Qui dit Freudisme dit évolution, thermodynamique et Moïse, soit TOUT CE QUI FAIT DU BRUIT, QUI EXPLOSE.
Si Moïse a vraiment existé, et donc était un Réalisé ou Bienheureux, par
la suite LES YAHVISTES L’ONT TUÉ ! Ne serait-ce que par l’invention de
« peuple élu » et la persécution des Païens ; de plus Moïse nous a donné
un Freud, l’évolutionnisme et le marxisme !
D’autre part Freud est un raciste anti-chrétien, un fou : « Dissociation
du réel total au détriment de l’unité véritable de l’objet »
(
Chesterton et
Belloc). Le psychiatre Rudolf Allers
(1) déclare : « On
est obligé de conclure qu’un catholique doit se garder de contacts trop
directs avec les idées freudiennes. S’il est assez instruit à leur
sujet, il évitera ce contact par lui-même. S’il ne l’est pas, on devra
l’avertir ».
Le divan à l’horizontal du psychanalyste remplace le confessionnal en hauteur du prêtre.
Le freudisme est par essence anti-chrétien : « Si vous êtes catholique,
et si vous tenez à le rester, il vaudrait mieux cesser de venir ici »
(
Carl Gustav Jung à l’un de ses patients). « On croira au Christ, ou à
la Psychanalyse ». Donc Freud est même anti
Ramana Maharshi : pour Freud
la religion est une illusion : « les rites religieux sont des pratiques
de type obsessionnel, des névroses de groupes, qu’il faut remplacer par
le règne de la Science » (il devait pester contre ces Juifs qui se
prosternent d’avant en arrière effectivement de manière automatique
devant certains monuments, accréditant par là même leur parfaite
idolâtrie !)
« Tout homme, en un sens, est un névropathe virtuel ». (Rudolf Allers)
« Ceux qui souffrent psychiquement, ne sont pas nécessairement des malades, mais des êtres particulièrement sensibles, et par là même, en conflit avec la vie réelle ; une personne névrosée, sans être quelqu’un d’anormal, ressent à l’excès les difficultés de la vie ». (Ania Teillard, Le symbolisme du rêve).
Principes du freudisme ou l’anti Ramana Maharshi :
1 - L’homme est comme une machine : les mécanisme mentaux sont comme des réflexes (impulsions nerveuses genre décharges électriques), dont découlera les
Ivan Pavlov et
Vladimir Bechterew, et tout le moderne courant béhavioriste… qui ira jusqu’à nous donner la torture moderne et déguisée genre Guantanamo et beaucoup plus efficace que les anciennes tortures où « le sang coulait et les os craquaient » !
2 - Tous les processus sont de nature « énergétique », de là découle la charge affective envers un objet, comme le désir d’acheter un nouveau téléviseur plus « performant » ; de là aussi le moderne phénomène « psychosomatique » : transmutation d’un trouble psychique en trouble corporel, dont l’opinion prend la source dans la montée en puissance de la technologie tout au long du 19è siècle, surtout la dernière moitié.
3 - Évidemment selon le freudisme tous les phénomènes psychiques sont dans la dualité cause-effet (déterminisme évolutionnisme : pas de liberté, dictature d’ADAM modèle hébreux et de nos antécédents psycho-physio machins. Là encore on reste dans le matérialisme pur.
4 - Tous les phénomènes mentaux découleraient en dernière analyse d’un instinct (l’humain réduit à l’état de la bête, des pulsions).
INSTINCT : de 1495 : impulsion, du latin
instinctus (impulsion). Tendance innée puissante, commune à tous les êtres vivants, écrit le dict.
Le Robert.
Instinct proche de INSCIENCE : ignorance, de
inscicia, et
insence : folie, frénésie ; insensible : qui est hors de sens fol, frénétique (Gloss. Du Cange).
Pour les freudiens, l’instinct est comme un fluide, un courant électrique !
5 - Le grand principe : l’ÉVOLUTIONNISME ou HISTOIRE, le « développement » du mental humain selon la Chronologie tueuse ! Même peine chez Darwin avec le « sauvage » ou « primitif », voir quasiment la caricature de l’évolution du singe à l’humain actuel ! Même encore beaucoup de nos jours on parle de « mentalité archaïque », dans laquelle on classe évidemment les Peuples de certains coins d’Afrique et d’Australie. Certaines personnes traitent l’évolutionnisme freudien de
« sentimental ».
6 - Prolongement de l’évolutionnisme dans le mental : progression de l’idéation ou séquences d’associations d’idées ; soit le triomphe de la dualité qui est la base de la méthode de psychanalyse de Freud.
Pour le freudisme la seule façon de comprendre l’humain est génétique (procréation et hérédité), soit encore la dualité ici avec hiérarchie ou chronologie : réduction du supérieur à l’inférieur, de l’adulte à ses conflits infantiles, des valeurs morales ou esthétiques à une association au plaisir sexuel. Soit un « Meccano » genre morcellement en petits bouts de machins pour arriver au « socialisme » ou association à la mode au 19è siècle, en passant un peu avant vers
John Locke et l’empirisme anglais des 17-18è siècles.
Si les objets sont désiré, c’est la dualité pur-impur, ou posséder-rejeter qui est à l’œuvre, car les objets ne peuvent être que DANS le cerveau (voir Maharshi) : les objets ne sont pas désirables parce qu’ils ont une certaine valeur par leur nature propre, indépendamment de l’esprit humain, ils ont seulement une valeur parce qu’ils sont désirés par l’ego, le ‘je’ (solipsisme où seul le ‘je’ n’aurai de réalité que lui-même ; voir les entretiens de Ramana Maharshi à ce propos… ). Mais pour Freud, autrui, l’autre, ce n’est qu’un objet sexuel, intégré, pensé, conçu, désiré subjectivement en fonction de « mes » besoins et tendances ; le contraire de ce qu’explique R. Maharshi dans ses entretiens.
Le freudisme va donner naissance au phénomène de l’existentialisme à la Jean-Paul Sartre : la conscience n’est rien d’autre que le corps ; évidemment si on ne met pas de C majuscule à Conscience ! Le reste ne serait rien d’autre que le corps…
EN RÉSUMÉ : la psychanalyse n’est rien d’autre que du matérialisme. D’ailleurs je me souviens d’un psychiatre qui me disait :
« Monsieur, je ne soigne pas l’âme ! ».
Sigmund Freud est le matérialiste intégral, et évidemment logique ! Freud inspira certainement les transhumanistes des Kurzweil Google & Cie.
Au point de la vie tout court, le freudisme nous fourgue le plaisir, donc encore la dualité car pas de plaisir sans son contraire la douleur ! Ce qu’explique Ramana Maharshi dans ses entretiens. Selon le système de Freud, le mental est guidé par le plaisir : les jouissances sensibles, donc du corps ou du mental, c’est la même chose.
RAPPEL : pour faire du racisme, on peut écrire qu’un psychiatre classique c’est quelqu’un qui colle des étiquettes sur des malades, le reste devient secondaire. Inutile d’écrire que coller des étiquettes sur des maladies mentales sont typiquement des MODES en fonction de l’époque où se déroule la vie, et qu’en conséquence les classifications en matière de pathologie mentale varient considérablement d’une école médicale à l’autre, sauf dans le cas du Nouvel Ordre Mondial et son DSM (
Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) à numéro ! Une classification TOTALEMENT ARTIFICIELLE, DONC UNE PURE OPINION (comme le mentionne un J. Rogues de Fursac). Ensuite, à quoi ça avance de coller une étiquette sur quelqu’un, sinon principalement à engrosser les comptes en banques de l’industrie de Big Pharma !!!
LE FREUDISME C’EST EXPLIQUER LE HAUT PAR LE BAS ou L’OBSESSION QUI VEUT EXPLIQUER LE SUPÉRIEUR PAR L’INFÉRIEUR, comme d'ailleurs procède le marxisme. Nous sommes bien dans la Chute, dans la thermodynamique !
Dans le freudisme nous rencontrons la fameuse « résistance » et son compère « l’interprétation », des machins de la quincaillerie de « l’inconscient », en cheville avec le symbolisme (à la limite TOUT est symbole). Mais la relation, en quoi que ce soit, de signe à chose signifiée, de symbole à chose symbolisée, est non seulement dans le mental, et ne peut être réduite à la causalité ! Par exemple le drapeau d’une nation n’est pas la cause du drapeau ! Le sens d’un Hiéroglyphe n’est pas la cause de ce signe, et encore moins la cause de ce signe en tant que connu par nous. Certains rêves seraient conditionnés par un désir de ceci ou cela, ces désirs ayant été réprimés ou censuré et chercheraient à se manifester. « Mais le symbole ne symbolise pas le désir, il symbolise l’objet désiré. L’objet est le vrai sens du symbole ».
Le symbole comme relation causale est une opinion freudienne construite précisément pour rendre pensable l conception freudienne du symbole comme expression d’un désir…
En ce qui concerne la sexualité, avec le freudisme nous sommes à fond dans l’évolutionnisme : comme le « sauvage » et de drawinisme, la petite enfance, le pipi-caca-suçage-de-pouce avec évolution en forme de l’enfant passant à l’adulte est le fond de commerce du freudisme.
La sexualité n’est pas le moteur ultime de la personnalité humaine, puisqu’elle est lié au corps ou mental. Allers dit que la curiosité des enfants concernant al naissance relève, « en principe du même schéma que les questions posées sur ‘
les pommes de terre, la pluie ou l’électricité’, c’est-à-dire, pour l’enfant, fait le mystère du Cosmos ».
Le freudisme étant l’affectif, il donne dans le sentiment si cher aux Yahvistes de toutes obédiences, y compris dans le christianisme de l’Église de Rome (Cf. Jean Coulonval et
Synthèse et Temps Nouveaux). Un sentimentalisme ou IMPULSE (impulsions instinctives qui entraînent n’importe quelle foule). On est alors plein pot dans le BEHAVIORISME façon
William McDougall et son
’An introduction to social psychology’ où l’on tombe dans l’instinctologie moteur de toute la pensée humaine, qui découle directe de ce 19è siècle industrielle mécanisant à outrance l’humain.
La devise de Freud était :
« Flectere si nequeo superos, acheronta movebo » (Enéide VII 312). Freud ne pouvant pas toucher aux bases supérieures de l’humain, il se contenta d’en remuer les « sous-sols ». Il appuya surtout sur la manette des poussées instinctives sexuelles, qu’il baptisa pour la circonstance : LIBIDO (copyrighté en 1913, du latin
libido : désir).
[En référence à :
Un psychiatre philosophe - Rudolf Allers ou l’anti-Freud, par
Louis Jugnet]
Note.
1. Rudolf Allers était psychiatre et philosophe. Gustave Thibon connaissait bien l’œuvre d’Allers et l’appréciait grandement et y renvoie parfois son lecteur (notamment dans
‘Diagnostics’).
Rudolf Allers, né à Vienne en 1883, médecin de clinique à Prague, études classiques de psychiatrie avec
Emil Kraepelin, etc. Avec son doctorat de médecine il est docteur en philosophie scolastique. Gagné par les idées d’
Alfred Adler, il rompt avec icelui en 1927. Il quitte l’Autriche devant la montée de l’hitlérisme, et devient professeur de psychologie à la
Catholic University of America de Washington (
School of Philosophy), puis à la Georgetown University de la même ville. Il a quarante années d’études psychiatriques, et trente ans de pratique psychothérapique.