Peuple élu déclare la guerre à l’Allemagne
Peuple élu déclare la guerre à la Palestine
Peuple élu errant et sionistre
Peuple élu invente l’histoire 

 

 

Les nations Unies : « être au service de la paix dans le monde » ??? Et bien mes cocos c’est très mal parti ! Car la « paix » chez ces gens là est synonyme de dictature, de soumission, de pensée unique mondialisée au service des Couilles en Or ou finance internationale (le système des gens aux gros cigares et aux grosses commissions).

 

Liste des attaquants et déclaration de guerre contre  l’Allemagne :
-  Coup d’envoi de la seconde guerre mondiale : le 24 mars 1933 : le Daily écrit en première page :
Judea declares war on Germany - Jews of all the word in action. Une déclaration de guerre visant l’Allemagne entière, et pas les simples Nazis.
- 1er septembre 1939 : la Pologne déclare la guerre à l’Allemagne.
- 3 septembre 1939 : la Grande-Bretagne déclare la guerre à l’Allemagne.
- 3 septembre 1939 : l’Australie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 3 septembre : la Nouvelle-Zélande déclare la guerre à l’Allemagne.
- 3 septembre 1939 : la France déclare la guerre à l’Allemagne.
- 6 septembre 1939 : L’Union d’Afrique du Sud déclare la guerre à l’Allemagne.
- 10 septembre 1939 : le Canada déclare la guerre à l’Allemagne.
- 9 avril 1940 : la Norvège déclare la guerre à l’Allemagne.
- 9 avril 1940 : le Danemark déclare la guerre à l’Allemagne.
- 10 mai 1940 : les Pays-Bas déclare la guerre à l’Allemagne.
- 10 mai 1940 : la Belgique déclare la guerre à l’Allemagne.
- 10 mai 1940 : le Luxembourg déclare la guerre à l’Allemagne.
- 6 avril 1941 : la Yougoslavie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 6 avril 1941 : la Grèce déclare la guerre à l’Allemagne.
22 juin 1941 : l’URSS déclare la guerre à l’Allemagne.
- 9 décembre 1941 : la Chine déclare la guerre à l’Allemagne.
- 9 décembre 1941 : la France (Comité de De Gaulle) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 11 décembre 1941 : les États-Unis (après déclaration de guerre allemande) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 11 décembre 1941 : Cuba déclare la guerre à l’Allemagne.
- 11 décembre 1941 : la République dominicaine déclare la guerre à l’Allemagne.
- 11 décembre 1941 : Le Guatemala déclare la guerre à l’Allemagne.
- 11 décembre 1941 : le Nicaragua déclare la guerre à l’Allemagne.
- 11 décembre 1941 : Haïti déclare la guerre à l’Allemagne.
- 12 décembre 1941 : le Honduras déclare la guerre à l’Allemagne.
- 26 décembre 1941 : le Salvador déclare la guerre à l’Allemagne.
- 17 décembre 1941 : la Tchécoslovaquie (gouvernement en exil rétroactif à partir du 15 mars 1939) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 19 janvier 1942 : le Panama déclare la guerre à l’Allemagne.
- 22 mai 1942 : le Mexique déclare la guerre à l’Allemagne.
- 30 août 1942 : le Brésil déclare la guerre à l’Allemagne.
- 1er décembre 1942 : l’Éthiopie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 16 janvier 1943 : la Bolivie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 9 septembre 1943 : l’Iran déclare la guerre à l’Allemagne.
- 13 octobre 1943 : l’Italie (gouvernement de Badoglio) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 27 novembre 1943 : la Colombie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 27 janvier 1944 : le Libéria déclare la guerre à l’Allemagne.
- 21 août 1944 : la Roumanie (après la chute d’Antonescus) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 8 septembre 1944 : la Bulgarie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 31 décembre 1944 : la Hongrie (l’opposition) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 2 février 1945 : l’Équateur déclare la guerre à l’Allemagne.
- 8 février 1945 : le Paraguay déclare la guerre à l’Allemagne.
- 15 février 1945 : l’Uruguay déclare la guerre à l’Allemagne.
- 16 février 1945 : l’Uruguay déclare la guerre à l’Allemagne.
- 16 février 1945 : le Vénézuela déclare la guerre à l’Allemagne.
- 26 février 1945 : la Syrie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 27 février 1945 : le Liban déclare la guerre à l’Allemagne.
- 28 février 1945 : l’Arabie Saoudite déclare la guerre à l’Allemagne.
- 1er mars 1945 : la Turquie déclare la guerre à l’Allemagne.
- 3 mars 1945 : la Finlande (rétroactif à partir du 15 septembre 1944) déclare la guerre à l’Allemagne.
- 27 mars 1945 : l’Argentine déclare la guerre à l’Allemagne.
Soit 53 pays. Une première dans l’histoire humaine des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture !!! Dans les années quarante il n’y avait qu’une soixantaine de pays dans le monde.
(En référence de la vidéo en fin d’article, qui précise aussi que l’Allemagne depuis le 9 mai 1945 est toujours un pays occupé : l’Allemagne n’est pas un pays souverain, c’est inscrit dans la constitution de 1949, où le mot clé est « la paix », donc l’Allemagne n’a qu’a fermer sa gueule !!!)

SIONISME : de la montagne de Sion à Jérusalem, sorte de « Temple » symbolique façon judéo-maçonnerie spéculative.
La montagne est par excellence un symbole maçonnique : un triangle pointe en haut comme sur le billet de un dollar avec au sommet l’œil qui voit tout (maintenant comprendre : Big Brother). Parce qu’au sommet de la montagne il se trouve parfois des êtres redoutables qui défendent l’approche du sommet (comme dans la tradition de la Taoïcité, qui énonce aussi que les Immortels ou Bienheureux vivent aussi au sommet de la montagne : l’ascension genre ‘Montée du Carmel’, le salut… ).
Dans la Chrétienté nous avons « Le Sermon sur la Montagne » (Matthieu 5 ,1), l’ascension sur le mot des Oliviers (Luc 24, 50 ; Actes 1, 12), etc.
La montagne figure le nombril et centre du monde. Elle participe du symbolisme de la transcendance : elle est la passerelle entre le Ciel et la Terre (elle touche les nuages).
Tous les pays, tous les peuples ont leur montagne sacrée.
La montagne exprime la stabilité, la durée, parfois la pureté (à cause de « l’air pur »).
Donc le sionisme ne peut pas avoir le copyright de la montagne !


Toutes la merde actuelle, qui est d’essence totalement religieuse, provient ici en Occident en partie des Hébreux et de leur Ancien Testament. « Naissance du mental » sous forme de « Dieu donnant à Adam et Eve le pouvoir créatif », donc toutes créations futures doivent découler de la même Origine (Père-Fils sont UN en « deux faces » du même symbole).
Le pouvoir est dangereux lorsqu’il s’exprime dans le monde spatio-temporel, il se nommera « liberté » (libéralisme dans l’après 1789), ou « paix », car entraînant la jouissance de l’œuvre créationnelle, ce qu’on nomme aujourd’hui « modernité, croissance, progrès », illustré par la symbolique du fruit défendu et le Serpent.
Dans la symbolique du Fruit défendu et du Serpent, il y a source du Reflet (étincelle) ou Fils ; illustré aussi dans l’Arbre de Vie symbolisant la Vie transcendante s’incarnant dans le monde spatio-temporel.
L’Arbre de Vie représente aussi l’Ouroboros : Haut et Bas ou Début et Fin sont identiques : Connaissance et Union « Racines-Cime » qui fera que la Terre-Mère retrouvera le Ciel-Père et par le renversement de ses racines, l’Arbre de Vie prendra alors sa nourriture, au Ciel-Père.

Le Serpent de l’Arbre est la Vibration divine latente : chercher le QUI SUIS-JE ? Le Serpent assoupi représente le Mouvement en puissance de l’Arbre de Vie, et donc de l’être dans l’éveil de son énergie, mais il allait devenir le « méchant Serpent qui donne la mort », et le « Fruit défendu » allait devenir véreux (sens de tare), un ver ou larve qui attend de devenir papillon… Alors la Création se poursuivra depuis un nouveau Point d’origine qui va s’établir, et d’où partira la formation de ce monde qui n’aura plus son repère ou Point d’Origine mais prend sa source dans le REFLET ou FILS devenu « libre », un libre-arbitre que chaque ego possède depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, et qui est totalement détruit en cette tyrannie de l’opinion depuis son apogée et maturité en 1789. Une tyrannie de l’opinion véritablement FAILLE ou CHUTE : péché à l’égard du Monde originel, qui va donner naissance à l’évolutionnisme, obligeant sans cesse au mythe de l’éternel retour : retrouver l’Origine (thème partiel de la série des romans ‘Fondations’ de Isaac Asimov où en l’an 22.000 les peuples cherchent l’emplacement de la Terre).

Le « plan de rachat » symbolisé par Jésus de Nazareth illustre le mythe de l’éternel retour décrit par Mircea Eliade, une plan à l’échelle universelle contenu dans un seul mot : AMOUR. C’est l’illustration de la phrase chère à Jean Coulonval : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (phrase d’après le Mathnawî, de Djalâl od-Dîn Rûmî). Par conséquence le principe de la tabula rasa n’existe pas (d’ailleurs un principe qui pue le marxisme… ou en a inspiré Karl Marx… )

Le « plan de rachat » est comme la STARGATE ou POINT FOCAL : Putréfaction ou Mort nécessaire à la régénération de l’humain et de l’humanité. La Nature est rythmique et cyclique (en « pointillée »), car dès qu’il y a une naissance, il y a ensuite une mort, car la vie use (monde des accidents), alors pour reprendre de la vigueur, l’être doit être réintégré dans l’Unité Primordiale (Point Focal) dont il est issue (par où il est passé). En d’autres termes : retour au Saint Chaos ou l’Âge d’Or de tous les possibles, l’Eau Primordiale (baptême, Atlantide, Déluge, etc.). Le Saint Chaos où tout recommence comme « propre et neuf » parce qu’il n’y a pas encore de temps ou Chronologie tueuse (l’Histoire qui se déroule… ). Le Saint Chaos ou période de l’ÊTRE (sans temps).
La perte de l’ÂGE D’OR provient soit d’une faute rituel ou plutôt du développement de l’opinion ou du mental, soit d’une intervention extérieure : extraterrestres (« Dieux ») décidant « d’organiser » les humains qui existaient déjà sur Terre, leur enlevant les gigantesques possibilités de l’Âge d’Or. Ainsi on ne reculait plus, la Chronologie tueuse naissait (Kronos) et par là même l’histoire. Cette nouvelle origine allait dès lors s’appliquer à tous les descendants, y compris altérer les continents, les océans, les montagnes furent distribués différemment dans l’espace terrestre jusqu’à l’arrangement du système solaire. De cette nouvelle organisation c’en était fini de la merveilleuse fantaisie ; désormais, place aux lois, normes (ordre mondial) et rites et coutumes à n’en plus finir, comme nous le vivons en ce moment (ordre mondial).

Comme écrit plus haut, la tabula rasa ça n’existe pas, de même que la disparition de l’Âge d’Or : il est toujours là, en dessous en dessus, tout autour de l’espace-temps géométrisé et normalisé (historique). Les tentatives de libération par drogues hallucinogène (LSD, Mescaline, Iboga, etc.) prouvent que l’Âge d’Or est toujours présent ; tout comme les expériences pathologique : syndromes confuso-oniriques, bouffées délirantes polymorphes, schizophrénie ; ou simplement par nos rêves et nos phantasmes !
La perte apparente de l’Âge d’Or se retrouve dans le passage des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture : sociétés agricoles et marchandes et formation des cités. Le domaine de l’imaginaire était pratiquement tué. Et cela perturba l’ensemble du globe : peu à peu les Élémentals abandonnent les bois et forêts, les sources, les rivières, les animaux, les plantes, comme aussi l’air, les planètes, tous les éléments qui se symbolisent dans la perception rationnelle du monde. L’imaginaire des Cieux (Ouranien) et l’imaginaire chthonien (terrestre et souterrain) va se loger dans des repères imaginaires (le mental, l’opinion) symbolisés par l’Olympe, le Ciel ; la Terre et les Enfers. Grâce au mental, on entre dans l’histoire, dans les représentations totalement créées, de manière toute relative, à partir d’objets « réels » sur lesquels il avait tout d’abord, apparemment, pris naissance.


La CHUTE ou HISTOIRE provoquée par le mental va nous donner LA TYRANNIE DE L’OPINION (la raison portée à son paroxysme au 18è siècle français) : forme de l’athéisme, transformé plus ou moins en laïcité à la française (une pochette surprise où l’opinion y met tout et n’importe quoi). Car avec l’Internet, quel besoin de jeter de l’huile sur le feu de la division, de se proclamer pour ou contre telle ou telle chose, comme de se proclamer « Charlie » ou autre symbolisme de pensées uniques de républicanisme ? Cette dualité ne génère que des polémiques, des violences sans fin. Une dualité d’ailleurs hérité de l’ergoteur en chef : Aristote !!!

L’histoire est LA grande composante du mental hébreux : pour la première fois, d’Elie à Jérémie, des événements historiques prenaient une signification religieuse : l’opinion devenait religion, c’est-à-dire ces événements apparaissaient comme des punitions infligées par le « Seigneur » en échange des impiétés d’Israël ! Grâce aux prophètes et à leur opinion rigoureuse, des événements se transformaient en « théophanies » négatives (un grégarisme négatif) symbolisé par « la colère de Yahvé » : un grégarisme ayant nom « volonté divine ». Ainsi, pour la première fois les prophètes, valorisent l’histoire, et inventent une forme d’évolutionnisme en géométrie de la ligne droite et contraire aux cycles, puisque en forme de Chronologie « tueuse ». Les événements historiques deviennent des événements EN EUX-MÊMES, dans la mesure où ils sont déterminés par « la volonté de Dieu », donc par l’opinion d’une seule ou de plusieurs personnes !!! Une opinion, un grégarisme devenant une personne : Yahvé, qui tel un roi intervient sans cesse dans l’histoire, qui révèle son opinion politique dans les batailles, invasions, sièges, catastrophes, etc. Les « faits historiques » ou opinions deviennent ainsi des « situations » de l’humain en face de Dieu (en face de lui-même) et comme tels, ils acquièrent une valeur que rien jusque-là ne pouvait leur assurer.
Ainsi les Hébreux sont les premiers à découvrir à donner un sens à l’histoire accolée à l’opinion d’un Dieu unique, et cette conception sera reprise et amplifiée par le christianisme et l’Église de Rome (le vrai sens du Christ n’ayant rien à voir avec cette invention de l’histoire ou évolutionnisme qui nous infecte encore aujourd’hui et de plus en plus).

Un bel exemple de l’invention de l’histoire, est celui en France de la prise de la Bastille : elle a été effectivement prise et détruite, selon ce que peuvent nous en traduire les chroniques et reproductions de tableaux de l’époque, mais est devenu une « valeur républicaine », une chose sacralisé par ce républicanisme. Il en est de même des drames de la seconde guerre mondiale, etc. Bien-sûr la plus belle histoire c’est l’invention de « peuple juif » (et de « nation juive ») qui serait « chez lui » dans n’importe quelle nation. Une opinion diabolique, parce que c’est aux dépends des autres peuples, c’est du parasitisme ! Ne pas oublier que les HÉBREUX INVENTENT L’HISTOIRE.


Nous avons bien comme DEUX TEMPS :
- Le temps mythique ou ÂGE D’OR en une géométrie en PARALLÈLE (rayonnement uniquement en profondeur comme vu par le Point Focal où tout COÏNCIDE, TOUT EST SYNCHRONE et avait été révélé À CET INSTANT, IN ILLO TEMPORE, jusqu’à la création de l’humain et sa situation dans le Cosmos : il était à l’Origine UN TOUT, UN ÊTRE.
- Dans le monothéisme on arrive à un temps en géométrie de la ligne droite : que dans un seul sens, pas de possibilité d’aller « dans le temps » d’avant en arrière. Nous sommes dans la « durée historique » : Moïse reçoit la « loi » à un certain « endroit » et à une certaine date, on est plein pot dans la Chronologie tueuse. Évidemment il intervient aussi des archétypes (principes), dans le sens où ces événements, déclarés exemplaires, seront répétés, mais ils ne le seront que lorsque les « temps seront accomplis » (évolution avec « au bout la fin des temps »), c’est-à-dire avec un nouveau ILLUD TEMPUS. Par exemple, dans Isaïe 1, 15-16, les miracles du passage de la mer Rouge et du Jourdain se répéteront « ce jour-là ». Et la révélation faite à Moïse est « daté », et donc bien temporel ! Et comme elle est temporel ET représente en même temps une « valeur » ou théophanie, elle acquière un nouveau point d’origine ou départ d’une nouvelle dimension : ainsi on a l’invention d’une forme de TABULA RASA : on ne va plus que dans un seul sens, ce n’est plus réversible parce que c’est un événement historique. Alors on comprendra l’acharnement de l’étatisme républicain combattant le moindre révisionniste !!!
La « fin des temps » des Hébreux ou Yahvistes est une forme de Graal du temps : « le futur régénérera le temps » ! C’est-à-dire le lavera de ses saletés pour le remettre dans sa pureté originelle.
IN ILLO TEMPORE est comme l’Ouroboros : et au début et à la fin. On a bien Point Focal avec « dimension » en PARALLÈLE. C’est d’ailleurs assez curieux : Karl Marx place l’ÂGE D’OR à la « fin des temps » ou à la fin de l’histoire, EXCLUSIVEMENT, alors que cette « fin » est a-temporelle !!! Bref, Marx ne devait pas connaître le « Je suis ce JE SUIS » de Moïse ! Puisqu’il ne tient compte que du mental, du corps ou matière.

L’histoire c’est le temps qui coule, la tyrannie de l’opinion, et le monde de la souffrance ou accidents.

L’histoire ou évolutionnisme engendrant la peur et la souffrance, engendre ce qu’on appelle « modernité », un mot parfaitement dans l’évolutionnisme ! Ainsi plus l’humain devient « moderne » et plus il est dépourvu de défense devant les accidents et peurs de l’histoire. On le voit aujourd’hui avec les « devoirs de mémoire » de toutes sortes, et moins cet humain aura de chance de faire, LUI, cette histoire, car il est quasiment noyé, asphyxié dedans. car normalement l’histoire se fait naturellement : voir les conséquences des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture ; si l’histoire se fabrique artificiellement par une oligarchie ou une bande de meneurs, elle laissera ignorants les masses, comme c’est le cas aujourd’hui où nous n’avons pas la possibilité de faire nous-même l’histoire, c’est-à-dire de la créer. La liberté de l’humain moderne, même pour les meneurs comme les Couilles en Or leur échappe totalement.
L’humain moderne n’est ni libre ni créateur par rapport à l’humain ancien. L’humain des civilisations anciennes était libre et créatif : il pouvait annuler sa propre « histoire » comme remettre annuellement le « compteur à zéro » afin de régénérer toute la collectivité. L’humain moderne dit historique, dans la droite ligne de la géométrie de l’évolution, peut en aucun cas prétendre à la liberté de l’humain ancien. L’humain ancien retrouve la possibilité de transcender définitivement le temps et de vivre l’éternité. S’il « pèche », alors il tombe dans l’évolutionnisme », comme aujourd’hui !
Le temps continu et en évolution c’est la tyrannie de l’opinion ou mental. Si on ne mesure pas le temps, il n’existe pas. Si on le mesure, alors on tombe dans la DURÉE, et donc dans l’HISTOIRE, dans la NORME. D’ailleurs, pour les Chrétiens le temps est « réel », parce qu’il a un « sens », donc une norme, et qu’au bout il se trouve la carotte nommée « Rédemption », le début étant la Chute d’Adam… L’invention de l’incarnation est aussi un « fait historique » unique : un bonhomme « mort pour nos péchés », donc un parfait MARCHANDAGE qui n’est pas réitérable, qui puisse se reproduire à plusieurs reprises. Le déroulement de l’histoire est ainsi dans un seul sens, comme singulier, comme naissance d’un nouveau Point Focal.
Un joli sac de NŒUDS !

EN RÉSUMÉ : le judaïsme était pourtant bien parti avec la « remise au goût du jour » et propagation du « Je suis ce JE SUIS ». Dommage que l’introduction de l’opinion « peuple élu » a tout foutu par terre, surtout ensuite avec les Pharisiens et leurs normes, et qu’ensuite des prophètes du judaïsme se soit attaqué avec une rare violence aux Païens, et je ne parle même pas du sionisme qui étouffe et salope et assassine tout (un scandale mondial), y compris les Juifs d’aujourd’hui !
Voir aussi le documentaire : L'Oligarchie et le Sionisme (Israël)

Réaliser le Soi-Instant est identique à « réaliser le Christ en soi », ou : « Incarner Bethléem en vous ». « Le Royaume des Cieux est en vous » dit le Christ, ET SANS CONDITION (c’est important : pas de division pur-impur ou bon-méchant).
La pensée christique est universelle et est celle du TAO, de Ramana Maharshi, du « Je suis ce JE SUIS » réintroduit pas le Judaïsme, etc. TOUT EST LIÉ RIEN N’EST EN GÉOMÉTRIE DE LA LIGNE DROITE.
L’âme du Judaïsme est dirigé vers le « Je suis ce JE SUIS », et il n’est pas possible que cette même âme des Païens ne soit pas dirigé vers ce Centrum Centri. Alors, pourquoi cette violence et ces massacres envers les Païens, violence et horreurs que poursuivra le Christianisme ? Parce que l’accusation d’idolâtrie n’est pas une cause valable… Et qu’il n’y a pas plus idolâtres que certains Juifs actuels. Il y a là un des problèmes les plus importants de ce monde avec le dilemme collectivisme-individualisme.
Le problème des Hébreux, des Juifs aujourd’hui, est qu’ils ne peuvent pas revenir en arrière, ils sont coincés sur leur géométrie de la ligne droite en route vers leur « fin des temps ». Et c’est devenu critique de nos jours.

[En référence à : Mircea Eliade : Le mythe de l’éternel retour]