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On a tout essayé… sauf l’essentiel Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 08-03-2015 22:28

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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On a tout essayé… sauf l’essentiel
QUI SUIS-JE ?
 
 
L’ESSENTIEL : Il serait temps d’être un être humain, et non plus un humain parmi d’autres avec une « carte d’identité », un numéro de « sécurité sociale » ! Être une Père-sonne afin de, enfin, transcender le dilemme multi-millénaires individualisme-collectivisme. Être une Père-Sonne ou ondulation rayonnante : JE SUIS (le Père-ce-voir, connaissance de soi ou ego). Rien à attendre de l’étatisme, on ne peut que compter SUR SOI (sur le Soi-Instant), car le social à présent ce n’est que l’étatisme préparant à la démission de la Père-sonne à l’avènement prochain des régimes totalitaires ou mondialisme ; on parle d’ailleurs de « sécurité sociale », pure démission de la Père-sonne.
Là où règne l’étatisme, aussi bien monarchique que républicain, « Bientôt la houlette devient règle de fer et les bergers se changent en loups », pour employer l’expression de Carl Gustav Jung.
 
Guérir l’être humain, c’est guérir la planète ou Création qui gémit sous le poids de la religion du Saint Fric. Et guérir la Création c’est guérir l’être humain. Il n’est pas possible de rester dans cette laïcité criminelle, dans cette dualité en faisant du spirituel et du temporel, du spirituel jouxté à la vraie science et du temporel ; on ne peut pas séparer le sacré et le profane. Il ne peut y avoir qu’UNE vérité qui transcende à la fois le personnel et le collectif. C’est cela la Vraie civilisation ou vrai vivre ensemble. Le reste n’est qu’opinion et dictature et catastrophe à venir.

Depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, les humains ont tout essayé, principalement l’étatisme, sous forme de : monarchie, dictature ou tyrannie, le totalitarisme, le communisme-socialisme, la république ou démocratie en forme de nouvelle religion jouxtée de laïcité. Mais tous ces systèmes sont EXTÉRIEURS et n’ont jamais rien résolu.

De nos jours c’est dramatique parce que tout est réduit au politique mélangé intimement à la religion du Saint Fric. Une vie réduite au politique, une vie d’expédients et de combinaisons de toutes sortes à n’en plus finir et sans résultat. Tout devient relatif, car dans ces conditions il n’y a que l’empirisme qui compte ; un empirisme qui ne connaît pas de principe essentiel, fondé sur les valeurs qui tirent leur origine d’un absolu, qui n’est certainement pas ce que certains qualifient de « république universelle » (cette nouvelle religion mondialiste qui prend la partie pour le tout : il ne reste alors qu’un « existentialisme » social, dépourvu de toute racine vitale ; en un mot : un fantôme social).
Le fantôme social c’est le libéralisme, à la fameuse devise : « Laissez faire laissez passer ! » (laissez circuler le fric !), le « Circulez y’a rien à voir ! » des services d’ordres (du désordre).
Analogiquement une telle société rappelle celle de l’individu réduit à sa seule capacité de savoir, sans contact avec la capacité d’aimer, car s’A-voir est opposé à la connaissance !
La politique dans ce monde tremble sur ses bases pourries accompagnée de cataclysmes sociaux.
Cataclysmes sociaux car croissance continuelle de la prévoyance étatisante qui rend les humains comme des moutons, des robots. De plus cette « croissance sociale » permet à des gens irresponsables, des meneurs, d’exploiter des êtres humains très capables.
« L’homme privé de ses racines nourricières de ses instincts, devient la proie des vents. Il n’est plus qu’un animal malade, démoralisé et dégénéré, et ce n’est qu’à travers une catastrophe qu’il a une chance de recouvre la santé », écrit Jung. Comprendre le mot « instincts » par le sens de l’ordre essentiel de la nature humaine (le Soi).

Un tremblement social fut la révolution des Juifs bolcheviques en Russie en 1917 : soit la mort du social ! Un comble dans la hiérarchie des valeurs d’une société humaine !
En fait, sur quoi repose la fameuse « démocratie » populaire et sa « république universelle » ? Mais à la base sur LA TERREUR : 1789 et 1917 principalement, et pire, en une forme de « musique » à venir entrainante à la Isaac Dunaïewski !

Le « social » maintenant c’est la « religion de l’humanité », ce que certains appellent « humanisme », ce qui n’est pas étonnant tant l’être humain est un Homo religiosus. mais l’humanisme ou ces religions de l’homme et de l’humanité nommées « démocratie » et « république » sont des singeries du divin, comme la laïcité en France débarrassée des vestiges du christianisme… L’humanisme c’est simplement la religion de l’homme, avec la vocation messianique du prolétariat, l’immaculée conception du peuple élu, la philosophie matérialiste de l’histoire et de la création de l’homme par lui-même…

L’étatisme fonde son activité sur la « justice », alors que l’Église fonde la sienne sur la charité.
Ensuite l’étatisme avec sa mode de la « liberté d’expression » bien dans la tradition des perruques poudrées du siècle « des lumières » ne peut jamais couper le cordon entre l’opinion qu’il exige en dogme, et la vie. Pour le pouvoir de l’étatisme, l’acte de penser, de la « raison », est le sommet ultime des manifestations de la vie : « Cogito ergo sum ».


On a tout essayé… sauf l’essentiel…
QUI SUIS-JE ?
SOIT LE CHRESTOS :
la forme primitive gnostique pour Christ. Elle était utilisée au cinquième siècle avant J.C. par Eschyle, Hérodote et autres. Les Manteumata pythochresta, ou les "oracles rendus par un dieu pythique" grâce à une pythonisse sont mentionnés par le premier (Choeph. 901). Chrésterion n'est pas seulement "le siège d'un oracle", mais une offrande à un oracle ou préparée pour lui. Chréstés est celui qui explique les oracles, "un prophète et un devin", et Chrésterios, celui qui sert un oracle ou un dieu. Le plus ancien écrivain chrétien, Justin Martyr, dans sa première Apologie appelle ses coreligionnaires Chréstiens. "Ce n'est que par ignorance", écrit Lactance (livre IV, chap. VII), "que les hommes s'appellent Christiens (1) au lieu de Chréstiens". Les termes Christ et Christiens écrits, à l'origine, Chrést et Chréstiens, ont été empruntés au vocabulaire en usage dans les Temples des Païens. Chréstos, dans ce vocabulaire, désignait un disciple en probation, un candidat hiérophante. Lorsqu'il en avait atteint la stature par l'initiation, de longues épreuves et la souffrance, et qu'il avait été "oint" (c'est-à-dire, "frotté d'huile", comme l'étaient les Initiés et mêmes les idoles des dieux, en tant que dernière touche de l'observance rituelle), son nom était changé en Christos, le "Purifié", en langage ésotérique ou langage des mystères.

A dire vrai, en symbologie mystique, Christés, ou Christos, signifiait que la "Voie" (le Sentier) était déjà foulée et le but atteint, quand les fruits du dur labeur, unissant l'éphémère personnalité d'argile à l'indestructible individualité, la transformait par là en un immortel EGO [ou SOI]. "A la fin de la Voie se trouve le Chréstés, le Purificateur, et une fois l'union accomplie, le Chrestos, l' "homme de douleur" devenait Christos lui-même. Paul, l'Initié, le savait, et c'est exactement ce qu'il voulait dire, quand on lui fait dire dans une mauvaise traduction : "Je suis en gésine de nouveau jusqu'à ce que Christ soit formé en vous" (Galat. iv. 19), dont le sens juste est... « jusqu'à ce que vous formiez le Christos en vous ». Mais le profane qui savait seulement que Chréstos était en quelque sorte lié au prêtre et au prophète, et ne savait rien du sens caché de Christos, insistait, comme Lactance et Justin Martyr, pour être appelé Chréstien au lieu de Christien. Tout individu bon peut donc trouver Christ en son "homme intérieur" comme l'exprime Paul (Ephés. Juif, Musulman, Hindou, ou Christien. Kenneth Mackenzie semblait croire que le mot Chréstos était synonyme de Soter, "appellation réservée aux divinités, aux grands rois et aux héros", voulant dire "Sauveur", – et il voyait juste. Car, ainsi qu'il l'ajoute : "Cela fut appliqué d'une manière redondante à Jésus-Christ, dont le nom Jésus ou Joshua a la même interprétation. En fait, le nom Jésus est plutôt un titre honorifique qu'un nom – le nom véritable du Sauveur du Christianisme étant Emmanuel ou Dieu avec nous (Matthieu, I, 23.)... De grandes divinités parmi toutes les nations, que l'on représente comme expiatoires ou auto-sacrificatoires, ont été désignées par le même titre" (Royal Masonic Cyclopoedia). L'Asclepios (ou Esculape) des Grecs avait le titre de Soter. (Référence : Glossaire théosophique, de H.P. Blavatsky)

CHRIST = SOI-INSTANT ou NOTRE ÉTAT NATUREL.


Note.
1. Le français moderne ne permet pas de faire la distinction entre Chréstiens et Christiens. Pour que le texte de l’auteur [de l’article dans le Glossaire théosophique] soit intelligible nous avons dû conserver, en en francisant la terminaison, les termes anglais employés par Madame Blavatsky. (N. du T.)
 
 

Dernière mise à jour : 08-03-2015 22:52

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