Il n’y a pas de connaissance
Savoir c’est se faire A-voir : privation de voir !

Preuves que « l’immortalité » rêvée par les Google et ses transhumanistes n’existe que dans leur mental !

Page dédiée aux assassins de Dragons, comme l’archange Michel ci-dessus ; un demi criminel. Un demi diviseur (son nom commence par MI), parce qu’il est, avec ses potes archanges et anges, quand même un FUSIBLE contre ce mondialisme satanique et anti-Création. C’est pourquoi je leur dédicace cette page.

 

 

« L’oubli de votre nature véritable est votre mort actuelle ; son souvenir est la renaissance. Il apporte un terme aux naissances successives. Votre nature véritable est la vie éternelle ».
« La pensée ‘Je suis le corps’ est ignorance ; la pensée que le corps n’est pas séparé du Soi est connaissance. Voilà la différence entre connaissance et ignorance ».
(Ramana Maharshi, entretien 396, du 12 avril 1937).
Le mariage de connaissance et ignorance donne LA SIMPLICITÉ.

Il n’y a pas de connaissance parce qu’icelle implique la dualité sujet-objet ; or celui qui prétend connaître est extérieur aux choses. L’être humain en union avec le Soi ou Instant, ou TAO, n’a plus la dualité sujet-objet puisqu’il est identique au TAO, seule Réalité possible, masquée à l’humain actuel endormit par la fantasmagorie des phénomènes, surtout « énergétiques », technologie galopante oblige !

 

L’ennemi de la Liberté c’est le mental, donc NE PAS PENSER, NE PAS TRAVAILLER DU CHAPEAU. C’est pourquoi la formule, le principe de la Taoïcité est le NON-AGIR (wuwei). Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement. « De même, dans la technique de la méditation, l’extase consistant à « s’asseoir et perdre conscience (zuowang), extase qui laisse l’esprit (le cœur, xin, disent les Chinois) libre sans lui imposer de sujet de méditation (cunsi), est supérieure à la concentration par laquelle on lui impose la vision des Dieux et des Esprits pour les surveiller ou pour entrer en relation avec eux », écrit Henri Maspero, dans : Le Taoïsme et les religions chinoises.

La Connaissance ou Science n’est pas quelque chose qu’on acquière comme on achète une automobile ! La Connaissance n’est pas quelque chose de nouveau, ELLE EST TOUJOURS AVEC NOUS, mais troublé par l’ego et les divisions. Retrouver la Connaissance c’est réaliser le Soi-instant. Et c’était facilité en Chine parce qu’il y avait des auberges publics GRATUITES : on mangeait et pouvait être hébergé pour dormir gratuitement.

« La vraie Connaissance est au-delà de la connaissance relative et de l’ignorance. Elle ne revêt pas la forme de vritti [activité du mental]. En elle, il n’y a ni sujet ni objet », Ramana Maharshi, entretien 68.

Le Soi, le TAO, comme l’Instant, est toujours présent. Le Soi, le TAO, l’Instant ne peut pas être « nouveau », Il est toujours le même, sa définition est : « Je suis ce JE SUIS », comme la Déesse égyptienne MÂAT : ÊTRE, CONNAISSANCE, ni ignorance ni connaissance.

« Le chit est Connaissance pure et simple. Le mental procède d’elle ; il est fait de pensées. Lorsque l’obscurité ou l’ignorance s’interposent, la pure Connaissance semble différente de ce qu’elle est en réalité. Elle est perçue comme le ‘je’ et le ‘monde’ qui sont pleins de désirs, d’attachement, de haine, etc. Voilà pourquoi on dit que les désirs, etc. voilent la Réalité.
…
La Connaissance se trouve derrière la connaissance relative.

…
Il est dit : ‘Demeure libre de pensées’ et puis ‘Cela n’est réalisé que dans un mental tourné vers l’intérieur’. Ainsi, le mental, rendu libre de pensées et immergé dans le Cœur, est pure Conscience (chit) », Ramana Maharshi, entretien 589.

JE SUIS, est être au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il demeure tel qu’il est naturellement, c’est Tout.
Le « progrès », la « croissance » ne peuvent être invoqués que s’il s’agit de « choses nouvelles », donc des biens, du matérialisme, mais ici il s’agit de supprimer l’ignorance et non d’acquérir la connaissance comme on achète un ordinateur. Quel genre de « progrès » peut-on attendre dans la recherche du Soi ou Instant ? J’ajoute : QUEL GENRE DE PROGRÈS PEUT-ON ATTENDRE DE L’IMMORTALITÉ ICI-BAS OU « AILLEURS » ?

- Question : Comment se défaire de l’ignorance ?
- Maharshi : Vous dormez dans votre lit à Tiruvannamalai et vous rêvez que vous vous trouvez dans une autre ville. Pour vous, la scène est réelle. Votre corps reste cependant ici étendu sur votre lit. Une ville peut-elle rentrer dans votre chambre ou bien pouvez-vous quitter celle-ci en laissant votre corps derrière vous ? Les deux éventualités sont impossibles. Par conséquent, le fait que vous restiez ici et que vous voyez en même temps une autre ville sont tous deux irréels. C’est à votre mental qu’ils apparaissent réels. Le ‘je’ du rêve s’évanouit peu après, pour laisser place à un autre ‘je’ qui décrit ce même rêve. Ce dernier ‘je’ n’existait pas dans le rêve. Les deux ‘je’ sont donc irréels. C’est le substrat du mental qui poursuit toujours son activité, faisant surgir quantités de scènes. Un ‘je’ différent s’élève avec chaque pensée et disparaît en même temps qu’elle. D’innombrables ‘je ‘naissent et meurent ainsi à chaque Instant. Le mental qui subsiste est le véritable problème. C’est lui le voleur dont parlait Janaka. Démasquez-le et vous serez heureux.
(Ramana Maharshi, entretien 49).

UN EST LE TOUT : Tout le monde sait que la goutte d’eau se perd dans l’océan, mais rares sont ceux qui savent que l’océan se perd dans la goutte. C’est la parabhakti [Dévotion supérieure], dit Ramana Maharshi à l’entretien 50.
OCÉAN - [SPATIUM] - ICI / DEDANS : O-CÉAN (le Point d’Eau ou Point Focal) : Tout est ICI, il y a beaucoup d’Eau primordiale.

« Le libre arbitre [ou « liberté d’expression »] et le destin durent aussi longtemps que le corps [donc les transhumanistes veulent supprimer le libre arbitre et accéder à la sagesse ?]. Mais la sagesse (jnâna) les transcende tous deux. Le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Lorsqu’un événement se produit, c’est la résultante des diverses activités passées, de la volonté divine et autres facteurs » (entretien 193).

- Question : Comment peut-on contrôler le mental ?
- Maharshi : Attrapez-le ?
- Question : Comment ?
- Maharshi : Le mental est insaisissable. En fait, il n’existe pas. La voie la plus sûr pour le maîtriser, c’est de la chercher. Alors, ses activités cessent.
(Entretien 194).

« Il n’y a qu’une seule conscience. Mais nous parlons de plusieurs sortes de consciences, comme la conscience du corps, la conscience du Soi. Elles ne sont que des états relatifs de la même Conscience absolue. Sans conscience, le temps et l’espace n’existent pas. Ils n’apparaissent que dans la conscience. Celle-ci est comparable à un écran de cinéma sur lequel ils sont projetés en tant qu’images qui bougent comme au cinéma. La Conscience absolue est notre nature réelle » (entretien 199). Dans ce même entretien Ramana Maharshi ajoute : « Tournez votre attention vers l’intérieur, alors le monde entier sera empli de l’Esprit suprême ». Ce qui rejoins : Si chacun s’occupait de ses propres affaires, le monde serait en Vraie Paix.

« La connaissance implique l’ignorance de ce qui est au-delà du connu. La connaissance est toujours limitée [surtout avec l’Internet et ses ‘réseaux sociaux’ !] » (Ramana Maharshi, entretien 278).

Notes.
1. Soushen, le Vieillard du Pôle Astral : « C’est Lui qui décide de la date de la mort de chaque homme. Quand le physiognomoniste Guan Lu eut constaté que Zho Yan ne passerait pas vingt ans, il lui conseilla d’aller, un jour qu’il fixa, dans la partie Sud d’un certain champ, au pied d’un grand mûrier, en emportant avec lui une jarre de vin et de la viande de cerf séchée : il y trouverait là deux hommes jouant aux dames, à qui il offrirait du vin et de la viande, et, quand ils lui parleraient, il se contenterait de saluer sans rien dire. L’enfant fit comme il lui était dit, et les deux joueurs burent son vin. La partie achevée, l’un d’eux dit à l’autre : « Nous avons bu son vin, ne lui en saurons-nous pas gré ? - Le document officiel concernant la vie de cet enfant est achevé. Que faire ? » répondit l’autre. Le premier prit le document, et, après l’avoir examiné, intervertit l’ordre des mots dix et neuf, en sorte que, de dix-neuf ans de vie qui étaient inscrits, il fit quatre-vingt-dix ans. Puis ils disparurent tous deux. Quand il fut revenu, Guan Lu expliqua que l’un était le Dieu du Pôle Nord, qui fixe les naissances, et l’autre le Dieu du Pôle Sud (ces deux pôles ne sont pas à comprendre au sens astronomique, mais topographique ; constellations Grande Ourse, et l’autre au Sud (Sagittaire) d’un Chinois examinant le Ciel), qui fixe les décès. Le Dieu de la Longévité a un énorme crâne chauve qui s’élève avec des bosses proéminentes très haut au-dessus de la figure ; il est généralement debout, appuyé d’une main sur le bâton noueux des Immortels [comme le bâton du Dieu Ptah], et tenant de l’autre une pêche, fruit qui donne l’immortalité ; on met souvent à ses pieds un champignon et une tortue, symboles de longue vie », écrit Henri Maspero.

Henri Maspero précise que les images taoïstes des six Dieux du Bonheur et de la Longévité sont les six étoiles du Boisseau Méridional (Sagittaire). On y ajoute parfois la Grande Ourse.

Et les transhumanistes et leur Google voudraient tuer la Dame qui en Balayant fait le Ciel Serein ? Madame Saoqingniang et son Balai ? Il est vrai que maintenant nous sommes au siècle des machines et des aspirateurs, ces hosties modernes chères aux transhumanistes.
Ils voudraient tuer Madame le Vent : Fangpopo ; tuer Monseigneur le Tonnerre, Leigong, et la Mère les Éclairs, Dianmu, qui utilise deux miroirs ?…
Mais les Dieux ont l’ouïe fine et la vue perçante ; ils n’ont pas besoin de passer en laboratoire des Google ; ils sont droits et justes, et sans duplicité ; ils traitent les humains suivant ce qu’ils sont. Et prochainement ça va faire mal…

2. Mal-à-dit : le ‘dit’ est trans-dit et D.I.T. : déité (Soi, Instant, Dieu, TAO… ). Notre civilisation est celle de la Mal-à-Dit : la laïcité, le matérialisme.