Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Les vrais Responsables : JE SUIS
Les vrais Responsables : JE SUIS Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-06-2015 20:09

Pages vues : 7772    

Favoris : 35

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
frisemoyenweb2a_460.png
 
 
Les vrais Responsables : JE SUIS
Seul est Responsable l’authentique Être humain
le reste n’est qu’artifice ou opinion


LE POUVOIR TEMPOREL RUINE CE MONDE
L’ÉTATISME RUINE CE MONDE


L’oligarchie anglo-américaine ou nouvelle théologie de mécanisation de l’humain.
 
 
Le pouvoir temporel c’est la chefferie ou l’étatisme (les institutions de gouvernement de l’État, quel que soit son régime, monarchiste ou républicain ou tyrannique). Car tout au long de l’histoire humaine de ces derniers 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, les cancéreux du pouvoir n’ont cessé d’aspirer à l’institution d’un « Royaume universel » (modèle yahviste : ici-bas) qui réunit sous la direction d’un seul, ou d’une oligarchie, tous les peuples de la Terre. Jusqu’à nos jours, ce ne fut jamais atteint, comme en témoigne la succession discontinue dans l’espace-temps des royaumes et empires les plus divers. Même les plus grands et les plus puissants n’ont eu qu’une bien courte durée : dès que ces constructions de mains d’hommes atteignaient le point culminant de leur puissance et de leur gloire, le ferment de dissolution qu’elle portaient en elles les détruisaient ; et c’est le cas de l’Empire actuel USionistan.
 
Quelle est le ferment destructeur de tous ces royaumes et empires ? Mais c’est le FER/FAIRE ou SUFFISANCE, le quantitatif (avoir sa suffisance de quelque chose), la croissance, la vanité, l’orgueil ou développement démentiel de l’ego, qui aboutit à la religion de l’homme (et à ses « droits »).
À toutes les époques de ces 10.000 ans, les royaumes de ce monde reconnaissaient, à leurs débuts, la primauté du palier religieux. Même là où la « religion » censée « relier » les humains entre eux était bancale, ce palier « spirituel » à sa manière inspirait une foi constructive à ceux qui la reconnaissaient. Évidemment au fur et à mesure que le pouvoir temporel grandissant, il se donnait de l’importance, de l’ego à tout va, tout en négligeant de plus en plus ses origines… À chaque fois qu’un empire se laïcisait, sa grandeur se mettait à chanceler. Son effondrement fut chose accomplie le jour où tels ou tels empereurs devinrent eux-mêmes des « Dieux ». Dès que le pouvoir temporel s’attaque au pouvoir spirituel le plus authentique, l’ordre social en devient profondément troublé, comme actuellement.

Mais le véritable « religieux » c’est le JE SUIS, qui est le seul outil permettant de se passer de l’étatisme ou chefferie, et qui se démarque totalement de l’idée d’Empire et de Fédéralisme à la anglo-saxon. Jusqu’à ces derniers 10.000 ans de la voie de l’Agriculture ce ne fut jamais réalisé !

Ce n’est pas un Empire en une fédération rêvée par l’oligarchie anglo-américaine qui apportera la « liberté ici-bas » mais seulement le JE SUIS.
Voici par exemple le rêve d’un Alfred Milner en mars 1905 dans son discours d’adieu, soit, selon lui, une « grande idée » ou : « l’immense privilège d’être autorisés à contribuer à l’accomplissement de l’une des conceptions les plus noble qui ait jamais fécondé l’imagination de l’espèce humaine ». Bref, on a là un exemple d’un fixiste dans le style yahviste et leur « fin des temps ». À n’en pas douter Milner était un évolutionniste.

« La prière la plus ardente est que ceux avec lesquels j’ai travaillé et combattu et qui pourraient attacher quelque poids à mes mots restent fidèles par dessus tout dans une période de réaction, à la formidable idée d’unité impériale. Vivrons-nous pour voir cet accomplissement ? Dans tous les cas, que nous réussissions ou que nous échouions, je serais toujours constant dans cette foi, bien que j’eusse préféré travailler discrètement et en coulisse, dans la formation de l’opinion plutôt que dans l’exercice du pouvoir (1).
Lorsque nous, qui nous nommons des Impérialistes, parlons de l’Empire britannique, nous pensons à un groupe d’États tous indépendants dans leurs préoccupations locales mais tous unis pour la défense de leurs intérêts communs et le développement d’une civilisation commune (2) ; unis, pas dans l’alliance - car les alliances peuvent être faites et défaites et ne durent jamais qu’en théorie - mais dans une union organique permanente. De cette union, les dominions, tels qu’ils existent aujourd’hui, sont, nous l’admettons complètement, seulement la matière première. Notre idéal est encore lointain mais nous constatons le fait qu’il soit visionnaire ou inatteignable… On ne peut pas accélérer la croissance lente d’une grande idée comme celle-ci par quelque procédé forcé que ce soit. Mais ce que l’on peut faire est de la garder constamment en vue, en perdre aucune occasion de travailler pour elle, de résister de toutes nos forces à toute politique qui s’en écarterait… ».

Toute cette cuisine d’opinions d’empire et de fédéralisme est encouragée par un laboratoire d’opinion comme la Table Ronde (du groupe de Milner), bien dans la lignée de cette judéo-maçonnerie spéculative née à Londres en 1717.
Qu’est-ce que c’est « l’empire et le fédéralisme » dans le mental d’un Milner et de sa secte : une mondialisation à l’occidentale, à « l’homme blanc », de type socialo-capitaliste ou néo-libéralisme.
La Table Ronde tout en soutenant le fédéralisme ou « liberté nationale » sous la forme de l’autonomie des dominions n’avait que le seul but d’un Commonwealth organique. « Le but de l’autonomie n’est pas le développement total des libertés individuelles mais l’extension de celles-ci dans la limite où le règne de la loi sur tous peut être préservé […] L’Union fédérale est la seule garantie de liberté à la fois pour l’individu et la nation… » écrit un communiqué de la Round Table en son 25è anniversaire de septembre 1935.

Alfred Milner avait un idéal comme Rousseau en avait un et bien d’autres. Mais cet idéal n’est resté que dans le mental : chez ces gens il ne trouve pas, dans leur être intime, dans la nature profonde, de quoi manger et prendre corps. Mais ils n’insistent pas sur cet aspect là : cela irait trop loin ! Cette vertu, cet idéal, dont ils portent en eux la faim, ils en réclament la substance au monde extérieur, ou aux adeptes de leurs sectes. Ils lui demandent d’incarner leur idéal ; ils chargent la société de fournir un alibi à leur impuissance ; ils ont besoin de voir sans cesse autour d’eux ce qu’ils sont incapables de vivre en eux (en réf. à G. Thibon).

EMPIRE ou EMPRISE : EN-PIRE. Emprise, pouvoir, domination totale, commandement, contrôle, maîtrise, autorité, chefferie, etc. Ensemble d’États et de territoires sous la gouvernance centrale (Nouvel Ordre Mondial).

FÉDÉRAL : qui peut aller avec le mot précédent (Empire), du latin fœdus, eris (alliance). Là encore ça rejoint l’Empire, car fédéral a le sens de la relation d’un État fédéral envers un gouvernement central (sorte de féodalité) ; nous avons l’exemple actuel des États-Unis où Washington est la capitale fédérale des États-Unis. Fédéral est donc un PACTE entre plusieurs pays et rejoint ainsi le sens du thème Empire. Même chose en Suisse où il y a « l’autonomie » des cantons ou régions. envers le pouvoir central. Le contraire de fédéral n’est pas la « centralisation » ou unification comme l’indique le dictionnaire Le Robert !!!
D’ailleurs dès 1789, les Girondins voulurent « décentraliser » la France !!!

La seule manière de vivre en société, sans États ou sans chefferie, c’est le JE SUIS : la Réalisation du Soi-Instant. C’est aussi la manière de détruire tous les « ismes » ou systèmes et autres dogmes, tant « scientifiques » que philosophiques ou politiques. C’est la seule manière de lutter contre l’opinion et ses « morales » qui évidemment ne correspondent pas à la Vraie Morale ! La Vraie Morale est la réalisation du Soi-Instant, ce qui permet à l’être humain de prendre conscience de l’essence de sa nature, et qui lui commande de vivre dans son existence suivant ces exigences. Les exigences : elles consistent pour tout être humain, à respecter dans les réalisations de sa vie la structure de l’essence de sa nature d’être humain, quelle que soit son individuation.
La structure de l’essence de l’être humain est ce que les transhumanistes et autres Google qui rêvent « d’immortalité » voudraient POSSÉDER, donc se prendre pour « Dieu ». Ainsi ils courent droit à la déchéance inévitable, car la révolution technique exige en contrepartie une révolution spirituelle, donc la Réalisation du Soi-Instant, le « Je suis ce JE SUIS », soit un retour à l’origine perpétuel qui a été momentanément oublié. Un oublie terrible qui nous fait chercher sur Terre notre ruine dans le temps qui coule.
Tout écart ne peut que conduire à la perte de la dignité humaine, à la perte du « Je suis CE JE SUIS ».
C’est cet aspect cosmique qui murmure son rappel dans le temps de la Chute. C’est ce murmure qui invite l’être humain à se con-naître pour prendre enfin conscience de sa propre loi, la seule valable. Le sens moral pousse ainsi l’être humain à ajouter à la connaissance du monde extérieur, qui n’est que le résultat de son mental, la connaissance de base qui est le monde intérieur, celui de son seul être véritable. Ainsi, la Réalisation du Soi ou Instant permet seule d’être un Vrai Responsable. Il n’y en a pas d’autre. Il est temps de ne plus être sous la tyrannie de l’opinion, c’est-à-dire d’être agi par les autres.
La Chute, c’est la nôtre, le temps de la Mal-à-dit, l’erreur, car la santé ne peut être que la vérité. Mal-à-dit ou quand DIT était transcrit D.I.T. : déité.

RAPPEL : « La folie révolutionnaire consiste à exiger l’impossible, c’est-à-dire l’infini dans le fini, le bonheur dans les contradictions de la vie mortelle, l’esprit dans la matière et le divin dans l’humain. Exactement ce même impossible que la grâce nous donne [énergie libre]. Car « ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu » [qui est aussi dans le mental !] » (Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière).

RAPPEL : POUR LES RÉPUBLICANISTES.
RÉVOLTE : étymologie de révoltare : retourner, échanger. Même étymologie que Conversion (se tourner), convertir, conversion. On se révolte contre, tandis qu’on se convertit à. La révolte est rupture, la conversion est adhésion. Le Diable s’est retourné contre Dieu, le saint retourne à Dieu. Cette opposition implique une affinité : le révolté et le saint sont des êtres capables de se retourné : TOUT EST DOUBLE, LE SACRÉ EST DOUBLE et implique à la fois le bien et le mal. Et toute conversion s’accompagne d’une révolte : la révolte contre le Vide et les apparences ou illusions. (En réf. à G. Thibon, Notre regard qui manque à la lumière).


Notes.
1. On voit là la perfidie d’un Alfred Milner tout entier cancérisé par le pouvoir, car l’opinion EST le cancer actuel de ce monde. Car l’opinion est synonyme d’EMPIRE : se faire malaxer l’âme par des maîtres à penser de l’oligarchie et de ses partis politiques. L’opinion prétendra toujours se baser sur une logique. Mais toutes logiques si correctes quelle soient, partent toujours de prémisses qui sont nécessairement incontrôlables, adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux ou d’ego fort obscurs. Ces prémisses prennent alors valeur de dogmes, qu’on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme est d’autant plus intraitable qu’il en est conscient, parce que tout danger de n’y plus croire crée la panique devant le vide… alors la raison de vivre est comme détruite.

2. Bah voyons ! C’est toujours le « United Colors of Benitton » de cet actuel mondialisme (le melting pot cher aux Américains et aux financiers : l’argent n’a pas d’odeur ou de couleur de peau… c’est ainsi que commence la maladie de l’égalitarisme), comme aussi le favoriser la « diversité » ou immigration, la soi-disante victime, le nouveau pauvre, le ‘sans papier’, selon le N.O.M.
Le « United Colors of Benyttin » ou atomisation et uniformisation de la société : on peut diviser sans fin un corps indifférencié, d’où le maître-mot de CROISSANCE ! Qui d’ailleurs va avec la mode du quantisme…

[Avec l’aide de : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Carroll Quigley]
 
 

Dernière mise à jour : 21-06-2015 20:30

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >