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Sources du terrorisme anglo-américain Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-06-2015 22:19

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Sources du terrorisme anglo-américain
sans oublier
la maraude internationale qui va avec !
 
 
TERRORISTE : de 1794, personne qui appliqua, et continue d’appliquer - notamment les États-Unis et leurs provinces, pardon, leurs alliés - la politique et la pratique de la terreur, soit la répression dans des flots de sang dans le but de propager des opinions de démocraties et « d’égalité ».
Ainsi, la plupart des terroristes de ces dernières 250 années se trouvent : soit chez des descendants des perruques poudrées du 18è siècle qui pondent leurs opinions en des livres et passent à la télé aujourd’hui, soit dans la chefferie de l’étatisme de l’après 1789.

Les sources principales du mondialisme de l’Empire USionistan (Angleterre et la City de Londres, les USA et Wall Street, les sionistes et leur Israël) reposent principalement sur :
- Les religions du messianisme et de la « fin des temps », avec :
- La mouture des « droits de l’homme » nommée « Commandements de Moïse ».
- La culture grecque et de l’Empire Romain.
- L’établissement de la City de Londres et l’essor du commerce et donc des banques.
- La Réforme avec les Luther et Calvin.
- Le développement du langage écrit grâce à l’imprimerie (aujourd’hui l’informatique et l’Internet), avec les Galilée & Cie et le développement exponentiel de la technologie.
- Les deux révolutions anglaises.
- L’arrivée de cette nouvelle judéo-maçonnerie dite « spéculative » parce qu’elle ne construit plus rien de solide et qu’elle ne travaille que du chapeau, et qui ne pouvait que naître à Londres en 1717.
- Et au final : la révolution française de 1789.
 
Oui, l’oligarchie anglo-américaine devient LE problème majeur du monde actuel : un monde de violence extrême dû à la technologie. Ça commence en 1914 pour se prolonger en 1945 par les deux bombes nucléaires sur le Japon, pour se poursuivre sur le Vietnam, l’Irak, etc., pour ne parler que du plus récent ! Car il faudrait parler du colonialisme cher à cette diabolique oligarchie anglo-saxonne qui se croit « supérieure » comme le « peuple élu ». Bref, ce monde infecte de winners inventeurs des « jeux olympiques » à travers un des admirateurs de cette oligarchie : Pierre de Coubertin.

Il n’y a pas plus faux, hypocrite, artificielle, que cette oligarchie anglo-américaine, comme ces Milner, Curtis, Rhodes, et autres groupes d’hommes puissant qui dirigeaient en coulisses, donc anti-démocratie puisque façon invisible et incontrôlable, la politique de l’Empire britannique. Ainsi un John Dove qui prit la suite de Milner pouvait écrire : « Le règne de la loi en contraste d’un individu est la marque d’un Commonwealth. Dans le despotisme, le gouvernement repose sur l’autorité du dirigeant ou sur la puissance invisible et incontrôlable derrière lui ».

Avec les Calvin et Luther commence vraiment le Nouvel Ordre Mondial. Ce sont essentiellement DES FIXISTES (des fous de la norme) qui ne pouvaient que s’entendre avec tous les Yahvistes et autres travailleurs du chapeau et talmudistes qui se respectent !
Avec l’arrivée de l’imprimerie, l’un des faits les plus remarquables qu’on eu les textes imprimés a été leur impact, lorsqu’il sont parvenus entre les mains de gens ordinaires, à qui ils n’étaient pas destinés !Ainsi, les Luther, Calvin, Galilée et Descartes ont eu en commun une nouvelle façon de lire, de mettre en rapport ce qui est écrit et ce que cela signifie : on normalisait. Avec les Luther-Calvin s’installe l’instruction obligatoire : Luther milite avec un zèle remarquable pour cette instruction obligatoire, donc lavage de cerveaux. Pour ces gens « les lettres » distinguent une civilisation des « sauvages ». Sans « lettres » un peuple ne pourra jamais conserver son histoire. On a déjà là la graine de l’oligarchie anglo-américaine. Et au 17è siècle un Francis Bacon estimait que trois inventions techniques avaient changé la face du monde : imprimerie, poudre à canon, aimant.

La Grèce classique des ergoteurs et la Renaissance entre les 12è et 17è siècles ont été accompagnées de changements radicaux dans la nature et dans la diffusion de la lecture et de l’écriture, donc dans la culture écrite. C’est cela qui a joué un rôle déterminant pour le développement de l’Europe, et de l’Empire futur, soit : « Ce sont des signes dénués de signification, reliés à des sons qui n’en ont pas davantage qui donnent sa forme et son sens à l’homme occidental », écrivait McLuhan, en 1962 dans : The Gutenberg Galaxy, cité par D.R. Olson dans L’univers de l’écrit. La presse à imprimer a proprement donné naissance à la technologie moderne et au protestantisme, donc au vrai départ de la religion du Saint Fric amorcée notamment par la naissance de la City de Londres en 1319.

Avec l’invention de l’imprimerie on mettait le monde sur le papier (et de nos jours dans le binaire informatique). Ainsi nous entrions véritablement DANS LE FAUX, DANS L’ARTIFICE : les peintures figuratives ou photographiques de l’art hollandais, la représentation du monde sur des cartes, la représentation du mouvement physique par de la notation mathématique, la représentation de la Nature dans des herbiers, et celle des événements imaginaires dans la fiction (qui plus tard deviendra l’industrie de l’entertainment hollywoodienne). Tout cela a considérablement modifié l’architecture du mental humain, et donc sur les manières de penser.

Rien ne permet de penser que nos « manières de comprendre », surtout ici en Occident où on ne sait pas voir l’ensemble, sont culturellement universelles.

Cette culture qui se veut « universelle » est évidemment celle de l’Empire anglo-américain de nous jours hautement à l’œuvre tant son cancer du pouvoir est avancé. Au départ de ce cancer le journal du groupe de Milner : The Round Table, était un vecteur de propagande d’auteurs anonymes (au début parce qu’ils n’étaient pas nombreux, ensuite parce qu’ils étaient trop célèbres). Ce journal devait influencer les faiseurs d’opinion publique. Lionel Curtis écrivait : « Il est destiné à être l’entrepôt d’informations de toutes sortes dans lesquelles les publicistes peuvent puiser… »
Cette oligarchie croyait comme des Protestants que la « liberté », la « civilisation » et la « décence humaine » ne pouvaient être mieux promues qu’à travers l’instrumentalisation de l’Empire britannique !
 
The Round Table et le groupe de Milner était capitaliste de la fin du 19è siècle : une « monnaie saine », un budget équilibré et l’étalon-or internationale qui devaient automatiquement apporter le « Demain On Rase Gratis » (DORG). Des opinions propagées par The Round Table après 1912. Alfred Milner insistait sur le fait que les questions financières devaient être subordonnées aux questions économiques, et les questions économiques aux questions politiques. Ce qui correspond à mélanger comme aujourd’hui pouvoir économique et pouvoir économique !
Milner à partir de septembre 1931 voulait un capitalo-socialisme : protection social, développement économique de l’Angleterre, capital et travail autorégulés.

Bref, Alfred Milner et Robert Henry Brand (futur directeur général de la banque Lazard Frères qui subventionna la révolution bolchevique de 1917) influencent la politique économique et financière de l’Angleterre de 1919 à 1945.
Lazard Frères travaillait en étroite collaboration avec la banque Rothschild, qui contrôlait les grandes banques de Wall Street avant la première guerre mondiale. Lazare et Rothschild et la J.P. Morgan des USA de la juiverie et maraude internationale avaient le monopole des échanges mondiaux sur l’or, et c’est eux qui firent sortir le système monétaire internationale de l’étalon-or, afin de pouvoir émettre autant de papier-monnaie (monnaie scripturale ou circulation par jeux d’écriture et maintenant par informatique ; même peine que celui de l’invention de l’imprimerie !). Avant la fin de la première guerre mondiale il était urgent pour ces Couilles en Or de faire rétablir l’étalon or et de libéraliser à nouveau le commerce international de l’or, afin de retrouver le niveau considérable de profits d’avant 1914.
La crise monétaire mondiale depuis 2008 est étroitement liée aux mesures prises à l’époque par Brand qui dirigeait la banque Lazare.
Tous ces cocos rêvent d’un Empire fédéral ou « fédération impériale » qui comprend l’extension d’autonomie de l’Inde.
L’idée du fédération des Rhodes-Milner s’étendit jusqu’à la fabrication de la Société des Nations (actuelle ONU). Pour ces hommes, le monde devait être « uni » autour de l’Empire britannique comme noyau (judéo-maçonnique !)

Tous ces cocos rêvent de normes (« unité nationale » et maintenant mondiale) comme un Moïse et ses « Commandements » et par la suite les « droits de l’homme ». La norme de ces cocos, et judéo-maçons, c’est LA MORALE (leur morale ou opinion).
Par exemple dans un article du journal The Round table d’Alfred Milner on pouvait lire d’un anonyme : « Il n’y a qu’une seule voie à suivre. C’est que les peuples de l’Empire [britannique] réalisent leur unité nationale et tirent de cet idéal une inspiration pour l’effort commun dans l’accomplissement des obligations morales que leur qualité de membre de l’Empire exige ». Or la « morale » n’est pas une science en soi. Elle ne vaut que par ses références à l’être humain.
On confond trop souvent la satisfaction morale que l’on a de soi ou de son groupe, et qui ne satisfait que l’ego, avec l’état ontologique de l’Être, c’est-à-dire l’accès à un étage supérieur de l’Être.
La satisfaction morale de soi-même c’est par exemple les Commandements : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas », etc., sont du pur matérialisme (voir Colossiens 2, 21). La Taoïcité dit la même chose.

Cette même « morale » si chère aux judéo-maçons comme un 33è degrés comme C.W. Leadbeater reflète bien le colonialisme ou la « civilisation », qui elle même renvoie à Ville et surtout Vil, soit les citoyens ou habitants des villes et cités, soit les bourgeois qui habitent les bourgs ou villes, là où il y a l’administration ou chefferie.
C’est justement cette « civilisation » qui ne jure que par sa « morale » et est systématiquement opposé au retour à la Source des membres qui la composent. Le « sauvage » ou le dévergondé ne respecte pas en effet les « lois humaines » édictées par la dite « morale », la dite religion ou même le dit « bon sens » relatif aux réalités apparentes, soit le seul visible, ou plutôt illusion terrestre, donc à court terme !

La morale, comme le sentiment, sont les choses matérialistes qui préoccupent non seulement le N.O.M. mais aussi et depuis près de 2000 ans l’Église de Rome. L’oligarchie anglo-américaine en bons winners parlent d’ailleurs de leur « objectif moral », de leur « force de caractère », de « devoir » ou « d’ordre et de justice », donc de leur EGO comportant toute la quincaillerie de la démocratie moderne. Soit « la finalité de l’État est de construire des hommes, et sa force est mesurée non en termes d’armements défensifs ou de prospérité économiques, mais de la personnalité MORALE [c’est moi qui souligne] de ses citoyens. [Donc nous sommes encore plein pot dans la tyrannie de l’opinion] La fonction de l’État est positive et éthique [encore la morale] : c’est d’assurer aux individus non seulement la survie matérielle, mais aussi une existence moralement satisfaisante [sic. Là nous sommes plein pot dans le Petit-Père-des-peuples].

Ensuite ces Pères-la-morale bien dans le grégarisme judéo-maçonnique prônent « l’esprit de corps » comme celui qui anime le grégarisme des universités anglo-américaines. « Le peuple de l’Empire est face à une opportunité historique unique ! C’est sa mission de fonder la politique du Grand Empire sur les fondations de la liberté et de la loi [sic]. Il leur reste à couronner cette structure par l’institution d’une union politique qui apportera la solidarité à l’Empire dans son ensemble. Le devoir, comme la logique des faits, indique leurs efforts vers son objectif », écrit l’auteur anonyme dans ce même article du The Round table, qui se prend pour une perruque poudrée du 18è siècle et sa « raison ». Ce sont les opinions du groupe de Milner : une « morale » pour relier entre eux les gens de l’Empire, soit une opinion censée les relier comme une religion, alors qu’il n’y a pas plus diviseur et violent et destructeur que l’opinion qui mènent directement aux GUERRES (de religions entre autres). Soit une opinion que les « plus hauts objectifs moraux » seraient le développement de la personnalité à travers la dévotion au devoir et au service en toute liberté et sous le règne de la loi […] leur sentiment du besoin urgent de persuader les autres d’accepter leur point de vue afin de permettre à l’Empire d’accomplir le destin auquel ils aspirent ».
Cette « démocratie » et colonialisme à l’Occidental nous vend toujours : « Ce qui est bien pour nous est bien pour vous ».

Comme écrit en début de page, une des sources du mondialisme est la Grèce du temps des ergoteurs Platon & Cie : « la nostalgie du Vè siècle avant J.-C. » qui voudrait rétablir une antique fraternité de travailleurs du chapeau et de patriotes dans la Grande-Bretagne moderne. Ainsi l’oraison funèbre de Périclès (statue en haut de page) devint le fil conducteur de la destinée politique de cette oligarchie. Oraison qui est un bout du triomphe de tous les pièges possibles du mental.

Le groupe de Milner vit la nécessité d’une organisation politique afin de garantir l’existence continue de la « liberté et des valeurs éthiques supérieures » (peuple élu). Il espérait pouvoir préserver les valeurs de son temp en organisant le monde entier autour de l’Empire britannique, écrit Quigley. C’est fait puisque le Vatican du monde est la City de Londres.
Ce mondialisme anglo-américain est formulée aussi par Lionel Curtis dans The Commonwealth of Nations (1916), qui définit ainsi le capitalo-socialisme ou simplement l’étatisme dans toute son horreur :
« Les États, qu’ils soient des autocraties ou des communautés autonomes, reposent en dernier ressort sur le devoir, pas sur l’intérêt individuel ou la force. Le principe supérieur d’un État est le sens du dévouement, une conscience partagée par les citoyens que leur propre intérêt est subordonné à celui de l’État [sic]. Le lien qui les unit et qui les constitue collectivement en tant qu’État est, pour paraphraser Lincoln, le fondement de leur engagement dans l’existence. sa validité, comme celle des liens du mariage, n’est pas à l’origine contractuelle mais sacramentelle. Son fondement n’est pas l’intérêt individuel, mais plutôt un sens de l’obligation, quelle qu’en soit la conception, qui est assez fort pour prendre le dessus de l’intérêt individuel ».
Bref, nous avons là encore une opinion judéo-maçonnique du « travail comme le Service que nous rendons au reste de la communauté » comme l’écrit The Round Table de décembre 1940. Le dilemme multi millénaires individualisme-collectivisme ne peut se résoudre que par le « Connaître toi-même par toi-même » et certainement pas par l’étatisme façon république ou socialisme, ce qui est pareil.

RAPPEL : le « lien Commonwealth » vendu par l’oligarchie anglo-américaine, notamment son nouveau « vivre ensemble » fait la partie du noarchisme ou droit de l’hommisme, car le vœu, le serment, par le fait même qu’ils font appel à un principe ou système extérieur à l’Instant ou Amour, contient déjà un germe de trahison. L’humain a d’autant plus besoin de s’appuyer sur une promesse qu’il penche davantage vers le reniement. Il engage l’avenir avec ses lèvres et ses écrits parce qu’il a oublié l’éternité en lui-même, il ne se connaît pas.

Le « peuple élu » c’est la Grande Bretagne qui se veut « défenseur de tout ce qui est beau et civilisé dans le monde moderne, exactement comme Athènes s’était dressé pour les mêmes valeurs dans le monde antique ».
Bref, l’Angleterre se veut LA MORALE du monde, la loi du monde. « La mission de la Grande Bretagne est d’apporter la liberté et la lumière (c’est-à-dire les principes du Commonwealth) contre les forces de la théocratie et des ténèbres en Asie » ; donc la guerre Orient-Occident comme aujourd’hui, presque, une guerre USA contre Russie-Chine.
Pour résumer, la Grande Bretagne va apporter sa « civilisation » et sa « morale » aux pauvres Nègres d’Afrique ! Soit elle va leur apporter son OPINION (et après on s'étonne du problème de l'immigration... ).
Un Robespierre et un Rousseau étaient des êtres toujours frémissants d’émotion morale : « La prédication de la vertu était pour eux comme une espèce de cri d’agonie, de chant du cygne des mœurs »,  écrit Gustave Thibon dans Diagnostics.

« La décadence des mœurs produit, à son premier stade, un moralisme rigide et exalté, à son second stade, un immoralisme érigé en dogme [voyez la théorie du genre et autres transhumanisteries] ; elle enfante toujours tôt ou tard, la pire morale » (Gustave Thibon).

Curtis distingue Commonwealth  et despotisme en ces mots/maux : « Le règne de la loi en contraste avec le règne d’un individu est la marque distinctive d’un Commonwealth. Dans le despotisme, le gouvernement repose sur l’autorité du dirigeant ou sur la puissance invisible et incontrôlable derrière lui ».
Ici nous avons un parfait exemple du mensonge typiquement pratiqué par tous les vendeurs de paix et de démocratie en gros, car toutes cette oligarchie anglo-américaine dirige en coulisse, et donc de façon invisible et incontrôlable, la politique de l’Empire britannique, de la City, et donc du monde.
Curtis continue : « Les gens doivent d’abord être formés à comprendre et à pratiquer les principes essentiels du Commonwealth ; à savoir, la suprématie de la loi et la subordination des motivations de l’intérêt personnel et du gain matériel au sens du devoir pour les intérêts de la communauté dans son ensemble ». On a là la définition du capitalo-socialisme actuel, parce que vendre « l’intérêt de la communauté » est typiquement une pub du Nouvel Ordre Mondial, comme d’ailleurs le détournement de cette phrase de la chrétienté : « Aime ton voisin comme toi-même » proche de l'actuel  « Vivre ensemble ».

Selon Curtis : « Sous la direction britannique, les idées occidentales continueront de pénétrer et de bouleverser la société orientale, et que ce nouvel esprit finisse dans l’anarchie ou conduise à l’établissement d’un ordre pus élevé dépend de jusqu’où les millions d’Indiens peuvent être élevés pour une conception plus aboutie et plus rationnelle des fondations ultimes [sic] sur lesquelles repose le devoir d’obéissance au gouvernement ». Encore de la féodalité à la reine et à l’État !!!

J’en reviens aux sentiments ou à la morale qui colle aux culs de cette oligarchie anglo-américaine, car sentiments ou morale ne sont que des opinions qui décident des idéologies ou grégarisme. Ce n’est qu’après coup qu’on prétend les justifier par des discours, des systèmes comme ceux des Milner Curtis Rhodes et leur Commonwealth et leur « liberté ».

RAPPEL : le système des Curtis Milner & Cie. se veut, comme l’Église de Rome, rassembleur, et donc de renoncer au jugement personnel. Le « parti » des Curtis & Cie c’est leur Commonwealth et leur opinion d’Empire. Le catholicisme fait aussi appelle à son « parti » : le Pape, qui lui aussi prêche la participation à un même corps de vérité universellement valable ; mais il ne le fait que pour ce qui est au-dessus du spatio-temporel, pour, en principe,ce qui véritablement éternelle : les Essences. Le capitalo-socialisme, au contraire, veut fixer l’infixable : l’espace-temps ou histoire (dont le judaïsme… ).

« L’homme ne vaut qualitativement que PAR LE CŒUR, qui n’est nullement du sentiment. Il est parfaitement vrai aussi que l’acte intellectuel n’est pas le Cœur » (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

[Pour la partie oligarchie anglo-américaine, référence à : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Carroll Quigley]
 
 

Dernière mise à jour : 25-06-2015 23:04

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