Qu’est-ce que c’est la « paix » et la liberté pour cette oligarchie ? C’est le business, faire du fric avec n’importe quoi, et ces Couilles en Or appellent ça « liberté ». Il vont même jusqu’à breveter du vivant pour se faire du fric. Nous appartenons à ces Couilles en Or, nous sommes leur PROPRIÉTÉ, l’humanité est leur propriété.

De nos jours nous n’avons que des pourvoyeurs de « la paix », de la SDN à l’ONU et autres bricoles démocratiques de judéo-maçonnerie spéculative anglo-saxonne. Or la Vraie Paix (Réalisation) est absence de dualité, soit NOTRE ÉTAT NATUREL (mais ne pas se méprendre en croyant qu’on y arrive naturellement et confortablement « par le sang de la mère » !). La seule Vraie Paix est notre état naturel ; sinon on confond le Soi et le non-Soi et on parle d’oubli du Soi, d’oubli de la Paix, etc. La Paix ou Instant est toujours là : « Mais vous la réprimez en vous élevant au-dessus d’elle et ainsi vous la troublez. Après vous dites : Je désire la Paix » (réf. Ramana Maharshi, entr. 290). Ainsi nul besoin de la quincaillerie démocratique du Nouvel Ordre Mondial !

CE QUI CONDUIT À LA PAIX EST LA RÉALISATION DE LA PIERRE PHILOSOPHALE, SOIT LA PLUS GRANDE PERFECTION (siddhi).

« Le pouvoir qui vous a créé a aussi créé le monde. Si ce pouvoir peut prendre soin de vous, il peut tout aussi bien prendre soin du monde…
Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est ce qui est naturel. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu » (Ramana Maharshi, entretien 20).

Ces commerçants de leur « paix » y associent généralement le mot « universel », en faisant ainsi un Dieu.
Il faut être anglais ou américain, être noble, être riche et bourré de réseaux pour être vendeur de « paix ». Un de ces vendeur fut Robert Arthur Talbot Gascoyne-Cecil, un noble niveau marquis et bien-sûr hyper médaillé.

 

 

Méthode commerciale de Cecil :
- Infiltrer sur tous les fronts :
politique, l’éducation, le journalisme ou média.
- Recrutement d’hommes « capable » et les envoyer au bloc de Cecil par des alliances matrimoniales et par la reconnaissance avec des titres de noblesse et des positions de pouvoir (soit tout ce que le républicanisme reprochait à l’Ancien Régime !)
- Influence exercée sur la politique publique en plaçant des membres du bloc de Cecil à des positions de pouvoir protégées autant que possible de l’attention du public (donc anti démocratique).

La méthode Cecil se remarque dans sa vie personnelle : premier ministre pendant 14 ans, membre du corps enseignant (un fellow), chancelier à Oxford, et influence principale sur le journal Quarterly Review. Il exerçait une dictature (népotisme) dissimulée en partie par le changement de noms grâce à l’acquisition de titres et aux liens maritaux féminins…
Une dictature facilité par le fait qu’il avait deux frères et deux sœurs, et lui-même avait 5 fils et 3 filles. Bref, de lits en lits tout ce petit monde monopolisait le gouvernement anglais. L’aîné de Cecil fit partie de pratiquement tous les gouvernements conservateurs de 1900 à 1929. Bref, nous avons à faire à une véritable maffia (clan, famille, réseau ) jusqu’en 1945, et dont certains membre eurent des prix du dynamiteur Nobel, ce célèbre vendeur, non seulement d’explosif en thermodynamite, mais aussi vendeur de « paix ».
Le degré de népotisme de Cecil peut se voir dans le premier gouvernement Balfour (1902-1905), une continuation du gouvernement de Cecil : Balfour était le neveu et principal assistant de Cecil et fut nommé premier ministre par son oncle en 1902. Toujours une histoire de famille et de réseaux.
La plupart de ces personnages étaient liées par de nombreux liens familiaux et maritaux ; ils formèrent l’arrière plan du groupe de Milner.
Comme déjà écrit, le « pouvoir du peuple » est la pire escroquerie politique de tous les temps ; encore de nos jours, nous sommes sous un Ancien Régime déguisé en « démocratie ».

Nombre de membres de cette famille Cecil vint de la faculté All Souls, riche fondation établie en 1437 financée par les biens du clergé. On y étudie le droit internationale, l’histoire moderne, la théorie sociale et politique et d’histoire de la guerre, l’économie politique, le gouvernement, le droit civil, le droit anglais, la littérature française.

Bref, All Souls on l’aura compris est un nid à pouvoir et à winners : « On peut sans danger affirmer qu’un membre d’All Souls est un homme désigné pour une position d’autorité dans la vie publique et il n’y a aucune surprise s’il parvient au sommet du pouvoir, seulement de la déception s’il rate les occasions qui se présente à lui » (A.C. Johnson, Viscount Halifax, cité par C. Quigley)
Au 20è siècle le groupe de Milner influença All Souls et y effectua ses recrutements. Le groupe de Milner contrôle All Souls, mais de nombreux membres du groupe de Milner ne sont pas membres d’All Souls, et réciproquement. All Souls très lié au Times, et le groupe Milner contrôle les deux.

Charles Hardinge, reste l’un des personnages les plus important dans la formation de la politique étrangère britannique au 20è siècle, écrit Quigley.

Le bloc de Cecil créa en 1882 la Société pour la recherche psychologique (dans la mode et mouvance du freudisme-marxisme-évolutionnisme) et qui devant donner immanquablement le béhaviorisme et le maître en propagande Edward Bernays et autres Ivan Pavlov.

 

Qui dit Grande Bretagne dit EMPIRE, et donc classe : « mode de vie britannique (occidental) révélant les plus hautes capacités de l’homme (les winners). On a là un bon exemple de l’orgueil de l’Occidental dans sa splendeur, et digne des Conquistadors espagnols et portugais du 16è siècle.

À ce stade, j’en profite pour rappeler que le mot CASTE (ce qui est de l’Esprit), si négatif ici en Occident et confondu avec CLASSE (ce qui est de la terre), est simplement commenté par Ramana Maharshi à l’entretien 238 : « Les règles de caste servent à contrôler les caprices du mental. Celui-ci est ainsi purifié ».

RAPPEL, en rapport avec les vendeurs de « paix » :
« Comme la flûte de roseau, il gémit pitoyablement, mais ne cherche qu’un admirateur. Le pleureur professionnel prononce des paroles brûlantes de chagrin, mais où est la brûlure du cœur et le vêtement déchiré ?
Entre le véritable connaissant et l’imitateur aveugle, il y a de grandes différences, parce que le premier est comme David, et le second n’est qu’un écho…
Même l’imitateur compte sur la récompense divine : le pleureur professionnel reçoit son salaire au moment des comptes.
L’infidèle et le vrai croyant disent tous deux « Dieu », mais il y a bien une différence entre eux.
Le mendiant dit « Dieu » pour avoir du pain ; l’homme pieux dit « Dieu » de toute son âme ».
(Djalâl-od-Dîn Rûmî, Mathnawî, Livre deuxième, Versets 490-499)


[Avec l’aide de : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Carroll Quigley]