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Abomination de la tyrannie de Cause-effet Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-05-2014 19:58

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Abomination de la tyrannie de Cause-effet
ou l’Enfer de la Relativité et de
l’Alpha et Oméga.
 
 
Tyrannie de cause-effet ou dualité : le drame de la Balance est d’avoir deux plateaux. A-Voir deux plateaux, du A privatif et Voir, c’est se priver de voir les deux plateaux. Ici-bas dans le monde des accidents nombre de gens possédant pourtant les deux plateaux ne voient qu’un seul plateau, ne voient que la moitié du Tout sans voir les deux moitiés du Tout. Les gens en pensée unique ne voient que le nombre ou quantité qu’ils confondent avec la qualité et l’universel. Voir la Licorne, de LI-Corne (LA Corne, extrémité de quelque chose finissant en pointe, donc le Point Focal d’un Vortex ; l’expression populaire « avoir un créneau » veut dire avoir un trou), c’est donc Réaliser aussi l’Instant ou Soi. Ainsi la Licorne unit les deux plateaux de la Balance et leurs charges en la pointe de son Front (balance : bilanx ou deux poids, et tas-lanx : talent).
L’unificateur des deux plateaux se nomme FLÉAU : de la PANIQUE ou réalisation de l’Instant (Dieu PAN le Tout) lorsque surgit dans l’Instant la Conscience provoquant la Douleur Absolue : douleur et couleur ne sont pas de la « matière » mais sont le résultat du traitement que subit la lumière. Bien-sûr après le passage la douleur (Passion ou sentiment retourné) fait place à la Félicité.
 
Le drame c’est la RELATIVITÉ, mot récent (1805), de relatif, donc en miroir, en ME-SUR (de ME rassurer), en Ré-Férence (ou deux fois rance) dans le système du confort avec par exemple un bouffeur de références comme le Wikipédia, hyper machine rationaliste faisant triompher le siècle des perruques poudrées et leur « raison » mondialiste.
La référence ou relativité est la prison de la dualité, qui tyrannise en des dilemmes inextricables, aussi inextricables que l’opinion formée en un carrelage noir et blanc de loge judéo-franc-maçonnique spéculative. Sortir du dilemme, de la dualité, de la relativité, c’est comme sortir de la prison de cette invention inquisitoriale nommée « vitesse de la lumière », que selon certains Grands Inquisiteurs on ne pourrait pas « dépasser » !!! C’est leurs problèmes s’ils veulent rester dans leur enfer !

Être libéré ou  ne plus souffrir ce n’est pas trouver une compagne ou un compagnon pour s’envoyer en l’air (dynamiser ses sentiments) ou faire ami-ami ; parce que ça relève du sentiment si manipulateur, ce que savent parfaitement employer tous pouvoirs comme l’étatisme et les religions. Ces sentiments appelées « amour », « peur », etc. reviennent toujours à leur même point de départ, donnant toujours cette sensation de lassitude qui est inhérente à tout ce qui a un commencement et par conséquence une fin, comme un film, comme une aventure amoureuse ou autres, comme un exploit, comme la société de consommation où l’objet usé n’apporte plus de joie, (d’amour), alors il faut acheter le nouveau ; c’est donc la croissance ou le chien ou serpent qui se mange la queue ; véritable super prison.
Les fêtes de Noël s’inscrivent exactement dans cette même super prison, car pourquoi un acte si « merveilleux » (surtout pour le business) le paraît beaucoup moins lorsqu’il s’est renouvelé ? (un Noël étant enfant ça va bien, mais étant adulte c’est moins beau). Parce qu’il y a ACCOUTUMANCE, d’où en société de consommation le principe de la CROISSANCE : toujours augmenter la dose de DROGUE, sinon ça ne fait plus d’effet, ça n’a plus de VALEUR. Alors qu’au-delà de l’Alpha et Oméga, la Fluidité, la Fixation Cavalante est : VIE CONSTANTE, SOURCE PERMANENTE S’AUGMENTANT CONTINUELLEMENT.

Société de cause-effet et de consommation entraînant :
- accumulation de poisons,
- stress oxydant responsable par exemple, de la maladie d’Alzheimer,
- surcharge de toxines épuisant le capital de certaines substances chimiques dans notre cerveau, entraînant dépressions, suicides, attitudes compulsives, violentes et agressives, dérèglements du sommeil, etc.
Par ailleurs et comme déjà écris de nombreuses fois, l’étatisme ou démocratie actuelle entretien savamment l’ego et l’état de tension, nommé « compétitivité », « marché », etc., une tension permanente de surmenage quasi chronique, qui augmente ce qui n’est pas bon dans le sang, avec accumulation de nombreux désordres, douleurs et maladies handicapantes.

La chefferie ou étatisme manipule parfaitement le sentiment, notamment de façon cyclique avec les élections au « suffrage universel », vaste attrape-couillons aussi universel. Parce qu’à notre époque « moderne », jamais l’être humain n’a eu autant de pouvoir d’agir sur la sensibilité plus que sur la conscience de ses frères et sœurs. Avec l’étatisme et son Nouvel Ordre Mondial, cette sensibilité érigée à la première place ouvre la voie au désordre, à la violence et à la guerre. « En effet, la sensibilité et sa sœur jumelle, l’émotion, constituent le terrain par excellence favorable au règne de la passion [le rouge, la souffrance] », écrit justement le Psychiatre A. Stocker dans : Folie et Santé du Monde.


Sortir de la souffrance ou passion du monde de la cause-effet c’est être un Pèlerin ou un Promeneur :

PROMENEUR : Pro-Trebon : de Pro (en avant, pro-che, progrès, avantage, profit) et Trebon (chef de village en gaulois ; parallèle avec Domi-no ou maître de maison en latin, et en rapport avec l’effet Domino, mais DANS LES DEUX SENS). Je suis un Pro-Meneur, un Pro-Trebon ou un Réalisateur de l’Instant-Soi. Se promener est aussi observer la vue (Contemplation) du Temps qui coule.
Ne pas confondre le sens négatif du mot Meneur, celui qui est contaminé par le pouvoir (le meneur ou la grande gueule genre Alain Soral et sa bande), et entre ainsi dans le système de la chefferie, et par là même en devient un Meneur ou un MAUVAIS GUIDE, comme ceux qui sont entraînés par le déluge au déchaînement duquel ils ont travaillés de toutes leurs forces.

PÈLERIN : a le même sens que Promeneur, que Voyageur : PÉRÉGRINATION ou PÉRÉGRIN (le Père du Grain ou Trou Noir, le Trou du Trou-Ver).
Le Pèlerin est celui qui Pèle-le-Un, celui qui re-découvre l’Unité ou Origine, donc celui qui est en PÈLERINAGE, et n’a rien à voir avec de l’idolâtrie et une religion.

En haut de page : un Camembert en référence à celui du voisin de Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux, où il raconte que son voisin mineur à Arras était un ouvrier ni bête ni un génie comme la plupart du commun des ouvriers. Un journal avait publié une des premières photos de la Terre vue d’un satellite et sa sphéricité paraissait évidente. Coulonval en buvant son café en compagnie du mineur lui pose la question classique du bateau qui fait le tour du monde : combien la pointe du mât a parcouru de plus que la ligne de flottaison ? Mais le mineur ne voyait pas la Terre comme une boule ; il la voyait comme un Camembert. Coulonval lui demande s’il connaissait quelqu’un qui se serait penché sur le bord du camembert. Bonjour le vertige !!! Bref, le mineur ne s’était jamais posé la question, et pourquoi se serait-il posé une question aussi idiote ?  Le mineur n’admettait que l’utilitaire, à savoir la rotondité de la boule de billard qu’il avait sous les yeux « mais était incapable de conceptualiser la sphère hors de ses perceptions sensibles.
« Pour le plus grand volume possible qui contiendrait la totalité cosmique se pose, à un échelon géométrique supérieur, le même problème. Imaginons qu’un cosmonaute atteigne la limite extrême de la sphère. Au-delà; il n’y aurait que de l’espace, une abstraction de l’espace ; pas de temps, pas de mouvement ! Absurde !... Les limites du monde cosmique sont partout et nulle part.
La physique atomique nous a conduit à la jonction du physique et du métaphysique. Il doit se passer quelque chose de semblable à ce qu’effectue le point focal de la lentille photographique ou le cristallin de l’œil. Ce à quoi assiste le physicien devant la chambre à bulles, c’est ce qui se passe au centre focal entre la réalité métaphysique et la réalité euclidienne. Deux réalités, comme l’objet et sa photo. Le Ciel créé et la Terre créé », écrit Coulonval dans sa lettre de Noël 1971 à Aimé Michel.


Exemple d'un Labourant sur la voie alchimique.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 20-05-2014 20:26

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