Étatisme, prêtres, psychiatres, médias, enseignants, business,
entertainment, doivent trouver le moyen le plus rapide d’obtenir du
consentement de la part des masses. L’étatisme et ses institutions ont
par exemple le pouvoir du saint Fric : le fisc et le service rendu aux
Couilles en Or par la privatisation. Sous la monarchie le pouvoir était
absolu, mais en cas d’erreur, le roi risquait sa propre réputation et
surtout la mort. Aujourd’hui l’oligarchie financière détient un pouvoir
supérieur mais n’en répond pas vraiment, protégée par toute la cuisine
du républicanisme (et d’une fraction de la judéo-maçonnerie spéculative)
qui l’exempte de responsabilité (voyez le cas de l’Union Européenne)
puisque celle-ci relève de la compétence de l’arnaque universelle nommée
« Peuple souverain » qui n’a nullement son mot à dire à Bruxelles !
L’étatisme républicain lave le cerveau de enfants, les « socialise »
comme ils disent, et par là même remplace la famille et le Père
intériorisé dès le plus jeune âge. Ainsi le républicanisme, comme les
marchands de confiance ou banques obtient la confiance des enfants,
observance et opinio legitimitatis (opinion se voulant ‘vérité’ ou
opinion imposé de force ou subtilement, ce qui revient au même).
Étatisme monarchique ou républicain se prennent tous pour des PÈRES (de
la patrie) : Petit-Père (Tsar), Père des Turcs (Mustafa Kemal), Père de
la Révolution, etc. - ceci pour masquer, à travers ce travail de framing
(tyrannie de l’opinion) d’encadrement, le rapport d’exploitation
instrumentale, et parfois de violence radicale et inquisitoriale qui
rattache le sommet de la pyramide à la masse de la base.
SOCIALISME = ROBOT SOCIAL
Nous n’avons pas à « faire partie de la société », mais à être
nous-même, sinon on tombe effectivement dans le socialisme, le isme ou
robotisation de l’humain. (Voir la page : Infection républicaine
judéo-maçonnique)
Être soi-même pour ENSUITE apporter aux autres : Le Secret de la Fleur
d’Or, le Djihad, est que l’être humain doit faire « société » avec
lui-même avant de faire société avec ses semblables. C’est le mariage de
l’ESSENCE et du monde des accidents. La société est au service de la
personne, et non la personne au service de la société (des Couilles en
Or ou Rothschild). La Père-Sonne est LA valeur à laquelle la société
doit être soumise : la personne est transcendante par rapport à la
société, c’est la personne qui seule donne un sens à la société, et non
le contraire ou le républicanisme de la finance internationale !
Le républicanisme judéo-maçonnique se voulant « indivisible » se pose ainsi en religion voulant faire la morale à coups de « ses valeurs » qui ont remplacées celles de l’Église depuis la division en laïcité, ici en France.
La Morale est du même thème que le « Bien » ou
« PUR ». Et le pur c’est ce qui n’est pas mêlé à un élément impur (comme le terroriste) venant, par son contact, l’altérer, l’avilir et le profaner. L’impure, c’est ce qui dérange le républicanisme ou ordre cosmique et de la légalité divine,
‘nefas’ latin qui s’oppose au
‘fas’ ;
l’an-rta indo-iranien s’opposant au
rta ; l’
anathemis grec s’opposant à la
themis », écrit le Psychiatre jungien Pierre Solié, dans :
Médecines initiatiques, aux sources des psychothérapies.
Evidemment la pureté est synonymes de libération ou bonne santé, que P. Solié nomme «
endieusement ».
Encore une fois j’écris que le sacré, le saint, est hautement ambivalent, parce qu’investi d’une énergie prodigieuse (la
mana des Polynésiens). Autant celle-ci peut être bénéfique (sens du divin), autant proportionnellement elle peut d’une seconde à l’autre être son contraire : diabolique, et mortelle. Il en est de même du « bien et du mal » ou de la morale ! Il en est de même en MAGIE pouvant très facilement passer de blanche à noire...
« Tout objet qui incarne le sacré en pôles antinomiques et complémentaires : désir et répulsion, fascination et effroi, amour et haine…Il est le siège même de l’ambivalence comme inhérent à la nature humaine originelle », écrit P. Solié.
Et la république ou son totalitarisme déjà en place rêve qu’il ne règne sur Terre que le « bien » ! Comme la maîtresse dans les écoles primaires qui distribuent des « bons points », et des baffes du temps où cela n’était pas encore interdit !
La Laïcité, c’est le profane ou le vulgaire qui s’oppose au divin, au sacré. Mais ces deux mondes s’interpénètrent, se superposent et supposent et s’excluent à la fois. « Ils constituent une absolue « donnée immédiate de la conscience » - de la conscience humaine émergeant de ses limbes zoologiques. Ils sont une forme sensible de l’instinct qui prend conscience de lui-même… », écrit P. Solié.
Comme écrit si bien P. Solié, oui l’Âge d’Or est cette « béatitude intra-utérine » gâché premièrement par le traumatisme de la naissance (le début est identique à la fin : le nourrisson SAIT obligatoirement qu’il va un jour mourir, puis il l’oublie dans sa petite enfance), et deuxièmement gâché par les premières expériences de privation alimentaire (surtout en temps de guerres…) ; alors ça « engendre chez lui une réaction agressive vis-à-vis du monde extérieur, notamment représenté par sa mère en premier lieu ; et tout d’abord par le sein maternel, puis le visage ; réaction qui va faire de ces « objets partiels » (seins et visage) de « mauvais objets ». Mais comme ces objets sont également dispensateurs de plaisir et plus tard de joie (nourriture, sourire, sécurité), ils sont investis d’une énergie positive (libido) qui en fait concurremment et consubstantiellement de « bons objets ».
Seins et visage, puis le corps entier de la mère seront donc ambivalents pour le nourrisson, comme l’écrit P. Solié.
Bons et mauvais objets sont donc la traduction de l’ambivalence originelle de l’être humain, traduit par le symbolique
Taiji.
L’objet est l’AIMANT, la dépendance étroite, et par la même LA PANIQUE (de PAN ou Instant, la
‘frayeur des Dieux’. Les mystiques connaissent le
‘feu sacré’ de l’Amour divin qui les consume au point que souvent ils sont tenus d’en demander la délivrance pour ne pas mourir « brûlés »). En début de vie cet objet sera comme transparent, hallucinatoire puisque dépendant de la dualité sujet-objet. Selon Solié c’est ce que les psychanalystes nomment
« projection ».
Bon bref, le sein de la mère n’est ni bon ni mauvais ! Il EST, un point c’est TOUT, comme l'Instant ou Soi. Bien-sûr il existe dans le mental, et donc dans le monde des « objets dégueulasses ou malades », mais c’est à l’humain de s’en accommoder, de s’en protéger, puisqu’eux aussi sont LÀ.
Comme écrit plus haut, le républicanisme NE RÊVE QUE DE BIEN, comme cette psychiatrie de Big Pharma et des Couilles en or qui à coups de leur religion du Livre (
Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, DSM) vous rendre les masses de gens normaux totalement « bien ou anormaux » pour en faire de parfait consommateurs à « ZÉRO DÉFAUT ». Nous là encore dans l’évolutionnisme à la Yahviste et leur «
Royaume de Dieu (juif) sur Terre ». Par contre, dans les années 1970, les antipsychiatres déclaraient que les fous étaient normaux. Aujourd’hui on ne soigne plus que les « normaux », c’est plus rentable, ils sont en plus grand nombre, on fabrique les maladies : place au quantitatif et dehors le qualitatif !
La folie révolutionnaire consiste à exiger l’impossible, c’est-à-dire l’infini dans le fini, le bonheur dans les contradictions de la vie mortelle, l’esprit dans la matière et le divin dans l’humain [d’où la confusion actuelle entre général et universel, qualitatif et quantitatif]. Exactement ce même impossible que la grâce nous donne. Car « ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu »... (Gustave Thibon).
Les textes antiques et notamment de l’Égypte ancienne appelés
Les Sagesses (genres littéraires dans les civilisations de l’Orient ancien, y compris l’Ancien Testament) sont l’instrument de l’éducation à deux tranchants : elle rogne en même temps les griffes de la brute et les ailes de l’ange ou innocence.
Tout ce que le monde (judéo-chrétien-musulman-maçonnique) appelle BIEN ou MAL, pur et impur, péché et vertu, « est une effroyable machine à broyer l’innocence », écrit G. Thibon (voir plus haut à propos de la vie intra-utérine). Bien et mal divisent et pourrissent par des masques, des travaux du chapeau pour choisir, du calcul, des demi-mesures, du confort de la prudence et des remords ; tous masques créés pour biaiser l’Instant ou Soi. Si l’humain ne peut respirer qu’à travers les masques, c’est qu’il est encore dans l’ignorance de l’éternité.
À nouveau un passage chez les judéo-maçons spéculatifs et leur « morale ».
Le 33è degré maçonnique
Charles W. Leadbeater écrit dans son livre :
Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie. Il compare les mystères d’Égypte à une forme pyramidale, si décrié de nos jours à cause du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place progressivement (mondialisme, mot issu de 1949), et à l’édification du temple du roi Salomon, « les deux structures devant être représentatives des processus de construction à l’œuvre dans la nature (sic) » (mais
voyez ce qu’il se passe avec le SAPIN)…
Sa conception du mot
‘moral’ me paraît fausse : « Les cérémonies des mystères étaient également destinées à représenter l’évolution supérieure de l’homme, son retour vers l’origine divine dont il procéda, grâce au développement de sa partie naturelle supérieure (sic) - laquelle ne résulte pas uniquement de pratiques méditatives et cérémoniales, mais plus encore d’une vie respectant les préceptes moraux qui furent enseignés.
Beaucoup de contemporains s’imaginent que nous connaissons les vérités morales sans qu’elle aient été enseignées - mais il n’en est pas ainsi. Si elle nous sembles à présent tout à fait naturelles, il s’agissait à une époque reculée de découvertes ou de révélations similaire aux progrès successifs des sciences et des inventions matérielles... » Leadbeater divise science et matérialisme, et est en train d’exprimer son opinion sur la morale des francs-maçons, tout simplement ! Mais ce n’est QUE la morale des francs-maçons. Leadbeater accentue d’ailleurs son opinion quand il écrit : « Le plan d’ensemble de l’initiation offrait une carte complète de l’évolution spirituelle de l’homme, et pour le candidat (sic) individuel, il s’agissait de s’efforcer à mettre les enseignements en pratique et de rendre vrai dans sa propre conscience ce qui était symbolique dans le rituel ». Il s’agit simplement d’analogie, et le mot
‘candidat’ fait vraiment trop référence à l’école du franc-maçon Jules Ferry ! Comme si on pouvait être
‘candidat’ à la connaissance...
La morale franc-maçonnique dont parle Leadbeater n’est qu’une opinion, donc une « esthétique » du sentiment, nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes, des accidents dans l’espace-temps.
« La conscience sacrée [la vraie] EST [comme le Soi] quand les essences jugent des accidents. Inversement, la conscience profane [le soi, l’ego] EST quand on prétend déduire des accidents la nature des essences, et ce mode de conscience peut conduire, soit à l’agnosticisme [le non croyant], soit à des attitudes religieuses appuyées sur les seules perceptions et appétits sentimentaux et sociaux, donc tributaires de la Terre et de formes d’éducation pour ce qui en décide dans les processus mentaux et psychiques », écrit si lucidement Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux.
MORAL et MORALE : 1270, du latin
moralis, de
mores « mœurs ». Qui concerne les mœurs, les habitudes et surtout les règles de conduite admises et pratiquées dans une société, explique le dictionnaire
Le Robert.
Moral va avec le mot
‘civilisé’. Civiliser veut dire couper de quelque chose : rendre sociable, poli, etc. c’est-à-dire des choses communes, comme une pensée unique. Aussi la ou le dévergondé, ou privé de ses gonds, sort-il de la société et de sa morale et de ses lois humaines à caractère matérialiste, fussent-elles pondues par la dite morale, la dite religion ou même le dit bon-sens relatif aux réalités apparentes, donc seulement dans le monde des accidents ou du spatio-temporel. Donc le franc-maçon ne peut pas détenir la « véritable morale », tout comme la « vérité vraie », malgré toutes initiations et toutes les origines dans lesquelles il pourra se vautrer. Cette franc-maçonnerie qui prétend aussi se vautrer dans la laïcité et la liberté mais ne patauge que dans la boue.
Cette morale superficielle « courante » ne tenant aucun compte des mobiles intimes de nos acte et qui ne s’intéresse qu’aux apparences du clinquant juif. La vraie morale ressemble à cette Loi attribuée aux
Alains,
Burgondes et
Suèves :
« Mes droits sont à mon libre arbitre », et illustrée par cette phrase attribuée à Jeanne d’Arc : « Filer et coudre, toutes les femmes peuvent le faire, mais ce que j’ai fait, moi seule pouvait le faire ». Jeanne en un sens a réalisée le Soi.
La devise des Alains ou Loi ou Morale naturelle se retrouve dans ce récit de
Jagadish Chandra Bose, qui écrivait à la fin de sa vie :
« Aucune nounou n’aurait été plus douce que le chef de bande de hors-la-loi qui s’occupait de lui. Bien qu’il n’eût que railleries pour les contraintes judiciaires de la société, il respectait profondément la loi MORALE NATURELLE ». (Source sur Bose :
La vie secrète des plantes, de P. Tompkins et C. Bird)
Complément à propos de Bose : « Son père qui ne voulait pas que son fils fréquente une école anglaise où on lui aurait inculqué les traditions occidentales l’envoya simplement à l’école du village, ou
pahtasala. A l’âge de quatre ans, il s’y rendait juché sur les épaules d’un brigand repenti, un «
dacoït », qui après un long séjour en prison n’avait trouvé de travail qu’auprès du père de l’enfant. C’est ainsi que l’écolier fut nourri de récits de batailles et d’aventures sauvages et périlleuses, mais la bonté naturelle de cet homme qui avait trouvé l’amitié après avoir été rejeté comme criminel par la société ne manqua pas aussi de le marquer ».
Voir aussi
Jean Valjean qui est dans la même famille.
MORALITÉ : espèce de farce ou d’action théâtrale, dit le
Glossaire de
Du Cange, appuyant ainsi la superficialité de la morale terrestre judéo-maçonnique, donc uniquement de l’opinion sociale.
La morale républicaine :
« Si je me défie de la morale, ce n’est pas parce que les hommes la pratiquent (elle est nécessaire à son niveau) ; c’est parce qu’ils s’en contentent : parce qu’ils s’en servent comme d’une paravent [CONFORT] derrière lequel ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux - leur misérable satisfaction d’eux-mêmes [humanisme] et leur rage de juger les autres [OPINION] », écrit si justement Gustave Thibon, et qui illustre bien l’orgueil de ce « peuple élu » par son Yahvé et de sa franc-maçonnerie.
Aujourd’hui les Fils de Noé ne se cachent plus.
LE CONFORT-CONFORMISME DES JUIFS : LE MESSIANISME, sa croyance : une forme de carotte, attendre en s’éloignant de l’Instant, avec cette finalité essentielle qui consiste à tout attendre du messie, de Celui qui est tout (le Dieu monothéiste).
Le messianisme est dans la ligne droite de l’évolutionnisme des Freud-Marx-Darwin : FIXER en NORMES, alors que l’être humain EST INFINI, il n’a pas de limites, « il peut, suivant qu’il ouvre ou qu’il ferme la porte à Dieu, se dilater jusqu’à l’infini ou se rétrécir jusqu’au néant », écrit Thibon.
Juifs et franc-maçons sont des FIXISTES, alors que le Soi ou Instant est là de toute éternité. « Celui qui le cherche à travers ses plus terrestres désirs et sa plus lourde misère le trahit moins que celui qui croit le trouver dans sa plus haute pensée et sa suprême vertu [voir Icare] », écrit Thibon.
Aujourd’hui que tout est inversé et faussé dans le Nouvel Ordre Mondial en marche : « Le désordre et la folie étant installés au pouvoir et dans les mœurs et devenus l’objet d’un nouveau conformisme [confort] et conformisme de la révolution en politique avec sa religion républicaine, son péché en morale, son néant et son philosophisme absurde, les amants de l’ordre et de la raison se trouvent nécessairement rejetés dans le camp des révoltés [terroristes, délinquants]. Quels privilèges de pouvoir unir dans le même élan l’anticonformisme et le bon sens ! » (D’après G. Thibon).