« Nous savions déjà que l'argent de la drogue représente plus du tiers du flux de devises et des échanges boursiers mondiaux et que, sans elle, le système bancaire international s'effondrerait. En clair, le trafic de la drogue est indispensable à l'équilibre économique mondial. Si l'on ajoute le prix des substances nuisibles à notre santé et le gaspillage des dépenses d'armement, justifié également par l'équilibre de la terreur, on peut considérer que l'économie dominante, dite « libérale », est une entreprise de destruction ».
Philippe Desbrosses, docteur en environnement, expert consultant auprès de la C.E.E. et du Parlement européen.
La City de Londres, la CIA et la politique au sens oligarchique sont une seule et même chose :
LA RELIGION DE L’ARGENT. Si l’économie de la fabrication et de la vente des armes, l’économie de la drogue et du sexe s’écroulaient, c’est la faillite mondiale assurée. Ainsi pour la City et son outil CIA il est nécessaire de maintenir indéfiniment cette économie. Si c’est de la « théorie du complot », je veux bien mourir dans l’Instant ! Mais à ce sujet économique mondial, voyez les
Michael Ruppert et
Peter Dale Scott…
L’économie de l’urgence rapporte aussi beaucoup d’argent. Il est alors naturel de susciter des crises comme aujourd’hui de mode du terrorisme, et depuis le 11 septembre 2001. Là est UN BOUT DU PLAN DE LA MANIPULATION MENTALE COLLECTIVE mis au point par l’oligarchie anglo-américaine. Le business de la sécurité nationale et mondiale est une mine d’Or quasiment inépuisable en l’état actuel des consciences et sous le joug de l’étatisme !
Cette économie dite « libérale » étant une religion de la mort et de la destruction tout azimut, les gens qui en font la partie font généralement tous dans la PHILANTHROPIE, comme un certain Alfred Nobel se rachetant une « place au Paradis » en fondant son
« Prix Nobel », comme c’est confortable et sécurisant, et « humaniste », de donner un peu d’argent quant on se vautre dedans !!!
Voyez les « philanthropes » comme : Warren Buffet, Bill Gates, les
frères Koch,
Bain, la
famille Bush, Adelson, Carlyle, Morgan, Rockefeller, etc.
Fonseca, Fonseca, Fonseca, c’est pas des gens du
« peuple élu » du côté des
marranes et Super travailleurs du chapeau ? Pour tomber dans l’économie il faut être du « peuple élu » et travailler du chapeau : pensez-donc : IL FAUT COMPTER,
Y COMPRIS DES HISTOIRES… À DORMIR DEBOUT !
À propos de « Prix Nobel », avez-vous remarqué que la majorité des Prix Nobel sont juifs, mais aucun musulman ?!!! Ce qui n’est guère étonnant pour ces travailleurs du chapeau.
L’être humain sera libéré de cette puanteur en titre d’article que quand il aura souffert dans les profondeurs les plus intimes de son âme, et aura été conduit à être à lui-même le propre objet de sa Connaissance ; autre façon d’expliquer la réalisation du Soi. Car l’être humain, en principe, s’il existe il se regarde aussi exister. Il ne sera vraiment libéré, ne prend vraiment conscience du sens du mot liberté, que lorsque s’est réalisé en lui ce clivage entre l’être et l’ex-ister (la manifestation de l’être dans le spatio-temporel, mais aussi son sens du divin : IL EST (1), ou « Je suis ce JE SUIS »), lorsqu’il est devenu à lui-même son propre problème, lorsque son âme est devenu objet de connaissance pour l’Esprit, lorsque le ‘Je’ s’est accordé avec le ‘je’ ; lorsque le ‘Je’ du divin, et le ‘je’ de l’ego ou ‘moi’, qui est de la Terre, ont retrouvé la Vraie Paix.
Hors de là, l’être humain n’est pas libre puisqu’il subit passivement les déterminismes sociaux ; il devient jusque dans son mental le résultat du milieu ambiant, parce que c’est son ego, ses sentiments et non le Soi qui in-forme sa pensée : il est sous la tyrannie de l’opinion (2), il n’est pas libre.
Tant qu’un être humain n’a pas été saisi jusqu’à la PANIQUE causée par la peur de se découvrir comme un humain parmi les humains, malgré ce qu’il sent en lui d’irréductible à n’importe quel autre individu, il ne peut pas découvrir le vrai sens de la Liberté qui est le Soi. Un diction populaire dit : « La Vérité vous rendra libre ». Évidemment il ne s’agit pas de celle que l’on peut trouver sur l’Internet ou chez des « lanceurs d’alertes », ou dans des livres, bref, à l’extérieur !!!
SENTIMENTS = OPINION : les cinq sens ou perceptions dans le temps qui coule en géométrie de la ligne droite entre un passé et un avenir, qui dictent au mental ce qu’il doit exprimer. Ces données du sensible dans le temps qui coule varient d’un instant à l’autre en chaque individu, et ne peuvent jamais être identique chez deux individus ! L’ego a soif d’absolu, ça se traduit par l’OPINION, qui dépendante de l’ego sera toujours sectaire, intolérante, diviseur comme rejetant l’autre comme « terroriste » ou « ennemi ». La république façon Saint-Just avait ses
« ennemis de la liberté » !
La LIBERTÉ est une manière de « pointer », ou dialogue entre le créateur qui est le ‘Je’ (l’Agent) et un agi qui est le ‘je’ ou ‘moi’ (le Patient), selon la Vérité du Soi médian entre Ciel et Terre. Hors du Soi, il n’existe pas de
« responsabilité » de l’humain : « Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Dès lors que ce n’est plus le Soi qui découvre un sens dans la Matière, c’est la matière qui confère un sens au Soi : c’est le principe du matérialisme, lequel est LA religion renversée, en creux.
L’islam est un démarquage du judaïsme : le Coran, « texte descendu du ciel », intouchable, dont il est défendu de faire l’exégèse, est une parodie de l’alphabet divin des Hébreux-Juifs. Aux débuts du christianisme, l’islam a nié la Trinité chrétienne, sous prétexte absurde de
« préserver l’unité de Dieu ». Il n’en est resté que le UN mathématique, DE L’ACTUEL BINAIRE, d’où la tendance à figer l’histoire. l’islam n’a qu’une théologie défensive, pas de science, même si quelques savants émergent comme des
Al Farabi,
Ibn Rochd,
Ibn Sina, ils furent vite étouffé sous la pression du dogme coranique. L’islam n’a pas vécu le besoin de science pure, de connaissance de ce qu’est la Matière au sens primordial
(3), et qui a marqué le christianisme latin surtout au Moyen-Âge et jusqu’à nos jours.
Les musulmans ne connaissent pas le concept de science pure, qui a conduit le marxisme dans une sorte de théologie de la Matière. Les musulmans s’imaginent que la technique industrielle a des sources purement pragmatiques, que c’est des trucs, des procédés. Ils n’en perçoivent pas les sources spirituelles, parce que le Circulus trinitaire a été éteint dans leur mental. D’où le drame de l’islam pour son insertion dans le monde moderne (voyez ce qu’il se passe pour eux depuis 1945 !)
Pour l’islam, la civilisation et sa foie technologie est un moyen de domination temporelle, d’impérialisme (voir le phénomène « mosquées » et sa furieuse volonté de s’industrialiser pour dominer un peu partout en Occident, donc
« aller plus loin que Poitiers »… )
Comme toutes religions monothéistes, l’islam veut solutionner le problème social, par exemple par l’
Umma, évidemment il n’en réalise qu’une caricature. Quand certains « médias dissidents » parlent de « communauté » se voulant désigner les Juifs, ils oublient l’Umma ! « L’Umma » des chrétiens avec la Trinité a plus ou moins tenu pendant 2000 ans, mais ça a cassé à cause de la tragique division entre spirituel et temporel.
Chez les socialistes et les juifs, donc ceux du « social », ces gens niant la Trinité au nom de « l’unité de la Matière », et contrairement à l’islam figeant l’histoire, ils ne font que RACONTER DES HISTOIRES : tout s’écoule en géométrie de la ligne droite entre un passé indéfiniment reculé, et un futur également indéfini : la « fin des temps » ou « lendemains qui chantent » ; il n’y a donc pas de Circulus où le Soi est le TOUT ; il n’y a pas de Création.
Si l’islam nie l’histoire pour garder l’Absolu divin, le judaïsme et le socialisme fait de l’histoire son fond de commerce. Le socialisme en 1917 fut imposé en Sainte Russie par les Juifs, ces gens au mental formé à la synthèse, QUI EST ENCORE ET TOUJOURS DU TRAVAIL DU CHAPEAU, n’en déplaise à Jean Coulonval, qui, en écrivant que « les Juifs sont voués par Dieu à la pensée globale, à la synthèse », ils seraient irremplaçables, et que « le monde a besoin d’eux », comme si l’anathème
« peuple élu » était encore opérationnel en ses ravages, et qu’il ne fallait pas les rejeter, alors que ce sont eux qui se mettent en retrait « d’élus » ! Mais certes, de nos jours, même avec des idées juives tordues ou kabbalistiques, on a besoin de tout le monde, NOUS SOMMES TOUS FRÈRES ET SŒURS DU VIVANT !!!
Notes.
1. Le verbe ÊTRE est Janus : deux visages, l’ego et le Soi. Si on ne les distinguent pas, ici sur Terre, les êtres humains fabriqueront leur chaos ou combat de Nègres dans un tunnel, soit succomber sous la violence de l’opinion !
Janus représente bien cette perversité de laïcité actuelle, ce monisme à l’Occidental. Ce sont ces monismes judéo-maçonniques spéculatifs genre obédience GODF qui sont pires que le moindre matérialiste de campagne !
2.
OPINION : Toute conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant (selon Jean Coulonval :
Synthèse et Temps Nouveaux). Dans cette vision des choses, aucune doctrine ne peut être immuable parce qu’elle a sa source dans le temps qui coule. « C’est pourquoi la doctrine communiste est perpétuellement fluante, souple, se pliant aux circonstances » précise Coulonval.
Le communisme ou socialisme tourne autour du principe laïcité ou temporel : « Nos sens physiques et l'expérimentation scientifique étant les seules voies par lesquelles l'homme prend conscience de tout ce qui existe, et étant donné comme vérité de sens commun qu'il ne peut y avoir contradiction dans la vérité, les schèmes abstraits par lesquels nous intellectualisons le connu ne doivent pas être contradictoires. Là où deux opinions sont contraires, une seule est bonne et l'autre doit disparaître; ou toutes deux ont tort et une troisième doit les éliminer par dépassement dialectique ».
La méthode par laquelle s'accomplit cette sélection des opinions s'appelle le
« matérialisme dialectique historique et scientifique ».
- Pourquoi historique ? Parce que la perception de l'existant s'accomplit dans le temps, dans l'histoire. C'est le temps qui a créé l'univers.
- Pourquoi scientifique ? Parce que la matière étant la source de toutes choses, l'homme est nécessairement, lui aussi, issu de la matière. La méthode scientifique qui vaut pour la matière, vaut donc également pour la connaissance de l'homme. L'homme devient donc un objet pour l'homme. L'homme qui possède comme objets un ou d'autres hommes est celui qui est reconnu comme possédant le mieux la doctrine, et l'homme-objet possédé est celui qui se reconnaît ignorant de la doctrine et qui consent à se laisser former, fabriquer, par son possesseur qu'il reconnaît comme ayant pénétré plus avant dans les arcanes de la matière et du temps. Ainsi, le communisme ne fait que conduire à ses dernières conséquences logiques le règne de l'opinion, aboutissant à une religion et une mystique renversées, en creux, au renoncement volontaire de l'homme à sa liberté propre.
Tout homme qui a foi en un terminus du processus dialectique, en des
« lendemains qui chantent », et qui chanteront quand l'homme aura enfin trouvé sa vie communielle avec le cosmos, quand il aura enfin trouvé le contact vivant avec ses sources les plus profondes qui sont dans la matière, quand il aura bouclé la boucle, que l'Oméga aura rejoint l'Alpha, tout homme qui a la foi communiste est prêt à sacrifier, non pas son intellect, essence ontologique dont il ne peut pas plus se séparer qu'il ne peut se couper la tête, mais tout son savoir, c'est-à-dire tous les accidents-connaissance qui ont pris chair autour de l'intellect-essence.
Les catholiques sont désorientés, déconcertés, par ce qu'on a appelé les
« confessions spontanées » et qu'ils ne croient pas tellement spontanées. Ils ne savent pas que le communisme est une foi et que les tortures qui précèdent ces confessions (pas toujours) peuvent être consenties et vécues comme une purification et qu'elles peuvent faire naître, non pas la haine, mais l'amour du bourreau. Les lavages de cerveau ne sont rien d'autre que l'application d'une science psychologique qui, par des procédés qui ont beaucoup à voir avec la méthode des réflexes conditionnés de Pavlov, dissout la tessiture logique du complexe intellectuel, des accidents-connaissance qui ont pris corps sur l'intellect-essence, des « noumènes » comme dirait Kant. Cela produit véritablement un « déluge » de l'âme, un véritable déluge de la vision cosmique. Et sur ces ruines peut alors se bâtir un nouveau corps, une nouvelle chair d'opinions et de pensées.
Cela est véritablement luciférien et les catholiques ont parfaitement raison de le dénoncer comme tel, bien qu'il n'y ait en cela rien de diabolique, c'est-à-dire de faux surnaturel, mais seulement la mise en œuvre dans un sens pervers, renversé, de la connaissance des seules lois naturelles », écrit Coulonval en 1960.
Politique et opinion sont une seule et même chose : LA MANIPULATION DE TOUS (agiter le peuple avant de s’en servir, disait un ancien perruqué)
3.
MATIÈRE : comme l’Eau, nous ne la connaissons que par pur pragmatisme technologique, mais NOUS NE LA SAVONS PAS (sauf les authentiques Alchimistes). Pour preuve, notre corps ou ego, nous ne le « savons pas » non plus ! ou si peu ! que nous avons recours à des médecins quand il ne tourne pas rond, et le médecin lui-même ne « sait » pas. La science médicale actuelle est aussi un pur pragmatisme.
[En haut de page : destruction annoncée ou à prévoir de la City de Londres, Vatican de la finance mondiale et cause de TOUS LES problèmes depuis sa création]