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Contestation = complotisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-08-2014 20:08

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Contestation = complotisme
et anti-républicain

Le complot ou les sectes sont vieilles comme le monde
Bizarrement dans cette civilisation de la communication
où tout se sait, l’effet inverse augmente :
prolifération de sectes en tous genres.
 
 
COMPLOT DU COMPLOT : effet du système de la république de gommer toute lutte, pour faire avaler la soupe du capitalo-socialisme des droits de l’hommistes et des Juifs bolcheviques de 1917 envers et contre tout. Mais comme dit la chanson : « C’est pas d’la soupe c’est du rata, c’est pas d’la merde mais ça viendra », et la merde vient toujours très vite, nous en vivons l’expérience à cet été 2014. Mais rien ne bougera tant que le frigo de chaque Français sera plein et que l’eau coulera encore dans les tuyaux.
Ici en république tout est fait pour que les gens soient atomisés, et le système nous vend sans arrêt sa pub mondialiste : « ensemble », « vivre ensemble », « attentif ensemble », fête de la musique, et autres messes laïques, etc. On vous forcera à « être sociable ». Mais où se trouve autrui si ce n’est dans votre propre Soi ? comme le dit Ramana Maharshi à l’entretien 43.
Dans cette religion inversée de la Laïcité, le mot « ensemble », sonne comme une religion réunissant ses fidèles dans une paroisse, permettant au système d’empêcher toute contestation. C’est proprement diabolique. Parce que quand vous adhérer à un seul système politique comme une « république », ou un système philosophique genre Aristote, vous êtes obligé de condamner tous les autres ; c’est pourquoi la « république » ne peut que se bombarder « une et indivisible », par conséquence elle n’a rien « d’universelle » puisque ce terme ne peut convenir qu’au divin. Si elle se dit « universelle » elle devient une religion de plus jouxtée avec celle du fric...
 
L’humain ne fait pas comme les animaux qui semblent se conformer à leurs propres lois naturelles en dépit de leur milieux et changements, alors que l’humain transgresse en permanence la loi sociale et n’est lié par aucun système défini, sauf pas son OPINION. Les Upanishad et autres écritures disent que les humains sont des animaux tant qu’ils ne sont pas réalisés. Avec leur mental, les humains sont surement pires que les animaux (réf. d’après l’entretien 79).

Tous esclaves de la City de Londres et de sa juiverie financière internationale : la judéo-franc-maçonnerie spéculative est née à Londres en 1717. Mais bientôt la fin de la City de Londres et de son empire USionistan allant avec.

Il n’y a pas plus imbécile et criminel que cette mentalité américaine, dont la démocratie est inclue : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous » ; voyez notamment le lavage de cervelle opéré par Hollywood, et l’empire Walt Disney et son mauvais goût. C’était à peu de mots près la même mentalité que celle des Conquistadors espagnols et portugais venant apporter leur « religion » aux « sauvages » et en les massacrant, et pour ceux qui se soumirent à leurs opinions de « civilisés » en les rendant esclaves.

Meilleur Inquisition moderne : LA théorie du complot. Ainsi, toute personne qui remet un quelconque fait en question devient un complotiste, voir un antisémite, et hier, il finissait sur le bûcher.

Comme déjà écrit, et comme le dit si souvent Ramana Maharshi dans ses entretiens, le drame et la liberté ne va pas se chercher à l’extérieur, mais À L’INTÉRIEUR de chacun de nous. Aussi, aucun messie, aucun chef d’État quelconque ne pourra vendre sa « paix » à qui que ce soit. Ce sera toujours quelque chose d’imposé qui ne plaira pas à une grande majorité, donc il y aura toujours un « service d’ordre » créant le désordre avec les guerres et la violence qui va avec : l’américanisme et le socialo-capitalisme appellent ça « la paix ». Une paix conduisant à une basse uniformité ou un « général » vraiment général, que l’Occident judéo-franc-maçonnique baptise « universel » comme ses droits de l’homme, aboutissant « non pas à une polyphonie mais à un solo de tambour. Cela précisément parce que l’un et l’autre prennent pour critères de valeur de leur civilisation des signes purement matériels, et comme moyens de persuasion politique des procédés qui visent uniquement le psychologique et les appétits sensibles, c’est-à-dire la part de l’âme la plus excentrique, celle qui a le plus tendance à refuser, à refouler tout ce qui, dans le vrai sens, a vraiment valeur universelle. Car l’Universel est de l’Esprit, le général est de la terre » écrit si justement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.

« Cette confusion entre le général (total quantitatif) et l’universel (unité dans la vision métaphysique et qualitative) est commune, bien que sous des formes différentes, au communisme et à l’américanisme. Le communisme identifie l’Esprit au psychologique et veut l’uniformisation des façons de vivre et de sentir. L’américanisme réduit la civilisation au seul aspect scientifique, technique et économique. Il ne nie pas officiellement l’Esprit mais le noie dans un flot de jouissances matérielles uniformément imposées à tous par l’American way of life, et aboutit également à l’uniformité psychologique et à l’étouffement de l’Esprit. L’un et l’autre peuvent résoudre les tensions et antagonismes du corps social, mais en réduisant l’homme à sa seule dimension psychologique et physique ».

« Cependant, cet abaissement produit des résultats différents. L’américanisme unifie le pathos de classe dans le culte généralisé de la technique et l’identification des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire, mais il abandonne les choses de l’esprit au dévergondage religieux des sectes [genre l’élite des Skull and Bones]. Le communisme, au contraire, parce que centré sur une conception bien définie de l’homme, si fausse qu’elle soit, tend à substituer aux classes, lesquelles se définissent par des critères économiques, une autre classification selon les critères d’une pseudo-spiritualité qui engendre des pseudo-castes : celles des paysans, des ouvriers, des fonctionnaires, des politiques. Castes ouvertes, en principe, n’étant pas légitimées par la naissance, mais d’autant plus réelles qu’elles se définissent par un certain degré d’accès aux mystères dogmatiques d’une pseudo-spiritualité.
Car la classe est de la Terre. La caste est de l’Esprit. C’est une profonde erreur d’en faire des synonymes, bien qu’en pratique la caste, fait spirituel, tend toujours à se signifier dans le temporel par des privilèges économiques et à dégénérer en classe. C’est l’aventure qui est arrivée à l’ancienne noblesse de sang et la Révolution de 1789 n’a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. Elle n’a fait que couper du bois mort.
Inversement, la classe la plus basse, opprimée et avilie, tend toujours, pour guérir ses malheurs, à retrouver les sources de l’Esprit, et, partant, le sens de la caste, c’est-à-dire de sa dignité d’homme en tant qu’être métaphysique et religieux. Cette dialectique de la classe et de la caste est la cause la plus profonde de la naissance du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n’a fait que dévier et défigurer la première dans un sens pervers ».

Bref, pour sortir du dilemme capitalisme-socialisme, seule l’unique question essentielle permet la liberté : « Qu’est-ce que l’être humain ? »
« Cette question, tout au long de l’histoire, n’a jamais cessé de se poser, mais il est des époques où elle est particulièrement angoissante. Tout changement dans l’idée que l’homme a de lui-même entraîne une transformation des formes de civilisation. Cependant, la succession des civilisations a été jusqu’à présent zigzagante, leur accent tonique étant tour à tour une dominante théologique, ou métaphysique, ou scientifique et matérielle, avec toute l’infinité des colorations différentes que permet la complexité des plans de l’âme, et donc des modalités possibles de la vie, personnelle et collective.
Qu’est-ce que l’homme ? La question se pose à nouveau à tout un monde angoissé, à la totalité de la planète devenue tout entière soumise à un unique destin. L’homme a dompté la matière par la science et la technique, il en a découvert les secrets les plus internes, mais il ignore plus que jamais ce qu’elle est. La science atomique apporte l’espoir d’en tirer le plus grand bien, mais aussi le plus grand mal.
Pour le bien, l’homme s’en glorifie, mais pour ce qui est des maux il dit : « Je n’ai pas voulu cela, c’est la faute du voisin » [voir les sionistes reportant leur problème sur Gaza]. En vérité, la science pure est moralement neutre par nature : une chose est vraie ou fausse, et rien de plus [d’où d’ailleurs cette loi universelle : « Il n’y a dans l’Univers ni récompenses ni punitions »]. L’éthique de la science commence avec la technique et les applications pratiques de la science pure. Toute morale est à la science pure ce que le corollaire est au théorème. Telle est l’idée qu’a l’homme de lui-même, telle est sa morale. Il est donc parfaitement vain et utopique de construire une nouvelle morale qui serait capable de conjurer les maux que nous promet la science atomique avant d’avoir repensé ce qu’est l’homme. Nous vivons une époque de révolution mondiale qui pose comme problème primordial la mise à jour de la connaissance que l’homme a de lui-même. L’ennui, c’est que ce problème contient tous les autres, absolument tous.

Mais qui le résoudra ? Évidemment pas ceux à qui il ne se pose pas dans la plus profonde intimité de l’âme, c’est-à-dire les satisfaits, les repus, les gavés de bien-être matériel ou d’honneurs sociaux, ni même ceux qui croient trouver dans la religion un refuge où ils s’enferment en bouchant toutes les fenêtres qui leur permettraient de jeter un coup d’œil lucide sur le drame de la planète Terre. L’homme heureux, ou qui croit l’être, ne se pose pas de questions, est incapable d’imaginer que d’autres puissent trouver invivables les conditions qui leur sont faites. Il est conservateur. Et l’homme de gauche, qui ne conçoit de dignité humaine que dans et à partir des valeurs économiques, qui croit que le bonheur et la joie ne se trouvent que dans des circonstances extérieures, est tout à fait incapable de repenser le problème de l’homme dans ses vrais termes.

Seul peut reposer l’équation de l’homme celui qui a souffert dans les profondeurs les plus intimes de l’âme, et qui a été conduit à être à lui-même le propre objet de sa connaissance.
Car l’homme n’est pas seulement un existant, il est aussi un être qui se regarde exister. L’homme n’est vraiment libre, ne prend vraiment conscience de sa liberté, de l’essence ontologique de sa liberté, que lorsque s’est réalisé en lui ce clivage entre l’être et l’ex-ister, lorsqu’il est devenu à lui-même son propre problème, lorsque son âme est devenue objet de connaissance pour l’Esprit, lorsque le ‘Je’ s’est soumis le Moi [le soi ou ‘je’] ; lorsque le ‘Je’, qui est divin, et le Moi [soi], qui est de la Terre, ont retrouvé la Paix sur ce plan médian qu’est le métaphysique. Le verbe s’est fait homme pour être médiateur entre le Ciel et la Terre, et c’est pourquoi la religion du Christ est théandrique [de nature divine ou ‘Le Royaume des Cieux est en Vous’]. Hors de là, l’homme n’est pas libre, il subit passivement les déterminismes sociaux ; il devient jusque dans sa pensée le résultat du milieu ambiant parce que c’est son moi, ses sentiments et non le Verbe qui in-forme sa pensée : il n’a que des opinions, il n’est pas libre. Tant qu’un homme n’a pas été saisi jusqu’à l’angoisse par l’étonnement de se découvrir comme un homme parmi les hommes, malgré ce qu’il sent en lui d’irréductible à n’importe quel autre individu, il ne peut découvrir le vrai sens de la liberté qui est Esprit. « La vérité vous rendra libre ».
La liberté est le dialogue entre un agissant qui est le ‘Je’ divin et un agi qui est le Moi [ego] humain, selon la Vérité du Verbe qui est médiane entre le Ciel et la Terre. Hors de là, parler de la responsabilité de la personne n’a aucun sens « Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font », écrivait prophétiquement Coulonval en 1960, donc à 47 ans environ.

Hélas, hélas, hélas, Ce qu’hier écrivait Jean Coulonval est multiplié au centuple tant le temps s’accélère de nos jours. Aujourd’hui, ce qui est positif est devenu négatif et ce qui était négatif est devenu positif, selon un courant nettement judéo-maçonnique. Ainsi, en « république » ou système du mercantilisme de la juiverie financière internationale, il est difficile de résister à la novlangue genre : citoyen, ensemble (‘vivre ensemble’), « droits de l’homme », « valeurs universelles », croissance, pédagogie, sécurité, « résultat net » (bénéfice), licenciement (restructuration), chômeur (demandeur d’emploi), grèves (mouvements sociaux), bougnoul (issu de l’immigration), pauvres (conditions modestes), « retour sur investissement » (profit), exploités (qui demandent des exploiteurs, aussi le pouvoir emploi-t-il maintenant le terme « d’exclus », ce qui est pratique parce qu’il n’existe pas encore « d’exclueurs », donc les exclus c’est de leur faute : on est en démocratie ou on ne l’est pas, et on se fout de la compassion ou de la solidarité ! D’ailleurs tout est fait dans ce système pour que les gens soient atomisés. Diabolique est cette république, parce que les exclus de la république sont vraiment des exclus, alors que sous l’Ancien Régime, ils étaient protégés surtout par l’Église, et par leur famille quand ils en avaient, mais la solidarité était le fondement du Moyen-Âge, voyez notamment le chevalier devant défendre le faible contre le fort...). Nous avons encore dans le 1789 bourgeois : étude de marché, démarche qualité, l’harmonisation de ceci ou de cela, « le lien social », le « plus jamais ça »...
Le positif est devenu négatif ! On fait dans la réalisation de la politique en supprimant la politique... Comme la religion du capitalo-socialisme à la Staline : tout est à l’envers, comme une catholicité en creux, comme un cuivre repoussé : les accidents engendrent les Essences. Tout cela étant bâtit sur l’évolutionnisme des Juifs et des religions du Salut en général, et sur la thermodynamite, en définitive, comme le dit bien Coulonval tout cela est construit sur le SENTIMENTALISME, donc sur l’OPINION.
Le mot, ou plutôt maux essentiel du républicanisme moderne est LA CROISSANCE. Un mot qui colle si bien à la Nature ! Et évidemment à l’évolutionnisme des Juifs et religions du Salut, au darwinisme aussi, tout système de l’occident opposé à l’Orient et à l’hindouisme fonctionnant par CYCLES.
La Croissance c’est avant tout le fric et bien-sûr ce qui va avec : LE CHIFFRE, et avec lui les statistiques et les camemberts en graphiques.

En « démocratie » non directe la manipulation et sa propagande ne peut être qu’OCCULTE, donc laissée aux sectes surtout judéo-maçonniques genre Grand Orient de France, afin de produire du consentement aux élections qui ne servent à rien, sinon, elles seraient interdites !

Les capitalo-socialistes ne peuvent pas se passer des esclaves, mais les esclaves peuvent se passer des Capitalo-socialistes et de toutes les Couilles en Or genre Rothschild Rockefeller, les Schneider, Schlumberger, Wendel, Worms, Louis-Dreyfus, etc.

Seule, l’autonomie ou l’émancipation permettra à chacun de trouver la Vraie Paix donc la Vraie Liberté : CONNAIS-TOI, ou « Je suis ce je suis ». Et c’est ça qui fait peur à tout étatisme.    
Depuis l’époque de la Renaissance en passant par 1789 et sa révolution, et l’industrialisation de la société occidentale au 19è siècle, nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée assurant le triomphe et renforcement du piège du mental. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, en quelque sorte, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier, et maintenant du monde devenu virtuel par la technologie, notamment informatique. Voilà le tragique qui risque de faire disparaître la vie humaine.
Le règne de l’opinion est bien de la pure tyrannie. Jean Coulonval ne s’était pas trompé sur ce mal suprême moderne en forme de : « le Centre est partout et la Circonférence nulle part », MAIS EN INVERSE. L’évolutionnisme, la Croissance, c’est : « Coule au fond de la mer ». Par exemple, et en dernier, le « social » est devenu pour le système : faire avaler l’inacceptable !
Terrifiant ! Tout est à l’envers, faussé, et singeant constamment les religions, car l’humain est avant un Homo religiosus, quoi qu’il puisse dire à propos de laïcité, parce qu’il n’existe pas vraiment de séparation entre spirituel et État ; et que tout être, tout objet, tout lieu et tout acte sacrés sont le fait d’une profonde et absolue ambivalence. L’objet quel qu’il soit, même politique, est investi d’une force prodigieuse (le mana des Polynésiens). Autant cette mana peut être bénéfique dans son côté divin, autant et proportionnellement elle peut, d’un Instant à l’autre, se retourner en son contraire et agir alors diaboliquement comme une énergie destructrice. Dans le spatio-temporel, l’ambivalence est le fondement de la nature humaine... C’est pourquoi, il faut veiller, sans cesse, ce que tout pouvoir étatique empêchera.
 
 

Dernière mise à jour : 09-08-2014 20:45

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