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Les éducateurs Alfred Milner, Jules Ferry Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 17-06-2015 22:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Les éducateurs Alfred Milner, Jules Ferry
Lionel Curtis, Cecil Rhodes et toute
l’oligarchie anglo-américaine ces « vendeurs de paix »



L’INFESTATION DE L’EMPIRE ou sentimentalisme
modèle Église de Rome
 
 
Nous vivons dans un monde de plus en plus violent qui fait regretter les guerres d’antan. Qu’ont fait ces « éducateurs » et vendeurs de « paix » et de « fin des temps » cité en titre et autres ONU de l’Empire ???
ÉDUCATION = initiés et profanes ou gurus et disciples, dont les profanes sont avide de savoir ce que le commun des humains ne sait pas encore et mus par l’obscure besoin de domination sur l’ignorant. Dans ÉDUCATION il y a le sens de robotiser, il y a toujours le sens de supérieur à inférieur. Alors que : « Un honnête cireur de chaussures est aussi bon qu’un roi honnête ». Ce qui importe est la condition intérieure, si elle est pure.


« Vous comprendrez donc, mon cher Coningsby, que le monde est gouverné par des personnages très différents de ce qu’imaginent ceux qui ne sont pas dans les coulisses » (Benjamin Disraeli)

Comme les Conquistadors espagnols et portugais allant « éduquer » les Peuples du Soleil (Mayas, Incas, etc.), l’oligarchie anglo-américaine tente « d’éduquer » le monde comme « sort de l’homme » avec ses outils « liberté et démocratie totale ».

Anglais et Américains sont par excellence les winners, le « peuple élu » ; ils se battent à coups d’universités, une des plus importante pour l’oligarchie étant All Souls, une usine à winners.
 
Évidemment les « éducateurs » travaillent dans le secret, donc anti démocratie comme le fit le GROUPE DE CECIL RHODES qui fut un promoteur de l’éducation par les fameuses bourses de Rhodes : une institution éducative avec des bourses, dont les anciens élèves seraient liés entre eux par des idéaux communs. Pour le Nouvel Ordre Mondial et Alfred Milner il fallait un groupe secret international de propagandistes pour l’impérialisme fédéral.
Politique du secret dans le groupe de Milner : « … mais ils [les participants] ne doivent ni révéler ni l’identité, ni l’affiliation des personnes à l’origine de ces informations, de même qu’ils ne doivent pas révéler l’identité des autres participants ».
« Les bourses étaient simplement une façade pour dissimuler la société secrète ou, plus précisément, elles étaient l’un des instruments par lequel les membres de cette société pourraient exécuter son objectif. Ce dernier, tel qu’exprimé dans le premier testament (1877) :
« L’extension de la domination britannique dans le monde entier, le perfectionnement d’un système d’émigration depuis le Royaume-Unis et de colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens d’existence sont atteignables par l’énergie, le travail et l’entreprenariat… la restauration des États-Unis d’Amérique comme une partie intégrante de l’Empire britannique, la consolidation de tout l’Empire… enfin, la fondation d’une puissance si formidable afin que les guerres soient par la suite rendues impossibles et que les meilleurs intérêts de l’humanité soient encouragés [c’est-à-dire le Saint Fric] ».

Cecil Rhodes se prenait à la fois pour César et Ignace de Loyola : « Prenez la constitution des Jésuites si elle est disponible et insérez-y ‘Empire anglais’ à la place de ‘Religion catholique romaine’ ». Ou encore : « Ce doit être une sorte de fraternité religieuse comme celle des Jésuites, ‘une Église pour l’expansion de l’Empire britannique’ ».

Rhodes et Milner rêvaient d’un Empire fédéral, une fédération impériale pour le monde entier et fondée sur le gouvernement autonome (Home Rule). « Rhodes voulait créer un groupe mondial secret dédié aux idéaux anglais et à l’Empire comme leur incarnation ».
Rhodes et Milner « cherchaient à unifier le monde, et par-dessus tout le monde anglophone, dans une structure fédérale autour de la Grande Bretagne. Tous deux sentaient que cet objectif pouvait être mieux réalisé par un groupe secret d’hommes unis entre eux par la dévotion à une cause commune et par la loyauté personnel. Tous deux pensaient que ce groupe devrait poursuivre son objectif par l’influence économique et politique secrète exercée en coulisses et par le contrôle des agences de presse, l’éducation et la propagande ». Bref, toute l’actuelle quincaillerie habituelle anti démocratie du N.O.M.

RAPPEL : éducation selon les Jules Ferry et autres oligarques anglo-américain : le bougnoule ou nègre que cette oligarchie transforme en « immigrant » deviendrait, grâce à « l’éducation » et évidemment à la démocratie du républicanisme et à son marché, un « Européen », auquel il est par nature égal et même supérieur.

Ainsi, c’était, et c’est toujours le : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous ».

Alfred Milner : « Je suis un nationaliste britannique (et Anglais avant tout). Si je suis également un impérialiste, c’est parce que le destin de la race anglaise, du fait de sa position insulaire et de sa longue suprématie sur mer, a été de planter de nouvelles racines en des points reculés du globe… Je suis un impérialiste… Je me sens un citoyen de l’Empire. Je sens que le Canada est mon pays, que l’Australie est mon pays… ».

Lionel Curtis travaillant en coulisse s’avéra être l’un des principaux architecte de l’actuel Commonwealth (une variation de l’ONU mais uniquement sous la chefferie de l’Angleterre).

Évidemment, comme tous ces vendeurs de « paix », Curtis estimait que « le meilleur des choses : la liberté, la démocratie, la tolérance, etc., ne pouvaient se préserver qu’au sein d’un système politique mondial intégré, et que ce système politique pouvait se construire autour de la Grande Bretagne, mais seulement si elle adoptait envers ses dominions, ses colonies, et le reste du monde une politique de générosité, de confiance et de développement de la liberté. Curtis était à la fois un fanatique et un idéaliste », écrit Quigley.

Pour Lionel Curtis et Herbert George Wells, le sort de l’être humain dépendait d’une course entre l’éducation et le désastre. Quigley écrit que Rhodes était animé d’un sentiment semblable lorsqu’il créa ses bourses.

Lionel Curtis pensait que les gens pouvaient être éduqués pour la « liberté » et la responsabilité en leur donnant toujours un peu plus de « liberté, de démocratie et de responsabilités » que ce qu’ils étaient prêts à affronter, donc une attitude essentiellement sentimentale comme la fabrique cette Église de Rome : ce sont les sentiments, donc l’ego qui décident des idéologies. Ce n’est qu’après coup qu’on prétend les justifier par des discours, des systèmes, des ismes. Toutes les religions sont des formes, des accidents du spatio-temporel, des structures du mental qui engendrent des structures psychologiques et sentimentales antagonistes. L’être humain se réalise au-delà du sentiment puisqu’il est CHRIST (le Royaume de Dieu est en vous).

Curtis écrivait en 1916 sous le groupe Table Ronde :
« Un gouvernement responsable ne peut être réalisé pour quelque groupe de citoyens que ce soit jusqu’à ce qu’ils soient aptes à l’exercice du pouvoir politique. Dans les territoires dépendants, la grande majorité des citoyens ne sont pas capables de se gouverner eux-mêmes et pour eux la voie vers la liberté est essentiellement un problème d’éducation… Le Commonwealth est un segment caractéristique de la société humaine, incluant toutes les races et tous les niveaux de civilisation organisés en un seul État. Dans cette communauté mondiale, la fonction de gouvernement est réservée à la minorité européenne, pour la raison irréfutable [sic] que pour le moment cette portion de ses citoyens  est seules capable d’accomplir cette tâche - les États civilisés [sic] sont donc obligés d’assumer le contrôle des communautés arriérées [sic] pour les protéger de l’exploitation par des aventuriers privés [sic] venu d’Europe…
Par sa nature [le Commonwealth], il doit d’abord préparer ces communautés à maintenir l’ordre en leur sein. L’état de droit [sic] doit être enraciné dans les habitudes et les volontés des peuples eux-mêmes ».

Et encore :
« La tâche de préparer à la liberté les races qui ne peuvent pas encore se gouverner elles-mêmes est le devoir suprême des races qui le peuvent. C’est la finalité spirituelle [sic] pour laquelle existe le Commonwealth, et l’ordre matériel n’est rien d’autre qu’un moyen pour y parvenir ».
En 1920 Curtis écrivait : « Tous l’effet de la guerre a été d’amener des mouvements longtemps menaçants vers une cohésion soudaine… la camaraderie dans les armes a été stimulée… Personnellement, je considère ce défi à la revendication longtemps incontestée de l’homme blanc à dominer le monde comme inévitable et saine en particulier pour nous-mêmes ».

Ainsi, nous avons bien le : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous ». C’est un exemple de chefferie et de sa promotion de son « socialisme », de sa « démocratie » et de sa « liberté », un exemple d’évolutionnisme des religions du Livre et de leur « fin des temps », de racisme et de colonialisme à la Jules Ferry : la « supériorité » de l’Occidental ou « homme blanc » ! C’était une énième mouture des Conquistadors espagnols et portugais allant « éduquer » les Mayas, Incas, etc.
 
Qu’est-ce que c’est le « social » de ces vendeurs de « paix » ? Mais la totale application de la carotte des religions du Livre : « LA FIN DES TEMPS », car les masses si elles ont un certain sens du devoir, il est très très limité, charnel, et sans cesse incarné par cette carotte bien dans la société de consommation ; l’autre carotte étant en négatif : la menace d’une catastrophe artificielle. Consommation, l’employé soumis qui a alors droit de passer à la paye, afin de consommer, chez le boucher, l’épicier, pardon, la grande surface. L’employé est celui qui n’a que le droit d’exister, mais non pas d’ÊTRE : JE SUIS.

Qu’ont fait ces « éducateurs » et vendeurs de « paix » cité en titre ? Ils ont institutionnalisé le culte de la personne qui prend racine à la Renaissance et est en pointe avec 1789. Ils ont formé des idoles comme jamais auparavant : maintenant, ce n’est qu’à travers une personne idolâtrée qu’on supporte les institutions ; on considère les cadres comme des choses abstraites et mortes : « les cadres ». Ils ne l’on pas toujours été, ils le sont devenus à mesure que montait le culte de la personne, de la raison. RAPPEL : dans l’Ancien régime, on savait distinguer les institutions des personnes : on pouvait mépriser un roi ou un pape : le Moyen-Âge ne s’en est pas privé ! et sans remettre en question le moins du monde la monarchie ou la papauté. L’autel soutenait le prêtre, le trône soutenait le roi. De nos jours on demande au roi de porter le trône, et au prêtre de porter l’autel, triomphe de l’ego oblige ! Les institutions ne se justifient aux yeux des masses qu’à travers le génie ou le magnétisme de quelques individus (et de la propagande des médias).

Enfin, BASE DU SOCIAL : pour faire société avec les autres, il faut commencer par faire société avec soi-même, c’est-à-dire le contraire de l’individualisme (double croisement) !


[Avec l’aide de : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Carroll Quigley]
 
 

Dernière mise à jour : 17-06-2015 22:49

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