de la pyramide, donc le plus loin possible du sommet... comme pour repousser la diablerie du mental ou ego. Comme pour repousser la diablerie thermodynamique, celle du FEU VULGAIRE.
En forme de Refrain : je répète que naturellement nous N’AVONS PAS BESOIN DE GOUVERNEMENT NI D’ÉTAT, ce qui implique de la part de chacun une conscience éveillée, donc un minimum d’ego, en tous cas une parfaite maîtrise de cet ego.


CHEF et ÉTATISME et SUPERMEN et HÉROS = CANCER DU POUVOIR
Ainsi la démocratie n’a JAMAIS EXISTÉ, même chez les Anciens Grecs.


CHEF ou TRAVAILLEUR DU CHAPEAU ou du CHEF (la tête, le caput, on dit d’ailleurs décapiter), CHEF OU MENTAL, L’EGO. CHEPTEL donne CAPITAL, PÉCULE (le fric se trouve dans les cités et non à la campagne, sauf les trésors....)
RAPPEL : la monnaie comme dit le proverbe est SONNANTE ET TRÉBUCHANTE, c’est-à-dire que l’argent est source de faillites et d’emmerdements physiques et psychiques à n’en plus finir, et étant sonnante la monnaie métallique attire par son bruit les voleurs ; alors que le bétail, ou le CHEPTEL, de caput, du latin capital (comme celle d’un pays) est une « monnaie » non trébuchante permettant de vivre en autonomie (en se passant des banques). Bref, nous sommes passé de l’Or réel (le « veau, vache, cochon, couvée ») à de la monnaie totalement virtuelle et électronique (la juiverie financière internationale et ses banques et sa DETTE UNIVERSELLE).

L’argent est depuis longtemps le CAPUT, le CAPITAINE, le PAPE de notre monde. Donc le POISON de notre monde. Exemple :
Pourquoi un sapin a-t-il une forme pyramidale ou conique, ce soi-disant « Roi des forêts » comme dit la chanson ? Les « spécialistes » en botanique on récemment découvert que la tête du sapin est si toxique, qu’à son voisinage on peut difficilement se développer. Ainsi les branches voisines de la tête se développent peu, et celles de la base beaucoup plus puisqu’elles sont loin de la tête et de sa substance toxique.
Le Sapin symbolise ainsi la HIÉRARCHIE ou CHEFFERIE (Leader sheep et Leadership), donc l’oligarchie ; donc la franc-maçonnerie plus ou moins spéculative qui se roule là-dedans avec des titres « nobiliaires » et aristocratiques tous plus ronflants, orgueilleux et ridicules les uns que les autres, comme par exemple : Illustre Chef Élu des Douze Tribus, Grand Maître Architecte, Chevalier de la Royal Arche, Prince de Jérusalem, Chevalier Rose-Croix, Chevalier du Soleil..., Très illustre Souverain Prince de..., etc., la liste est longue.

Donc loin de la tête et des travailleurs du chapeau, ou loin du mental et de l’ego, on se développe beaucoup mieux, on redécouvre sa liberté. Les pires fous et criminels sont au sommet du Sapin ou de la pyramide : voyez les imbéciles et riches généraux de la guerre 1914-18 qui envoyaient les Français se faire tuer ; voyez les chefs tels que les : Fuhrer, Duce, Grand-Timonier, Petit-Père-des-peuples, donc rien que des fous et criminels à l’ego diabolique, rien que des leader sheep ou leadership...
Ces chefs et travailleurs du chapeau se payent en dizaines et dizaines de millions de morts. Tous ces chefs rois et présidents sont a supprimer, sinon, c’est la mort pour nous tous. Et aujourd’hui les vrais chefs ce sont les banquiers et leur City à Londres, là où est née en 1717 l’actuelle franc-maçonnerie spéculative...

Le Père, à ne pas confondre avec le chef et ce qu’à voulu en faire le copyright Freud : un père « castrateur » ! Même si le père comme le chef entretiennent la DÉPENDANCE, seulement la différence est que le père entretient l’APPRENTISSAGE. Évidemment on parle de DIEU LE PÈRE dans notre société patriarcale, et pour combien de temps encore ? Puisque les socialiste veulent détruire l’homme (voyez leur folie de l’égalité à l’envers et du mariage gay...).


Hebergeur d'image

Le contraire du Sapin où il n’y a pas de chef : l’ORME, ici photographié à Toronto au Canada en 1914. Ce n’est pas un hasard si l’Orme commença a dépérir par la Graphiose dès 1919, juste après la première guerre mondiale ; car pourquoi pas en 1720, ou en 1347 ? Ce n’est pas un hasard si en Occident, on a fait du Sapin l’emblème de la fête commerciale du Noël pour honorer le Dieu Saint Fric. Page Wiki sur un embryon de symbolique des Arbres.
 
 

Dernière mise à jour : 06-04-2014 17:10

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