Le social n’est que comédie, apparence et vanité, soit la morale sociale (le résultat, la matière, le superficiel) vendue par cette juiverie maçonnique spéculative genre GODF qui ne fait pas dans le détail avec son « égalité ». Ainsi la vertu et le vice n’ont pas plus de réalité l’un que l’autre : ce sont des fantômes qu’il faut effacer pour retrouver le vrai bien et le vrai mal. Effacer l’égoïsme c’est retrouver le Soi.
La morale sociale se moque de la pureté ou de l’impureté des eaux, pourvu qu’elles empruntent les canaux que cette morale judéo-maçonnique a tracé en ses loges, et comme elle est incapable de changer le bien en mal, pardon, le mal en bien, puisque construite sur l’opinion, elle n’a pas d’autre ressource que de neutraliser le mal par le mal (les dogmes compas-équerres ou lois et leur croissance à n’en plus finir).
La morale spirituelle repose sur le primat de la vie intérieur, le Soi ou ‘Je’ avec le J majuscule : « Le Royaume des Cieux est en vous » (et sans condition).
En ce monde actuel divisé entre bien (démocratie) et mal (les « terroristes »), qui procèdent de la même source polluée et roulent les mêmes saloperies, il existe l’approche du Soi, donc purifier la Source déjà présente, et non plus construire des digues en lois liberticides ou canaux et ses armées et services d’ordre autour du fleuve impur ! (Pour faire référence à G. Thibon).

 

Voir aussi les pages :
- Grégarisme ou singerie du spirituel
- GRÉGARISME = MANIPULATION MAXIMALE
- Grégarisme-Socialisme

« Le moi et le social sont les deux grandes idoles », disait Simone Weil et cité par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.
Le social est bien-sûr le développement extrême de l’ego, du ‘je’ ou mental., donc de LA VANITÉ. VANITÉ ou SOCIAL = CONFORT, SÉCURITAIRE, on se réfugie dans le ‘je’, le moi, qui est orgueil.

SOCIAL = CONFORMISME, IDÉES REÇUES OU « LIBERTÉ D’EXPRESSION ».
Oui, la « liberté d’expression » est le parfait reflet de cette mode du social qui ne rassemble personne ! (Sauf à travers l’artifice technologique des « réseaux sociaux » et du tétéphone portable).
Oui, nous sommes bien dans l’idolâtrie du social et sa singerie annoncée par la pub de l’Hollandouille lors du rituel judéo-maçonnique au premier jour de son érection.

Le Social est bien un confort : on parle de COUVERTURE SOCIAL, soit l’apparence, la surface cachant le profondeur. La profondeur n’est jamais social : elle est humaine, ou divine, ce qui n’est plus le cas dans l’actuelle religion de laïcité vendue en sous-main par cette juiverie maçonnique spéculative. La « couverture sociale » est celle qui renseigne le moins sur la Vraie Valeur d’un être humain.
RAPPEL : on naît seul, on meurt seul, personne ne peux le faire à notre place.

SOCIAL = COMPÉTITION OU DUALITÉ WINNERS-LOSERS. Mais le winner ou satisfait, et le loser ou envieux, se ressemblent car à égalité en ce qui concerne le rang qu’ils occupent dans la hiérarchie des vanités, et également impuissants à goûter à la simplicité, qu’aucun succès ne peut nous donner ni aucun échec ne peut nous enlever.

Quant-à la « justice sociale », est est parfaitement symbolisée par Jésus-Christ cloué sur un bout de bois entre deux bandits : la « loi humaine » construit des murs ou limites soi-disant contre le « mal », et soit-disant contre l’excès de vertu ; elle frappe les plus hauts aussi durement que les plus bas, et place Prométhée, Antigone et Socrate aux rangs des derniers terroristes. Aujourd’hui Jésus-Christ serait cloué comme terroriste.

Enfin, les transhumanistes et autres gayoteries veulent être autre chose que le fils ou fille de l’homme et de la femme : ils croient être davantage, et donc se bourre d’autant plus l’ego, comme s’ils n’étaient pas satisfait de leur état d’humain, alors ils veulent être, comme le philosophiste Nietzsche (qui tourna mal), surhumain, Superman, surnaturel ou dépasser la Nature alors qu’ils sont DÉJÀ la Nature.

La seule Loi, le seul Amour, c’est LE SOI-INSTANT. « Fais ce que tu veux, paie le prix, et Dieu sera content », autre forme de Réalisation du Soi-Instant donné par ce proverbe espagnol.
« Le péché le plus grave - peut-être le péché sans rémission - ne consiste pas à violer tel ou tel précepte universel, mais à repousser une vocation personnelle et élective, à ne pas faire ce à quoi nous sommes appelés [car cela peut conduire à une grave dépression ou au suicide]. le Christ, si indulgent pour tous les pécheurs qui venaient à lui, fut sans pitié pour le jeune homme qui avait gardé tous les commandements dès sa naissance, mais refusa de vendre ses biens et de le suivre. Car jésus l’avait aimé et choisi, et les exigences de l’amour sont plus liantes, plus impérieuses que celle de la loi. Il est plus grave de négliger un appel que de violer une règle » écrit si justement Gustave Thibon.
Il ajoute cette autre importance : « Il est mille fois plus important d’obéir à l’appel, à la vocation qu’à la loi [ou le vivre ensemble des capitalo-socialistes] Car l’appel est particulier (si celui auquel il s’adresse n’y répond pas, une intention divine s’abîme à jamais dans le néant), tandis que la loi est universelle et ne souffre que très peu de la transgression d’un individu. Si Jeanne d’Arc n’eût pas écouté ses voix - qui ne s’adressaient qu’à elle - la France eût été perdue et le respect le plus scrupuleux de tous les commandements moraux n’eût pas compensé sa trahison. « Filer et coudre, toutes les femmes peuvent le faire, mais ce que j’ai fais, moi seule pouvait le faire ».

La juiverie maçonnique spéculative style GODF se réfugie dans le confort de sa morale et s’en contente : elle s’en sert comme du paravent en forme de compas-équerres en cultivant ce qu’il y a de plus immoral en elle, et sa misérable satisfaction d’elle-même et sa rage de juger ou de vouloir « corriger les autres » pour les normer à ses compas-équerres en forme de noachisme.

[En haut de page : caricature par Daumier]