Le Nom-la Forme et ses dangers
avec le danger de « l’amour du pouvoir »
(pour-voir) et le danger de l’évolutionnisme
ce que de nos jours certains nomment
« économie » (la base, la fondation ou
MAISON (E.T. téléphone Maison) d’ailleurs,
la mode des tétéphones portables (smartphone)
confirme cette religion de l’argent.

Économie ou « maîtresse de maison »
évidemment out dans la théorie du genre et
la folie de l’égalitarisme.

 

 

Seule la Vérité est Une et indivisible, alors que l’erreur est multiple et devient le Super Grégarisme ou quantitatif comme : la république et sa démocratie et son égalitarisme (vivre ensemble).

Un des plus grands dangers du Nom-la Forme est la laïcité : les puissances matérielles uniquement à l’œuvre, et évidemment aveugles et incapables de recevoir des formes-énergies d’en Haut. Il s’ensuivra alors des instabilités permanentes, ce que nous vivons depuis l’après 1789.

 

RAPPEL : Dans l'Égypte ancienne, le nom et la Forme : le signifiant était lié au signifié, le mot à l'être ou à la chose qu'il signifie. Écrire le nom d'une personne ou d'une chose, c'était susciter cette personne ou cette chose, et à l'inverse, détruire le nom abhorré ou sa représentation équivalait à détruire l'être ou la chose elle-même.

Le Nom-la Forme par excellence est le démiurge ou archonte fou et bourré de défauts dans l’Ancien Testament. Ce démiurge DIVISE ou COUPE : « Et auprès de lui se trouvent également un paradis et un royaume et tout le reste de ce qui se trouve dans l’éon qui est avant lui, choses qui sont supérieures à ces empruntes à cause de la pensée qui leur est unie, et qui est comme une ombre ou un voile de telle sorte que, pour ainsi dire, il ne voit pas comment sont les choses qui existent.
Il s’est adjoint des ouvriers et des serviteurs pour qu’ils l’assistassent en ce qu’il ferait et en ce qu’il dirait. Sur toute chose à laquelle il a travaillé, il laissa sa marque de beauté au moyen de son nom, fabriquant et disant les choses qu’il pensait. Il établit en effet dans ses stations des images de la lumière qui était apparue et des lieux spirituels, des images issues de sa nature, de sorte que les stations furent complètement ornées par lui, marquées au chiffre de celui qui les a établies. Et des paradis, des royaumes, des repos, des promesses et des multitudes furent établis au service de sa volonté. Et celles-ci, tout en étant des seigneurs des principautés, sont soumises à ce Seigneur qui les a établies ». (Nag Hammadi NH I, 5 Traité tripartite, 101,30 et 102,4-25).
« Empruntes » désigne de façon péjorative les créations issues du démiurge-archonte.

Qui est le chef des puissances matérielles ?
C’est le Diable ou Prince de ce monde.
« Ce qui produisit ce serviteur est ordre, menace, et crainte, de sorte que ceux qui furent ignorants […..] pussent tenir droit le rang à la garde duquel ils furent préposés, étant enchaînés […..] les archontes qui les dominent, en leur lieu ». (NH I, 5, 103,6-12).
Ce chef, le Diable, tient en échec les forces du Saint Chaos ou Âge d’Or. Il est de ce fait un TYRAN et maître en économie (sens religieux), puisque nous sommes entrés il y a plus de 10.000 ans en thermodynamique.
Le Diable c’est le TOUJOURS PLUS, LA CROISSANCE en la trinité gnostique :
- Les mauvais esprits issus de la vaine présomption, bien dans cette religion de l’argent. Entendre par « mauvais esprit » la magie noire opérative dont les adeptes actuels se révèlent de plus en plus en dehors de leurs LOGES, tels divers artistes de l’entertainment, et que l’on retrouve même maintenant dans la propagande politique. C’est-à-dire que l’on rentre dans une magie noire qui peut rendre fou celui qui essayerait avec sa « raison » d’en comprendre les sources et aboutissements (lire l’œuvre de Howard Phillips Lovecraft et ses « Grands Anciens ». Un écrivain qui devait obligatoirement avoir lu de la littérature de H.P. Blavatsky, et des textes du renouveau alchimique se développant tout au long du 19è siècle si matérialiste, qui encourage également au développement de l’occultisme pendant toute l’ère anglaise de la reine Victoria… Voir le magnétisme de Franz-Anton Mesmer, les tables tournantes, etc. Plus tard nous allions avoir l’ÉLECTRICITÉ, dont dépend l’informatique).
- Les amoureux du pouvoir et par conséquence de la haine et de la violence, ceux qui aiment commander et organiser.
- Les pouvoirs jaloux et envieux bien dans cette société de consommation et de son Graal « pouvoir d’achat ». C’est le consommateur et son « pouvoir d’achat », aussi carotte de la « fin des temps ».

« Je suis devenu fou, depuis que JE SAIS » disait un Réalisé…

Le Diable régule le chaos humain (Apocalypse), donc IL L’ENTRETIENT : principe judaïque rabbinique des « douleurs de l’enfantement » pour accoucher de la Super Carotte « fin des temps » (le terme de l’Histoire) ou DORG (Demain On Rase Gratis). Le Diable c’est le toujours plus, toujours mieux, toujours plus de sécurité ou confort.
Il est vrais que l’enfantement, la chaleur du ventre facilite toutes les transformations. Encore faut-il qu’elle ait pour chacun, et à chaque moment de son évolution, le degré et l’intensité qu’il conviennent !
Le ventre a un aspect castrateur : siège des appétits, de la croissance et des désirs à n’en plus finir grâce au « libéralisme » et à l’opinion dont la voracité apparaît effrayante à qui n’ose accepter son animalité, son côté mammifère !
Le ventre est le côté sécuritaire et confortable comme la « démocratie ». La Génitrix peut se montrer dominatrice et cruelle comme cette démocratie et son Empire USionistan. Le ventre et la « démocratie », la République jacobine et ses valeurs, nourrit ses enfants certes, mais elle risque et a montré maintes fois, qu’elle maintenait ses enfants à un niveau d’idiots, et qu’elle entravait avec ses écoles judéo-maçonniques leur développement spirituel et les empêchait de devenir autonome.

Le Diable habite à la City de Londres (la Couronne, et son pendant Vatican : Washington). Il est le prince de cette clique de terroristes en bandes organisées. Terroristes destructeurs de notre planètes.


Le seul Nom-la Forme possible ici-bas est l’AMOUR : économie ou E.T. Maison de la vie morale (la Vraie, pas celle de l’opinion et du religieux) ; Amour synonyme de Connaissance (à ne pas confondre avec la culture, fond commerce de cette démocratie mortifère façon oligarchie anglo-américaine). Je suis tenté d’écrire que le DORG c’est ce que cette oligarchie US nomme « soft power » ; soit un parfait court-cuit comme par exemple de dire d’appeler une guerre « guerre humanitaire » !!! Bref, c’est de la Novlangue en échafaudages dialectiques… du isme ou système qui se veut « universel » alors qu’il n’est que général ; la langue anglaise, langue du business, connaît bien cela. Nous sommes là encore dans le Super Grégarisme le plus dangereux comme le « vivre ensemble » bien dans ce triomphe de l’ego de l’après 1789.

Dans la logique de la dualité winners-losers, le « soft power » c’est subjuguer les autres, ou les détruire. C’est la logique de la brute « humaine » ou la logique du perverti. Cela conduit à la destruction de l’humanité.
 
« Soft power » = Nouvel Ordre Mondial, Rothschild, WINNERS, HOLLYWOOD et l’entertainment, religion de l’homme et capitalo-technologie ; et avec le N.O.M. religion de l’humanité (socialisme). La dissidence, le terrorisme, est instrument typique du N.O.M. QUI BOUFFE TOUT, OU RÉCUPÈRE TOUT. Cela indique à quel point le sens de l’humain et de sa dépendance d’un Absolu transcendant est obnubilé, l’être humain étant avant tout un Homo Religiosus. Mais ces religions de l’homme et du N.O.M. sont des usurpations, des singeries de l’ordre normal de la Nature.
Oui, le social a le vent en poupe depuis 1789, alors que ce social avant 89 passait par l’Église et le roi.
Qu’est-ce qui garantie l’individualité de chacun sinon le social, donc l’AUTRE dans cette division sujet-objet : moi et l’autre, la société. Depuis plus de 10.000 ans ce qui garantie l’individu a toujours été un UN GRÉGARISME, UN ACTE PUBLIQUE, le Nom-la Forme. La personne humaine est fabriqué par l’autre : elle n’est perceptible à elle-même que comme « personne morale », donc personne ou opinion !!! Soit en étatisme non comme une substance délimitable et définissable : Je suis ce JE SUIS, mais comme une entité institutionnelle que garantit l’état civil, et rien que l’état civil. Ainsi, comme le virtuel de l’informatique, la personne humaine n’existe que sur le papier, elle n’est au mieux une opinion nommée « liberté d’expression ». La personne devient « PRÉSUMÉE », elle est comme supposée, projetée en évolutionnisme, elle n’a d’existence que selon le bon vouloir de l’autre ou d’un Dieu extérieur. La personne devient PLAUSIBLE et « s’active » seulement aux élections au « suffrage universel », autre paroisse de cette religion mondiale de l’argent.
Criez à un type des « forces de l’ordre » que vous êtes vous même, il ne vous croira pas et vous embarquera pour « vérification d’identité », il préfèrera un bout de papier ou un fichier électronique de zéros et de uns à votre corps de chair et de sang. Et dans ce monde devenant de plus en plus virtuel, il n’est pas étonnant que Big Brother et sa « démocratie » veuille contrôler tout le monde.

« Un jour, Mazu lui demanda [à Yaoshan] : « Qu’as-tu compris ces temps-ci ? » Yaoshan répondit : « La peau est entièrement partie, il ne reste que la réalité ». Mazu dit : « Ce que tu as obtenu est en accord avec l’essence de ton Cœur et s’est répandu dans tes quatre membres. Puisqu’il en est ainsi, il est temps que tu attaches à ta ceinture trois morceaux de bambou et que tu ailles t’installer sur une montagne ». Yaoshan demanda : « Qui suis-je pour oser installer ma résidence sur une montagne ? » Mazu lui répondit : « Il ne s’agit pas de cela, mais on ne peut toujours voyager sans se fixer, ni toujours rester au même endroit sans voyager. Ce que tu veux faire croître ne peut croître, ce que tu veux accomplir ne peut être accompli [la croissance est une illusion de plus, comme la nourriture dans le ventre, voir plus haut]. Il convient que tu sois un bateau (pour les autres) [comme le rayonnement d’un Saint et son auréole] et que tu ne demeures pas plus longtemps sur cette montagne ». (Mazu, entretiens de Mazu).
Mazu Daoyi, Maître chan (709-788, dynastie des Tang : 618-907)

Si le Je suis ce JE SUIS est récupéré par le N.O.M., ce ne sera pas la Vraie Félicité. Le Yahvé et son acolyte le Diable, soit les Archontes, sont très habiles.