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République Mère Divine Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-07-2015 16:25

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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République Mère Divine
qui bouffe tout
République mère indigne
mère vampirisante
Big Brother
Leviathan et adversaire
du Soi-Instant
qui a droit de vie et de mort
sur toutes les créatures,
soit le cancer du pouvoir.
Les banques bouffent tout.
Nous sommes passés à un monde
en 3 dimensions (informatique).


LA « FIN DES TEMPS » : LE PIÈGE SUPRÊME.
 
 
La mère c’est le sécuritaire cher au Nouvel Ordre Mondial, le confort, la chaleur et la tendresse et la bouffe (le ‘vivre ensemble’). Mais c’est également le risque d’oppression par les lois totalitaires et l’étouffement par une prolongation excessive de la fonction de nourrice (les valeurs). La Mère Église de Clovis à Louis XVI a tenu plus d’un millénaire avec une tyrannie religieuse souvent excessive : la république depuis un peu plus de 200 ans fout la merde partout en ayant aussi une tyrannie encore plus dogmatique et abusive car cachée sous le nom « démocratie ».
Le transhumanisme des Ray Kurzweil et Google est cette même Mère république vampirisante qui vend son confort, soit une civilisation mécanique qui ne saura que construire un vaste réseau de PROTHÈSES, en plus VIRTUELLES. Car dans quelle mesure un monde fait PAR l’humain est-il encore un monde fait POUR l’humain ? 
 
L’étatisme de la république est ce Léviathan rivale de Dieu qui s’octroi une souveraineté absolue. Une tyrannie arbitraire, cruelle, totalitaire qui veut dominer les corps et les consciences. Voilà où nous nous dirigeons dans un proche futur : un matérialisme poussé au « sécuritaire ou protection » des individus et des collectivités, jusqu’à étouffer toute liberté et exiger une obéissance passive et totale à l’oligarchie au pouvoir.

Le Big Brother et Léviathan français fut celui de l’étatisme de Clovis à Louis XVI avec le concours de l’Église de Rome ; puis de 1789 à nos jours il est celui de l’étatisme républicain et de la judéo-maçonnerie spéculative dont on peut mettre dans le même thème des réseaux, des meneurs, comme le Club le Siècle, tous organes de cette tyrannie de l’opinion ayant cours depuis 1789.

Depuis Clovis l’Église et les lois, les humains étaient plus ou moins guidés et ça se passait pour le mieux ; mais depuis 1789 l’humain moderne n’a plus de repère et il est à la merci des forces élémentaires qui sont en lui et ne sait comment les maîtriser. C’est pour cela que nous sommes à une époque de dégénérescence, que nous voyons apparaître la théorie du genre, l’affichage publique de l’homosexualité alors qu’il y a peu elle était considéré comme une maladie, l’égalitarisme poussé jusqu’à l’absurde entre homme et femme (évidemment c’est plus rentable), etc., etc. Nous voyons ce besoin de retourner à un chaos (humain) et comme on ne sait pas s’en servir, il ne peut en sortir que des horreurs à venir. C’est pourquoi est venu le temps de la seule délivrance possible : « Connaître toi-même par toi-même » : tous les mots/maux capables de nourrir le silence intérieur de l’humain et de l’orienter vers l’intraduisible mystère de son origine et de sa fin… ce qui a été proclamé et répété mille et mille fois tous au long des millénaires précédents. Sinon, on se fait bouffer par cette république-léviathan, et par l’étatisme sous toutes ses formes, comme si un être humain voyant couler près de lui une source d’eau pure se laisserait mourir de soif ou irait s’abreuver stupidement aux eaux corrompues d’un marécage. Or cet humain ne souffre d’aucune tare mentale : à quelques exceptions près qui confirment la règle, c’est le spectacle permanent que nous offre l’histoire de l’humanité, alors que la Félicité, la source pure, EST notre état naturel.
Les choses n’ont pas changé depuis plus de 2000 ans : le même rabâchage dans la fange de l’erreur et du mal impose le même refrain du pur et du frais.
« Connaître toi-même par toi-même » c’est dompter le terrible Dragon qui est en nous. « Si le Dragon, ce grand maître des enfers, roi du temps, protecteur des trésors, daigne nous adresser la parole, cela signifie que nous sommes en bons termes avec les puissances de l’inconscient » écrit Ania Teillard dans : Ce que disent les rêves (le Symbolisme du Rêve).

LA république est comme une mère castratrice, le mythe du héros qui tue le monstre est bâti sur l’amour de l’homme pour sa mère : une frayeur à la fois la sienne devant la puissance à vaincre, et la force d’inertie qui l’empêche de se libérer de ses liens. C’est pourquoi un individu seul ne peut pas vaincre l’étatisme d’un pays. « Le fils doit triompher de la mère pour acquérir le trésor gardé par le dragon, ou pour délivrer la vierge… La mère est en même temps l’inconscient avec son influence magique », écrit Ania Teillard dans : Ce que disent les rêves.

Dans le même thème mais côté masculin, nous avons la tête, symbole phallique, du père comme l’était le roi ; tête symbole de la virilité (Freud, Stekel, Allendy, Jung), et la Guillotine de la république coupait les têtes-phallus, soit les forces vives de l’Ancien Régime.

Cette mère castratrice est dans notre inconscient, comme la république actuelle qui se veut pénétrer tout le mental des peuples par surveillance globale.

République, Mère, refuge, pensée unique, le rationnel, le général, l’archétype, sont dans le même thème du néo-platonicien, alors que l’être humain est infini : il est une Stargate à lui seul.
 
« Femme, qu’ai-je à faire avec toi ? » dit Jésus de Nazareth à sa mère. Ainsi il n’a plus de lien terrestre et d’ego. Il revient seulement vers sa mère lorsqu’il est crucifié sur le bois, de l’arbre mort (symbole maternel) identique à l’Arbre de Vie (réf. Ania Teillard).

La mère (république) c’est aussi raconter des histoires pour apaiser, endormir. Le mythe république endort les gens afin de mieux les manipuler. L’histoire et la logique et la « pensée rationnelle » foutent la merde partout à notre époque : on parle très souvent de « tragédie », spécialiste d’histoires à la Hollywood et anciennement de Grecs. À la fin du 6è siècle la tragédie va devenir obligation religieuse et civique (les deux sont liées). Sous les grecs les chorèges sont fonctionnaires ; on offre la place gratuite aux citoyens les plus pauvres, c’est plus pratique pour manipuler tout le monde à coups d’histoires de Dieux et de héros proches de monsieur tout-le-monde.

Les religions sont par excellence des mères consolatrices, comme ces religions dites « à mystères ».
La mère république est aussi dans le quantitatif : l’abondance comme le lait qui coule de ses seins qu’elle donne à ses enfants les citoyens. Comme elle fait dans le quantitatif, elle donne naissance à l’arbitraire donc au choix et au luxe, soit la société de consommation, c’est-à-dire vivre en deçà de ce qu’on appelle de nos jours le minimum vital. Le mythe de la croissance et donc de la société de consommation ne peut que conduire au néant : les biens dont on manque créé la révolte, ensuite l’abondance crée l’ennui… et l’obésité des Américains… et l’industrie de l’entertainment... et la consommation de drogues.

La république est une mère castratrice dans le sens que son regard est plus braqué sur le dû que sur le don ; son regard n’atteint pas jusqu’au fond suprême des choses, qui est amour et gratuité. Le dû principale de cette mère mercantile c’est le fisc et ses impôts boulimiques pour un piètre résultat !
La mère république est donc une singerie de la mère authentique ; elle ne fonctionne que sur les apparences, le superficiel ; ainsi elle impose des lois : ne pas voler, ne pas commettre d’adultère (moins vrai de nos jours), et peu importe si je garde l’âme d’un voleur ou d’adultère. Bref, la loi est d’ordre des pharisiens et droits de l’hommistes : que la foi et l’amour l’emportent sur la loi, ils ne peuvent pas le concevoir !

En fait, aussi bien à la révolution de 1789 qu’à celle de 1917 en Russie, les peuples n’eurent jamais leur mot à dire. L’homme de la foule reste entre les mains de meneurs, une institution aveugle ou mère castratrice comme la république avec son « président » est aussi aveugle que le légionnaire romain qui se battait pour établir la dictature de César. Mais il y a une grande différence : César se bornait à commander à ses soldats de soutenir sa propre révolte, alors qu’un démagogue politique moderne à travers la technologie médiatique persuade aux foules de se révolter pour leur salut, pour leur bien à elles, il feint de n’être que leur porte-parole et leur serviteur (le ‘grand’ serviteur de l’État). L’art du républicaniste de nos jours consiste à donner aux peuples l’illusion de mener un jeu révolutionnaire, d’être cause première là où les peuples ne sont qu’instrument servile, et que ce même républicaniste est depuis longtemps la marionnette de la finance juive internationale.

La révolution de 1789 est un pire conformisme que la Monarchie, parce que toutes révolutions et tout chaos humain sont autant de conformisme que dans le conformisme de l’ordre établi et de sa routine robotisée.
« À 20 ans les illusions de la jeunesse et le désir de tout foutre en l’air, et à 40 ans arrivent les préjugés ». Les révolutions sont des balbutiements suivis de très près par le radotage… voyez celui de nos politicards républicains actuels avec leur « valeur » et leur « croissance »… « Croissance, Valeur » sont des attrape-couillons de cette république. Comme la super Carotte « Fin des temps » de la Synagogue « aller de l’avant » ou « croissance » signifie SE LAISSER DUPER (la carotte pour faire avancer l’âne, et aujourd’hui la carotte c’est l’argent). La carotte c’est l’illusion révolutionnaire, car elle est aussi tenace que la « fin des temps » de la Synagogue : une Tour de Babel qui nous éloigne de la Terre sans nous rapprocher du Ciel !
Aujourd’hui c’est Dieu ou rien, ou le Soi-Instant ou rien, plus de milieu : entre la Liberté et l’esclavage il n’y a pas de milieu.

Plus ça change et plus c’est la même chose, comme dit le populaire.
Tous les révolutionnaires du monde actuel : Hitler, Robespierre, Lénine-Staline-Trotsky, Mao, ont déliré d’optimisme : tous nous ont promis comme la pub à la télé : le « Nouveau », soit un monde nouveau et régénéré. Céline a résumé parfaitement le processus : « Tous les assassins voient la vie en rose, ça fait partie du métier ». Il est connu que celui qui travaille à l’amélioration de la condition humaine a généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque !
Gustave Thibon disait : « La société devient enfer dès qu'on veut en faire un Paradis ».
Ainsi la « fin des temps » des Juifs talmudistes, la Synagogue, est-elle la super CAROTTE EMPOISONNÉE.
Faire Tabula rasa du passé comme en 1789, 1917 en Russie ou dans la Chine de Mao, en croyant détruire tous les trésors du passé, tous les jalons de l’éternel dans l’Instant, mêlés aux fausses valeurs du présent et jeté indistinctement à l’égout : liquidation simultanée du meilleur et du pire, alors on devient CONSERVATEUR comme le républicanisme présent !

Qu’est-ce que c’est la « croissance » et la « valeur » des politicards actuels ? C’est le rêve, la carotte « fin des temps » qui éloignent irrémédiablement de l’Instant ou Soi. Braire et hurler « Valeur, Croissance, Pouvoir d’achat » sont des cris de poupées, de robots parlants tels ces modernes techniciens mettant en résonance la tyrannie de l’opinion.
On se protège de la tyrannie de l’opinion de l’étatisme par le Connaître toi-même par toi-même, soit en se retranchant dans le Soi-Instant : là ou Dieu invente l’humain et l’humain invente Dieu (par paraphraser l’entretien 264 de Ramana Maharshi cité si souvent dans le site). Cette protection implique le NON VIVRE ENSEMBLE, un 'vivre ensemble' désormais facilité par la mode du social (et ses réseaux), c’est-à-dire une super superficialité, une super laïcité. La rupture d’avec le monde à l’imitation de Jésus qui se proclamait étranger au monde : « Je ne suis pas du monde »… Bref, SE FAIRE LIQUIDE, TRANSPARENT DANS LE MONDE, donc échapper à tous contrôles ou Big Brother. Devenez EAU, et l’étatisme ne pourra plus rien contre vous, il donnera comme on dit : « Des coups d’épée dans l’eau ».

Après plus de 200 ans de républicanisme, la crise passée de ses débuts sanguinaires de Guillotine, les miasmes de 1789, ses « valeurs », continuent à corrompre notre monde : la crise, grosse d’une résurrection à la Yahviste, n’a enfanté que des désordres et du marasme et du mécontentement permanent…
Bref, la mère république n’a fait que donner naissance à un embryon rabougri, un avortement. Comme dit un proverbe, le poisson pourrit toujours par la tête : la dégradation de la situation dans le monde ne peut venir que de l’oligarchie étatique qui détruit le monde et ses peuples. Cependant les peuples se laisse contaminés par cette pourriture oligarchique ! Toute la faute ne peut pas venir que de l’autorité ; tout le mal ne vient pas du haut de la pyramide, comme si les peuples ne portaient en eux aucun désordre et ne pouvaient recevoir le mal que d’en haut. Le mal du Nouvel Ordre Mondial est à la fois en haut et en bas. Cependant l’oligarchie a une responsabilité plus lourde. Car l’oligarchie ou les meneurs exercent par la tyrannie de l’opinion à travers leurs médias un magnétisme sur les peuples, et essayent d’équilibrer le social pour éviter toute révolte. Mais quand l’oligarchie est pourrie comme maintenant, la séduction qui émane d’elle pourri les peuples, les endort et engendre un chaos, car toute corruption est, par nature, une révolte contre l’harmonie ou Unité.

Pour parler façon créationniste, si Dieu créateur suprême a raté sa création, alors pourquoi n’a-t-il pas fait de révolution en détruisant tout, puis en recréant à nouveau un monde ??? Ce qui amène qu’il n’y a pas de Chute et que la Félicité ou un « monde parfait » EST NOTRE ÉTAT NATUREL. Seuls les humains sont capables d’inventer l’enfer.
Les révolutions en niant le passé et les Anciens nient en réalité les besoins éternels de l’être humain. Et par là, les révolutions en guerre contre le passé, comme le sont les Talmudistes Juifs avec leur « fin des temps », au lieu de nourrir l’avenir l’empoisonne (avec leur fin des temps). Ce qui blesse l’Essence humaine ne peut pas servir le « progrès » humain. Donc il n’existe pas de Chute ; il n’existe que le ici et maintenant ou Soi-Instant. La seule Vraie révolution fut le Christianisme : « Dieu est descendu sur Terre, il s’est enfoncé en elle, et ainsi apporte l’Amour dans la ‘bassesse’ du Christianisme alors que le judaïsme et depuis 2000 ans le talmudisme ne jure que par l’élévation. Seulement en réalité, rien n’est plus haut que cette bassesse, et rien n’est plus opposé au mensonge révolutionnaire (comme toutes les révolutions !)
« Le parfait révolutionnaire est celui qui, sans l’aide de Dieu, prétend renouveler les défis de Dieu à la nature » écrit Gustave Thibon dans : Diagnostics. (Gustave Thibon était un ami de Jean Coulonval).
Le Christianisme à ses débuts est un mouvement populaire parce que venant du Soi-Instant.
L’idée de démocratie moderne est que les masses prétendent se guider elles-mêmes. Or ce n’est pas le cas puisque l’État n’a jamais été aussi présent, encore plus que sous l’Ancien Régime. Les masses se guidant elles-mêmes : OUI PAR L’OPINION !!! Donc par le « exploitez-vous les uns les autres dans le super banquet consumériste du capitalo-socialisme ! », la guerre de tous contre tous et nullement le « vivre ensemble ».
 
 

Dernière mise à jour : 07-07-2015 00:15

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