Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Le coup d’État de 1789
Le coup d’État de 1789 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-04-2016 22:20

Pages vues : 6188    

Favoris : 39

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Féodalité, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
bellini1500a465.jpg
 
 
Le coup d’État de 1789
 
 
D’abord, il faut savoir qu’avec l’abolition de la Féodalité, par exemple en Angleterre : les couilles en Or anglaises parviennent à évincer les paysans de la propriété foncière et à concentrer toutes les terres et richesses entre leurs mains. On appelle ça le capitalisme ou « libéralisme ». La Féodalité maintenait une forme d’ÉGALITÉ. L’égalité n’est pas une invention tombée du Ciel en 1789 comme le Coran tombant du Ciel sur la tête d'un prophète, ou les éclairs gravant les tablettes pas encore informatiques d’un Moïse, ou chez les ergoteurs Grecs et leur démocratie !
 
FÉODALITÉ, PREMIÈRE FORME NATURELLE DU SOCIAL : la Féodalité a pour ennemi l’étatisme. Dans le mot Féodalité il y sonne FÉE, FEU (aidu en gaulois, le grec dit aitho : brûler), le latin dit aedes : foyer, le germain dit aidaz : bûcher). En vieille irlandais, Aed = feu (Aidu est neutre).
LE FEU RAYONNE, donc la Féodalité est l’ensemble des relations entre deux personnes, le SOCIAL : obligations réciproques entre deux personnes, en principe égaux, puisqu’un baiser, signe de PARENTÉ, peut être échangé entre eux (surtout en Europe de l’Ouest comme en Russie) ; ainsi il ne faut surtout pas minimiser comme le fait la propagande républicaine de l’après 1789, les charges considérables qui incombent au « seigneur » (SENIOR ou le Pater, le plus âgé), à l’égard de son VASSAL (son fils, vassalus, garçon).

SEIGNEUR : racine de MAISON ou MAÎTRE DE MAISON, Arios en gaulois, remonte à la racine teg (maison) et tigernos (maître de maison, voir le latin Dominus). Bref, c’est le CHEF par excellence, le PATRIARCHE s’accordant au Dieu moderne du règne du patriarcat des trois modernes religions du Livre.

La Féodalité devient présente dès la fin du VIIIè siècle, et largement au IXè siècle. Cependant, les relations prennent rapidement une connotation de dépendance, de confort, là où l’âge n’avait plus rien à voir. L’échange de paroles, gestes ou contrats se fixeront en coutumes au Xè siècle : hommage et aveu de foi, réception du Vassal comme « homme », octroi d’un bien comme base et garant de cette foi, qu’on appellera « investiture » et « monstrée », ce qui montre monstre que LA FOI NE SE MARCHANDE PAS : ELLE EST OU N’EST PAS, COMME LA VÉRITÉ !
Le Seigneur (dominus) s’engage à défendre et protéger son « enfant » (son « homme »), aider à marier ses filles et élever ses enfants ; il entretient les équipements et l’accueillera en son château, l’aider à juger. En échange, le Vassal marquera son respect et dévouement, surtout son service (il y a tout de même un aspect business ou d’une forme de méritocratie). On est dans les temps naturels du CLAN, de la CASTE.

La Féodalité se situe donc dans le pouvoir : économie, politique, spirituel.
Si Féodalité sonne comme FEU, il sonne aussi comme FÉE, donc JETER (un sort : la baguette magique « jette » quelque chose comme des « étoiles », la baguette POINTE ”focale”). LA FÉE AGIT comme la Féodalité agit (et ne réagit pas… ).
Avec l’abolition de la Féodalité et le modèle Occidental sur les Anciens Grecs et Romains, nous passions d’un « Moi collectif » (ou tribal) à un « Moi individuel » ou développement de l’ego différencié du groupe, et censé être capable d’assumer son autonomie (forme de démocratie). Il n’en est rien puisque le pouvoir de l’étatisme est encore pire que sous l’Ancien Régime. De plus dans ce monde « moderne » de l’après 1789 et de son libéralisme TOUT LE MONDE DEVIENT UN ASSISTÉ : par l’État, par le coaching de ceci ou de cela, par l’assurance sur tout et n’importe quoi, par le confort quasiment obligatoire (il est interdit d’interdire) résultat de la folie technologie devenu contraignante (voyez l’hypnose comme une drogue dure que provoque la téléphonie mobile).
Ce monde d’ASSISTÉS est normal dans la mode de la COMPÉTITION dans la religion de l’argent.

Il est temps de sortir de l’opinion « moderne » qui nous fait croire que les Anciens étaient des « primitifs » œuvrant avec « leur bite et leur couteau » ! Exactement comme nous faire croire que Louis XVI et l’Ancien Régime c’était de la merde et que le roi n’avait que la fonction d’asservir les peuples ! Il est temps de distinguer l’amour des rois pour leurs peuples du fanatisme républicain genre Manuel Vals et ses « valeurs de la république » comme pour mieux cacher qu’il n’y en a pas !

« Dès le commencement de mon règne, j’ai désiré la réforme des abus, et dans tous les actes du gouvernement, j’ai aimé à prendre pour règle l’opinion publique [entendre que Louis XVI était à l’écoute]… Frappé de la grandeur du mal, je n’ai pas cherché seulement les moyens d’y porter remède, j’ai senti la nécessité d’en prévenir le retour. J’ai conçu le projet d’assurer le bonheur du peuple sur des bases constantes, et d’assujettir à des règles invariables l’autorité même dont j’étais dépositaire. J’ai appelé autour de moi la Nation pour l’exécuter » explique Louis XVI un brin naïf quand il convoqua les États Généraux.

RAPPEL : PRINCIPE D’UN ROI.
« Si j’ai droit d’exiger une entière fidélité de mes peuples, ils ont droit d’exiger de moi que je tienne les promesses que je leur fais. Je puis exiger d’eux obéissance et soumission, mais je leur dois sûreté et protection. Comme rien ne peut les dispenser, quand je serais injuste et tyran, de m’être soumis, si de leur côté ils violaient tous leurs devoirs envers moi, rien ne pourrait me dispenser de remplir tous les miens à leur égard ».

Quand Louis XVI révoque nombre de privilèges, la haute noblesse ne lui pardonne pas la suppression progressive et presque « invisible » des sinécures lucratives et des pensions dont elle vit sans lever le petit doigt et cela depuis Louis XIV. Elle lui pardonne encore moins des Assemblées « inconstitutionnelles » (selon un certain Calonne), où elle ne doit jouer qu’un rôle effacé. La riche bourgeoisie (les Couilles en Or) ne supporte pas l’idée d’un ordre des choses inévitable comme l’industrialisation naissante du pays, ce qui évidemment empêchait ces Couilles en Or d’exploiter les pauvres avec la même avidité que les Couilles en Or anglaises.

ASSEMBLÉE : sens républicain : réunion de Couilles en Or ou cancéreux du pouvoir (voyez Sénat et sénateurs, ou députés, toute machinerie héritière de l’Empire Romain).

Louis XVI est déjà une forme de démocrate, il y a même en son temps le développement d’un « suffrage universel » : tous les ouvriers affiliés à une Communauté ou Compagnonnage de métier, ou employé dans une Manufacture royale, avaient une part dans la propriété collective de cette Communauté ou Compagnonnage et de la Manufacture.
À travers les assemblées provinciales et secondaires le roi voulait l’égalité de tous devant l’impôt comme devant les lois civiles et criminelles.
Le problème « peuple roi » va hélas se nommer OLIGARCHIE ou PLOUTOCRATIE (chefferie par les Couilles en Or). Car les pauvres, les modestes n’ont pas l’autonomie nécessaire pour se diriger eux-mêmes, malgré la soi-disante liberté octroyée par la naissante du « moi individuel ». Ainsi va se former un gouvernement représentatif composé de Couilles en Or, genre « hommes de lois », tous personnes qui par leur classe, leur formation et leurs routines se rattachent à la Ploutocratie et nullement à une démocratie. De la va se renforcer le règne de l’opinion : les peuples choisissent pour les représenter des personnages dont les intérêts sont incompatibles avec les siens, mais qu’ils ont su manipuler par leurs verbiages.

Ainsi Louis XVI se croyait conforté par les peuples, alors qu’en souterrain les cancéreux du pouvoir républicain complotaient dur, comme le marquis de La Fayette, le duc de la Rochefoucauld, le comte de Mirabeau et le duc d’Orléans, premier prince du sang.
Le 23 juin 1789, Louis XVI : « Messieurs, je croyais avoir fait tout ce qui est en mon pouvoir pour le bien de mes peuples, lorsque j’avais pris la résolution de vous rassembler… lorsque j’étais allé, pour dire, au-devant des vœux de la Nation, en manifestant à l’avance ce que je voulais faire pour son bonheur ». Bien-sûr Louis XVI parle « d’amour de la patrie » et est contre les « divisions », comme de nos jours de républicanisme. RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL !

RAPPEL : les mots NOBLESSE et TRADITION sont une même chose : une « constante » naturelle, et non choses artificielles comme nos « constantes » en « science » et en physique ; là où la « raison », l’ego projette de pures constructions du mental dans le monde déjà en illusions, et, ce faisant, elle bouleverse l’architecture traditionnelle des humains ; la constante artificielle rentre comme un bélier dans la vieille demeure traditionnelle, peut-être imparfaite, mais habitable car construite selon les traditions, et le bélier de la constante artificielle causera autant de ruines qu’elle sera censé être plus « parfaite » ou « inviolable », ce qui rapproche de la constante que se veulent posséder tous les ismes et tous les philosophistes, les régimes et leurs politiques, les sciences et leurs techniques, les religions et leurs propagandes. Rien de plus indéboulonnables que les philosophistes et les ismes.
Il faut bien distinguer ceux qui prennent l’eau de tuyau et ceux qui s’abreuvent aux flots vivants. « C’est avec ce qu’il y a de plus solitaire en nous que nous devons aborder les lieux communs » écrit Gustave Thibon, définissant ainsi la RÉALISATION DU SOI-INSTANT.

La constante artificielle est comme la merde : ON POSE UN ACTE COMME ON POSE SA VIDANGE DE VENTRE DANS LES CHIOTTES, comme si ça ne devait pas bouger pour l’éternité, comme le rêve les transhumanistes qui rêvent bien de cette Super Constante en se croyant à l’épreuve du temps qui coule ! Les philosophistes sont des poseurs de merde, ils en foutent partout, voyez ceux des « lumières », et avant eux les ergoteurs et parleurs Grecs. Bien-sûr la merde c’est aussi de l’engrais, mais tout de même, My God !
 
NOBLESSE : étymologie de CONNAÎTRE (latin nobilis). Ainsi celui qui Con-naît est de « haute naissance ». Quoi de plus logique puisqu’il est carrément un Réalisé (Je suis ce JE SUIS) ! Voilà le sens du mot NOBLE, et nullement dans le sens actuel de hiérarchie de supérieur au sommet de la pyramide à inférieur à sa base ; le temporel bouffe toujours le spirituel depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture.

Les offres de Louis XVI pour améliorer la situation de ses peuples furent si généreuses, que la plupart des députés d’alors étaient en accord avec le Roi. Tout cela allait être brisé par le méprisant et mensonger judéo-maçon Mirabeau, celui qui voulait qu’on le chasse par la force des baïonnettes !
« Messieurs, j’avoue que ce que vous venez d’entendre pourrait être le salut de la patrie, si les présents du despotisme n’étaient toujours dangereux. Quelle est cette insultante dictature ? L’appareil des armes, la violation du temple national, pour vous commander d’être heureux ! Qui vous fait ce commandement ? Votre mandataire [le Roi] ! Qui vous donne des lois impérieuses ? Votre mandataire, lui qui doit les recevoir de nous, Messieurs, qui sommes revêtus d’un sacerdoce politique et inviolable [règne de l’opinion croyant posséder la vérité, la constante, ce qui en forme une religion] ; de nous, enfin, de qui seuls vingt-cinq millions d’hommes attendent un bonheur certain, parce qu’il doit être consenti, donné et reçu par tous. Mais la liberté de vos délibérations est enchaînée… ».
C’est quand le Grand Maître des Cérémonie vient rappeler à Mirabeau l’ordre du Roi qu’il répond : « Oui, Monsieur, nous avons entendu les intentions qu’on a suggérées au Roi…  Je déclare que si l’on vous a chargé de nous faire sortir d’ici, vous devez demander des ordres pour employer la force, car nous ne quitterons nos places que par la puissance des baïonnettes ».

Mirabeau est un maître manipulateur : il a joué sur la vanité, sur l’ego de ses collègues, en leur disant qu’ils étaient, non les représentants du peuple, mais le peuple lui-même, et qu’en conséquence le Roi était leur mandataire, leur inférieur, celui qui devait recevoir d’eux des « lois impérieuses » et faire d’eux des héros à leurs propres yeux…
C’est la naissance du « peuple roi » et que le roi « serait souverain ».
Les députés n’obéissent plus depuis un moment au Roi, mais aux Couilles en Or genre : fils de famille noble, décavé et débauché, dans la classe du judéo-maçon comme le duc d’Orléans. Ces Couilles en Or dépravés fomentent LE COUP D’ÉTAT DU 17 JUIN ET SUIVANTS EN 1789. CE SONT CES MÊMES CANCÉREUX QUI INVENTENT « L’UNIVERSEL » ET SE VEULENT « INVIOLABLE » comme de nos jours les mêmes cancéreux veulent « une république irréprochable » !!!

Le 12 juillet 1789 Louis XVI écrit au baron de Besenval, commandant des troupes de la région parisienne : « …de donner les ordres les plus précis et les plus modérés aux officiers qui commandaient les détachements que vous seriez dans le cas d’employer, pour qu’ils ne soient que protecteurs, et éviter avec le plus grand soin de se compromettre et d’engager aucun combat avec le peuple, à moins qu’on ne se portât à mettre le feu ou à commettre des excès ou pillages qui menaçassent la sûreté des citoyens ».
Ainsi, pas plus que la déclaration du 23 juin n’était l’illustration d’une tyrannie contre les libertés de chacun, les troupes de la région parisienne, en ce début de juillet 1789, n’étaient nullement un instrument royal de « guerre sanglante contre les peuples français ».

Mais rendez-vous compte, depuis des millénaires, il apparaît soudainement la Super Carotte aussi illusoire que la « fin des temps » du judaïsme : LE POUVOIR DU PEUPLE, donc le peuple est désormais atteint du cancer du pouvoir ! Au pire il a enfin des « représentants », et encore bonus de la Super Carotte : IL ÉLIT LUI MÊME SES REPRÉSENTANTS. C’EST LE PARADIS SUR TERRE, C’EST LA FIN DES TEMPS : TOUT DEVINT FIXE (« inviolable » comme diraient les La Fayette & Cie. et les républicains et judéo-maçons actuels). Rendez-vous compte, les élus vont défendre les intérêts du peuple, qui va enfin pouvoir se reposer sur d’autres, ET DEVENIR DES ASSISTÉS : avant les peuples étaient assistés par l’Église, DE NOS JOURS ILS SONT ASSISTÉS PAR LE MERCANTILISME GALOPANT !

Grâce au judéo-maçon Mirabeau, de toute la France arrivent des louanges félicitant l’Assemblée du courage et de la fermeté avec lesquels elle a repoussé les offres du Roi !
En étant manipulés par les Couilles en Or ou cancéreux du pouvoir, les pauvres et « la France d’en bas » se livrent pieds et poings liés à ceux-là même qui vont devenir tout au long du 19è siècle leurs plus cruels oppresseurs. Bref, l’Assemblée devenait une grande manipulatrice de première classe et trompait totalement sur les intentions du Roi. Les violences et horreurs du républicanisme vont commencer par le massacre du Prévôt des marchands et de l’intendant de la Généralité de Paris, par le pillage de l’Arsenal et des Invalides, facilité en cela par le gouverneur Sombreuil et la création d’une Garde nationale sous le patronage de Bailly (celui qui écrira à la Convention pour accuser le Roi) et de La Fayette, puis arrive la prise de la Bastille, le 14 juillet et le massacre de sa malheureuse garnison de 60 invalides, tout cela sans que Besenval ne lève le petit doigt, laissant ses troupes sous son commandement comme simples spectatrices, mais êrmettient par leur présence d’affoler le peuple auquel Bailly et La Fayette annonçaient que dans les autres quartiers de Paris, la troupe massacrait les citoyens (compte-rendu dans Le Moniteur, gazette jacobine par excellence) !

Ceux qui dirigent le Tiers État (les Laboreores) prennent le pouvoir à l’Assemblée et manipulèrent les peuples en leur faisant croire que le Roi défendait les Ordres privilégiés et les privilèges. C’était facile à l’époque où il n’y avait pas d’Internet ni de « réseaux sociaux », là où maintenant l’opinion se répand à la vitesse informatique des magouilles algorithmiques de traders de Wall Street !

RAPPEL : les malades que nous sommes demandent la guérison à Big Pharma, aux Juifs et à leur « fin des temps » et autres lendemains qui chantent et à leur société de consommation ; nous oublions complètement le Soi naturel ou INSTANT (la RÉSURRECTION : RETROUVER LA SOURCE, mais pas à la fin des temps ou au JET (projet), c’est ICI ET MAINTENANT) !
Dans la « fin des temps », se rappeler que tant qu’il arrive quelque chose on n’est pas arrivé ! Et quand on est arrivé à la fin des temps, il n’arrive plus rien !
L’humain juif veut la fin : l’unité, mais il ne veut pas le moyen (la mort), voyez les transhumanistes et leur rêve « d’immortalité », alors il place le but à atteindre dans un étirement ou JET INDÉFINI (sauf par l’arrivée de son messie… ).
À propos de Roi, Louis XIV mourant déclarait : Du temps que j’étais Roi, il vient une heure où l’on ne peut plus parler de soi qu’au passé ». En voilà un qui était très attaché à son EGO OU CORPS, d’où le commencement du fiasco de la France qui allait grandement faciliter le coup d’État de 1789.

[Sur 1789, en référence à : Enquête sur le procès du Roi, de Paul et Pierrette Girault de Coursac]

(En haut de page : aquarelle de M. Roudakoff, d’après une fresque de la Renaissance, par Bellini en 1500)
 
 

Dernière mise à jour : 14-04-2016 23:08

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >