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Noblesse et Journalier-Journaliste : MENDIANT Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-04-2014 16:16

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Noblesse et Journalier-Journaliste : MENDIANT
ou : Les Mercure du Temps
Heureux les Simples en Esprit !
 
 
Aujourd’hui la guerre n’est plus dans les Cieux mais sur Terre, cet abîme sans fond (l’humanité).

Page dédiée à mon Ami de l’Instant ou Soi, Lucifer la Luciole (Voie Lactée, Vénus), l’Étoile du Matin, le Porteur de vie, Premier Archange qui monta des profondeurs du Chaos. Lucifer comparable à Seth, qui n’a « pas toujours été mauvais ». Ce sont les Juifs et leurs successeurs, l’Église de Rome, qui firent de mon ami, le Satan ou « ennemi de Dieu », la DIVISION avec le moderne « terroriste », le moderne « antisémite », parce que la Luciole est plus ancienne et plus élevé que le Yahvé des Juifs, et que Lucifer étant un Païen devait être sacrifié au nouveau dogme du Dieu fou et riche comme Rothschild, selon le principe de la tabula rasa ou destruction de nos Anciens. Je rappelle que tout symbole est MOUVEMENT et VIBRATIONS, il n’y a pas de camp winner-loser, il n’y a pas de darwinisme ou évolutionnisme. TOUT EST CYCLIQUE.
Ce sont les Juifs avec leur « peuple élu » et leur Yahvé fou, puis les Chrétiens avec leur « Diable » qui DIVISÈRENT en Bien-Mal, en Sujet-Objet, et donc développèrent l’ego ou mental, et par là même leurs travailleurs du chapeau ou maçonnerie spéculative.

Saint Augustin et son opinion lui fait rattacher Vénus la Luciole et ses derniers changements au déluge du Père Noé ! RAPPEL : un des premiers papes de Rome porta le nom de Lucifer.

« Athénæus nous montre que la première lettre du nom de Satan était représentée, au temps jadis, par un arc et un croissant, et certains Catholiques Romains, braves et bonnes gens, voudraient persuader au public que c'est en l'honneur des cornes en forme de croissant de Lucifer, que les Musulmans ont choisi le croissant pour leurs armes nationales. Vénus, depuis l'établissement du dogmatisme Catholique Romain, a toujours été identifiée à Satan et à Lucifer, ou au Grand-Dragon, contrairement à toute logique et à toute raison. Comme le démontrent les symbologistes et les astronomes : ‘L’association établie entre le Serpent et l'idée de ténèbres, possède une base astronomique. La position que la constellation du Dragon a occupée à une certaine époque, prouvait que le Grand Serpent était le roi de la nuit. Cette constellation se trouvait autrefois an centre même des cieux et elle était si étendue qu'on l'appela le Grand-Dragon. Son corps s'étend sur sept signes du Zodiaque, et Dupuis, qui voit dans le Dragon de l'Apocalypse une allusion au serpent céleste, dit : Il n'est pas étonnant qu'une constellation aussi étendue soit représentée par l'auteur de ce livre comme un grand dragon à sept têtes, qui arrachait du ciel le tiers des étoiles et les jetait sur la Terre’. (Staniland Wake, The Great Pyramid, p. 79 ; Dupuis, III, 255.) » (Note de bas de page dans : La Doctrine Secrète, de H.P. Blavatsky)
 
Le fanatisme et la tyrannie aveugle de la judéo-chrétienté destructrice des Anciens (que dénonce d’ailleurs le Juif Isaac Asimoff) : « La ‘Lumière du Christ’ tombe maintenant sur des visages de l'homme animal, aussi hideux que l'étaient ceux sur lesquels tombait jadis la ‘Lumière de Lucifer’ ». Cette Lumière de Lucifer qui préside à la Vérité.
Aujourd’hui, Païens et Judéo-Chrétiens sont dans la même galère en négatif. Bref, le terrible dilemme multi millénaires du : personnel-impersonnel, Individuel-Collectif ou winner-loser n’est toujours pas résolu... Sauf dans l’Après-Vie...

RAPPEL : Lucifer représente la Liberté de Pensée et est, au point de vue métaphorique, le phare qui dirige, la Vérité qui aide l'homme à trouver son chemin dans toutes les merdes du monde des accidents, car Lucifer est, sous son aspect le plus élevé, le Logos (Sagesse, Christ) et, sous son aspect le plus bas, « l’Adversaire » (l’ignorant) – aspects qui sont tous deux reflétés dans notre ego ou mental. Lucifer, c'est la Lumière divine et terrestre, le « Saint-Esprit » et « Satan », tout à la fois. Tout symbole est double... et en mouvement.

Mercure ou le Messager, celui qui apportent des NOUVELLES, la Solution (alchimique). Le journaliste est une sorte de Mercure, d’Hermès. Ce grotesque Mercure d’avant 1789 qui, comme le dessin de Jacques Callot ci-dessus, repartait d’une béquille légère, avec un bon verre de vin dans l’estomac, un lourd pain dans la besace, et un petit sou dans le gousset ; le pauvre obtient bien plus rarement d’un riche, quelques bonnes paroles affectueuses et sympathiques !

RAPPEL :
Il n’y a pas pire que la démocratie, une abomination de mensonges en tous genres, rampants, cachés, déguisés, enjolivés, imposés ; tous anti-peuples. Sauf le seul empire restant du Terre, le Japon, tous les autres pays se disent « démocratiques ». Tout « parti », en religion, en politique ou en philosophie, en franc-maçonnerie du Grand Orient, en science ou en économie, tend à imposer ses lois ou normes à l’ensemble. C’est pourquoi tout « parti », tout « isme » est un genre de dictature. Il n’y a pas pire entourloupe que la démocratie, ce mot est une « auberge espagnole » : le nazisme se disait démocratique (Hitler a pris le pouvoir avec 95% des voix), le stalinisme se disait démocratie : « L'URSS le pays le plus libre du monde ». Tous les régimes se disent démocratiques, c’est à la mode depuis près de 225 ans. La démocratie avec son culte du speed est la plus formidable glu pour attraper la masse comme des mouches. Sous la Monarchie il fallait obéir à Dieu, sous la République il faut obéir à ses « valeurs », donc à ses banques et à sa société de consommation ; la démocratie et son « moins dépenser, produire plus ».

Cette abomination de démocratie n’a forgé que des inégalités sociales inhumaines, surtout tout le long du 19è siècle s’industrialisant, alors qu’elle ne sait beugler que le mot « égalité », qui est devenu le Cancer de notre civilisation du mondialisme et de sa pensée unique. Comme écrivait Gustave Thibon cette phrase fondamentale, dans Diagnostics : « La fraternité n’a pas ici-bas de pire ennemi que l’égalité ».
Thibon ajoute : « Un noble d’avant 1789 pouvait, sans cesser d’être respecté et obéi, traiter ses serviteurs avec un extrême familiarité ; un parvenu moderne est obligé de compenser, par un autoritarisme mort, l’absence d’autorité vivante et de marquer d’autant plus ses distances qu’elles n’existent pas en réalité. L’égalitarisme le plus malsain devient fatal dès que la hiérarchie sociale n’est plus fondée que sur les différences de fortune », ce qui est le cas aujourd’hui.

L’horreur de la démocratie c’est le MOLOCH qui bouffe tout, qui récupère tout, même la spiritualité qui nous est maintenant vendue comme « quantique », c’est nouveau, c’est à la mode (Vu à la Télé), et c’est colporté par nos « mendiants modernes » (nos médias, qui sonne comme mendiants, qui sont plus nombreux que les riches, et les entretiennent, d’où la « mass media », la masse étant la terre en électronique...).


Le porteur de NOUVELLES : Hermès ou Thot la Langue de Ptah.

Phénomène économique d’importe : la révolution française de 1789 a transporté la mendicité des campagnes dans les villes. Avant la tabula rasa de 1789, le travail était considéré comme un privilège, et non comme un droit (avec de nos jours des « pôles emploi »). Depuis au moins les Gaulois, les classes ouvrières étaient constituées en CORPORATIONS, dans lesquelles on ne pouvait pénétrer que par voie d’apprentissage (le compagnonnage), or le nombre d’apprentis était strictement limité. Les maîtrises ne pouvaient s’obtenir qu’à la suite d’épreuves très longues, très dispendieuses, et dans beaucoup de corps d’état elles étaient héréditaires.
Avec une organisation aussi restrictive, le travail national devait être énergiquement protégé contre la concurrence extérieure par les tarifs prohibitifs, car produisait peu et cher ; ainsi la qualité était au rendez-vous, il en sortait des merveilles. C’était le temps de « LA BELLE OUVRAGE ».
La maîtrise et les jurandes (jurés) constituaient donc autant de petites aristocraties fermés et totalement autonomes, dont les règlements draconiens opposaient une barrière infranchissable à l’envahissement des villes, « et si leur population restait froidement stationnaire, la pauvreté en était bannie ».

Dans les campagnes, c’était tout différent. « La plupart des terres étaient immobilisées soit par la mainmorte, soit pas les substitutions d’héritage, et il y avait surabondance de bras sans emploi. Repoussés des villes, les nécessiteux devaient demander à l’émigration les ressources que leur refusait la mère patrie. C’était alors que se peuplaient le Canada et la Louisiane ; mais, pour émigrer, il fallait être valide. D’ailleurs, malgré les encouragements que le gouvernement de cette époque prodiguait à la grande colonisation, tout le monde ne pouvait pas s’expatrier, et la mendicité, mise en honneur, par l’exemple des disciples de Saint-François, florissait dans les campagnes ».
Ainsi il fallait accorder le droit de mendier aux pauvres à qui l’on refusait le droit de travailler ; de là ces légions de mendiants que signalent des chroniqueurs et voyageurs anglais de l’époque.

Dans ce 19è siècle en pleine révolution industrielle, le prolétariat était attiré dans les villes par une foule de travaux pour lesquels on ne lui demandait qu’une force purement animale, les machines se chargeant du reste en devenant « intelligence ». Le mendiant a donc suivi dans les villes les masses du prolétariat ; « mais elle est refoulée de la voie publique par les règlements de police et les institutions de secours, qui vont la trouver à domicile ou la relèguent dans les prisons [les bagnes pour enfants et adultes], la mendicité n’est plus un droit, et le mendiant, forcé de se dissimuler, a perdu cette vigoureuse originalité qui inspira jadis le burin de Callot [dessin en haut de page] ».

Les corporations du Moyen-Âge et de la Renaissance furent notamment mise en valeur par Victor Hugo. Jusqu’à la révolution de 1789 le mendiant était à la fois un poète, un chroniqueur et un journaliste, « un Homère rustique » comme écrit Grasset d’Orcet dans Chroniques et Récits d'Auvergne, payant le pain qu’il quémandait par des contes, des chansons et des facéties. À l’époque où n’existait ni chemin de fer ni avion, seules les rares et mauvaises routes, aussi rares que les gazettes, c’était le mendiant et colporteur et journaliste qui apportait, colportait les nouvelles, se chargeait de toute espèce de message, de postier, et donnait tout espèce de renseignements, surtout ce qui concernait les négociations matrimoniales.
Ainsi le mendiant était une espèce de Mercure, d’Hermès, de Thot, éclopé. C’était un Troubadour, « un joyeux compère », un « délinquant » comme on l’appellerai de nos jours ; dont le retour journalier était impatiemment attendu par la marmaille des fermes et des châteaux. « Ses grosses plaisanteries épicées, ses contes, qui se transmettaient de génération en génération [héritage de la langue parlée avant l’invention de l’imprimerie], ses vieux airs de musette ou de vielle, faisaient toujours la joie de la cuisine et parfois celle du salon. Partout il était le bienvenu ».

Comparaison : par exemple, René Alleau dans Aspects de l’Alchimie traditionnelle explique que pour un enfant, un soldat de plomb en tant qu’objet pourra être tour à tour un canon, un avion, un sous-marin, un char, et parfois un soldat selon les besoins du moment. Pour un adulte un soldat de plomb est irrémédiablement un soldat de plomb, comme le « scientifique » ne croyant que ce qu’il voit, mesure et analyse dans son expérience. C’est le piège de la raison ou ego ou mental.
Les enfants se comprennent entre eux en une sorte d’universalisme originelle, les liens s’établissent SANS PAROLES, en Vraie Télépathie, c’est-à-dire lorsqu’ils sont difficilement exprimables par le verbe. Le JEU tend à transformer chaque groupe d’enfants en une « paroisse » ou « petite société fermée » (bande). Ainsi on distinguera le SACRÉ et le PROFANE, mais ici sans la terrible et destructrice notion de POUVOIR des adultes. Voir aussi la page : Enfants et Conventions.
Ainsi, autrefois les enfants pauvres qui n’avaient rien inventaient leurs jouets, dans lesquels leur imagination voyait des merveilles.
Bref, les Vrais Nobles furent ceux « de la Haute Misère », ces grands seigneurs devant Dieu, et qui restèrent de « grands pauvres », comme écrit d’Orcet.

Ce n’est pas la révolution de 1789 qui provoqua la cassure : Ancien Régime, République, mais bien la première guerre mondiale des droits de l’hommistes.
Avant 1914 régnait une certaine qualité de vie et de bien-être, oh certes pas pour tout le monde, « il y avait néanmoins une certaine gaieté de la vie, sur laquelle la guerre de 1914 s’est abattue pour la détruire, en même temps qu’une quantité caractéristique du passé qui avaient subsisté jusque-là » écrit justement Hyacinthe Dubreuil, dans : J’ai fini ma journée. Il ajoute :
« l’année 1914 a marqué la destruction brusque de vestiges de survivances d’un lointain passé pour entrer, après tant de ruines matérielles et morales [comme en 1789], dans une difficile période de reconstruction, qui ne pourra certainement être achevée qu’après de nombreuses générations. Car si les ruines matérielles peuvent être réparées dans un temps relativement court, celles qui sont d’ordre intellectuel et moral seront beaucoup plus longues à reconstituer... [Quatre années de guerre provoquant un million et demi de morts] du fait des conditions de recrutement militaire, qui écartent les déficients, ces morts constituaient la plus grande partie de ce qu’on peut appeler la richesse humaine d’une nation. Avec eux ont été ensevelies des qualités séculaires, des traditions précieuses et ce qu’on peut définir comme une grande partie du génie de notre nation. Sur le simple plan de travail, qui au fond intéresse tout le monde, car tout le monde a besoin d’objet bien faits, et répondant exactement à ce qu’on leur demande, n’entendons pas constamment des plaintes sur la disparition de la « conscience professionnelle » ? Or cette valeur sociale précieuse existait au plus haut degré avant la grande catastrophe [guerre de 1914], sans que d’ailleurs on y prêtes attention, tant cela paraissait naturel. Comme la personne en bonne santé qui ne pense pas qu’elle pourrait être malade...
Ces valeurs humaines étaient comme l’héritage des siècles. Les ruines matérielles, les cinq cent mille maisons détruites, n’étaient rien en comparaison de ce capitale irremplaçable, ou tout au moins irremplaçable pour longtemps, car il faudra des générations pour en retrouver l’équivalence.... Le véritable changement résulte de ces pertes humaines, qui ont entraîné une transformation considérable dans l’esprit de la population. L’ancienne gaieté a disparu, pour faire place à un mécontentement permanent [cette maladie de l’égalité franc-maçonnique], même si, en fait, la situation des gens ne le justifie pas absolument. Il en est qui n’ont réellement pas à se plaindre des conditions de leur existence, mais sont quand même mécontents et grincheux ».

100 ans correspondant, selon Louis d’Alencourt, aux cent ans nécessaire à Noé pour construire son Arche. Effectivement et à ce qu’en écrit Hyacinthe Dubreuil, 1914 est une vraie révolution supérieure à celle de 1789 (qui était avant tout idéologique) ; et de 1914 à 2014 il y eut autant de « problèmes » qu’en 10.000 ans ! Donc 100 ans correspondent à 100 ans d’AVERTISSEMENTS à la vue de notre civilisation qui en est rendue à une désolation maximale. Avec les cycles de 100 ans on peut encore observer : 1789 révolution française, 1889 naissance d’Adolphe Hitler, 1989 chute du mur de Berlin. 100 ans avant 1914, en 1814 Napoléon est dans la tourmente de la Campagne de France, sorte de prémisse de « guerre mondiale » entre la France, la Russie, la Prusse, l’Angleterre, la Suède et l’Autriche.

« Depuis la Révolution, et malgré les troubles divers du 19è siècle, la valeur de notre monnaie était restée à peu près stable. Or, chacun sait que c’est à partir de 1914 que nous avons connu le phénomène, devenu permanent, de l’inflation et de la dévaluation. Une fait rare, sinon inconnu auparavant. [La guerre de 1914-18 a amené la permanence de l’instabilité monétaire. L’Union « soviétique » européenne et son « euro » n’a fait qu’empirer les choses].
Il est alors important de constater que ce phénomène ne s’est pas produit seulement dans la valeur de la monnaie. Il s’est incontestablement étendu sur les plans intellectuel et moral par un abaissement général des valeurs humaines, qu’il est facile de constater dans les domaines les plus divers. Par exemple, où sont aujourd’hui les artistes dignes d’une gloire équivalente à celle de nos peintres qui avaient exercé une si forte influence sur leurs confrères du monde entier ? La même observation n’est-elle pas valable pour le théâtre ? Où sont les hommes politiques susceptibles d’être mis en parallèle avec ceux qui prirent en main la destiné de la France pendant la Grande Guerre ? », écrit justement Hyacinthe Dubreuil.

L’abomination de la démocratie qui ose étaler ses mensonges d’inégalités sociales dans ses formules menteuses inscrites sur tous les bâtiments de ses institutions après les avoir faites tabula rasa dans nos mœurs.
Qu’est-ce que c’est le « Juif errant » qui ne mourait jamais ? Sinon le moderne transhumaniste rêvant de vivre mille ans, comme le rêvait le national-socialisme d’Adolf Hitler, comme le rêve tout empire et tout tordu qui « jure éternellement » ! Seule la pauvreté est éternelle... Sinon ça devient des parvenus républicains ou des mortels, cette « noblesse » inversée ou oligarchie (noblesse noire). Généralement on est « éternellement reconnaissant ».
Et Lucifer... C’EST NOUS, et d’une certaine façon : LE CHRIST, LE BAAL, LE BEL (force) des Gaulois, L’INSTANT... Mais les adeptes de Moïse rejettent Baal et tous les Païens, d’où la division en Bien-Mal...
 
 

Dernière mise à jour : 13-04-2014 17:09

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