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Mal absolu présent : la finance internationale Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-07-2015 20:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Mal absolu présent : la finance internationale
et sa City de Londres
C’est cela qui est à combattre,
le Temple des Yahvistes
et leur mentalité capitalo-socialiste.


La Chute ou le secret du négoce…
c’est-à-dire les pires horreurs
produites par le mental des Yéhvistes.
Il est connu que le mercantilisme
c’est TROMPER : sonner de la trompe, ameuter, faire
de la publicité, faire de l’entertainment,
en jeter plein la vue pour vendre.
Il n’est point étonnant que notre époque
soit celle de l’ARTIFICE, DU EYES CANDY.
Il est est de même de l’histoire ou évolution.


Ces gens idolâtres qui ont de l’Or qui leur coule des narines.
C’est la religion du PIPI-CACA.


Qui est Satan, le Grand Architecte de l’Univers, le Pouvoir ? Sinon l’humain lui-même, son mental, sur lequel repose son Soi divin ou Réalisé !
 
 
Le Grand Architecte de l’Univers et sa BAISSE DES PRIX : DEMAIN ou à la fin des temps ON RASERA GRATIS ou MEILLEUR MARCHÉ.

La City de Londres et son Empire USionistan est condamné, car il est dit que notre âge actuel de Kali Yuga se transformera en rétablissant la Vraie Justice sur Terre. De plus, toute naissance se succède par une mort (puisque l’être devient physique), alors l’Empire est déjà condamné ; un cataclysme d’importance universel ne peut que conduire à un nouveau cycle une nouvelle race. Alors c’est l’époque où régnera la TRANSPARENCE, dans le sens qu’enfin chacun aura dompté son mental et uniquement par lui-même. Les humains seront changés, ce sera la SIXIÈME RACE (ou Ronde-Cycle, ou Racine) qui portera les semences d’autres humains qui donneront naissance à la Septième Race-Racine, celle des réalisés ou Buddhas, Les Fils de Dieu ou du Soi-Instant, nés de parents immaculés ; alors il n’y aura plus de temps qui coule, ce qui ne veut pas dire fixation comme la ‘fin des temps’ des yahvistes, mais fluidité perpétuelle, ce qui n’est aucunement le cas maintenant où tout devient opaque. Alors dès la sixième race, la City de Londres et son Nouvel Ordre Mondial auront perdu depuis longtemps. Nouvel Ordre Mondial ou RÉPUBLICANISME : une seule religion, une seule monnaie, une seule langue (l’anglais ou langue du business) : illustration du Satan, un ange courageux pour se croire un Dieu, et assez riche pour acheter son indépendance, et très beau pour être adoré en pleine lumière et dans tous médias. La différence avec l’Origine ou Âge d’Or est que l’humanité entière n’avait qu’une religion, une seule langue (Télépathie), mais pas une monnaie mondiale comme le rêve l’oligarchie judéo-anglo-américaine !
 
Oui, la seconde guerre mondiale contre l’Allemagne ne fut qu’une guerre idéologique ou guerre d’OPINION : la guerre des Couilles en Or ou capitalisme contre le National-Socialisme, car la politique allemande de ce temps faisait dans le pouvoir économique du QUALITATIF, comme sous l’Ancien Régime en France, et ça ne correspondait pas avec la montée en puissance de l’Empire USionistan et des Yahvistes. Pour cela il fallait éliminer l’Allemagne et ses habitants, chose même pas vu dans les Gaules contre Jules César !
Le mal absolu est lié au 10.000 ans de la voie de l’Agriculture.

Nombre de ceux qui se font appeler actuellement « Juif » sont à la tête de la finance internationale. Se souvenir aussi que ce sont des idolâtres : culte phallique en la circoncision au huitième jour (voir encadré en bas d'article). C’est une religion de haine et de malveillance envers tout ce qui est contre elle et en dehors d’elle. Philon le Juif expose la vraie foi Hébraïque : « Les Écritures sacrées, dit Philon, prescrivent ce que nous devrions faire et nous commandent de haïr les Païens, ainsi que leurs lois et leurs institutions ».
Les Hébreux ou Yahvistes haïssaient publiquement le culte de Baal ou de Bacchus, mais pour en pratiquer en secret, comme les Marranes modernes, les plus mauvais détails.

En faite la Chute commence par la descente sur Terre de « Dieux », soit tomber dans la Matière ! Soit l’incarnation ou mélange de Sperme de Dieux avec celui des animaux-humains de « l’époque ». La Terre est la Matière (Ma-Terre) dense par excellence : là commence l’impure, la dualité. Là commence l’opinion de « péché originel » parce que c’est comme de nos jours le Super Confort, une consolation en forme de religion du Salut comme remède de Big Pharma à ce monde.
La Chute commence avec la dualité sujet-objet : le SAVOIR (de Sa ou Ça et voir : voir cela ou avoir des preuves… des valeurs... on est donc dans le marchandage vendeur-client ou sujet-objet… « Ses yeux furent ouverts » dit l’Ancien Testament).
Il ne peut pas y avoir d’évolutionnisme à la Yahviste, Darwin, Freud, Marx, etc., tous opinions matérialistes, l’être humain étant un résumé du Tout à lui seul, une sorte de répertoire de toutes les formes organiques potentielles et le point central d’où toutes celles-ci rayonnent ; il ne peut avoir pour origine qu’un type qui lui est de beaucoup supérieur : « l’Homme Céleste », ou Dhyân Chohans (intelligences cosmiques cantonnées dans le système solaire).
J’insiste, l’être humain est un résumé du TOUT, avec son actuelle forme humaine dans laquelle toutes choses sont comprises puisque tout est dans le mental. Ainsi, si le secret de cette universalité est connu, et quand il sera connu, et certainement pas par le machinisme des transhumanistes, alors l’humain qui connaîtra ce secret aura un immense et terrible pouvoir, car il pourra modifier sa  forme visible en n’importe quoi, y compris se rendre invisible ou transparent comme l’air, ou devenir comme un nuage, une goutte d’eau…
 
Certains expliquent l’origine du mal de façon exotérique : « La lumière ne peut produire que la Lumière (le Blanc) et ne jamais être l’origine du Mal ». Alors comment le Mal se produit-il puisqu’il n’y a rien d’égal ou de semblable à la Lumière dans sa production ? Ces gens disent que la Lumière produit divers Êtres, tous spirituels, lumineux, mais un Grand Être (Ahriman, Lucifer, etc.) eut une pensée, un mental ombrageux, ou mauvaise pensée contraire à la Lumière. IL DOUTA (divisa), résultat : l’ombre. Lucifer ou le Super Grégarisme genre inconscient collectif… juste en-dessous de ce que d’autres nomment « Lumière Astrale », servant aussi bien à créer qu’à détruire.
Cependant ce ne fut pas la vérité, car ce ne fut pas une « mauvaise pensée » qui donna naissance à la Puissance opposé ou dualité sujet-objet, mais bien la Pensée elle-même : SOIT L’ÉVOLUTIONNISME OU TEMPS QUI COULE, c’est-à-dire l’Histoire, le But à atteindre (la ‘fin des temps’), tous éléments limitatifs qui se retrouvent en contraire avec le pur état naturel et de spiritualité ou perfection absolue. C’était donc le système de l’évolutionnisme qui se mettait en place, et qui sera repris par les trois religions abrahamiques. Le progrès du développement mental, différencié de ce que sont les ESSENCES ; un mental totalement corps ou matière. À partir de la Chute allait naître la THERMODYNAMIQUE : l’humain voit la première étincelle produite par le frottement de deux morceaux de bois, ou jaillissant des veines d’un morceau de silex. Faire du feu à volonté est la première religion de l’homme qui commence à se prendre pour un Dieu. Le reste n’est qu’un détail de l’histoire ou évolution, si on raisonne en évolutionniste…
Il est signification que le plus vieux des Aeons (Éons), Protogonos, soit le « Premier né » ou temps qui coule, car qui dit naissance dit naturellement mort au bout.    

La Terre de notre monde des accidents où les peuples souffrent est celle des individualités, des ego, alors ont naît de chair et cette chair pourrira. Avant la cinquième race, la nôtre, les premières et secondes races ne mourraient pas mais se transformaient, car les humains de ce cycle n’avaient pas d’individualité mais des Monades ou « Souffles de l’Unique », aussi impersonnels que la source d’où ils émanaient. Ils n’avaient que des ombres de corps, sans péché, donc sans karma, puisque sans dualité. Semblable à l’Oiseau Phénix, l’humain primordial ressuscita de son ancien corps pour renaître dans le nouveau. Par la suite la mort ne put apparaître que parce que le corps se densifia, et avec lui, la naissance de la décadence morale.


Reprise de la définition du mot Histoire, par conséquence du mot évolution :
L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.

« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).


QUI DIT CHUTE DIT COMMERCE.

Question commerce, au Moyen-Âge, il y avait l’équilibre producteur-consommateur, parce que le monde était paysan, et que le lopin de terre équivalait à une réelle subsistance : citadin-client accordé avec producteur-paysan. Il y avait une sorte de « morale commerciale », un ACCORD : protéger le producteur et le commerçant contre les dépassements de son voisin sur son champ d’activité et sa clientèle. S’il y avait empiètement d’une branche de commerce sur une autre, les corporations veillaient au grain en maintenant le monopole de possession ou production, notamment en clôturant l’accès d’une corporation où le monopole de métier était menacé. En ce temps la morale commerciale consistait à attendre le client assis dans sa boutique, ce qui devait naturellement se produire. « La chasse aux clients » était interdite par la Chrétienté et il était immorale d’enlever des clients à son voisin, donc il y avait un équilibre entre tous. Ainsi au 18è on pouvait lire que « Personne ne doit empêcher qui que ce soit d’acheter une marchandise ou de lui rendre l’achat impossible par une augmentation exagérée du prix, sinon c’est la confiscation de la marchandise ». Évidemment au Moyen-Âge on ne faisait pas de « réclame » ou « annonce commerciale », c’était interdit. L’annonce commerciale commence en Hollande vers la seconde moitié du 17è siècle (arrivé des Yahvistes et de leurs banques).
La « Réclame » se seront d’abord les affiches : placard attaché en lieu public pour rendre une chose notoire à tous. Bien-sûr à partir du moment des affiches, il y avait aussi autre chose que des annonces commerciales, comme par exemple les horaires de départ de bateaux, le changement de domicile, etc.

À Paris et ses faubourgs en 1760 une ordonnance interdit à tous marchands de gros et de détail de chercher à devancer les uns les autres pour écouler leurs marchandises, et surtout de distribuer des prospectus destinés à attirer l’attention sur celles-ci. Bref, on était dans l’ancienne conception commerciale d’après laquelle la production et le commerces des biens n’existent qu’en fonction de la consommation des biens dans les meilleures conditions possibles. On ne produisait pas encore pour produire ! Et les marchandises étaient de QUALITÉ, elles semblaient être réellement ce qu’elles devaient être. On n’était pas encore dans l’ère capitalo-socialiste du quantitatif et de produire pour produire. On avait un métro de retard sur la Réforme et la Renaissance qui chamboula la manière de pensée par l’invention de l’imprimerie et le mode de penser : car depuis est né un bouleversement par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses - donc le commerce égalitaire production-consommation réelle, et non produire pour produire - à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée. Notre conception moderne du monde moderne et de nous-mêmes « est un sous produit de l’invention du monde sur le papier », pour faire référence à D.R. Olson : L’univers de l’écrit.

Le capitalo-socialisme c’est produire, produire, produire, donc croissance, croissance, croissance, d’où la pollution, le chômage à cause de la robotique, etc. C’est l’ère du quantitatif, du code-barres, de la déshumanisation mondiale, du speed et on se fout de la qualité. Dans le capitalo-socialisme seule la VALEUR D’ÉCHANGE COMPTE, ça devient virtuel comme la monnaie de la City de Londres et ses Cartes bancaires. Nous sommes rendus à L’ÈRE DE LA PACOTILLE ou MIROIR AUX ALOUETTES.

Au Moyen-Âge le « juste prix » était comme la référence à Olson ci-dessus : sauvegarde des intérêts du producteur, du marchand et du consommateur ; c’est-à-dire que le prix est établit d’après les frais de travail que la fabrication d’une marchandise à coûté au producteur ou commerçant, un prix établi sur la base de frais de production ; on était encore dans le LOCALE (comme avant l’ère chrétienne on était dans l’HEURE LOCALE). Mais à partir du 16è siècle le « juste prix » va chanceler en devenant de plus en plus dépendant des variations du marché. À cela s’ajoute les lois interdisant à un individu de fixer son prix !
Bref, c’est à ce monde encore stable et solide du qualitatif que les Yahvistes vont donner l’assaut. Les marchands chrétiens ne cessent de se plaindre des pratiques commerciales des Yahvistes. On en arrivait à la division « peuple élu du commerce » et « peuple non-élu du commerce ». De toutes façons il y avait aussi de la fraude chez les marchands chrétiens ! COMMERCE = FRAUDE.
Ainsi, en matière de commerce pur, le Yahviste FAIT DES AFFAIRES (fer/faire), ce qui intéresse particulièrement. Donc ce qui EST DE L’HISTOIRE, on dit QUELLE HISTOIRE, pour une affaire… Une affaire c’est aussi le sens de CAUSE : traiter une affaire, être dans le coup ; faire des affaires ou faire des RÈGLES, et notre époque est celle des LOIS à n’en plus finir : l’époque de la NOMOCRATIE. Donc le Yahviste ne fait que des affaires, et peu importe la marchandise ni sa qualité, seul compte l’appât du gain, le profit, le bénéfice. Ainsi le Yahviste est le vrai capitaliste et ne pouvait que « faire affaire » avec la City de Londres et son Wall Street.

JUDAÏSME = AMOUR… DU GAIN. Un seul objectif, la « fin des temps » ou ARGENT, le Royaume de Dieu (juif) sur Terre. Seule compte pour eux la matière, du LOURD, tout évaluer, mesurer, analyser, travailler du chapeau ou mental, bref : CALCULER (les petits cailloux). Je pousserais jusqu’à écrire que ce sont les Yahvistes qui ont inventé l’ordinateur ! Pour ces gens, tout a un prix, et évidemment il varie « en fonction du marché ».

Notre monde actuel a pour religion mondiale L’APPÂT DU GAIN, l’USURE, la RICHESSE (croissance). Le jaune (d’or) est la couleur favorite des Yahvistes (selon un proverbe allemand et russe). L’évolutionnisme, c’est les Yahvistes, l’expansion commerciale, eux aussi : ils attirent à eux comme un aimant tous les commerces, toutes les industries, et ont des tendances irrésistibles à l’expansion. Ils font dans l’universalité du commerce, et donc en font une religion… et une idolâtrie : accumulation dans leurs boutiques des objets laissés en gage…

Le mal absolu de l’appât du gain ne pouvait que se renforcer en Angleterre, et avec lui il est naturel qu’il se forma à Londres en 1717 l’actuelle judéo-franc-maçonnerie dite « spéculative », parce qu’elle ne construit plus rien, sinon elle place ses membres dans des banques ou des cabinets d’affaires ! Le maçon Belge Ragon dans sa Maçonnerie Occulte, reproche aux maçons anglais d’avoir matérialisé, déshonoré la Franc-Maçonnerie, jadis basée sur les anciens mystères, en adoptant, par la suite d’une notion erronée de l’origine de l’association, les noms de « franc-maçonnerie » et de « franc-maçon ». Selon Ragon l’erreur est due à ceux qui rattachent la franc-maçonnerie à la construction du Temple de Salomon, ce qui depuis 1717 en fait bien une judéo-franc-maçonnerie.

Le libéralisme est un dogme judéo-maçonnique : la libre entreprise établit comme une NORME, une LOI : les Yahvistes sont à la fois en rébellion contre l’État mercantile, et cherchent à faire triompher la liberté du commerce sans aucun égard pour les opinions économico-politiques qui sont à la base du mercantilisme ! « Le Juif a rempli sa boutique de chapeaux, de chaussures, de bas, de gants de peau, d’objets en fer blanc et en cuivre, d’objets vernis de toutes sortes, de meubles, de vêtements confectionnés ; tous ces objets sont de provenance étrangère et ont été apportés par les navires anglais », cite W. Sombart dans Les Juifs et la vie économique. Sombart ajoute qu’en France presque toutes les marchandises qu’apportent les Juifs sont étrangères. Il précise qu’en revanche, ils exportaient volontiers des matières premières, véritable hérésie selon les industriels de Hanovre au 18è siècle. Selon leurs intérêts commerciaux, les Juifs ne tenaient aucun compte des frontières érigées entre les États et les séparations qui existaient entre les différentes branches de l’industrie ; ainsi on peut comprendre le mondialisme actuel et son rêve d’une gouvernance mondiale pour faciliter le business. Les Juifs violaient le principe du Moyen-Âge de l’économie corporative et même celui du début du capitalisme qui interdisait d’enlever, de détourner à son profit les clients du voisin. Bref, les Juifs courent, ouvertement ou en cachette, partout après les acheteurs et les vendeurs, alors que d’après la politesse commerciale ils devaient attendre les acheteurs dans leurs boutiques. Werner Sombart cite des témoignages. Bref, les Juifs sont les champions du prosélytisme mercantile et du contrat d’achat !
W. Sombart cite le témoignage d’un Allemand de l’Ouest au 18è siècle : « C’est un véritable martyre que de se promener dans les rues d’une ville ayant de nombreuses population juive. À chaque instant et à chaque pas on est assailli par leur commerce. À chaque instant et à chaque pas on entend la question : « fait-on une affaire ! achète-ton ceci ou cela ? ».
Cela me rappelle le quartier de Pigalle à Paris où il y a quelques années on ne pouvait pas se promener sur le Boulevard de Clichy sans se faire aborder par le portier d’une boîte de streptease ou d’un cabaret louche. « Toucher directement le client » était le mot d’ordre des Yahvistes, une litanie encore en usage en 2015 : voyez « LA RÉCLAME ». Dès 1711 en Hollande une réclame datée du 28 mai 1711 : « Le public est informé qu’un marchand hollandais (juif), arrivé dans notre ville avec un assortiment de thés d’excellentes qualités et d’un prix peu élevé, est descendu chez M. l’avocat Boltzen. Les personnes que cette nouvelle intéresse feront bien de se presser, le séjour du marchand dans notre ville ne devant pas dépasser huit jours ». Là encore de nos jours ça n’a pas changé !!! Selon Sombart, la première réclame est insérée dans un journal en Hollande en 1753 et serait celle d’un guérisseur d’yeux, nommé Laazer. Werner Sombart fait bien de préciser que les Juifs sont les pères de la presse quotidienne moderne, soit l’organe de la réclame, de la propagande par excellence. Ils sont surtout les créateurs de la presse à bon marché, genre « Petit Journal » qui servira de modèle.

LA DÉMOCRATIE EST UN CAPTAGE DE CLIENTÈLE : augmenter la clientèle par la création de nouveaux besoins : de nos jours la tablettes informatique en est un parfait exemple ! Idem pour le tétéphone portable. Ainsi les mots clés seront efficacité et rendement, à y ajouter la compétition. Les Yahvistes furent les premiers à SÉDUIRE L’ACHETEUR, À LE TENTER, soit le principe premier du commerçant qui a le devoir de donner à son offre de service une forme susceptible de lui attacher la plus grande partie de la clientèle existante, ou d’augmenter sa clientèle par la création de nouveaux besoins. Ce qui n’est guère étonnant puisque chez les Yahvistes tout est basé sur le but à atteindre : la fin des temps ou SUPER CAROTTE : LA VENTE AU RABAIS, soit une inversion de l’Origine !!! Et c’est ce qui rendait haïssable le Juif aux yeux des Chrétiens commerçants qui s’efforçaient de maintenir les prix ; mais le Juif gâchait les prix par ses marchandises « bon marché ».

Ces Yahvistes qui ne jurent que par la LOI se moquent d’elle en matière économique qu'ils appellent « rabais » ! Voir l’actuelle mode des soldes. Mais pourquoi des prix bas ? La marchandise serait-elle de médiocre qualité ? Ou pire, serait-elle volée ou avariée, ou impropre à l’usage ? Non, les Yahvistes en tant que parfaits idolâtres sont les créateurs du SUCCÉDANÉ :  de cesser, du latin succedaneus, de succedere (remplacer, succéder). Là encore nous sommes dans l’évolutionnisme. Succès, et damné : donc du FAUX, de l’ARTIFICIEL, du EYES CANDY ou substitut ; exactement comme une photocopie de photocopie de photocopie, et à chaque copie ou passage dans la machine la qualité est dégradée. Donc la marchandise sera fabriqué par des machines et en grand quantité, et de ce fait elle sera plus économique ; c’est le principe économique Yahviste. Ils appliquèrent leur système en premier dans le textile, le café, les matière colorantes, donc la chimie (Alizarine et explosion de l’industrie de la chimie tout au long du 19è siècle).
Si les Yahvistes inventent l’économie du SUCCÉDANÉ, ils inventent aussi le SPEED genre « date de péremption » : l’écoulement rapide des marchandises à petit bénéfice est incomparablement plus avantageux qu’un écoulement lent à gros bénéfice. L’actuelle date de péremption est nécessaire à la production, sinon les ouvriers dans les usines se retrouveront rapidement au chômage !
Donc petit bénéfice, grand écoulement.
La mécanisation gagnant toute la société occidentale au 19è siècle permit la réduction du prix de revient des marchandises, soit par l’emploi d’une main d’œuvre esclave bon marché (cas du 19è siècle), soit par le recours à des méthodes de production perfectionnées, grâce au développement foudroyant de la technologie.
Bref, les Yahvistes se sont emparés de très bonne heure des branches importantes de l’industrie capitaliste, surtout liée à l’industrie domestique appuyée sur le commerce, notamment l’industrie textile.

Selon Werner Sombart, les Juifs sont les maîtres de transformer et vendre des objets les plus ordinaires sans valeurs apparentes, comme des chiffons, des peaux de lapins et autres, des noix de galle… Il sont comme les créateurs de l’industrie des déchets. Jusqu’à quel point le BAZAR est d’origine juive ? On dit d’ailleurs : foutre le bazar ! Ou : « Qu’est-ce que c’est ce SOUK !? », ce qui conforte l’idée frankiste du Juif fomenteur de révolutions, de discordes, de chaos pour activer l’arrivée de leur messie.
En tant que prêteur sur gages, les Juifs sont les premiers à réunir tant d’objets hétéroclites, genre supermarché moderne où l’on trouve de tout. Aux USA au 19è siècle presque tous les bazars sont tenus par des Juifs.

J’écris et j’affirme que ce qu’on nomme de nos jours « démocratie » n’est que pur produit commercial, donc pur produit INDIVIDUALISTE, CAPITALISTE (même du temps de l’URSS). Le principe du commerce est basé sur L’EGO : ruse ou raison, astuce, finesse, magnétisme nommé « amour », « magie », lois. Il faut reconnaître que les JUIFS SONT INNOVANTS : un mental capitaliste avant même l’apparition du capitaliste ! On n’est pas « peuple élu » pour rien !!! Donc ils sont grands responsables de l’état actuel de l’Occident.


Pourquoi les Yahvistes sont-ils les maîtres ou élu du commerce ?
Mais parce qu’ils idolâtrent l’argent : donner de la valeur à ce que le mental observe, alors que tout est dans le mental. Donner une valeur à quelque chose c’est la faire exister : ‘le nom-la forme’. On est dans les temps duels, le binaire du « pur-impur » ou « bien-mal » : « Vous êtes avec nous ou contre nous ! », comme la LOYAUTÉ, l’ALLIANCE, qui est à distinguer de COURAGE (valoir, valide, être puissant, donc avoir du pouvoir), on est encore dans le MARCHANDAGE, donc dans la dualité vendeur-acheteur ou sujet-objet.

Ce sont les prophètes des Yahvistes qui inventèrent l’histoire en lui donnant de la valeur : les faits historiques deviennent des « situations de l’humain face à Dieu » (face à l’opinion de une ou plusieurs personnes), et comme tels ils acquièrent une valeur religieuse que rien jusque là ne pouvait leur assurer. Ils deviennent une CROYANCE en une HISTOIRE. Comme l’écrit Mircea Eliade dans Histoire des croyances et des idées religieuses : « Aussi, est-il vrai de dire que les Hébreux furent les premiers à découvrir la signification de l’histoire comme épiphanie de Dieu », une conception reprise et amplifiée par le christianisme, qui exécrait l’argent qu’il considérait comme sale, à la différence du judaïsme.
Dans le monde brutal il y a plus de 4000 ans, il apparut que donner de la valeur à une rondelle de métal (cuivre, bronze, etc.) permettait de régler, ou d’accorder les relations humaines sans recourir à faire couler le sang. L’argent commençait à devenir une religion : relier ou accorder les gens entre eux. Et comme les Yahvistes se désignaient « peuple élu », ils devinrent maître en commerce. Pas besoin de Werner Sombart pour prendre conscience de ces arguments.
Pour le Chrétien, argent et sexe c’est sale ; pour le Juif ce n’est pas sale puisque il pratique un culte phallique en la circoncision au huitième jour. Qui dit circoncision dit LOI, marquage ou NORME. La question d’hygiène du pénis toujours avancée ne tient pas la route. Ou alors la circoncision est un culte à l’envers : l’organe sexuel est considéré comme sale, donc on le « castre » en seulement le faisant circoncire ! Je rappel que la merde ou excrément, du point de vue symbolique, est comparable à l’Or métal qui cause tant de drames et d’horreurs en ce monde. Mais alors, le Créateur, ou les Dhyân Chohans, auraient-ils foiré ce petit bout de corps dans leur idée de conception de l’être humain ?

Symboliquement la circoncision peut se comparer à la répétition de la séparation de l’enfant de son cordon ombilical, mais c’est une comparaison grotesque ! La circoncision est plutôt un marquage comme le CODE-BARRES, un signe distinctif de se démarquer des autres peuples, un code-barres identifiant une communauté, donc du racisme. Un code-barres qui marque l’alliance entre « Dieu et son peuple ». Bref, UNE MONNAIE D’ÉCHANGE, UNE FIDÉLITÉ DE CLIENT À DIEU, comme l’est la prière (sens de prendre : l’offre supposée et la demande).
Le symbolisme phallique tient un rôle important dans le judaïsme : le culte de la vie, comme chez les Païens, que les Hébreux combattaient ! Le phallus symbolise le Moyen-Orient, l’Est, la chaleur-lumière. Tout dépend de ce que l’on fait de ce petit bout de chair, ou « septième membre » !

EN RÉSUMÉ : ce qui détruit ce monde, la Nature, bien plus que l’argent, c’est l’opinion devenant DOGME : CROIRE-CRÉDI-CREDO, soit le travail du chapeau ou mental. Mais c’est là aussi où se trouve le Soi-Instant ! C’est rigolo comme tout ! Il y a vraiment de quoi exploser de rire ; c’est d’ailleurs ce que font les Taoïstes et autres Buddhas (Éveillés) ou Réalisés… puisqu’encore une fois, l’être humain est le TOUT, la TOTALITÉ DE L’UNIVERS.



[En références à : La Doctrine secrète, Vol.4, de H.P. Blavatsky ; Les Juifs et la vie économique, de Werner Sombart]

[En haut de page : monnaie grec ancienne, qui permettait d’acheter des esclaves et de favoriser déjà le profit ou pur commerce de l’argent. La chouette avait une réputation de voleuse et était l’emblème d’Athéna, et de la réflexion afin d’éclairer… Divinité aussi de la mort et des cimetières. Alors, pourquoi dans les langues latines ce qualification de « chouette ceci ou cela », ou « chouette femme », ou « chouette esclave » ???]
 
 

Dernière mise à jour : 26-07-2015 21:43

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